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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    Le tueur du Zodiac

    Entre 1966 et 1978, alors que l'Amérique était secouée par les spasmes du « Flower Power », un tueur énigmatique qui s'était donné lui-même le surnom de « tueur du zodiaque » frappa la Californie à plusieurs reprises, marquant les esprits par son « modus operandi » (1) très spécifique et sa manière peu commune d'envoyer des messages sous forme de cryptogrammes à la presse locale pour l'avertir des meurtres qu'il s'apprêtait à commettre. Le visage dissimulé par une cagoule évoquant celles portées par les bourreaux de l'inquisition espagnole, arborant une croix cerclée sur la poitrine, le tueur s'attaquait en priorité aux couples d'amoureux, la plupart du temps très jeunes, égarés le soir dans des endroits discrets afin de profiter ensemble de moments d'intimité. Comme s'il voulait les punir de jouir pleinement de la vie. A travers la série de lettres qu'il envoya à la presse, le tueur s'attribua non moins de trente sept morts.


    Cependant, seules quatre agressions ont été établies comme portant indiscutablement la signature du « zodiaque ». Parmi les sept victimes de ces agressions, deux personnes survécurent. Les faits attribués à ce mystérieux tueur constituent l'une des affaires criminelles non élucidées les plus célèbres de l'histoire des Etats Unis, donnant notamment à David Fincher, réalisateur de « Fight club », « Seven » ou encore « Alien III », le thème de son nouveau film, sobrement intitulé « Zodiac », dont la date de sortie en France est prévue pour mai 2007. Aujourd'hui, cette affaire a été classée en 2004, même si elle reste officiellement ouverte dans le comté de Napa et à Vallejo, dans la région de San Francisco. Seul le décryptage de l'ensemble des cryptogrammes envoyés à la presse par le tueur pourrait (peut être) nous informer sur l'identité du fameux « tueur du zodiaque ».

    Premier acte
    Tout commence à Riverside City, près de Los Angeles, la nuit du 30 octobre 1966 par le meurtre d'une jeune étudiante âgée de 18 ans, Cheri Jo Bates, qui sera retrouvée sauvagement assassinée près du parking de la bibliothèque de l'université de Riverside City. Frappée mortellement à la poitrine, dans le dos et à la gorge à l'aide d'un couteau, le corps, retrouvé non loin de la voiture de la victime, ne portait pas de marques de
    violences sexuelles. De même, l'argent ne semblait pas avoir été le motif de l'agression, la victime n'ayant pas été dépouillée de son porte-monnaie. Près du corps, la police retrouva une montre d'homme, arrêtée à 12h24 et portant des traces de peinture, ainsi que des empreintes de pas dans la terre évoquant les semelles d'une chaussure militaire.
    Selon les témoignages des voisins, le meurtre avait dû intervenir vers 10h30, heure à laquelle ils avaient entendu un cri. La bibliothèque fermant ses portes à 9h, cela laisse à penser que le meurtrier était resté environ une heure et demi en compagnie de la victime. On peut donc supposer qu'il la connaissait bien. Les enquêteurs déduisirent de ce faisceau d'indices qu'il s'agissait là ni plus ni moins d'un crime passionnel.

    Le 29 novembre 1966, le police de Riverside reçut une lettre dactylographiée à l'aide d'une machine à écrire,
    portant en guise de titre : « The confession » et évoquant les détails du meurtre de Cheri Jo Bates. Dans cette lettre, le tueur avertissait la police que ce meurtre était le premier d'une longue série. Six mois après la mort de Cheri Jo Bates, la police de Riverside, le quotidien de la ville ainsi que la père de la victime reçurent chacun la copie d'une même lettre, écrite à la main cette fois et dont le message était : « BATES HAD TO DIE THERE WILL BE MORE ». Puis, au milieu du mois d'avril 1967, un concierge de la bibliothèque de l'Université de Riverside City, près de laquelle avait eu lieu le meurtre, découvrit un poème écrit sous une table de classe, faisant allusion au meurtre et signé par les initiales R.H., faisant probablement allusion au nom du président de l'université à l'époque, R.H. Bradshaw. Pour les enquêteurs, il ne faisait pas de doute que ce poème avait été écrit par l'auteur du meurtre de la jeune étudiante. Aujourd'hui encore, il subsiste de fortes incertitudes au sein de la police de San Francisco sur les liens pouvant exister entre ce meurtre et ceux qui suivirent, attribués au fameux « tueur du zodiaque ». This is the zodiac speaking
    Le 20 décembre 1968 à Vallejo, à 20 kilomètres au nord-est de San Francisco, David Arthur Faraday, 17 ans, et Betty Lou Jensen, 16 ans, qui avaient leur premier rendez-vous, avaient prétexté auprès de leurs parents se rendre à un concert de Noël pour se retrouver seuls dans cette zone assez peu habitée. Ayant le sentiment d'être suivi de près par une Chevrolet, ils roulèrent vers Benicia avant de se garer sur un parking après avoir pris le soin de vérifier que la voiture en question avait cessé de les suivre pour continuer vers l'est. Cela faisait à peine une heure qu'ils étaient garés au même endroit, profitant de ces moments d'intimité, lorsqu'à 11h10, un inconnu surgit d'une voiture derrière eux. L'individu, armé d'un 22 long rifle semi-automatique, tira en direction des deux adolescents, touchant mortellement à la tête le jeune David. De
    son côté, Betty, qui avait réussi à quitter le véhicule, fut touché cinq fois dans le dos alors qu'elle s'était mise à courir, mourant à son tour sur le coup. Six mois plus tard, le samedi 5 juillet 1969, c'est au tour de Darlene Elizabeth Ferrin, 22 ans, et de Michael Renault Mageau, 19 ans, de connaître le même sort sur un parking de Vallejo. Darlene, qui était marié à un autre homme, et Michael roulaient depuis près d'une demi-heure quand ils décidèrent de se garer sur un parking pour discuter tranquillement. Peu avant minuit, une voiture marron s'arrête près de la portière gauche de la voiture où se trouvaient les deux jeunes gens. En surgit un homme, braquant un spot en direction du couple afin de les aveugler. Plusieurs coups furent tirés à l'aide d'un pistolet 9 mm
    semi-automatique. Darlene mourut dans l'ambulance qui l'amenait au Kaiser Foundation Hospital tandis que Michael Mageau survécut, pouvant ainsi témoigner. Il était le premier survivant à avoir vu le « tueur du zodiaque » qu'il décrit comme un homme de petite taille, assez fort, portant une cagoule de bourreau mais carrée au dessus à la manière d'un sac. Ce dernier portait sur la poitrine un symbole évoquant à la fois une cible et la croix celtique qu'arborait à la même époque en France sur leurs blousons les militants du mouvement Occident (2) qui affrontaient leurs adversaires trotskistes ou maoïstes au quartier latin. A peine quelques minutes après la mort de Darlene Ferrin, la police de Vallejo reçut le coup de fil anonyme, passé d'une cabine téléphonique, d'un homme revendiquant ce meurtre ainsi que celui de David Faraday et Betty Jensen.
    Quelques semaines plus tard, le 31 juillet 1969, trois journaux de la région, le San Francisco Examiner, le San Francisco Chronicle et le Vallejo Times Herald reçurent trois lettres contenant chacune le tiers d'un cryptogramme avec un total de 408 caractères. Dans la lettre envoyée au Vallejo Times Herald, qui fut décryptée, le tueur exigeait que le cryptogramme soit publié en première page de chaque quotidien le 1er août sans quoi les meurtres recommenceraient de façon redoutable. Dans la lettre envoyée au San
    Francisco Chronicle, le tueur prétendait que la dernière lettre contenait son identité.
    Le cryptogramme fut décrypté par un professeur d'université et sa femme en moins d'une semaine mais le message en question ne mentionnait pas l'identité du tueur.

    Le message tel qu'il fut décrypté était le suivant : I LIKE KILLING PEOPLE BECAUSE IT IS SO MUCH FUN THAN KILLING WILD GAME IN THE FORREST BECAUSE MAN IS THE MOST DANGEROUS ANIMAL OF ALL TO KILL SOMETHING GIVES ME THE MOST THRILLING EXPERENCE IT IS EVEN BETTER THAN GETTING YOUR ROCKS OFF WITH A GIRL THE BEST PART IS THAE WHEN I DIE I WILL BE REBORN IN PARADICE AND ALL THE I HAVE KILLED WILL BECOME MY SLAVES I WILL NOT GIVE YOUMY NAME BECAUSE YOU WILL TRY TO SLOI DOWN OR STOP MY COLLECTING OF SLAVES FOR MY AFTERLIFE EBEORIETEMETHHPITI (3) Le 4 août 1969, le San Francisco Examiner reçut une nouvelle lettre du tueur en réponse à des propos du chef de la police de Vallejo Jack E. Stiltz qui avait déclaré que les preuves n'étaient pas suffisantes pour conclure à la culpabilité de l'auteur des lettres. C'est pour la première fois dans cette lettre qu'apparaît la mention du surnom du tueur. En effet, le message envoyé à la presse commençait ainsi : « This is the zodiac speaking... ». Par la suite, les analyses scientifiques des empreintes digitales retrouvées sur les lettres ne donnèrent aucun résultat.


    Meurtres, Acte II
    Le 27 septembre 1969, dans le comté de Napa, Cecilia Shepard, 22 ans, et Bryan Hatnell, 20 ans, étaient en train de pique-niquer au bord du lac Berryessa, à 60 kilomètres de San Francisco, quand ils furent approchés par le « tueur du zodiaque ». L'homme, qui prétendait être un condamné évadé d'une prison du Colorado, les menaça dans un premier temps de son pistolet 9 mm semi automatique en les sommant de lui
    donner leur argent et les clés de la voiture. Il leur expliqua qu'il devait rejoindre le Mexique afin d'échapper à la justice. Cependant, au moment où les deux jeunes gens se plièrent à ses désirs, l'homme sembla finalement changer d'avis et décida de les attacher avant de les poignarder chacun à leur tour. L'homme porta six coups de couteau contre Bryan Hartnell, qui malgré tout survécut à ses blessures. En revanche, Cecilia Shepard, qui reçut dix coups de poignard, mourut deux jours plus tard. Avant de disparaître, le tueur inscrit au marqueur noir sur la portière de la voiture de ses victimes la croix cerclée ainsi que l'inscription suivante, faisant allusion aux dates de ses crimes :
    Vallejo 12-20-68 7-4-69
    Sept 27-69-6:30 by knife


    Peu après, le « tueur du zodiaque » passa un coup de fil d'un cabine téléphonique à la police du comté de Napa pour les avertir de la scène qui venait de se dérouler, terminant sa conversation téléphonique par la phrase suivante : « I am the one that did it ».
    Dans la nuit du samedi 11 octobre 1969, un chauffeur de taxi, Paul Stine, 29 ans, prend un homme à l'intersection des rues Mason et Geary à San Francisco, lequel demande à être conduit à Presidio Eights ,au nord de la péninsule de San Francisco. A 9h55, Paul Stine vient de garer à l'intersection des rues Washington et Cherry quand le passager du taxi lui tire dessus à bout portant à l'aide d'un pistolet 9 mm. Touché à la tête, le chauffeur décède sur le coup. Le tueur prend alors le porte-feuille de sa  ictime, les clés de la voiture et un morceau de la chemise de ce dernier, qu'il enverra par la poste au San Francisco Chronicle à titre de preuve. Surpris par trois témoins alors qu'il était en train de découper la chemise de Paul Stine, il parviendra notamment à s'enfuir en direction du nord sans être repéré par la police, bénéficiant du mauvais témoignage donné par les trois personnes qui avaient affirmé que le tueur était un homme noir! Deux jours après, le San Francisco Chronicle reçut une lettre du « tueur du zodiaque » revendiquant ce meurtre et accompagnée d'un morceau de la chemise ensanglantée du chauffeur de taxi. Dans cette lettre, le tueur menaçait aussi de déchaîner sa folie meurtrière sur des écoliers.


    Un tueur épistolaire
    Suite à cette série de meurtres, le tueur du zodiaque continua à défier la police par l'intermédiaire des lettres et cartes de voeux qu'il envoya régulièrement à la presse jusqu'en 1974. D'autres meurtres lui ont été attribués par la suite sans que l'on ait suffisamment de preuves pour conclure à sa culpabilité. Près de 2500
    suspects furent entendus par la police sans que l'enquête ne produise de résultats concrets.


     Le 8 novembre
    1969, le tueur envoya au San Francisco Chronicle une nouvelle lettre, contenant un cryptogramme composé de 340 caractères, lequel n'a toujours pas été décrypté à ce jour. (ci-dessus)
    Le lendemain, il envoya une lettre de sept pages dans laquelle il prétendait avoir discuté avec deux policiers pendant trois minutes après le meurtre de Paul Stine. Des extraits de cette lettre furent publiés dans le San Francisco Chronicle. De même, le 20
    décembre 1969, le « zodiaque » envoya une lettre contenant un autre morceau de la chemise de Paul Stine à un avocat renommé, Melvin Belli, à qui il demandait son aide. Le 20 avril 1970, le « zodiaque » envoya une nouvelle lettre dans laquelle se trouvait un cryptogramme de 13 caractères qui, selon lui, contenait son identité. La lettre incluait aussi le diagramme d'une bombe qu'il menaçait d'utiliser pour faire sauter un bus de ramassage scolaire et se terminait par un score : « Zodiac (symbolisé par la croix cerclée) = 10, SFPD (San Francisco Police Departement) = 0 » Le 27 octobre 1970, le reporter Paul Avery du San Francisco Chronicle reçut une carte de voeux pour Halloween signée de la lettre Z et de la croix cerclée. Sur la carte était écrit à la main l'inscription suivante : « Peek a boo, you are doomed ». Cette affaire fut prise très au sérieux et fit la une du journal. Quelques jours plus tard, le même Paul Avery reçut une lettre anonyme évoquant les similitudes entre les meurtres du « tueur du zodiaque » et l'affaire non élucidée du meurtre de Cheri Jo Bates à Riverside City en 1966. De même, dans un article publié le 13 novembre 1972 dans le Vallejo Times Herald, le détective Bill Baker proposait la théorie selon laquelle le meurtre d'un couple, Robert Domingos et sa fiancée Linda Edwards,assassinés à coups de 22 longrifle sur une plage dans le comté de Santa Barbara était en fait l'oeuvre du tueur du zodiaque », aucun fait ne venant prouver ces allégations.


    Acte final
    Après un silence de trois ans, le « zodiaque » envoya une lettre au San Francisco Chronicle le 29 janvier 1974 dans laquelle il expliquait que le film « L'Exorciste » était la « meilleure comédie satirique » qui lui avait été donné de voir. La lettre incluait une citation extraite du « Mikado », un opéra comique anglais de la fin du XIXème siècle écrit par Arthur Sullivan et W.S. Gilbert, et se terminait par un nouveau score, plus important celui-là : « Me = 37 ; SFPD = 0 ». D'autres lettres suivirent jusqu'en 1978, mais des doutes subsistent quant à l'identité de leur auteur. En effet, elles ne comportaient pas toutes la signature officielle du « zodiaque ». Depuis cette date, le « zodiaque » a complètement disparu. Plusieurs questions demeurent sans réponse.
    Est-il mort ou a t'il cessé tout simplement de tuer et de provoquer la police alifornienne ? Les lettres envoyées à la presse proviennent elles d'un seul et même auteur ? Nous ne le saurons peut être jamais l'affaire ayant été classée sans suite en 2004 suite à l'échec des analyses ADN qui ont disculpé tous les suspects présumés.
    Le cas du « tueur du zodiaque » ne cessera pas de sitôt d'inspirer cinéastes et écrivains. Outre sa manière d'utiliser l'humour pour défier et ridiculiser la police, l'originalité de ce tueur est notamment de s'être inspiré de personnages tirés de films, de livres ou encore d'opéras. Par exemple, l'une des influences cinématographiques principales du « tueur du zodiaque » est un film daté de 1939 : « Charlie Chan at Treasure Island ». Dans ce film, le héros Charlie Chan enquête sur les activités d'un médium basé à San
    Francisco, surnommé Dr Zodiac, qui envoie des messages à la police et à la presse et porte autour du coup un collier portant les symboles du zodiaque. Le tueur s'est aussi vraisemblablement inspiré d'une nouvelle, «The most dangerous game », écrite en 1924 par Richard Connell, dans laquelle le héros, Rainsford, échoue sur une île dont le maître des lieux est le diabolique Zaroff, un homme passionné de chasse portant toujours
    à la taille un couteau et un pistolet et qui, lassé de chasser des animaux, décide de chasser des humains. On peut trouver des similitudes entre la philosophie de Zaroff qui éprouve plus de plaisir à chasser les hommes que les animaux et les premières lettres envoyées par le « zodiaque » dans lesquelles il expliquait notamment : « I like killing people because it is so much fun. It is more fun than killing wild game in the
    forrest because man is the most dangerous animal of all ».


    Mathieu Bollon
    Sources:
    http://www.crimelibrary.com/serial_killers/notorious/zodiac/river_1.html


    L'homme suspecté d'avoir été le tueur du Zodiac a été innoncenté par analyses d'ADN


    Les enquêteurs de la criminelle de San Francisco pensent qu'ils ont innocenté la seule personne que la police ait jamais nommée comme étant le suspect dans les cinq meurtres perpétrés par le Zodiac, entre 1968 et 1969.
    De le salive provenant des enveloppes qui contenaient les lettres railleuses du tueur a permis de proceder à des analyses ADN, qui ont innocenté un instituteur pédophile que la police de Vallejo, entre autres, avait identifié comme « le tueur du Zodiaque «
    L'inspecteur Kelly Carroll a affirmé : « L'ADN d'Arthur Leigh Allen ne correspond pas a celle « développée » grâce aux échantillons prélevés sur les lettres du Zodiac.
    Allen avait été nommé par le Capitaine de la police de Vallejo, Roy Conway, apres sa mort, à 58 ans, en 1992.
    L'inspecteur Carroll, qui a repris l'enquête avec son équipe en l'an 2000, a expliqué récemment que la découverte de preuves additionnelles dans l'affaire du Zodiac pourrait leur permettre rapidement de créer un profil génétique complet du tueur.
    Le tueur avait envoyé 21 lettres codées annonçant ses crimes aux journaux de la ville. Chacune était signée d'une cible. Ses crimes et ces cryptogrammes ont embrouillés la police et fasciné les enquéteurs amateurs depuis plus de 30 ans. Des livres ont été écrit et des sites internet présentent leurs théories sur l'identité du Zodiac.

     






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