Il avait enfin trouvé un havre de paix et de solitude : Sauveterre.
Des pièces à n'en plus finir, une cascade flamboyante, un étang enchassé dans la forêt.
C'était vraiment une propriété de rêve. Il n'y avait qu'un hic. Sauveterre était hanté. Et pas qu'un peu.
Même si c'est très loin d'être de la grande littérature fantastique je l'ai trouver cependant agréable à lire. Ce roman est aussi court qu'une nouvelle et ne contient que 180 pages, il ce lis en quelques heures.