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Incident sur la base D'ICBM de Malmstrom ,Montana (USA)
28/04/2007 21:56
Source : http://www.ufocom.org/UfocomS/malm67.htm
En photo : Salle de surveillance de la base
RECIT DE ROBERT L. SALAS
"Entre 1966 et 1969, j'étais un officier de l'US Air Force stationné à Malmstrom AFB (Air Force Base), dans le Montana, et ma fonction était celle d'officier d'officier de tir de missile (ICBM's Minuteman).
Le 16 mars 1967, j'étais en fonction à l'un de nos centres de lancement (LCF - Launch Control Facilities) et je surveillais le statut de 10 missiles nucléaires.Tôt ce matin là, j'ai reçu un appel de mon garde de la sécurité qui était passablement effrayé alors qu'il rapportait qu'un OVNI "planait" juste au-dessus du poste de garde de l'entrée principale. L'objet était entouré d'un halo de lumière rouge. Le garde (chef poste) m'informa que ses hommes étaient prêts à ouvrir le feu. Pendant notre conversation, l'un des soldats fut blessé et mon interlocuteur mit fin à l'appel.

© Boeing
Alors que j'étais en train d'informer mon commandant de cette conversation, la plupart de nos missiles furent désactivés. Quand nous avons rapporté cet événement au poste de commandement, ils nous ont informés qu'un incident semblable s'était produit au même moment sur un autre site de lancement et que tous les missiles avaient été désactivés pendant que des OVNI étaient observés directement au dessus des sites de lancements.
Cependant, l'Air Force a mené une enquête mais aucune cause n'a jamais été déterminée en ce qui concerne la mise "hors service" des missiles.
J'ai pu acquérir certains documents officiels, relatifs ces événements, de l'Air Force grâce à une loi américaine spéciale appelée FOIA (Freedom Of Information Act). L'incident fut déclassifié récemment, suite à l'obtention de ces documents.
J'ai pu obtenir le témoignage d'anciens militaires qui valident mon récit."
QUESTIONS - REPONSES
Après avoir pris connaissance du récit de M. Salas, je lui posai quelques questions afin d'éclaircir certains points.
Quel était votre grade à cette époque?
- J'étais alors premier lieutenant.
Pouvez-vous vous souvenir du nom du garde qui vous a appelé?
- Non, malheureusement.
Combien de gardes y avait-il à l'entrée du site? Ont-ils ouvert le feu sur l'objet?
- Quatre des cinq gardes ont vu l'OVNI. Ils se sont mis en position, l'arme prête, mais ils n'ont pas tiré sur l'engin.
Quel genre de blessure a reçu l'un d'eux? Qui est cet homme? Un rapport médical a-t-il été dressé?
- Je me rappelle que la blessure était légère, soit une brûlure ou une coupure reçue alors qu'il approchait ou s'éloignait de l'engin. Mais ceci n'a pas été le résultat d'aucune attaque de l'objet. Cet homme fut évacué du site avant que nous soyions relevés par l'équipe suivante. Cependant, nous avons demandé les documents en rapport à cette blessure. Mais nous n'avons pas eu l'accord de recevoir ce rapport médical.
Avez-vous, ou quelqu'un d'autre, demandé une assistence aérienne?
- Nous avons appris d'autres sources qu'un F-106 fut envoyé en interception de l'un des objets, mais nous ne possédons aucune trace écrite du résultat de cette intervention. Nous, dans le LCC (Centre de Contrôle de Lancement), nous n'avons pas demandé de support aérien à cause de la suite des événements : l'OVNI quitta le site durant les quelques minutes de notre rapport et son comportement n'était pas hostile.
Quelle fut la réaction de la sécurité?
- Des équipes de sécurité furent envoyées afin d'enquêter sur place. L'une d'elles rapporte avoir vu un OVNI au-dessus de l'un des sites de lancement mais celui-ci partit très rapidement.
L'incident a-t-il été mentionné dans le cahier du chef poste?
- Oui, l'événement fut aussi bien mentionné dans le journal du chef de la sécurité que dans le mien (équipe du site November) et celui de l'équipe de l'autre site (Echo).
Quel était le nom et le grade de votre commandant?
- Mon commandant direct était le capitaine Frederick C. Meiwald. Il termina sa carrière militaire sous le grade de colonel.
Parlez-nous de l'autre site qui fut également visité. Est-ce arrivé au même moment?
- L'autre LCC était nommé Echo. Nous, nous étions à November. Ces sites sont distants l'un de l'autre d'environ 35 à 45 miles (56 à 72 km). Leur incident se produisit la même matinée.
Ces observations (et aussi la blessure du garde) apparaissent-elles dans les documents récemment déclassifiés ou mentionnent-ils seulement le problème des missiles?
- L'un des documents que nous avons obtenus est l'historique du 341ème Wing de Missiles Stratégiques pour la période janvier - mars 1967. Ce texte rapporte de manière très détaillée l'incident du site Echo mais ne mentionne pas les événements de November si ce n'est qu'il précise que les membres des équipes de sécurité November ont été questionnés. Ce rapport ne parle d'OVNI qu'une seule fois et c'est en ces termes : "Des rumeurs faisant état d'OVNI ont été réfutées". Je peux certainement montrer que cette déclaration est fausse si l'on considère mon témoignage, celui de mon commandant (situé dans le même local) et de l'autre équipe. Ce document ne rapporte pas la blessure de notre garde.
Avez-vous reçu l'ordre de ne pas parler de cet incident?
- Oui. Une fois de retour à la base, nous avons été en débriefing (rapport oral de fin de garde ou de mission) avec notre Commandant de Wing (unité de la Force aérienne), George W. Eldridge. Un membre de l'AFOSI (Air Force Office of Special Investigations - le service de renseignement de l'USAF) assista à cette entrevue. Lorsque le briefing fut terminé, ils nous ont dit que l'incident était désormais classifié (top-secret) et que nous ne pouvions en parler à personne. J'ai suivi ces ordres même dans la vie civile. J'ai démissionné en 1971. Ce n'est qu'après avoir lu un résumé de l'incident "Echo" dans un livre que j'ai décidé d'envoyer une requête d'information, sous le sceau du FOIA (Freedom Of Information Act), demandant la déclassification des documents relatifs à cet événement. A ce moment là, je pensais que j'étais au "flight" Echo car je ne me rappelais plus de ma position. Plus tard, j'ai appris qu'en fait j'étais au flight November. Si je rends cette affaire publique, c'est à cause de la déclassification de l'incident "Echo".
LES DOCUMENTS DECLASSIFIES
Vous pourrez trouver ces documents déclassifiés, grâce à la loi américaine du FOIA (liberté d'accès à l'information), sur le site du CUFON (Computer UFO Network) dont le sysop de est M. Jim Klotz. Ce dernier mena également une enquête sur cette affaire. L'adresse de cette page sur le web est : http://www.tcet.unt.edu/~chrisl/cufon/malmstrom/malm1.htm. Bien entendu, les documents sont rédigés en anglais. Vous y trouverez de nombreuses illustrations afin de visualiser davantage les événements décrits par M. Robert Salas.
CONCLUSIONS
La conclusion à toute cette affaire, pour nous européens, est … qu'il est impossible de conclure. Ce cas de la base de Malmstrom dans le Montana semble être intéressant car les témoins principaux sont des officiers de l'armée américaine triés sur le volet. On ne confie pas le lancement de missiles nucléaires stratégiques au premier bidasse venu.
De plus, il semblerait que la base de Malmstrom, faisant actuellement partie de l'Air Force Space Command, ait connu le même genre de problèmes, le 7 novembre 1975

Le missile Minuteman I construit par Boeing
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Un Boeing 747 Japan Airlines croise des ovnis en Alaska (1986)
28/04/2007 22:36
Un Boeing 747 Japan Airlines croise des ovnis en Alaska, 1986:
Le vol 1628 de de Japan Airlines était près de l'extrémité de la jambe d'Iceland-to-Anchorage en son vol de Paris vers Tokyo avec une cargaison de vin, quand son équipage a vu et a détecté trois objets non identifiés. Cette nuit du 17 novembre 1986, l'observation de l'un au moins de ces ovnis a été officiellement confirmé par les radars militaires de la FAA et des États-Unis.
LE CAS:
Selon capitaine Kenju Terauchi, le co-pilote Takanori Tamefuji et l'ingénieur de vol Yoshio Tsukuda, deux petites lumières et un objet lumineux énorme étaient visibles sur leur radar pendant plus d'une demi-heure. Ils l'ont aussi observé visuellement pendant qu'ils pilotaient sur 350 miles (550 kilomètres) vers le Sud à travers l'Alaska du Yukon vers Anchorage.
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Dessins par le capitaine Terauchi et l'équipage du vol JAL 1628 représentant ce qu'ils ont vu au dessus de l'Alaska en novembre 1986. Source FAA. |
Le capitaine Terauchi, un vétéran ayant volé 29 ans, raconte "C'était très gros, une ou deux fois plus gros qu'un porte-avions." Il a changé l'altitude et a fait des virages, avec la permission de FAA, dans le but d'identifier les objets qui ont continué à le suivre. Il a dit que les objets se déplaçaient rapidement et s'arrêtaient soudainement. En même temps, la lumière du grand objet était si intense qu'elle illuminait l'habitacle de l'avion et Terauchi a déclaré qu'il pouvait sentir la chaleur émanant de cette lumière sur son visage. Il a ajouté qu'il avait observé l'ovni pendant six minutes avant d'informer quiconque au sol, on en déduit que l'observation visuelle avait commencé à 18:13.
La FAA a d'abord confirmé les affirmations de plusieurs de ses contrôleurs du trafic par radar qui ont détecté le 747 et le grand objet, qui fut aussi confirmé par le radar de l'Armée de l'Air des États-Unis. Les rapports officiels qui suivirent ont essayé de s'en dédire, en attribuant les échos radars à des effets météorologiques. Finalement, cependant, un porte-parole de la FAA a fini par admettre: "nous acceptons les descriptions de l'équipage, mais ne pouvons pas accepter ce qu'ils ont vu. "
LE RAPPORT:
Le résumé des communications entre le capitaine Terauchi et les contrôleurs aériens a été édité par l'administration fédérale de l'aviation:
6:19 PM heure locale: Le pilot de JL1628 demande des informations au contrôleur de la ZAN sur un trafic dans le secteur 15. (FAA Air Route Traffic Control Center, Anchorage)
6:26 PM: La ZAN contacte le centre opérationnel de la Région Militaire (ROCC), et demande s'ils ont des échos radars près de la position de JL1628. Le ROCC répond qu'ils reçoivent un écho radar incontestable à 8 miles (13km) à 10:00 sur l'avant à gauche de la position de JL1628.
6:27 PM: Le ROCC entre en contact avec le ZAN pour leur indiquer qu'ils ne reçoivent plus aucun écho radar à proximité de JL1628.
6:31 PM: JL1628 informe que "l'avion" est "très grand" et en réponse le contrôleur de la ZAN approuve toutes déviations de route qui serait requise pour éviter une collision.
6:32 PM: JL1628 a demandé et a reçu l'autorisation de descendre de FL350 à FL310 (niveau 350 et 310 de vol, signifiant l'altitude de 35.000 et 31.000 pieds, soit 10.500 m. et 9.500 m). Interrogé pour savoir si l'objet était également descendu, le pilote a énoncé qu'il était descendu 'en formation.'
6:35 PM: JL1628 demande et reçoit l'autorisation de changer de cap à deux un zéro (210 degrés, ou Sud-Ouest). L'avion était maintenant à proximité de Fairbanks et la ZAN est entrée en contact avec le contrôle aérien de l'aéroport de Fairbanks pour savoir s'ils avaient quelque écho radar près de la position de JL1628. Le contrôleur de Fairbanks répondit par la négative.
6:36 PM: JL1628 a effectué un tour de 360 degrés et fut invité a informer la ZAN si le trafic était toujours avec eux, la réponse fut affirmative.
6:38 PM: Le ROCC a appelé la ZAN pour es informer qu'ils avaient confirmation d'un 'deuxième écho radar' près de la position de JL1628. Ils leur ont dit qu'ils surveillaient "cela" avec un "autre" équipement radar, et qu'un seul des deux échos était identifié.
6:39 PM: JL1628 informe la ZAN qu'ils n'ont plus l'objet en vue.
6:42 PM: Le ROCC informe qu'il semble que l'objet était parti en arrière et à la droite de JL1628, cependant, ils ne le détectaient plus.
6:44 PM: JL1628 annonce que l'objet est maintenant à 9 heures (à gauche).
6:45 PM: La ZAN demande a un vol de la Northern United Flight de changer son cap de 10 degrés avec l'accord du pilote, afin d'essayer de confirmer l'observation de l'objet.
6:48 PM: JL1628 annonce à la ZAN que l'objet est maintenant à 7 heures (arrière gauche), 8 miles [13 kilomètres].
6:50 PM: Le vol de la Northern United informe qu'il est en vue du vol de la Japan Airlines, sur fond clair, et qu'ils ne peuvent voir aucun autre objet volant.
6:53 PM: JL1628 annonce qu'il n'a plus de contact visuel avec l'objet.
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Les rapports officiels sont devenus de plus en plus négatifs au fur et à mesure que les jours passaient, émettant des doutes sur la confirmation par radar des observations visuelles. Mais à une conférence de presse de la par le FAA qui s'est tenu le 5 Mars, le porte-parole Paul Steucke a fini par indiquer: "d'après ce que nous savons, l'intégralité de l'équipage est constitué de gens intègres qui ont rapporté exactement ce qu'ils on vu."
ETUDES:
Le cas de la JAL a été analysé par le docteur en optique et physicien Bruce Maccabee, qui l'a divisé en quatre phases. Dans la première phase, le capitaine Terauchi a vu quelques lumières éloignées au-dessous et vers sa gauche, qui a semblaient suivre le 747. Terauchi a d'abord pensé qu'elles provenaient d'un avion militaire, mais le contrôle aérien a indiqué qu'il n'y avait aucun trafic dans le secteur. La deuxième phase fut l'observation par de multiples témoins visuels, l'équipage en entier, des lumières qui se sont déplacées brutalement vers l'avant de l'avion.
Maccabee écrit:
L'observation visuelle par des témoins multiples de l'ensemble de lumières semble inexplicable. L'observation ne peut être une hallucination de l'équipage tout entier. Les lumières ne peuvent pas avoir été des étoiles ou des planètes. Les étoiles et planètes étaient visibles et évidentes avant l'apparition des 'vaisseaux' apparus devant l'avion et étaient encore évidentes après que les 'vaisseaux' se soient écartés. Il n'y a aucun phénomène normal qui peut expliquer l'arrangement rectangulaire des lumières en rangées horizontales, avec des clignotements occasionnels, et avec l'espacement sombre rectangulaire vertical entre les rangées de lumières, la réorientation des paires de rangées lumineuses l'une au-dessus de l'autre puis l'une près de l'autre, la chaleur que le capitaine a ressenti sur son visage, et ainsi de suite.
La troisième phase s'est produite pendant que les "vaisseaux" reculaient et ne pouvaient plus qu'être vus comme "deux lumières faibles, pâles et blanches," mais un écho a été détecté par le radar à bord d'avion. Tandis que Maccabee concède que l'écho pourrait avoir été provoqué par "une panne temporaire du radar (à réparation automatique, 'fail over')" comme suggéré par la FAA, il a ajouté "il semble beaucoup plus probable qu'il y ait eu un certain objet là dehors."
La dernière phase est peut-être la plus controversée, car le capitaine Terauchi était le seul témoin du prétendu vaisseau spatial géant "deux fois plus grand qu'un porte-avions."
Maccabee concède:
Il semble au moins plausible qu'il a pu y avoir des nuages curieusement éclairés ou mal interprétés que l'équipage a dit avoir vu au-dessous de l'avion. Bien que les multiples détections des radars au sol sous le jet soient intrigants, l'incapacité des radars a montrer une trajectoire vraiment continue de l'écho inconnu rend la confirmation de radar au mieux ambiguë. Par conséquent il semble que, pour le moins, la dernière partie de l'observation ne convainc pas tant que cela. "Mais même si on ignore arbitrairement la dernière partie du "vol fantastique JAL1628" on est tout de même intrigué par l'observation visuelle multiple des deux "vaisseaux" qui ont dépassé l'avion. Il semble donc que JAL1628 a été accompagné pendant une partie de son vol au moins par deux TRUFOS (UFOs véritables).
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L'OVNI de Phoenix (Le plus gros OVNI)
30/04/2007 16:03
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En Photo :Reconstitution de l'ovni du 13 mars 1997
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Source :http://www.ovni007.com/id18.html
Le 13 mars 1997, des milliers de personnes observèrent un objet lumineux énorme, en forme de triangle, volant lentement et en silence, s'attardant parfois au-dessus de zones très peuplées, sans qu'on puisse apercevoir quelque chose qui ressemblait à des ailes. Il avait plusieurs dizaines de mètres de long et les contrôleurs aériens ne réussirent pas à enregistrer un écho radar sur leurs écrans. Jusqu'à aujourd'hui, les habitants de l'Arizona, ne savent toujours pas ce qui avait pénétré l'espace aérien des Etats-Unis cette nuit Là.
En réponses aux demandes du public, la conseillère municipale de Phoenix, Frances Barwood, déclencha une enquête sur les triangles apparus en Arizona. " J'aime obtenir des réponses. Je n'aime pas un travail inachevé. Les gens doivent pousser leurs élus à chercher ce qui viole ouvertement leur espace aérien ", dit-elle. Barwood dit avoir parlé personnellement à plus de 700 témoins ayant vu les objets. On ne lui donna jamais d'explication raisonnable. Bien au contraire, elle devint le sujet de plaisanteries douteuses de la part du tout Phoenix, des instances de l'état d'Arizona, du gouvernement fédéral, y compris le sénateur John Mc Cain, et a été publiquement ridiculisée par le maire de Phoenix. Elle considère toujours qu'il s'agit d'une affaire d'état d'importance nationale. Barwood s'est retirée de la vie politique pour écrire un livre relatant son expérience. " Le fait que le gouvernement n'ait jamais daigné interroger un seul témoin ne me rassure pas au point de vue de la sécurité nationale " fut son commentaire, lors d'une récente interview.
L'avocat Peter Gersten répondit en intentant une action en justice, conformément à l'acte sur la liberté de l'information, contre le département de la défense en 1999. Cette procédure mis les gouvernements (nationaux et fédéraux, N.d.T.) au défi de faire de " raisonnables recherches " pour information à propos des objets triangulaires vus en 1997, au-dessus de l'Arizona et ailleurs aux USA, dans les vingt dernières années.
Récemment (5 janvier 2000), quatre policiers situés en différents points du comté de St Claire, ont été témoins d'un immense engin volant triangulaire, volant à environ 300 mètres d'altitude, selon le Los Angeles Times. Le plus alarmant était qu'un officier de police de Lebanon ( Illinois), Thomas Barton, dit que l'objet en question bondit à plus de 15 kilomètres en 3 secondes. Un expert en aéronautique, Paul Czysz, qui a été employé pendant 29 ans chez Mc Donnell-Douglas dans la conception et le design d'engins supersoniques, dit qu'une telle rapidité de déplacement ne peut être expliquée de manière conventionnelle. " L'objet se transformerait en boule de feu et ses occupants seraient réduits en bouillie ", dit-il. La base aérienne militaire proche de Scott Air Force Base, ainsi que la FAA ( fédération of Aéronautics and Aviation, N.d.T.), disent ne rien savoir à ce propos.
Le 29 février 2000, un reporter porta à l'attention du sénateur de l'Arizona John Mc Cain, le démenti de l'armée et le procès de l'état d'Arizona, lors d'une conférence de presse en Californie. " je pense que cette affaire est d'un grand intérêt ", répondit le candidat à la Présidence, tout en reconnaissant que les " lumières aperçues en 1997, au-dessus de l'Arizona, n'avaient jamais été complètement expliquées ". Cependant, le département de la défense continue d'affirmer qu'il ne peut trouver aucune information relative aux objets triangulaires. Le DoD fournit des détails de sa recherche à la cour de justice de Phoenix, suite à la requête du juge Stephen Mc Namee, agissant au nom de Gersten. Le 30 mars 2000, le juge conclut qu'une recherche raisonnable avait été conduite, bien qu'aucune information n'ait été obtenue, et il mit un terme à l'action judiciaire de Gersten. Comme Barwood, Gersten demeure incrédule. " Quelle est donc cette chose qui a un accès illimité à notre espace aérien dans des zones de forte densité démographique ? " dit-il. " A notre époque où l'on craint tellement des attaques terroristes, comment se peut-il qu'ils ne savent pas ce que peuvent être ces triangles volants ? ".
Source: http://ufoweb.free.fr/kean.htm
L'énorme ovni du 13 mars 1997 |

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Il est IMPRESSIONNANT ! Mais bien REEL ! |
Ces Extraterrestres ont une sacrée technologie ! |

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Voici le cas le plus incroyable que je connaisse en matière d'ovni, c'est le cas INCROYABLE MAIS VRAI de l'énorme ovni de Phoenix en Arizona. Cet ovni est sans nul doute un énorme engin spatial en forme de "V". D'aprés les 3 vidéos prises au cours de cette apparition, des spécialistes ont pu estimé la taille de cet engin, il mesuré environ 1500 mètres, oui vous avez bien compris 1,5 kilomètre d'une extrémité à l'autre.
C'était inconcevable en 1997 de réaliser technologiquement un tel engin par l'Homme. Actuellement en 2005, ce type d'engin ne peut encore être conçu. Ne dites pas que cela peut-être un engin militaire terrestre, les Américains sont sans doute trés fort dans ce domaine, mais quand même ! Un avion de chasse ressemble à une mouche à côté de cet engin ! 3 personnes ont filmé chaqu'une de leur côté cette superbe manifestation, 3 vidéos indépendantes qui montrent la même chose; des milliers de témoins occulaires, des centaines d'appels ont complété le témoignage.
Que voulez-vous de plus? Ce jour là, un énorme vaissau spatial Extraterrestre était donc au dessus de Phoenix. Je me demande même, pourquoi ces Extraterrestres n'ont pas attéris ce jour-là à Phoénix? La population n'était peut-être pas prête, ou l'armée américaine de la base locale a refusé la tentative d'atterissage de ce vaissau, cela ne m'étonnerait pas!... D'ailleurs, la conseillère municipale de Phoénix de l'époque, Madame Frances Emma Barwood a déclaré que l'armée ne voulait faire aucun commentaire au sujet de cette manisfestation. Les militaires en exercice ont eu peur de dire la vérité. Je tiens aussi à vous prévenir, que la plupart des sites sur internet qui parlaient de cette affaire, sont maintenant fermé... Je trouve cela vraiment bizard, pas vous ? J'ai ainsi dû beaucoup naviguer sur le web pour bien me renseigner, et trouver des sites épargnés !
Article de Jérôme Gorriz
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OVNI au dessus de montréal (Canada) - Le 7 Novembre 1990
15/05/2007 01:35
Source de la photo:http://ovnidata.hollosite.com/images/design/ufoMontreal.jpg
L'objet évoluait à une altitude entre 1000 et 2700 mètres et son diamètre devait avoisiner les 500 mètres. Il est resté au moins 3 heures au dessus de Montréal au Canada, le 7 novembre 1990.
Le 7 novembre 1990, une quarantaine de Montréalais, dont des policiers, aperçoivent au-dessus de la Place Bonaventure un objet lumineux situé à plus de 800 mètres d’altitude. Les lumières de couleur orange forment un ovale. Au centre, des faisceaux lumineux de couleur blanche montent vers le ciel. L’objet est aperçu vers 19 heures. Il est resté quasi stationnaire pendant près de trois heures avant de s'estomper derrière un épais rideau de nuages. Il est notamment observé par la police canadienne. Certains témoins affirment que la chose s’était déplacée très lentement du sud au nord. La GRC atteste de la crédibilité des témoins et confirme ce qu’ils ont vu. À l’émission Le Midi-dix, l’animateur Michel Lacombe tente d’éclaircir l’énigme. En 1992, deux spécialistes des ovnis à la solide formation scientifique, Bernard Guénette (psychologie et physiologie), homme d'affaire et Richard Foster Haines (philosophie et aménagement urbain) travaillant pour la N.A.S.A ont publié un rapport qui démontre clairement que les lumières observées le 7 novembre au-dessus de Montréal provenaient d’un « objet ». Ainsi, le rapport rejette l’hypothèse d’un phénomène optique comme celui du reflet des projecteurs sur les nuages. Pour appuyer leur thèse, les deux scientifiques se basent sur les photographies du journal La Presse analysées par ordinateur ainsi que des témoignages concordants. Selon le rapport, l'objet évoluait à une altitude entre 1000 et 2700 mètres et son diamètre devait avoisiner les 500 mètres. Les deux hommes conclurent à l'évidence qu'un grand objet insolite, silencieux et non identifié avait survolé Montréal ce soir de novembre.
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Un "Parallélépipède vivant" à Prémanon....
15/05/2007 18:38
Un " parallélépipède vivant " à Prémanon...
Nous sommes le lundi 27 septembre 1954 dans une ferme isolée située au lieu-dit Mont-Fier, à moins de trois kilomètres du petit village de prémanon (Haut-Jura). Le recit qui suit a été raconté, en premier lieu, à l'institutrice de prémanon, Mme Genillon, par le témoin principal, Raymond Romand, douze ans.
La journée a été pluvieuse. Les enfants de la famille Romand, Raymond, douze ans, Janine, neuf ans, Ghislaine, sept ans et le petit dernier, Claude, quatres ans, s'amusent dans le fenil. Il est 20h30 lorsque le chien de la famille, qui est dans la cour, se met à aboyer furieusement.
Janine regarde à l'extérieur et apperçoit ce qu'elle décrit comme "un drôle de truc", un "Fantôme qui ne fait pas de bruit".
Raymond, l'aîné, décide de sortir et voit lui aussi un objet bizarre, comme "un gros morceau de sucre sur trois pieds, sans bras et de couleur aluminium", qui glisse lentement sur le sol. Sur le moment, Raymond n'est pas effrayé par ce "machin" (terme familier qu'il utilisera pour décrire l'objet lors de la déposition). Pour voir la réaction de l'intrus, il ramasse quelques pierres qu'il jette dans sa direction. L'une fait mouche et produit un son caractéristique de tôle frappée. Se munissant de son pistolet à flèchettes "Eurêka", il tire et constate le même bruit au contact du projectile. S'approchant, l'enfant entend un grognement et ressent soudain comme "une forte pression invisible et glaciale sur ses épaules" qui le plaque au sol. Il se relève un instant plus tard, terrifié par ce qu'il vient de vivre, et court dans la maison sans rien dire.
Quelques instants plus tard, alors que "le morceau de sucre" a disparu, le petit Claude attire l'attention de ses soeurs (cachées dans le foin de la grange) sur la présence, à 200 m de là, dans un champ, d'une grosse boule lumineuse rouge qui ce balance doucement avant de disparaître brutalement.
L'institutrice de Prémanon va trouver étrange que les enfants racontent la même histoire sans ce contredire. Cet élément va la décider à prevenir la brigade de gendarmerie de Saint-Claude, sous-préfecture la plus proche.
L'enquête, qui a lieu le 29 septembre et le 1er octobre, est placée sous la responsablilité du capitaine Brustel. Les gendarmes interrogent les enfants sans noter de contradictions et constatent, dans le champ ou a été aperçue la boule rouge lumineuse, que les herbes, des colchiques, sont aplaties comme à la presse. A l'intérieur de la trace se sont formés quatres trous rectangulaires de 10 centimétres, inclinés à 45°.
Se pourrait-il que les témoins, sous le coup d'une réaction émotionnelle, aient enjolivé le recit ? Dans le procès verbal, l'institutrice évoque la personnalité des enfants et ne croit pas possible qu'ils aient pu inventer une histoire pareille.
Tiré du livre "Troubles dans le ciel" de Jean-Jacques Velasco ( Ancien responsable, au sein du CNES, du Gepan, devenu Service d'expertise des phénoménes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004. On lui doit notamment; Ovnis, la science avance ( Robert Laffont, 1993) et de Nicolas Montigiani Journaliste d'investigation est l'auteur d'ouvrages en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué, dont Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot, 2003) et Project Colorado ; L'existence des Ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)
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Qu'est-ce qui s'est posé près de l'étang ?
15/05/2007 22:57
Qu'est-ce qui s'est posé près de l'étang ?
Les faits : le 27 novembre 1979, à 17h30, le gendarme de garde reçoit un appel téléphonique d'une dame visiblement affolée. Elle déclare qu'une soucoupe volante s'est posée à l'étang T., en face de chez elle. Elle demande l'intervention des gendarmes. Ils se rendent sur les lieux mais ne constatent rien. Ils auditionnent cette personne puis rentrent à la brigade ou un nouveau coup de fil les alerte. Il émane cette fois de la voisine du premier témoin, mère d'une fillette, C., qui a observé, elle aussi, un objet posé en face de chez elle, dans un champ. Les gendarmes recueillent les dires de la petite fille puis se rendent à l'endroit présumé du phénoméne. Cette fois, ils constatent que l'herbe, sur cette friche, est couchée en direction de l'étang, délimitant une forme d'ovale.
Le Gepan arrive le 29 novembre au matin, fort d'une équipe d'intervention de cinq personnes, chacune affectée à une tâche de recueil précise. Mon rôle ce jour-là, enquêter sur la trace : ma premiére trace supposée d'OVNI. Pour moi, c'est une expérience déterminante, non seulement pour observer visuellement l'allure d'une trace, mais aussi pour mettre en oeuvre nos procédures de recueil et de traitement des données à caractére physico-chimique...Je constate une forme géométrique, semblable à un fer à repasser dont la pointe serait orientée en direction des témoins, dans une friche en pente douce. L'herbe couchée ne comporte aucun autre élément visible qu'une sorte de rond spiralé au sommet de cette forme conique (je l'appelle vortex). Toutes les branches et brindilles des quelques maigres arbustes de l'endroit ont disparu. Avec la pente, l'effet s'atténue vers la partie la plus large de cette forme. Toute la journée, l'équipe Traces se livre à des recueils, d'abord photos, radioactivité, etc.,puis prélèvement d'échantillons de sol et d'herbe.Les autres enquêteurs enregistrent les témoignages des observateurs, particulièrement celui de la fillette. La gamine, effayée par cette "soucoupe", avait pris son petit frère âgé de quelques mois dans les bras et s'était précipitée chez sa voisine. Au cours de la reconstitution, la petite C, doit indiquer l'endroit précis ou ce situer la soucoupe. A trois reprises, elle désigne l'endroit même de la trace. De quoi accréditer fortement son shéma d'observation. Puis nous analysons, chacun dans nos disciplines, les informations recueillies sur le terrain.
Nos conclusions :
* Sur les témoignages, et en particulier celui de la petit C., nous avons constaté que les événements n'ont pas été parfaitement observés dans toute leur dimension. Néanmoins, le témoignage de C. fait preuve de suffisamment de cohérence pour être associé à la position de la trace et aux éléments qualitatifs de description et de trajectoire de la "soucoupe" .
* Sur la trace, il n'est pas apparu de dégradation du sol et des végétaux autre que visuelle.
* Les données à caractère physique, chimique, biologique permettaient de considérer le cas totalement crédible.
Tiré du livre "Troubles dans le ciel" de Jean-Jacques Velasco ( Ancien responsable, au sein du CNES, du Gepan, devenu Service d'expertise des phénoménes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004. On lui doit notamment; Ovnis, la science avance ( Robert Laffont, 1993) et de Nicolas Montigiani Journaliste d'investigation est l'auteur d'ouvrages en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué, dont Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot, 2003) et Project Colorado ; L'existence des Ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)
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Un "cas oublié" Colomb-Béchar
19/05/2007 17:59
En décembre 1965, des militaires assurent une liaison régulière entre Colomb-Béchar (Algérie) et Cazaux (France), à bord d'un avion Nord Atlas. Alors qu'ils survolent l'immense région désertique du désert algérien, encore pour quelques années un site d'essais pour les fusées et les expériences nucléaires, un bien étrange "visiteur" les accueille. Voici le compte rendu de l'un des membres de l'équipage :
Objet : Compte rendu du sous-lieutenant Marcel R. sur l'observation faite en vol d'un engin aérien non identifié. J'ai l'honneur de vous rendre compte des faits suivants : le 22 décembre 1965, à 6h45 TU, en effectuant le vol Colomb-Béchar-Cazaux à bord du Nord 125 F.R.A.N.R., un engin aérien, non identifié, est apparu à l'est de notre position : 33.10N 01.30W. Les éléments de vol étaient les suivants : niveau quatre-vingt-dix. Vitesse indiquée : cent cinquante [sans aucune précision]. Température extérieure : + 2° . Cap 030° . Condition de vol à vue. Visibilité vers l'est, illimitée. Luminosité exellente. Nébulosité 6 à 7/8 de stratus bas. L'objet est arrivé par notre travers droit, s'est maintenu à notre hauteur environ trente ou quarante secondes, sa dimension apparente était de deux centimètres environ, de forme lenticulaire, plat en dessous, légèrement bombé sur le dessus. Couleur foncée (graphite). L'engina a disparu vers l'est, en conservant la même altitude, à une vitesse excessivement élevée (en cinq secondes environ, il était invisible). Le phénomène s'est répété deux fois en deux ou trois minutes. La première fois, seul l'adjudant-chef Chartier en a été le témoin. Alertés par ce dernier, les cinq membres de l'équipage ont été les observateurs de la seconde apparition...
Pourquoi ce cas revêt-il une importance particulière ?
Il implique pilotes et navigants qui ont observé, ensemble, différentes séquences d'un événement venu perturber le cours normal de leur vol. Ensuite, parce que plusieurs de ces témoins - de qualité - décriront tous la même chose et de façon cohérente. La hiérarchie militaire accréditera l'observation par une enquête. Elle exclura une confusion naturelle, en particulier avec une planète ou le soleil. La présence d'un autre aéronef dans le secteur sera rejetée. Il faut noter que cette observation a pris place au- dessus d'une zone extrêmement réglementée et surveillée pour des raisons stratégiques. Peut-on alors, comme aux Etats-Unis, associer la présence de ce phénomène aux bases stratégiques françaises atomiques et spatiales du secteur ?
Tiré du livre "Troubles dans le ciel" de Jean-Jacques Velasco ( Ancien responsable, au sein du CNES, du Gepan, devenu Service d'expertise des phénoménes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004. On lui doit notamment; Ovnis, la science avance ( Robert Laffont, 1993) et de Nicolas Montigiani Journaliste d'investigation est l'auteur d'ouvrages en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué, dont Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot, 2003) et Project Colorado ; L'existence des Ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)
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Les petits pilotes de Socorro

Source :http://www.ufologie.net/htm/zamoraf.htm
Soccoro, Nouveau Mexique, 1964: UN OVNI ELLIPTIQUE LAISSE DES TRACES D'ATTERRISSAGE:
Ceci est arrivé à Lonnie Zamora, un officier de police, près de Socorro, au Nouveau Mexique, le 24 Avril 24, 1964. Ce cas bien documenté est un classique. Le Projet Blue Book, le FBI, le Strategic Air Command ont tous déclassifié les documents qui montrent que pour eux, cette rencontre du troisième type ne fait pas de doute. Tout en poursuivant une voiture en excès de vitesse vers 17:45, l'officier Lonnie Zamora du service de police de Socorro a entendu un grand bruit et a vu une flamme dans le ciel au sud-ouest. Pensant qu'un entrepôt de dynamite dans cette zone avait peut-être explosé, il a renoncé à la poursuite de la voiture et s'est dirigé vers les lieux. Pendant qu'il s'approchait sur une route non goudronnée, il vit un objet elliptique reposer sur des pieds dans un creux du terrain. Des insignes ou emblèmes rouges étaient visibles du côté qui était visible pour lui, et se tenant près de l'engin, il pu voir deux êtres d'aspect humanoïdes.

Zamora n'arrivait pas à comprendre ce qu'il voyait, ainsi il a déclaré sur sa radio qu'il sortait de sa voiture pour "contrôler une voiture dans un ravin." Pendant qu'il sortait de sa voiture il a entendu deux ou trois "bruits forts, comme si quelqu'un claquait une porte. Les êtres n'étaient plus visibles. L'engin décolla avec grand bruit et un forte émission de flammes, et quand il quitta la terre, s'élevant à la verticale, il redevint silencieux, se stabilisa et s'envola vers le lointain à l'horizontale. Puis il adopta une trajectoire verticale et accéléra jusqu'à disparaître dans la distance au-dessus des montagnes, juste au-dessus du Six Mile Canyon Mountain. Après que Zamora ait appelé l'opérateur radio pour lui rapporter l'incident, le sergent M.S. Chavez de la Police d'Etat fut envoyé vers le site en renfort. Tout en attendant Chavez, Zamora a noté que les broussailles brûlaient dans plusieurs endroits. Dans son rapport aux autorités militaires, Zamora raconte ce qui s'est produit ensuite: "Alors le sergent Chavez m'a rejoint et m'a demandé ce qui se passait, car je transpirais, et il m'a dit que j'étais blanc, très pâle. J'ai demandé au sergent de constater que les broussailles étaient en feu. Puis le sergent Chavez et moi nous somme rendus sur les lieux, et le sergent a remarqué des traces." Le Shérif adjoint James Luckie Socorro est arrivé quelques minutes après Chavez, et il a également confirmé leurs constatations et noté que les broussaille étaient encore fumantes. Zamora n'avait pas prêté beaucoup d'attention aux "pieds" de l'engin sur le moment, mais par la suite ce détail prit toute son importance. Quatre marques disposées en configuration trapézoïdale étaient visibles. Quatre zones brûlées, trois d'entre elles à l'intérieur des marques on également été notées. Plusieurs petites indentations, peu profondes, circulaires à côté des autres empreintes ont été décrites comme des "empreintes de pas" dans le fichier de relatif à ce cas ouvert par l'Armée de l'Air US. Le premier enquêteur militaire sur la scène, le avril 25, fut le capitaine Richard T. Holder, commandant 'Up-Range' à la base d'essais de White Sands, accompagné d'un agent de FBI, D. Arthur Byrnes, Jr., du bureau d'Albuquerque. La Major William Connor de la base de Kirtland et le sergent David Moody on ensuite enquêté pour le projet Blue Book de l'Armée de l'Air le 26 Avril 26. Le docteur J. Allen Hynek est arrivé le 28 Avril 28. Hynek a également conduit une enquête finale le 15 août 1964. Voici un extrait du rapport du capitaine Holder's: "Etaient présents quand nous sommes arrivés l'officier Zamora, l'officier Melvin Katzlaff, et Bill Pyland, tout le service de police de Socorro, qui aidaient à effectuer les mesures. Quand nous eûmes terminé l'examen de la zone, M. Byrnes, l'officier Zamora et moi-même, sommes revenus au bureau de la police d'état à Socorro, pour compléter nos rapports. A notre arrivée au bâtiments de la police à Socorro, nous apprîmes de Ned Lopez, opérateur radio du poste de police, que trois appels lui étaient parvenus au sujet d'une lueur bleue ou de flammes bleues vus par différents témoins, à une heure concordante avec les événements que nous décrivions." Zamora raconte au Capitaine Holder et au Major Connor, selon leurs notes que: "Le bruit était un plutôt comme un hurlement que comme un souffle. Pas comme un moteur à réaction. Il passa de haute fréquences à basse fréquence et se tut. Le hurlement a duré probablement 10 secondes et il se dirigeait vers lui sur le chemin de pierres à ce moment-là... En même temps que le hurlement, il voyait les flammes sous l'engin. L'engin se mit alors à s'élever lentement. La flamme était essentiellement bleu clair de couleur orange vers le bas... Il pensait à cause de la nature du bruit, que l'engin était sur le point d'exploser..." Quand le hurlement s'est arrêté, il a entendu un bruit semblable à un gémissement allant de la tonalité élevée à la basse tonalité, qui a duré environ une seconde. "puis," rapporte-t-il, "il y eut un silence complet... L'engin semblait alors se déplacer à 10 ou 15 pieds du sol et passa a trois pieds au-dessus de l'entrepôt de dynamite L'objet voyageait alors très rapidement. Il a semblé se diriger vers le haut, et décolla immédiatement à travers le paysage." In 1968, le Dr. James E. McDonald, un physicien étudiant les phénomènes atmosphériques à l'Université de l'Arizona, dit qu'il y aurait eu un prélèvement d'un échantillon de sable fondu sur le site: "Une femme qui est maintenant dans la chimie radiologique au service public à Las Vegas a participé à l'analyse d'échantillons de sol. Elle était sur place le lendemain des événements le 25 Avril 1964 elle affirme qu'il y avait des traces sous forme de sable fondu et resolidifié sous la zone d'atterrissage de l'engin. Je lui ait parlé au téléphone puis j'ai pu la rencontrer à Tucson."
Elle a analysé également les fluides des plantes environnantes également affectées et expliqué à McDonald qu' "il y avait un certain nombre de matière organiques qu'ils ne purent identifier, mais essentiellement juste de la sève. Peu de temps après que nous ayons terminé nos analyses, du personnel de l'US Air Force a confisqué toutes les notes et échantillons et lui a interdit d'en parler". Aucun rapport d'analyse n'a été diffusé auprès du public. Deux autres témoins, Paul Kies et Larry Kratzer de Dubuque, Iowa, ont également parlé au Dr. Hynek le 29 Mai 1968. En Mai 1978, Ralph C. DeGraw, un enquêteur de l'Iowa les a interviewés. Ils roulaient au Sud Est de Socorro vers 18:00 quand il virent quelque chose de brillant et un nuage de fumée au voisinage de la ville. Plus tard ils entendirent des nouvelles à propos de l'observation de Zamora et firent le rapprochement. Kratzer dit qu'il avait vu "un objet rond en forme d'oeuf ou de soucoupe qui s'éleva à la verticale depuis le point ou se trouvait les fumées. Après une ascension verticale, l'objet parti en vol horizontal vers le Sud Est." Il dit que l'objet était argenté et avait une rangée de hublots ou d'ouvertures sur son flanc et une marque rouge en forme de Z à une extrémité. Il avait pensé qu'il s'agissait d'un avion expérimental à décollage vertical. Kies ne vit qu'un point brillant et la fumée. Un rapport du FBI du 8 Mai 1964 note que Zamora est bien connu pour 5 ans de services et peut être assurément considéré comme quelqu'un de sobre, consciencieux et non sujet à l'affabulation. Le rapport confirme aussi les traces sur les feuillages, les empreintes: "chaque creux semble avoir été fait par un objet s'étant enfoncé dans le sol avec une certaine inclinaison." Deux ans après cette observation, le Major Hector Quintanilla, Air Force Chief du projet Blue Book à l'époque de l'observation, confia à des agents du renseignement dans un dossier secret de la CIA que le cas de Socorro restait "perturbant". Il a conduit un certain nombre d'enquêtes auprès des autorités militaires pour tenter de trouver une explication mais en vain. "Il n'y a aucun doute sur ce que Lonnie Zamora vit un objet qui lui causa une très forte impression. Il n'y a aucun doute sur la fiabilité de Zamora. C'est un excellent policier, un élément exemplaire de sa profession, et un homme tout à fait compétent pour identifier un avion. Il est abasourdi de ce qu'il a vu, et franchement nous aussi. C'est le cas le mieux documenté de nos fichiers et nous sommes toujours incapable d'expliquer quel genre d'engin ou de stimulus à pu semer la panique dans l'esprit de Zamora."
RECONSTITUTION GRAPHIQUE:

Une peinture à l'huile basée sur des photographies prises de l'emplacement réel de l'atterrissage. L'image dépeint l'objet juste au moment où il commençait presque à décoller, et du point de vue où M. Zamora s'est censément tenu. Lonnie Zamora a vu cette illustration et déclaré que c'est une bonne représentation de ce qu'il a observé, bien qu'il ait estimé que les "jambes" pourraient avoir été légèrement plus prolongées. Les dimensions présentées cependant sont issues de la description du témoin et de mesures exactes fournies par les enquêteurs des empreintes dans le sol.
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La rencontre de Valensole

Source: http://rr0.org/science/crypto/ufologie/enquete/dossier/Valensole/
La rencontre de Valensole (1965)
Maurice Masse, cultivateur de lavande de 41 ans réputé pour son sérieux, vit avec sa femme et ses 2 enfants sur le plateau de Valensole (Alpes de Haute-Provence).
Depuis une semaine, lui et son père travaillent quotidiennement dans leur champ et remarquent chaque matin, des dégâts causés aux lavandins, comme si quelqu'un avait pris, chaque nuit, des échantillons de ces plantes. Les plants ne sont pas arrachés, mais des pousses sont coupées ou plutôt cassées et emportées.
Au petit matin du 1er juillet 1965, Masse quitte son domicile vers 5 h. Il arrive dans son champ situé à 1600 m de sa maison. A 5 h 45, s'apprêtant à démarrer son tracteur qui stationne derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut), Masse entend un bruit comme un sifflement qui remplissait toute la campagne. De là où il se trouve, il ne peut en localiser l'origine mais, pensantà un hélicoptère militaire, se dirige vers l'origine du bruit. Sortant de derrière le clapier, il constate effectivement qu'un engin est posé dans son champ au milieu de ses buissons de lavande, à 90 m. Cependant sa forme rappelle plutôt celle d'un ballon de rugby.

Masse s'approche en longeant une vigne située le long de son terrain, marchant parmi les rochers tout en observant la "machine". L'objet, du volume d'une Renault Dauphine (de 3 à 3,50 m de large, pour environ 2,50 m de hauteur) et de couleur neutre et mate. Il possède une coupole supérieure transparente, et 6 pieds montés sur un pivot central s'enfonçant dans le sol, le faisant penser à une énorme araignée.
Je me trouvais le 1er Juillet 1965 vers 5 h 30 du matin, comme j'en ai l'habitude, dans mon champ de lavande un peu au Nord de Valensole près de la route d'Oraison. Je n'avais pas encore mis en marche mon tracteur, arrêté derrière un clapier (tas de pierrailles de 2 m de haut environ). J'allais le faire et j'allumais une cigarette quand j'entendis un sifflement dont je ne localisais pas l'origine.
Masse contourne le clapier avec précaution, pensant prendre des gens la main dans le sac. Mais c'est un tout autre spectacle qui l'attend :
Je sortis alors derrière le clapier qui me dissimulait et vis à 90 m de moi environ un engin de forme bizarre qui s'était posé dans mon champ. J'avais d'abord pensé à un hélicoptère, mais je me suis rendu compte que ce ne pouvais en être un. J'avais trop l'habitude de ces machines de l'armée qui, en difficulté ou non, atterrissent souvent sur mon champ ou à côté. Je ne manque pas, chaque fois, d'aller m'entretenir avec les pilotes lesquels, bien souvent, sont des chasseurs comme moi. Mais cet engin ressemblant à un gros ballon de rugby, gros comme une Dauphine, surmonté d'une coupole, reposant sur 6 béquilles, qu'est-ce que ça pouvait être ? Peut-être, pensais-je, un engin expérimental ?
Mais l'objet n'est pas seul. 2 petits humanoïdes se trouvent à ses pieds, accroupis :
Je m'avance néanmoins d'un pas tranquille, rien dans les mains, à travers les jeunes plants de lavande qui couvrent mon champ. Et j'apperçois tout près de l'engin 2 petits êtres ayant apparence humaine, penchés sur un pied de lavande.
Un lui tourne le dos, l'autre lui fait face.
Sans trop d'inquiétude, je m'approche avec l'intention d'entrer en contact avec eux. J'arrive ainsi à 5 ou 6 m des étranges visiteurs, mais ceux-ci m'aperçoivent, se redressent et l'un d'eux braque aussitôt sur moi une sorte de tube, ou de "pistolet". Je suis alors instatanément figé sur place au point de ne pouvoir faire un seul mouvement.

Lorsque je suis arrivé à 7 m d'eux, celui qui était tourné dans ma direction m'a alors aperçu. Il a dû faire un signe à l'autre, tous 2 se sont redressés, celui qui avait le dos tourné a fait volte-face et a pointé un tube dans ma direction qu'il prit dans un étui sur son côté droit; à ce moment-là, j'ai été totalement immobilisé. Je ne ressentais rien, je n'étais pas engourdi ni contracté mais je ne pouvais pas faire un seul geste. J'ai très bien distingué que celui qui m'avait paralysé remettait de la main droite, dans l'étui qu'il portait à gauche, ce fameux tube.
Ces 2 êtres sont ensuite restés quelques mn discuter en me regardant la plupart du temps. J'ai remarqué que leurs yeux bougeaient et j'entendis une sorte de gargouillement provenant certainement de leur gorge. Ils n'avaient presque pas de cou tant leur tête était rentrée dans les épaules. Ils semblaient se moquer de moi, pourtant leurs regards n'étaient pas méchants, tout au contraire.
Au bout de 4 à 5 mn, ils retournèrent, avec une agilité surprenante, dans leur appareil en s'aidant de la main droite, puis de la main gauche. Une fois montés à bord, une porte à glissière se referma d'une façon qui m'a semblé automatique, de bas en haut, de la même manière qu'une porte de meuble.
Je les ai distingués derrière le dôme, j'ai entendu un bruit sourd qui a duré 2 à 3 s, tandis que leur appareil se soulevait de 10 cm à 1 m. Le tube qui se trouvait sous l'appareil est sorti de terre et les 6 pieds se sont mis à tourner. Il n'y a eu ni fumée, ni poussière soulevée par cet engin. Les 6 pattes tournaient dans le sens des aiguilles d'une montre.
Tandis que les visiteurs me faisaient face, l'appareil est parti en arrière, dans la direction opposée à leur orientation. Il s'est élevé en oblique plus vite qu'un avion à réaction. Je l'ai suivi pendant 15 à 30 m, puis il a disparu subitement de ma vue, pire qu'un éclair.
Je suis resté immobilisé encore 15 mn, puis j'ai remué mes mains, puis tous le corps et les membres. Je suis alors parti vers mon tracteur.
J'ai allumé une cigarette et j'ai continué mon travail jusqu'à 7 h et demi/huit heures. Monté sur mon engin, j'ai biné ma vigne qui n'est pas celle que j'ai traversé lors de mon approche puis je suis rentré chez moi vers 9 h.
C'est en mettant au courant de son aventure M. Moisson, patron du Café des Sports que la gendarmerie a vent de la nouvelle.
Il racontera ensuite avoir vu également de petits êtres (1 m environ) dont la morphologie générale est proche de la nôtre mais qui sont manifestement étrangers à notre planète. En s'approchant d'eux, il note leur tête anormalement grosse par rapport au corps (3 fois celle d'un humain), chauve, peau blanche, longues oreilles, pommettes saillantes et charnues, avec une petite bouche circulaire. Ils portent des costumes gris-vert d'une seule pièce. Jusqu'alors penchés sur un buisson de lavande, ils semblent enfin remarquer sa présence lorsqu'il est à 8 m d'eux, et l'un deux braque alors vers Masse un petit tube qui le paralyse, mais apparemment sans lui faire perdre conscience. Il se souvient qu'il y a eu alors une sorte de communication télépathique avec ces êtres, dont il garde une impression de bienveillance. Les 2 êtres retournent ensuite à leur engin, y pénêtrent par une porte coulissante. Le bruit de sifflement recommence et l'engin plane brievement tandis que ses pieds commencent à tourner, puis il file vers l'Ouest à vive alure.
Masse ne recouvre sa capacité de mouvement que 15 mn plus tard. A ce moment, il va immédiatement examiner l'endroit où l'ovni s'est posé et remarque diverses marques au sol, ainsi qu'un trou central d'environ 30 cm de profondeur là où il avait stationné le pylône central de l'engin. La terre tout autour est détrempée. Plus tard, dans la journée, il note qu'elle s'est rapidement durcie jusqu'à avoir la consistance du ciment.
Enquête
Le lieutenant-colonel (capitaine ?) Valnet, commandant de la compagnie de gendarmerie des Alpes de Haute Provence contrôle le déroulement de l'enquête des gendarmes Azias et Santoni. Ceux-ci s'attèlent à leur tâche êtent dès le lendemain, recueillant un 1er témoignage de Masse, d'abord réticent par peur du ridicule.
Masse ne parle pas tout de suite des petits êtres.
A partir du 3 Juillet, les journaux parlent de la "soucoupe volante de Valensole". La plupart émettent l'hypothèse d'un hélicoptère Alouette II ou III : en effet, cet été-là, des exercices militaires sont en cours sous le nom de "Provence 65". Le général Chassin ne confirme pas l'hypothèse de manoeuvres militaires et demande que les autorités fassent dans le plus bref délai, une déclaration à l'effet de dire si, oui ou non, un hélicoptère en mission s'est posé un moment dans le champ de M. Masse.
Les ufologues sont très sollicités : l'un des plus célèbres, Aimé Michel, déclare : si le témoin a inventé la chose, il a inventé quelque chose de tout à fait conforme à ce que l'on sait déjà, en particulier de tout fait conforme à une observation faite l'année dernière aux Etats-Unis dans un endroit qui s'appelle Soccoro.
Masse s'est réfugié sur la côte pour éviter la presse et les curieux. Le 4 Juillet, les journalistes le retrouvent et il répond aux questions d'Europe 1 : il reste sur ses déclarations jusqu'au 18 Août, où il est interrogé pendant 8 h par le capitaine de gendarmerie Valnet. Au cours de cet entretien éprouvant, il donne une nouvelle version des faits. Cette fois, les 2 êtres étaient hors de leur engin et semblaient contempler, accroupis, un plan de lavandin. Ils ne mesuraient pas plus de 1 m, leur crâne disproportionné, chauves, un trou à la place de la bouche. Il n'avait pas osé tout dire de peur d'être enfermé à l'asile ; il ne l'avait raconté qu'à son père et au gendarme, le maréchal des logis Oliva.
L'enquête Guieu Jimmy Guieu, alors chef du service d'enquête du groupement Ouranos, se rend sur les lieux. En voulant recueillir un peu de terre à l'endroit où l'engin s'est posé, il brise la lame de son canif tant le sol est dur.

L'enquête Chautard
Début Septembre, maître Chautard, magistrat conseiller à la cour d'appel de Lyon et membre du GEPA, mene son enquête à titre privé.
Chautard interroge Masse et rédige un long rapport où il dévoile la version du 2nd PV de gendarmerie. Ce rapport est diffusé dans le n° 5 de Phénomènes Spatiaux. Ce rapport conclut : nous sommes personnellement enclins à penser que le champ de lavande de M. Masse a été l'objet d'une visite insolite et semble-t-il, extraterrestre.
Masse sera par la suite interrogé par Aimé Michel qui constatera que Masse est victime pendant quelques semaines d'hypersomnie.
Pour les ufologues et pour certains journalistes, Masse n'a pas tout dit. En 1972, le journaliste René Pacaut, rencontre Masse qui lui dit : Je ne peux pas dire tout ce qu'ai vu. Personne ne me croirait.

Fin 79, Masse accorde un entretien à Jacques Vallée. il en ressort que les êtres venaient de quelque part ailleurs, mais qu'ils étaient humains.
Plus tard, Masse semblera avoir conservé un sentiment quasi-religieux de ce mystérieux "contact" des êtres venus d'ailleurs. Il meurt le 14 Mai 2004.
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Hypothèses sur les Extraterrestres

Pourquoi, s'il existe d'autres civilisations dans la galaxie, ne nous ont-elles pas déjà visités avec leurs sondes exploratrices et leurs vaisseaux colonisateurs ?
Certains astronomes répondent que cette absence évidente est une preuve que nous sommes seuls. D'autres, que de telles civilisations n'ont pas encore eu le temps matériel de nous rendre visite. C'est leur droit le plus strict (même s'ils semblent ignorer, volontairement ou non, les nombreux rapports d'ovnis !). Davoust examine, devant cette absence, les raisons pouvant "les" pousser à ne pas se manifester :

Hypothèse de l'inexistence d'autres vies :
nous sommes seuls et nous l'avons toujours été parce que la vie est un phénomène unique, ce qui est une des conclusions possibles soutenues par des biologistes face aux astronomes. Position en contradiction avec l'immensité de l'univers et la loi des grands nombres. Une autre raison pourrait être que les autres civilisations se sont éliminées à la suite de conflits internes.
Hypothèses des "ratés"
a) Nous n'avons pas reconnu les signaux comme tels. Il est possible que nous n'ayons pas détecté les signaux venant d'une autre civilisation. Il est également possible que des signaux aient été captés mais qu'ils aient été interprétés comme des phénomènes naturels (Exemple des Pulsars, des sources célestes de rayonnement radioélectrique, lumineux, X ou Gamma) Ici en photo :

b) Nous n'avons pas encore regardé au bon endroit, au bon moment, avec les bons instruments. Les quelques milliers d'étoiles écoutées sporadiquement depuis quarante ans sans résultat positif suggèrent, tout au plus, que le nombre de civilisations technologiques dans notre galaxie est faible (à condition qu'elles ne se cachent pas, hypothèse qui reste possible).
Hypothèse du jeu de cache-cache:
"Ils" ne se montrent pas. Nous devons ici adopter une attitude anthropomorphique et prêter aux civilisations extraterrestres un comportement humain.
Hypothèse de la contemplation :
ils sont tournés vers un monde intérieur duquel nous sommes absents.
Hypothèse écologique :
malgré l'intérêt qu'ils portent à l'exploration et à la communication, ils ne veulent pas modifier leur environnement ni gaspiller de l'énergie en envoyant des sondes.
Hypothèse de l'horizon mental :
nous sommes, de leur point de vue, une civilisation primitive dont l'horizon mental est très limité et qui ne présente que peu d'intérêt. Ils communiquent par des techniques dont la physique nous dépasse complètement. Nous sommes comme ces peuples primitifs qui vivent dans leur jungle, ignorant tout de la civilisation moderne.
Hypothèse de l'immaturité:
Un contact trop précose nous transformerait en consommateurs d'information.
Hypothèse du zoo:
nous sommes une civilisation primitive parquée dans une sorte de réserve naturelle à l'échelle galactique. Ainsi se gardent-"ils" de pénétrer chez nous pour les mêmes raisons qui font que nous ne pénétrons pas dans les réserves naturelles terrestres. Dans le cadre de cette hypothèse, on pourrait imaginer un scénario de science-fiction dans lequel les ovnis seraient des gardes de cette réserve...
Hypothèse de méfiance :
nos progrès technologiques et l'histoire mondiale tourmentée de ces dernières décennies nous ont rendus suspects à leurs yeux. Toujours dans le domaine de la science-fiction, les ovnis seraient, dans ce cadre, des sentinelles chargées de surveiller nos activités. Il est certain que notre exubérance dans certains domaines, émissions radio tous azimuts, explosions nucléaires erratiques [ c'est moi qui souligne], pollutions diverses, incite à la circonspetion.

Reste à élucider pourquoi "leurs" sondes ne viennent pas sur terre chercher le contact :
1) "Ils" sont déjà venus. Ce qui pourrait expliquer un certain nombre de prouesses architecturales ou de connaissances scientifiques et techniques chez des civilisations passées dont nous sous-estimons le niveau de développement. Mais il faudrait, dans ce cas, expliquer pourquoi "ils" ne sont pas restés.
 (Photo d'une suposé piste d'attérissage extraterrestre chez les Mayas)
2) "Ils" se sont installés ailleurs dans notre système solaire et nous observent à distance. La fragmentation de la ceinture d'astéroïdes (Ici en bas) pourrait être le résultat de travaux miniers de civilisations colonisatrices. Des tentatives de détection de telles civilisations, à l'aide d'un télescope infrarouge, ont été tentées - officiellement sans succès - dans les années 70 par l'astronome Michael D. Papagiannis.

3) "Ils" ne veulent pas nous rendre visite pour les raisons évoquées plus haut. 4) L'environnement du système solaire est hostile à leurs sondes. Dans la mesure ou nous n'occupons pas une place privilégiée dans l'univers, l'autre implication serait qu'une bonne partie de l'univers leurs est hostile ou qu'"ils" n'ont pas maîtrisé les difficultés inhérentes aux voyages interstellaires. 5) "Ils" n'ont pas eu le temps de venir sur terre. Des modèles élaborés par les astronomes précisent qu'il faut entre cinq et soixante millions d'années pour qu'une civilisation colonise la galaxie. En revanche, une civilisation sans croissance démographique mettrait un temps infini à coloniser la galaxie. Le cas des sondes automatiques est différent : il dépend essentiellement du niveau de développement technologique de la civilisation exploratrice. Des sondes de prospection, voyageant à 10 % de la vitesse de la lumière, devraient pouvoir inspecter la galaxie en quatre millions d'années. Et pourtant, "ils" sont là !
 Parmi les hypothèses énoncées par Davoust, nous devons en rechercher une qui serait capable d'expliquer le constat objectif de la réalité d'ovnis dans nos cieux.Je considère, pour ma part, que l'hypothèse méfiance-surveillance n'est pas dénuée de sens.Si Davoust effaçait le terme malheureux "science-fiction" de son approche, alors je pense que nous aurions là un scénario collant de près à l'attitude montrée par les engins dans de nombreux cas. Songeons aux affaires aéronautiques de Téhéran, de Minot, de Malmström ou encore l'expérience du commandant Girau à bord de son mirage nucléaire, ou les ovnis ont montré qu'ils saisissaient parfaitement notre mode de réaction. Je pousse ici mon raisonnement jusqu'aux limites de ma compréhension de citoyen : les faits montrent que, dans tous les cas, l'hostilité est d'abord venue de notre part et que "leur" réponse s'est toujours manifestée dans l'esquive, puis la fuite.

La présence d'ovnis auprès de nos installations nucléaires n'est sans doute pas le fruit du hazard...Ne devons-nous pas, en conséquence, nous poser des questions sur notre propre attitude ?Finalement, ne sommes-nous pas une espèce agressive risquant de devenir un danger pour des civilisations extraterrestres ?Si, grâce à son genie, l'homme est lui aussi devenu un extraterrestre en posant le pied sur la lune (à quand Mars ?), il est resté, au fond de lui-même, un être relativement primitif, capable des actions les plus atroces et machiavéliques (notre histoire ne le démentira pas).Capable du meilleur comme du pire, l'homme, depuis des millénaires, n'a fondamentalement pas changé (Une argumentation en ce sens a été menée par Robert Laffont, le créateur des éditions du même nom, qui mène, à l'âge de la retraite, une réflexion humaniste très riche : dans son dernier livre "les nouveaux dinosaures", paru en le 15 septembre 2003, il émet l'idée que l'homme reste largement conduit par son cerveau reptilien qui connaît les seuls réflexes de peur, d'attaque et de défense, à la manière des dinosaures)
...J'entends trop souvent ingénieurs et savants parler de conquête spatiale...Les termes "découverte" ou "exploration" ne seraient-ils pas plus approriés ? Bien sûr que si. Ne devons-nous pas nous interroger en profondeur sur nous-même ? L'homme, dans sa constante recherche de domination, en oublie complètement qu'il devient un être destructeur pour lui-même et les autres. Nous sommes des prédateurs, un perpétuel danger pour notre environnement immédiat.

Jusqu'en 1945, ce danger se limitait à une destruction partielle, localisée, due à la relative faiblesse de l'armement. L'ère de la bombe atomique allait bouleverser toutes les données du problème. Comment ne pas craindre que l'espace puisse devenir, un jour , le théâtre opérationnel de cette arme maléfique...? L'ex-URSS ne reconnaisait-elle pas, récemment, qu'elle y avait procédé à des tirs expérimentaux ? Jusqu'ou ira cette sombre folie destructrice ? Serons-nous arrêtés avant qu'il ne soit trop tard ?
Tiré du livre "Troubles dans le ciel" de Jean-Jacques Velasco ( Ancien responsable, au sein du CNES, du Gepan, devenu Service d'expertise des phénoménes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004. On lui doit notamment; Ovnis, la science avance ( Robert Laffont, 1993) et de Nicolas Montigiani Journaliste d'investigation est l'auteur d'ouvrages en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué, dont Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot, 2003) et Project Colorado ; L'existence des Ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)
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