En haut : Croquis des lieux ou l'objet s'est posé
En bas à gauche : Croquis du témoin de Trans en Provence. L’engin est de couleur grise comme du zinc, n’émet ni flamme ni fumée et a une dimension d’environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L’ensemble de l’observation a duré de 30 à 40 s.
En bas à droite : Traces laisser par l'engin
TRANS EN PROVENCE 1981
Le 8 janvier, un homme travaille sur une terrasse de sa propriété lorsque son attention est attirée par un sifflement qui provient d'un engin en train de descendre vers le sol. L'engin se pose en contrebas de la terrasse entre 30 et 70 m de lui avec un bruit sourd et repart très rapidement après quelques secondes selon une trajectoire verticale qui s'incline légèrement avant de disparaitre à grande vitese aux yeux du témoin. Sous l'engin, le témoin aperçoit des formes circulaires prohéminentes comme des pieds. L'engin de couleur grise comme du zinc, n'émettait ni flamme ni fumée et avait une dimension d'environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, il était circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L'ensemble de l'observation a duré de 30 à 40 secondes.
Lorsque le témoin s'approche du lieu d'atterrissage il constate une trace d'environ 2 mètres de diamètre sur le sol.
La gendarmerie intervient le 9 janvier, auditionne le témoin, constate la trace sur le sol, les photographie, et procède a des prélèvements d'échantillons de terre et de luzerne sauvage prélevés de façon progressive sur la trace et autour de celle-ci.
Les analyses de sol ont été confiées par le GEPAN à quatre laboratoires différents qui ont effectué des analyses selon des techniques différentes et apporté chacun un point de vue complémentaire. La synthèse de ces analyses permet de
confirmer un tassement significatif du sol montrant la présence d'un corps pesant ayant laissé un léger dépôt de fer, d'oxyde fer, de phosphates et de zinc. Un échauffement significatif inférieur à 600° a également été détecté.
Les analyses biochimiques des échantillons de luzerne ont montré des dégradations multiples des plantes corrèlées avec leur distance à la trace. Les causes de ces dégradations n'ont pas été déterminées mais l'hypothèse d'un champ
électrique intense peut être envisagée.
Nul doute qu'un phénomène de grande ampleur s'est produit ce jour là, et que la matérialité de l'observation est hautement probable.