Il avait enfin trouvé un havre de paix et de solitude : Sauveterre.
Des pièces à n'en plus finir, une cascade flamboyante, un étang enchassé dans la forêt.
C'était vraiment une propriété de rêve. Il n'y avait qu'un hic. Sauveterre était hanté. Et pas qu'un peu.

Même si c'est très loin d'être de la grande littérature fantastique je l'ai trouver cependant agréable à lire. Ce roman est aussi court qu'une nouvelle et ne contient que 180 pages, il ce lis en quelques heures.

Pas de résumé pour l'instant

Très interressant ce livre, il fait suite à un autre roman de Hugues Douriaux du nom de "Roche-Lalheue" , m'en suis aperçu lorsque j'en étais à la moitié du bouquin, malheureusement on ne m'a preter que ce volume et sa suite "Les sortilèges de maïn" , l'histoire de ces trois bouquins me rapelle un peu les histoires de sorcières d'Anne Rice (en beaucoup moins bien)  même si on est loin de ce qui ce fait de mieux en matière de fantastique j'ai quand même bien aimer. Celui-ci est très court 180 pages environ, mais vu que les trois livres ce suivent, ça doit représenter grosso modo  un roman de 600 pages, si vous décider de vous procurer les trois volumes bien sur (je ne sais pas s'il y en a eu plus).

Jennifer, 14 ans, écrit le début d'un livre décrivant une société ressemblant beaucoup à celle des Aztèques. Tieba, une jeune fille qui ne se souvient plus de son passé, se retrouve prisonnière de ce monde...

C'est cool de retrouver dans "Les sortilèges de maïn", les personnages du précédent livre de Hugues Douriaux "Symphonie pastorale". On reprend ces marques tout de suite. L'histoire est un peu tirer par les cheveux (c'est normal c'est du fantastique), mais il ce lis agréablement jusqu'à la fin. Dommage que je n'est pas pu lire le premier de la serie "Roche-Lalheue".

Il suffit parfois d'une simple rage de dents pour s'enfoncer insensiblement dans un cauchemar sans issue et pour voir la réalité se diluer, s'effilocher. Où que vous alliez, vous êtes perdu. D'un côté, un univers bureaucratique, absurde, sans espoir. De l'autre, la superstition et le retour à la barbarie. Et partout les mêmes préjugés aveugles, la même cruauté inconsciente, la même momification des sentiments. Regardez bien autour de vous : vous êtes en enfer... vous ne l'avez jamais quitté !  

Sur ce livre mon avis est partager. En le lisant j'avais la désagréable sensation de lire des histoires sans véritable fin (Ce livre ne contient que des nouvelles). Passer ce cap la (au bout de plusieures histoires quand même) j'ai trouver la lecture agréable et j'ai fini par bien aimer quand même.....mais c'est finalement très loin de ce que j'aime vraiment lire.

Baudelaire avait raison : ces nouvelles sont extraordinaires. Un homme atteint la lune en ballon, un autre transforme en or les vils métaux, les morts apparaissent pour entraîner les vivants au tombeau, les malédictions s'accomplissent. Edgar Poe était fasciné par le rêve, le spiritisme, la métempsycose mais aussi les sciences. Il a créé un monde irréel d'autant plus envoûtant que le fantastique est peint avec logique et minutie. Cet écrivain américain ressentit toute sa vie la perversité qui existe en tout être. L'homme est sans cesse et à la fois homicide et suicide, assassin et bourreau. "Edgar Poe a emprunté la voie royale du grand art. Il a découvert l'étrange dans le banal, le neuf dans le vieux, le pur dans l'impur. Voilà un être complet", disait Valéry. 

Comme "la loterie" (ci-dessus) ce livre fait parti de ma bibliothèque depuis plusieures années mais je n'ai jamais eu envie de le lire (lol)....va savoir pourquoi.....c'est dommage parce qu'il est pas mal dans l'ensemble.....même si j'ai beaucoup de difficulté a me rapeller de quoi parle les histoires LOL...si ça y est, me rapelle maintenant, il y en a quelques unes qui me reviennent et qui valent le détour comme "Double assassinat dans la rue morgue" , "Aventure d'un certain Hans Pfaall" , "La lettre volée" et "le scarabée d'or" . Bonne lecture...

Nul n'est aussi vivace que la Mort. Passant de l'un à l'autre. S'incarnant parfois dans un être d'élection. Elaine devient son agent pour avoir respiré l'air d'une crypte profanée, vouée aux victimes de la peste. Messagère immunisée, immortelle jusqu'au jour où elle-même passe le flambeau à son propre assassin. Nul n'échappe à la Mort...

Parfois — non sans une certaine coquetterie — celle-ci s'acoquine avec le Diable. Et c'est un véritable feu d'artifice. Swann, le magicien, meurt dans un holocauste flamboyant d'entrailles pour être vendu comme Faust aux démons de l'Abîme. Nul n'échappe à son sort...

Mauvais sort écrit à même la peau de l'Ecorché, cet homme dont la chair est Livre de sang — l'Oeuvre au rouge la Mort. «La chair est triste, hélas, et j'ai lu tous les livres»…

Comme les deux romans ci-dessus ce livre est en ma possession depuis longtemps mais je n'ai jamais ressentis l'envie de le lire, mais comme les temps sont dur et que je n'avais pas forcément de quoi me payer des nouveaux livres je me suis rabattu sur les bouquins que je posséder et que je n'avais jamais lu.
C'étais la première fois que je lisais du Clive Barker. Je connaissais ce Monsieur en temps que réalisateur avec le fameux "Hellraiser" et je doit dire que j'aimerais lire un peu plus de cet auteur. Apparament Ce livre et le sixième d'une  serie qui comprend "Livre de sang", "Une course d'enfer", "Confessions d'un linceul", "Apocalypses" et "Prison de chair". J'ai vraiment aimer les 4 histoires de ce roman notamment les 2 premières que j'ai dévorer. Pas mal du tout ce bouquin ...

Il fut autrefois le plus grand de tous les pharaons. Mais, ayant bu l'Elixir de Vie, il est aujourd'hui devenu Ramsès le Damné. Ressuscité dans l'Angleterre du début du siècle, il se cache sous l'identité du Dr Ramsey, spécialiste en égyptologie, et ne tarde pas à s'éprendre de Julie, fille de l'archéologue qui a découvert son tombeau. Mais un amour vieux de plusieurs millénaires ne cesse de le hanter et va le pousser à commettre un acte qui menace ses amis mortels du plus terrifiant des dangers.   

C'est la première fois que je lis un Anne Rice qui n'a rien a voir avec les Vampires ou les Sorcières. J'ai bien aimer je doit dire, je me suis laisser entrainer par cette histoire d'immortalitée et de momies Egyptiennes. A découvrir pour ceux qui comme moi ne connaissent que les Vampires et Sorcières de l'écrivain.

Qu' est-ce qui a poussé Dale, universitaire dépressif et auteur de romans à succès, à s installer seul à Elm Haven, un lieu perdu de l'Illinois ? Cherche-t-il à élucider les mystères de cet été 1960 au cours duquel son meilleur ami, Duane, a péri, déchiqueté par un engin agricole ? Va-t-il enfin écrire le grand, le vrai roman de leur adolescence ? Il n'aura pas longtemps à se poser la question. La maison qu'il a louée celle même où vivait Duane est le théâtre de phénomènes étranges. Des chiens noirs venus de nulle part rôdent devant la porte, des bruits se font entendre à l'étage, des messages menaçants apparaissent sur son ordinateur, en vieil anglais. Et voici que de vrais fantômes surgissent... Hallucinations ou réalités ? Intimidation ou irruption de l'au-delà ? Renouant avec l'univers fantastique de Nuit d'été, Dan Simmons nous entraîne pas à pas dans un cauchemar terrifiant. Mais les clefs ne nous seront fournies qu'aux toutes dernières lignes...

 Je suis époustouflé par ce qu'écrit Dan Simmons ! Stephen King.  

Le meilleur livre que j'ai lu cet été.
J'avais découvert Dan Simmons en 1994 avec "Nuit d'été" que ma mère m'avais offert pour mon anniversaire (je crois). Et c'est l'un des 5 meilleurs livres que j'ai pu lire dans ma vie.
 "Les chiens de l'hiver" est en fait une suite à ce roman de 1994. L'histoire se déroule 40 ans après "Nuit d'été" avec comme héros un des personnages principaux de la bande de gosse de "Nuit d'été". Un vrai régal. Déjà de retrouver Dan Simmons et surtout de retrouver l'univers de Nuit d'été dans ce superbe roman que j'ai lu très rapidement je l'avoue tant l'histoire est prenante. A lire sans modération !!!

Un inconnu s'arrête dans une station-service perdue au fin fond de la Pennsylvanie, au volant d'une Buick « Roadmaster », un magnifique modèle des années 1950... qu'il abandonne là avant de disparaître. Alertée, la police vient examiner le véhicule, qui se révèle entièrement factice et composé de matériaux inconnus. Vingt ans plus tard, la Buick est toujours entreposée dans un hangar de la police d'État, et rien n'a filtré des phénomènes surnaturels qui se produisent à son entour, et qu'elle semble provoquer. Un homme veut cependant savoir la vérité : Ned Wilcox, le fils du policier initialement chargé de l'enquête, mort depuis dans un mystérieux accident. Et si rouvrir les portières de la mystérieuse automobile revenait à ouvrir les portes de l'horreur ? Après l'accident qui faillit lui coûter la vie en 1999, Stephen King a consacré trois ans à l'écriture de ce roman l'oeuvre d'un magicien de l'épouvante parvenu au sommet de son art ! 

En voilà un livre que j'ai bien aimer et du King en plus. Bé oui pas eu souvent l'occasion de lire des bons livres de Stephen king depuis une dixaines d'années. Après avoir lu "Jessie" , "Bazzard", "Insomnie" ou encore "Rêves et cauchemars" je penser que le King étais mort......Mais en fait il est pas si mort que ça .....J'ai lu "Sac d'os" il y a deux ans ainsi que "Tout est fatal" et "Roadmaster" cette été et ils m'on bien plus. Pourtant sur la dixaine de livre que j'avais embarqué en vacances je me réservé celui ci en dernier parce que j'avais l'impression que ça serait une daube....LOL....Bé je me suis trompé, j'ai bien aimer cette histoire de voiture venu d'on ne sais ou ......à la prochaine fois Stephen ^_-

999 : on sait que ce chiffre, retourné, est celui qui dans l'Apocalypse désigne la Bête. En nous présentant ces vingt-neuf récits inédits, c'est à un véritable festival de la terreur que nous convie le romancier et critique. Al Sarrantonio, spécialiste du genre. Au fil des pages, le lecteur sera happé par un inoubliable Stephen King, découvrira une surprise signée Joyce Carol Oates ou, sous la plume de Chet Williamson, un chef-d'oeuvre d'humour noir. A côté de ces noms fameux - ou de ceux de David Morrell ou de William Peter Blatty -, il fera connaissance d'auteurs moins connus, pour certains débutants, qui sont assurément les grands noms de demain. Une grande brassée d'histoires, rien que pour vous : de quoi lire pendant des mois et se souvenir que l'horreur appartient en propre à la littérature. Les lecteurs balanceront entre la panique admirablement organisée et le bonheur de découvrir tant de talents.  

C'est le seul livre que j'ai acheter cette été. Faut dire que j'ai pas eu beaucoup de choix.....y avais rien de potable en Grandesurface......je suis tomber sur ce bouquin de nouvelles dont je n'avais jamais entendu parler auparavant. Il regroupe 29 histoires fantastique de 29 auteurs différents.....Il y en a des biens et des moins bien (je parle des histoires bien sur) ....J'ai bien aimer même si je les trouvaient un peu inégales.  la dernière histoire du livre est de William Peter Blatty (l'auteur de l'exorciste) et ce nomme "Ailleurs" et c'est la meilleure du bouquin et aussi la plus longue (+ de 100 pages) peut-être pour cela qu'elle a était mise en dernier.