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Catégorie : Vie Extraterrestre

BLOG DU FANTASTIQUE
VIP-Blog de lestat1975

  • 37 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
    Origine : Quelque part entre ici et ailleurs.....
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    Qui n'à jamais imaginé tomber nez à nez avec un Vaisseau extraterrestre ? Croire ou pas croire tel est la question......Moi j'y crois car David Vincent les à vus......

    22/04/2007 17:59

    Qui n'à jamais imaginé tomber nez à nez avec un Vaisseau extraterrestre ? Croire ou pas croire tel est la question......Moi j'y crois car David Vincent les à vus......


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    Les archives officielles du CNES sont désormais consultables en ligne.

    22/04/2007 18:01

    Les archives officielles du CNES sont désormais consultables en ligne.


    Les archives officielles du Centre national d'études spatiales sur les objets volants non-identifiés sont désormais consultables en ligne. Par AFP LIBERATION.FR : jeudi 22 mars 2007
    La France est devenue jeudi le premier pays au monde à mettre en ligne ses archives officielles sur les objets volants non identifiés, dans un exercice inédit de transparence qui vise à dissiper les accusations de dissimulation lancées par certains passionnés.
    La curiosité des internautes était telle que le site a été engorgé pendant toute la journée de jeudi.
    «C’est une première mondiale», a souligné Jacques Patenet, responsable du Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN) du Centre national d’études spatiales (CNES).
    «Oui, c’est vrai, aux Etats-Unis, on peut demander ces informations au cas par cas. Mais nous, nous avons fait le contraire en mettant à la disposition du public l’ensemble de l’information», a-t-il ajouté.
    Ces archives contiennent pour l’heure environ 400 dossiers, soit un quart des quelque 1.600 cas observés en France depuis les années 50 (s’y ajoutent quelques cas plus anciens).
    «Nous employons une personne à temps complet pour avoir en ligne la totalité de nos archives d’ici la fin de l’année,» a-t-il assuré. Le GEIPAN compte aussi intégrer progressivement photos et vidéos.
    «Le principe qui nous anime, c’est qu’il n’y a rien qu’on ne mettra pas en ligne, avec une seule réserve: la protection de la vie privée». «Il n’y a pas dans les archives du CNES de documents classés Défense et je n’ai reçu aucune instruction particulière dans ce domaine-là», a affirmé Jacques Patenet.
    Pour l’essentiel, les documents mis en ligne sont des procès-verbaux de gendarmerie, expurgés des données personnelles sur les témoins.
    «Les UFOlogues (passionnés de soucoupes volantes) ne trouveront pas dans cette base de données de scoops ou de cas inconnus», a-t-il prévenu.
    Le principal problème rencontré par les scientifiques est le flou de la plupart des témoignages. Un témoin pourra ainsi assurer avoir vu un objet volant «en forme de rouleau de papier hygiénique», mais il sera beaucoup moins précis lorsqu’il lui faudra estimer son angle azimutal…
    Alors que le précédent responsable de ces phénomènes au sein du CNES s’était laissé engluer dans les querelles entourant les ovnis, Jacques Patenet a assuré que l’organisme s’en tiendrait désormais à une approche purement scientifique.
    «Nous n’avons pas le moindre début de preuve que des extraterrestres seraient derrière les manifestations inexpliquées. Du contraire, non plus».
    Le site, facile d’utilisation, permet de faire des recherches par région (ou département), par date ou mots clefs.
    Il est aussi possible de sélectionner par catégorie de cas: «A» (élucidé et démontré), «B» (explication probable sans preuve formelle), «C» (insuffisance d’informations) et «D» (inexpliqué en dépit de témoignages solides et d’indices concrets, environ un quart des dossiers).
    La numérisation a permis de regrouper dans un même dossier des témoignages jusqu’ici archivés séparément. Les 800 dépositions collectées le 5 novembre 1990 lors de la rentrée - prouvée - dans l’atmosphère d’un fragment de fusée ont ainsi été rassemblés. Avec pour conséquence de faire remonter le pourcentage de dossiers non élucidés, jusqu’alors estimé à 14%.
    Chaque année, entre 50 et 100 cas sont signalés au CNES, dont environ 10% font l’objet d’une enquête complémentaire. «Mais seuls quelques dizaines sur les trente dernières années méritent le nom d’ovnis», selon Jacques Patenet.








    Les OVNI de Greifswald

    22/04/2007 18:03

    Les OVNI de Greifswald


     
    Le 24 août 1990, ca. 8.35-9.03 P.M.
    Greifswald en Allemagne,
    Juste six semaines avant la réunification de l'Allemagne, des milliers de témoins oculaires ont observé une formation de sept objets lumineux, planant pendant presque 30 minutes au-dessus de la mer baltique près de Peenemünde, à l'ancien chantier de construction de fusée nazi V-2, ces OVNI s'approchent de la centrale nucléaire Greifswald.
    Parmi les témoins oculaires se trouvaient des physiciens en nucléaire russe travaillant pour cette installation.
    Les chercheurs allemands d'OVNI ont pu rassembler cinq videos d'amateur de cet événement, ce qui leur ont permis de reconstruire la position de la formation par triangulation.
    Les sceptiques ont rapidement refuser ce cas en disant que pour eux c'étaient de simples fusées de signal mises dans le ciel par la marine russe ou polonaise, mais ils ignorent le fait que la formation, sans aucun doute, planait au-dessus des mers allemandes, à l'ouest de la frontière polonaise.
    Et n'importe quelle manoeuvre militaire avant la réunification allemande aurait été considérée comme une agression et auraient causées des protestations diplomatiques importantes.
    Mais en fait tous les deux, la navie russe et polonaise, ont tous les deux nié cette manoeuvre aérienne alors en question.







    L'OVNI de Roumanie

    22/04/2007 18:06

    L'OVNI de Roumanie


     
    En haut à Gauche: L'OVNI photographié par les météorologues à la station météo de Tarcu le 30 mars 1968 à 18h00
    En haut à Droite: L'OVNI photographié à Oravita le 29 mars 1968
    En bas à Gauche: L'OVNI de Bucarest en 1969 l'OVNI de Madrid en 1968 ont tout pour ressembler à l''OVNI de Roumanie décrit et vu entre le 29 et 31 mars 1968 ?!!!
    En bas à Droite: Les lieux survolés par L'OVNI
     
    Un étrange objet au-dessus des Carpathes
     
    Les 29,30 et 31 mars 1968 des milliers de personnes purent suivre dans le ciel un OVNI au dessus de la province du Banat, dans les Carpathes, à la frontière commune de la Roumanie avec la Hongrie, la Yougoslavie, et la Bulgarie.
     
    D'Oravita
     
    Un groupe d'amis, Ion Sipetean, Vasile Opris et Teofil Iorga, employés dans une mine écrivent:
     
    "Le 29 mars 1968, à 6h10, nous avons vu dans le ciel au nord-est d'Oravita, un objet brillant à quelques 7000m d'altitude et un angle de 35 à 40 dégrés au-dessus de l'horizon. Plus de 120 personnes ont pu suivre cet objet à l'oeil nu. Fortement lumineux, avec une coloration blanc jaunâtre, nous pûmes le suivre à l'oeil nu jusqu'à 8h00. A 8h15, nous avons pu avoir un théodolite et, grâce à lui, nous avons vu que l'objet en question était de forme tronconique, avec les deux côtés éclairés, celui à l'est plus fortement que celui à l'ouest. Vasile Opris prit des photographies dont nous vous envoyons les négatifs. Vers 9h00 il commença à s'éloigner après être resté de 6h00 à 9h00 complètement immobile. Les observations continuèrent jusqu'à 15h00, et, à 16h30, de nouvelles photos furent prises avec un appareil Smena d'Oravita même, cette fois, alors que l'angle avec le zénith était de 80 à 85 degré.
     
    Nous vous en joignons également les négatifs et vous constatererez que l'objet comporte un double anneau avec deux centres lumineux différents. Nous eûmes l'impression que c'étaient là les deux bases circulaires du cone tronqué. L'objet fut suivi par Ion Siptean jusqu'à l'apparition des premières étoiles. il est intéressant de noter que plusieurs de nos collègues avaient déjà remarqué l'objet dans la nuit à partir de 2h30. Pour ce qui est des photos, nous devons souligner qu'elles ont été faites par des amateurs."
     
    Ingénieur Ioan T. Ilie, géologue
    Technicien Ion Siptean, géologue
    Georghe Zaha, technicien topographe
    Adrian Malinescu, technicien géophysicien
    (de nombreux autres noms pourraient être ajoutés)
     
     
    De Ciudanovita
     
    Voici la lettre d'un autre observateur de ce même phénomène.
     
    "Nous vous donnons ci-joints plusieurs faits relatifs au phénomène que nous avons observé les 29 et 30 mars, à l'horizon de la paroisse de Ciudanovita, Judetul Caras-Severin.
    Un objet lumineux a été vu le 29 mars vers 22h00, à 30 dégrs au desssus de l'horizon. Il était au sud du village et il demeura immobile jusqu'au lendemain 16h00. Le soir du 29, il ne fut suivi que par quelques personnes mais le lendemain, tous les ouvriers qui travaillent à la Compagnie purent le voir en se rendant à leur travail, entre 6h30 et 7h00, avant le lever du soleil. Nous avons demandé au service topographique de nous prêter un théodolite grâca auquel nous avons pu noter trois positions et formes différentes de l'objet. En même temps, une observation à la jumelle était faite, qui a donné les même détails. A l'oeil nu, on pouvait voir un cône tronqué dont l'apex pointait vers le bas, de diamètre apparent environ la moitié de celui de la lune qui se trouvait alors à l'horizon. Sa luminosité était à peu près celle de Vénus et, même à l'oeil nu, un de ses côtés était nettement plus brillant que l'autre. C'était le côté noté B, dont l'angle variat visiblement, de même que la forme générale. Ces mouvements étaient nettement perceptibles sans instrument d'optique, du fait de la variation de la direction de l'axe de symétrie de l'objet et du déplacement intrinsèque de l'objet lui-même. La fréquence du premier mouvement (celui de l'axe) était d'un par seconde et le mouvement d'ensemble vers le sud, en zigzag, dura environ cinq heurs. Comme déjà mentionné, la forme géométrique globale s'est également modifiée, à divers moments et à divers endroits; celle qui est restée le plus longtemps est la n°1. Plusieurs photos ont été prises, mais la lumière trop forte du soleil et l'éloignement ont fait qu'elles sont très mauvaises."
     
    Ingénieur Gh Tanase
    Ingénieur Ion Didicescu
    Technicien topographe Sala Lazar
    Chef P.C.I Bodea Constantin
    Interprète-Planificateur Constantin
     
     
    De Tarcu
     
    La station météo des monts Semenic avait également pu observer cet objet. Un des métérologues nous le confirma au téléphone: l'objet avait été suivi à partir de 10h00 ce 29 mars. Mais ce sont les membres de la station météo du mont Tarcu qui ont suivi le phénomène de beaucoup plus près. Notre lettre à Tarcu reçut la réponse suivante:
     
    "Je joins à cette lettre le film (que je n'ai pas encore développé) accompagné de deux dessins ainsi que des explications indispensables, préparées par mon collègue Vitye Ingeborg et moi-même.
    L'objet a été observé le 29 mars à 16h00, ainsi que mon collègue Balasa Stefan, de la station de Semenic, vous l'a déjà dit. Le lendemain, à 8h00, Semenic pouvait encore le voir, de même que les stations météo de Cuntu, de Caransebes et nous. Les contours de l'OVNI étaient aisément discernables et, au premier coup d'oei, il évoquait un ballon sonde classique. De forme conique, avec des angles arrondis, sans toutefois évoquer la forme générale d'un oeuf. De couleur blanc sale, la face exposée aux rayons du soleil brillait fortement. La vive réverbération ainsi que les mouvements erratiques de déplacements verticaux avec un dévers d'ensemble contraire à la direction du vent, chose plutôt incompréhensible pour un ballon-sonde !
    Nous décidâmes pour cela d'examiner cette chose de plus près. Je l'ai donc suivi pendant deux heurs et demie, jusqu'à ce que son éloignement croissant et la position du soleil fassent qu'il disparaisse de la vue. Les mouvements de l'objet était lents, prenant un peu de vitesse par moment et, à d'autres moments s'immobilisant complètement.
     
    De Tigru Jin
     
    Cet objet, longuement observé par divers profesionnels hautement qualifiés, était-il un ballon-sonde d'une variété inconnue des météorologues ? On peut  le penser du fait qu'il soit demeuré si longtemps sur une même région.
    Néanmoins, trois faits infirment cette hypothèse:
     
    a) Le mouvement contre le vent noté par les météorologues de Tarcu, ainsi que la très grande hauteur.
     
    b) La présence d'une source lumineuse autonome, confirmée par les mêmes, ainsi que par d'autres témoins indépendants.
     
    c) Il est un troisième point qui va à l'encontre de cette hypothèse, c'est l'observation relatée par un groupe d'étudiants et de professeurs. Elle lui confrère les marques d'un authentique OVNI, dans la mesure, évidemment, où il y a un lien entre cette dernière observation et l'apparition du curieux objet du Banat pendant trois jours consécutifs.
    Ce groupe dit en effet avoir vu le 29 mars, entre 18h30 et 19h00, un objet d'un blanc bleuté qui se déplaçait, venant de l'Est c'est à dire d'Oravita, Tarcu et autres endroits (avec lesquels l'auteur a établi le contact, pour confirmation). Il allait à grande vitesse, dans un mouvement général zigzaguant, la couleur changeant constamment de l'orange au rouge au cours de ces manoeuvres (lors des accélérations en particulier) qui étaient difficiles à suivre exactement. Au début, l'objet apparu avec la dimension apparente d'une noix mais en devenant plus gros et plus clair, il prit une forme triangulaire. A près être resté un moment immobile, l'engin repartit à très grande vitesse, zigzaguant à nouveau, disparaissant dans la direction d'où il était arrivé.







    Ovni au dessus de Mexico 6 aout 1997

    26/04/2007 10:46

    Ovni au dessus de Mexico 6 aout 1997


    Vers la mi-septembre 97, des images montrant un OVNI, ayant été filmé par un amateur, au Mexique, ont commencé à circuler sur le Net. C'est Kathi, une correspondante américaine de l'UFOCOM qui nous en a averti. Bientôt, ce fut au tour de l'UFO-Roundup d'en donner le récit. Puis, nous eûmes droit à une vidéo montrant quelques 25 secondes de ce film amateur qui fait toujours grand bruit.

    LA TV MEXICAINE DIFFUSE UNE VIDEO DE SOUCOUPE EN VOL STATIONNAIRE
    Dimanche 28 septembre, et le dimanche suivant, le 5 octobre 1997, de 19h00 a 20h00, le presentateur vedette de la TV mexicaine Jaime Maussan a diffuse une bande video d'un OVNI en vol stationnaire dans son emission "Tercera Milenio" (Troisieme Millenaire.)

    La bande video a ete prise le 6 aout dans un quartier residentiel de Mexico City. Vingt-cinq secondes de video montre l'OVNI clairement detaille dans un ciel nuageux et plein de fumee. L'OVNI est gris et metallique et n'a pas de lumieres clignotantes. Cependant, il a un etrange mouvement tournant.

    La scene montre l'objet immobile dans le ciel. Puis il se deplace de la gauche vers la droite sur l'ecran TV, plane durant de nombreuses secondes, puis file au loin a tres grande vitesse.

    La séquence vidéo, digitalisée, est disponible en format quicktime (.mov), sur le Web, à l'adresse suivante: http://www.sfc.keio.ac.jp/~penrose/eth/mexicocity.html








    L'OVNI de Trans-en -provence

    28/04/2007 14:43

    L'OVNI de Trans-en -provence


    En haut : Croquis des lieux ou l'objet s'est posé

    En bas à gauche : Croquis du témoin de Trans en Provence. L’engin est de couleur grise comme du zinc, n’émet ni flamme ni fumée et a une dimension d’environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L’ensemble de l’observation a duré de 30 à 40 s.

    En bas à droite : Traces laisser par l'engin


    TRANS EN PROVENCE 1981
    Le 8 janvier, un homme travaille sur une terrasse de sa propriété lorsque son attention est attirée par un sifflement qui provient d'un engin en train de descendre vers le sol. L'engin se pose en contrebas de la terrasse entre 30 et 70 m de lui avec un bruit sourd et repart très rapidement après quelques secondes selon une trajectoire verticale qui s'incline légèrement avant de disparaitre à grande vitese aux yeux du témoin. Sous l'engin, le témoin aperçoit des formes circulaires prohéminentes comme des pieds. L'engin de couleur grise comme du zinc, n'émettait ni flamme ni fumée et avait une dimension d'environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, il était circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L'ensemble de l'observation a duré de 30 à 40 secondes.
    Lorsque le témoin s'approche du lieu d'atterrissage il constate une trace d'environ 2 mètres de diamètre sur le sol.
    La gendarmerie intervient le 9 janvier, auditionne le témoin, constate la trace sur le sol, les photographie, et procède a des prélèvements d'échantillons de terre et de luzerne sauvage prélevés de façon progressive sur la trace et autour de celle-ci.
    Les analyses de sol ont été confiées par le GEPAN à quatre laboratoires différents qui ont effectué des analyses selon des techniques différentes et apporté chacun un point de vue complémentaire. La synthèse de ces analyses permet de
    confirmer un tassement significatif du sol montrant la présence d'un corps pesant ayant laissé un léger dépôt de fer, d'oxyde fer, de phosphates et de zinc. Un échauffement significatif inférieur à 600° a également été détecté.
    Les analyses biochimiques des échantillons de luzerne ont montré des dégradations multiples des plantes corrèlées avec leur distance à la trace. Les causes de ces dégradations n'ont pas été déterminées mais l'hypothèse d'un champ
    électrique intense peut être envisagée.
    Nul doute qu'un phénomène de grande ampleur s'est produit ce jour là, et que la matérialité de l'observation est hautement probable.








    Rencontre du troisiéme type à Cussac

    28/04/2007 15:40

    Rencontre du troisiéme type à Cussac


    CUSSAC 1967

    Le cas de Cussac intervenu 11 ans avant la création du GEPAN, a été sélectionné comme représentatif d'une rencontre rapprochée du 3ème type (RR3). Ce n'est donc qu'en 1978 que le GEPAN décide de réaliser une enquête sur ce cas qui reste l'un des plus étonnants observés en France. Le 29 août 1967, un garçon de 13 ans et sa soeur de 9 ans gardent le troupeau de vaches familial à proximité du village. Le garçon aperçoit soudain à 80 mètres de lui environ dans un pré voisin quatre petits êtres noirs d'environ 1m20 qu'il prend d'abord pour des enfants. Ces êtres sont à proximité d'une sphère posée sur l'herbe. Le garçon appelle sa soeur "Oh il y a des enfants noirs !". Les deux enfants regardent les êtres insolites qui s'agitent et s'élevent dans les airs pour rentrer dans la sphère par le haut et la tête la première. Simultanément, la shère commence à s'élever dans les airs et le dernier être, qui était revenu prendre quelque chose au sol, rejoint la sphère alors que celle-ci a déjà largement dépassé la cime des arbres. La sphère monte d'abord silencieusement en spirale sur 4 à 6 tours de diamètre croissant avant de disparaître rapidement avec un sifflement. Pendant l'ascension, la sphère devient de plus en plus brillante jusqu'à devenir aveuglante et une forte odeur de soufre subsite après le départ. Les enfants, très effrayés rentrent en pleurs à la ferme avec les animaux. Le père contacte immédiatement la gendarmerie. Sur les lieux, les gendarmes constatent l'odeur de soufre et le dessèchement de l'herbe à l'endroit présumé de l'atterrrissage de la sphère. Le garde champètre, qui n'a pas été témoin de l'observation, a également entendu le sifflement et a constaté la forte odeur de soufre qui a persisté jusqu'au soir. L'enquête menée par le GEPAN onze ans plus tard a montré que les descriptions faites sont en parfaite cohérence avec celles faites en 1967, les mesures au théodolite permettront d'évaluer à 5 m environ le diamètre de la sphère. La durée du sifflement évaluée séparément par les 3 témoins qui l'ont entendu est cohérente et ceux-ci ont reconnu, parmi un échantillonnage de plusieurs odeurs, celle qui avait accompagné le départ de la sphère.. Aucune explication rationnelle n'a été donnée à ce jour de cette rencontre exceptionnelle entre des enfants et des êtres insolites dont il est impossible de nier le comportement intelligent et semblant disposer d'une technologie qui nous est inconnue.








    L'observation du vol AF 3532

    28/04/2007 16:55

    L'observation du vol AF 3532


    En photo :

    En haut L'Airbus A320-111 F-GFKG

    En bas le commandant Jean-Charles Duboc

    Le vendredi 28 janvier 1994 les 24 passagers de l'Airbus A320-111 piloté par le commandant Jean-Charles Duboc s'envolent de Nice à destination de Londres.Observation Il est 13 h 13. Duboc raconte :

    Nous sommes en vol de croisière vers Coulommiers 1, à 11 700 m d'altitude, par d'excellentes conditions métérologiques, avec une visibilité de 200 à 300 km 2 et une couverture nuageuse d'alto cumulus recouvrant la région parisienne. Un stewart se trouve dans le poste de pilotage à cet instant. C'est lui qui voit le 1er un objet dans le ciel. Il s'exclame : Un ballon météo ! Ma copilote Valérie CXXXXXX l'identifie elle-aussi, dans un 1er temps, comme un ballon météo. Je suis le 3ème et le dernier à le voir. Par contre, je l'identifie comme étant un avion en virage à 45 ° d'inclinaison, en fait avant qu'il n'ait les ailes à l'horizontale... L'excellente visibilité me permet ensuite d'estimer que cet objet plutôt étrange est à une distance de 46 km 3, à une altitude d'environ 10 500 m 4 dans nos 10 h, c'est-à-dire au nord-ouest, pratiquement à la verticale de Paris. Comme nous poursuivons notre route et que nous maintenons notre cap, nous l'avons alors dépassé et je peux remarquer sa couleur rouge brunâtre, avec des bords légèrements flous, et surtout une taille immense que j'estime à près de 1000 m de diamètre 5 pour une épaisseur de 100 m ! En effet, à une telle distance, un avion de ligne n'est qu'un point minuscule ! Cet objet semble être un gigantesque disque, sans détails apparents, ni aile, ni gouvernes ou moteurs, que nous pouvons voir sous plusieurs angles pendant près de 1 mn.


    La copilote, elle, voit la lentille se flouter puis évoluer vers une forme de "chevron". Alors que Duboc considère que l'objet était quasi-immobile et que son avion l'a dépassé (sans mentionner de changement de taille, toutefois), elle considère qu'il se déplaçait à la vitesse de l'avion, restant toujours à peu près à la même position à gauche de l'avion.

    L'objet passe non loin de l'avion, en-dessous de lui.

    Lorsque nous le laissons sur l'arrière gauche de notre appareil, je le vois soudain devenir transparent et disparaître sans bouger. Nous contactons immédiatement le centre régional de contrôle de Reims pour savoir s'il dispose d'informations radar sur ce que nous avons vu.

    Le contrôle aérien, qui a été en relation radio avec l'avion, leur demande de faire un rapport circonstancié sur cette affaire, mais ils ne le feront pas :

    Comme il me semblait difficile de témoigner sur un tel phénomène mystérieux et inexpliqué, j'ai refusé, dans un premier temps, d'écrire un rapport sur cette étrange rencontre.

    L'avion arrive à Londres 1 h plus tard.

    Le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord instruit le cas du vol AF 3532 (il n'en aura traité que 3 depuis 1992, bien que traitant 3000 mouvements par jour). Le CODA fait transmettre au pilote l'obligation de déposer un compte-rendu à la gendarmerie, mais Duboc ne le fait pas.

    Enquêtes SEPRA

    Acte 1

     Jean-Jacques Vélasco, qui n'a pas entendu parler de l'affaire, se rend un jour au CCOA au sujet d'une autre affaire. Le capitaine chargé de cette dernière lui communique le dossier en question et lui demande : Est-ce que vous êtes au courant de l'affaire du 28 janvier 1994 ? Vélasco n'a pas été informé de cette affaire. Il la classe d'abord comme PAN C : pas assez d'informations.

    Paris-Match (1997)

    Jean-Pierre Biot, journaliste et ancien pilote de l'armée de l'air, demande et obtient plus d'informations. Le 13 février, il parle de l'affaire dans Paris-Match. A l'occasion, Duboc apprend que le CCOA a enregistré au même moment une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile correspondant au lieu et à l'heure au phénomène observé. Selon l'article, la piste radar croiserait bien la trajectoire du vol AF 3532 et ne correspondrait à aucun plan de vol déposé :

    C'est un article paru 3 ans après cet incident, le 13 février 1997, dans la revue Paris-Match, qui m'obligera à sortir de mon mutisme et à rédiger un rapport, 8 jours plus tard, à l'intention de ma hiérarchie et des autorités du SEPRA au CNES de Toulouse, pour corriger quelques erreurs et apporter des précisions sur cette rencontre. Cet article m'a aussi appris que cet immense objet dans le ciel parisien a laissé une signature radar enregistrée par les installations militaires de Taverny.

    Duboc s'estime relevé de son devoir de réserve et écrit à Vélasco, le 27 février.

    Enquêtes SEPRA

    Acte 2


    Pistes GA et AJ 653 d'après les enregistrements radar du CCA de Cinq-Mars-la-Pile (Reims) [3]   
    En 1999 débute l'enquête officielle du SEPRA. Hormis le stewart, 3ème témoin, qui n'est pas retrouvé (la composition des équipages d'Air France n'est conservée que 3 ans), Duboc et la copilote, Valérie XXXXXXXX, sont rencontrés et interrogés par téléphone à plusieurs reprises, jusqu'au 14 juin 2000. Au cours de cette période et au fil des calculs, les données relatives à la taille, distance vont évoluer.

    D'abord la position, déclarée par Duboc à 10 h (30 ° devant) au début et 8 h (30 ° en arrière) à la fin de l'observation, implique que les 2 positions de l'avion au début et à la fin de l'observation forment avec l'objet un triangle aux angles de 60 °. L'avion de Duboc ayant parcouru 11 miles nautiques pendant l'observation (2 mn maximum, à à 330 noeuds), le triangle équilatéral ainsi formé devrait impliquer aussi une distance de 11 miles nautiques avec l'objet, et non 25. Ceci amène à corriger le témoignage en envisageant que 1) l'angle de vision de début et de fin de l'observation était plus faible ou 2) l'objet n'était pas immobile mais en mouvement, à une vitesse de 420 noeuds (ce qui ne colle pas avec la trace radar non identifiée à 180 km/h). Quoi qu'il en soit, ces éléments donnent un poids supplémentaire au témoignage de la copilote, qui a vu l'objet constamment vers 9 h, et donc en mouvement dans la direction opposée.

    L'extrapolation de taille faite à partir de la dimension apparente donnée par Duboc est également revue à la baisse. Indépendamment de la 1ère estimation de 1000 m donnée par Duboc, l'analyse de la dimension apparente donnée (la moitié du diamètre de la Lune, soit 15 mn d'arc) indique un rapport de 0,004 entre taille et distance, soit 200 m si l'objet était bien à 25 miles nautiques, près de 90 m s'il était à 11 miles nautiques, 40 cm s'il était à 100 m, etc.

    Dans le même temps Velasco se rend au CCOA de Taverny pour superposer le témoignage avec des données radar. Les pistes de l'avion et de l'écho non identifié sont examinées. Ce dernier a été détecté par le radar d'azimut, mais pas celui d'altitude. Alors que l'avion évoluait à 330 noeuds (200 km/h, puis à 150 km/h puis à 0 km/h), et d'une taille estimée entre 200 et 300 m (inférieure donc aux estimations de l'équipage). Seule l'altitude ne peut être confirmée (non détectée) par le radar, qui a également détecté la "disparition" de l'objet (non détecté au "tour" de 10 s suivant) au bout de 50 s. D'après Vélasco, les investigations menées au CCOA permettent d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique.








    Le cas dit des amarantes

    28/04/2007 17:41

    Le cas dit des amarantes


    En photo :

    En haut : Trajectoire de l'objet (Arrivée & Départ)

    En bas : Croquis de l'appareil et reconstitution

    Le cas dit des amarantes (1) est un événement exceptionnel survenu en France. Il est remarquable pour deux raisons. D’abord à cause de la condition sociale du témoin, ou plus précisément de sa fonction : il est en effet chercheur en biologie cellulaire. Ensuite pour la durée et la précision de l’observation.


    Le 21 novembre 1981 à midi, au centre de la petite ville de Laxou (2) (proche de Nancy), Marc V., trente ans, entretient avec soin -selon son habitude- son minuscule jardin d’agrément. Le ciel bleu est libre de tout nuage. A midi 35, il aperçoit, brillant dans le soleil, un objet volant qui descend tout à coup en direction de son pavillon.
    L’objet stoppe sa course au milieu du jardin, à un mètre du sol et à faible distance du témoin (celui-ci, sous l’effet de la surprise, a fait quelques pas en arrière). Cette sustentation va se maintenir de longues minutes.
    Dès qu’il est remis de sa surprise, Marc V. s’approche de l’engin inconnu qu’il examine avec attention. L’une des spécificités de son métier étant l’observation, il va en donner une description exceptionnellement précise.
    L’objet est circulaire et d’apparence métallique. Son diamètre est d’environ 1 mètre cinquante, son épaisseur de 80 centimètres. Dans ce jardin grand de dix mètres carrés, il parait presque énorme. Faute de pouvoir lui trouver une ressemblance quelconque avec un objet familier, il sera comparé à deux couvercles de lessiveuse plaqués l’un contre l’autre.
    Sa partie inférieure comporte un méplat et offre un aspect métallisé rappelant le béryllium aux yeux du témoin. La partie supérieure, également bombée, est de couleur «bleu-vert lagon». La jonction des deux parties est d’un usinage si parfait qu’elles semblent ne former qu’une seule pièce. L’objet parait pesant (dans le rapport de gendarmerie on trouve la phrase «la masse volumétrique me paraissait très lourde»). Un enquêteur du GEPA a tenu à préciser : «On peut signaler que plus le phénomène se rapproche, plus la description et l’évaluation de sa forme est précise, mais également aussi que le discours évolue du familier vers l’inconnu».
    Après quelques minutes d’hésitation, Marc V. quitte le jardin pour se saisir d’un appareil photo qu’il sait pourvu d’un film couleur. A son retour, l’objet n’a pas bougé. Mais il essaiera sans succès de prendre une photo, son appareil n’étant pas très fiable.
    La sustentation immobile de cette apparition insolite dure 20 minutes. Le témoin a le temps de l’observer sous plusieurs angles et de s’en approcher doucement jusqu’à une cinquantaine de centimètres. Il se penche alors pour regarder le dessous et découvre le méplat qui évoque un peu une base d’appui. L’objet, parfaitement silencieux, ne dégage ni chaleur ni froid.
    Monsieur Marc V. ajoutera une autre information qui a paru curieuse à certains. Il a déclaré en effet que l’objet ne dégageait ni magnétisme, ni électromagnétisme : précision un peu surprenante compte tenu des conditions de l’observation. Mais cette précision n’était en fait qu’une réponse à la question posée par un gendarme : «Vous êtes-vous senti attiré par une sorte de magnétisme (3)?

    Après vingt longues minutes d’immobilité (4), l’objet s’envole brusquement à la verticale, sans aucun bruit ni sifflement dus à la friction de l’air. Les roses trémières les plus proches, que leur longues tiges rend particulièrement sensibles aux mouvements de l’air, n’ont pas bougé. La vitesse ascensionnelle de l’objet -qui semble «aspiré»- est considérable : «Cet appareil est reparti à une vitesse qui ne correspondait pas à une vitesse... ça ne se mesure pas, c’est l’oeil qui voit ça...»
    Au moment du départ, l’herbe qui se trouvait sous l’objet s’est dressée pour retrouver aussitôt après son état normal.
    A son retour de la gendarmerie, le soir-même, Monsieur V. constatera que les plants d’amarante qui s’étaient trouvés au voisinage de l’objet avaient subi une déshydratation importante. Les analyses qui en ont été faites n’ont pas permis d’expliquer la cause des dommages constatés, mais les conditions de prélèvement et de conservation ne furent de toute façon pas propices à une étude fiable.

    Revenons à la description de l’objet :

    Le Béryllium est un métal gris, léger et rare. Sa production est si délicate qu’elle n’est assurées que par trois pays au monde. Cet élément en marge des classification et qui par certaines caractéristiques n’est pas vraiment un métal, est utilisé dans l’astronautique. Ce n’est pas un hasard si le témoin site son nom : il veut donner l’idée d’un matériau rare, beau, et malaisé à décrire.
    La couleur «bleu-vert lagon» -Monsieur V. dira aussi : «bleu des mers pacifiques»- peut-être traduite par bleu turquoise (5), mais ce n’est pas si simple car les gendarmes ont noté que le témoin semblait subjugué par la partie supérieure de l’objet qu’il appelle la coque :
    «Ce n’était pas lumineux, ce n’était pas une vapeur... Est-ce que c’était du plexiglas ?.. Cette moitié supérieure était de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne... Ce n’était pas une boue, pas un gel, ça n’était pas un liquide... La couleur n’était pas homogène... C’était un volume translucide... Ça donnait l’impression que quelque chose allait sortir de là-dedans... quelque chose qui n’était pas vivant, mais...».
    Le témoin insista sur le fait que l’objet ne comportait aucune trace d’usinage visible et que ses teintes ne correspondaient pas à des couleurs habituelles. Il ajouta qu’il n’était pas vraiment inquiétant car il dégageait une impression de «neutralité absolue».

    On aurait tort de considérer -comme cela a été le cas- que cette description est maladroite et contradictoire. Elle est surtout difficile : Marc V. cherche à dépeindre une chose indéfinissable car trop inhabituelle. Cette description est à mes yeux plus précise et plus réussie qu’elle ne paraît, et nous devons nous garder d’essayer de la traduire par d’autres mots. Il est possible de se rapprocher de la réalité dont elle tente de rendre compte en la relisant plusieurs fois à la suite : la fusion des mots qui la composent -sans oublier l’expression neutralité absolue- peut alors aboutir à un concept.
    Bien qu’il ne se soit jamais intéressé au phénomène ovni (il n’y avait à l’époque aucun livre sur le sujet chez lui) le témoin n’a pas pu s’empêcher de s’adresser à l’objet pour lui dire «bonjour» en plusieurs langues.
    Comparé aux récits imaginaires issus de mon étude X, ce témoignage dégage une très nette impression d’authenticité. Je ne connais -et de loin- pas de description plus précise d’un objet volant non-identifié.
    Je suis par ailleurs convaincu que cet objet insolite n’avait d’autre fonction que de se montrer.

    (1) L’amarante, dont les fleurs forment des grappes d’un rouge subtil, était consommée régulièrement dans plusieurs pays de l’Amérique précolombienne (il l’est à vrai dire encore aujourd’hui). Elle est aussi connue sous les noms de queue-de-renard ou passe-velours (love-lies-bleeding).

    (2) C’est, je crois, la première fois que le nom de la ville est cité. Tenant compte de cette précision et du fait que le témoin ne tient pas à revenir sur cet épisode particulier de sa vie, son prénom et l’initiale de son patronyme sont fictifs (ils sont également fictifs dans les documents présentés sur le Site UFOCOM).

    (3) Ce genre de question orientée peut cacher un piège destiné à tester la sincérité du témoin. Ce n’était pas le cas ici.

    (4) Cette précision s’explique par le fait que le témoin à l’habitude de mesurer la durée des expériences qu’il mène professionnellement.

    (5) Entre les bleus 320 et 327 sur l’échelle Pantonne. Ce qui est évidemment très imprécis.








    Le cas de Téhéran en 1976

    28/04/2007 21:18

    Le cas de Téhéran en 1976


    Le cas de Téhéran en 1976:
    LES INTERCEPTEURS DESARMES PAR UN OVNI:

    A Téhéran, Iran, le 19 septembre 1976, eut lieu un cas historique: après minuit, au dessus de la capitale de l'Iran, eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un ovni détecté par les radars au sol et largement signalé par des civils qui le voyaient au-dessus de la ville. A chaque tentative, un contact visuel eut lieu, et les pilotes tentèrent d'armer leur missile et de le lancer, mais à chaque fois les systèmes d'armes furent immédiatement désactivés.
    L'incident a été mis la première fois en évidence par la fuite d'un rapport d'évaluation de l'agence de renseignement de la défense US (DIA) vers le NICAP en 1976. Un rapport de trois pages du Département de la Défense (DOD) sous forme de télétype sur le cas a été obtenu par Charles Huffer en 1977 sous la Loi de Liberté de l'Information (FOIA). Une copie du rapport d'évaluation de la DIA était attachée au message. Les caractéristiques principales du message sont reprises ici, avec les extraits cités.

    A environ 12:30 du matin l'Air Force Command Post recoit les appels de civils au sujet d'un objet rougeoyant dans le ciel. L'observation effective de cet objet rougeoyant lumineux les a menés à envoyer un chasseur à réaction F-4 "Phantom" de Shahrokhi AFB pour l'étudier. Le F-4 décolla à 01:30 du matin et vola vers un point à 40 milles marins au Nord de Téhéran. Alors que le F-4 arrivait sur l'objet, toute son instrumentation et ses moyens de communications (fréquence ultra-haute et intercom) ont été perdues. Le pilote a interrompu l'interception et s'est dirigé de nouveau vers sa base.

    "Quand le F-4 s'est éloigné de l'objet et n'était apparemment plus une menace pour lui, l'avion a regagné toute son instrumentation et sa capacité de communications."
    Un deuxième F-4 a été envoyé à 1:40 du matin et l'officier de l'électronique a acquis au radar l'objet à 27 miles marins, 12 heures de position élevée avec une vitesse d'approche de 150 noeuds. "Alors que la distance entre l'objet et l'avion diminuait à 25 milles marins l'objet s'est écarté à une vitesse qui était évidente sur le radar et est resté constamment éloigné de 25 milles nautiques."

    Le message de DOD a indiqué que la taille mesurée par le radar était comparable à celle d'un avion de transport Boeing 707, bien qu'il ait été difficile discerner sa taille visuelle en raison de son éclat lumineux intense. Les lumières clignotantes comme un stroboscope furent observées par les témoins visuels au sol, elles étaient arrangées dans un pattern alternant les bleus, verts, rouges, et une lumière orange, formant un rectangle. La séquence de clignotement des lumières était tellement rapidement que toutes les couleurs pouvaient être vues en même temps.


    Pendant que la poursuite continuait, un autre objet brillamment lumineux a émergé du premier objet et se dirigea directement vers le F-4 comme un missile, à vitesse élevée. Le pilote a essayé de mettre le feu à un missile AIM-9 dirigé vers l'OVNI, "mais à ce moment son pupitre de commande d'armes s'est instantanément bloqué et il a perdu toutes les communications (fréquence ultra-haute et interphone). A ce moment le pilote fit une manoeuvre tournante et un piqué en G négatif pour fuiir. Pendant qu'il tournait l'objet a prise sa suite à ce qui a semblé être environ 3-4 milles marins. Pendant qu'il continuait de s'éloigner loin de l'objet primaire le deuxième objet est allé à l'intérieur de son virage puis est retourné à l'objet primaire qu'il a rejoint dans une trajectoire parfaite."

    Peu de temps après le rendez-vous et le fusionnement des deux objets, un autre objet a émergé de l'autre côté de l'objet primaire et a filé droit vers le sol. L'équipage F-4 l'a observé approcher la terre en comptant voir une explosion, mais à la place il a semblé ralentir et atterrir doucement, illuminant le terrain. Le pilote est descendu à environ 15.000 pieds et a continué à observer et marquer la position de l'objet atterri, avant de revenir sa base. Sur le vol de retour ils ont éprouvé quelques problèmes de vision de nuit qui ont rendu leur atterrissage difficile.

    Au lever du jour l'équipage du F-4 a été conduit à l'emplacement d'atterrissage (un asséché d'un lac) en hélicoptère, mais rien ne put être trouvé. Pendant qu'ils tournaient autour de l'Ouest des lieux ils ont reçu un appel d'un beepeur. Voyant une petite maison au point où le signal était le plus fort, ils ont débarqué et ont interrogé les habitants des environ pour savoir s' ils avaient noté quelque chose d'inhabituel la nuit d'avant. Les gens ont mentionné un bruit fort et un flash lumineux puissant.

    L'évaluation par la DIA dit qu'il s'agit d'un "rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui répond à tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène OVNI." L'analyse précise que les performances de l'OVNI sont "époustouflantes," notant que l'objet volant à montré une de "capacité de manoeuvre extraordinaire." En 1997, Richard Hall a dépisté l'auteur du rapport de la DIA et l'a interviewé par téléphone. A ce moment-là, l'auteur a exprimé sa bonne volonté pour témoigner en public de ce qu'il sait sur ce cas.

    C'est un cas capital, reconnu par une agence de renseignement des USA, où un OVNI a rencontré un avion militaire, et a réagi d'une façon intelligente et supérieure à la tentative d'interception de l'avion en arrêtant temporairement les systèmes d'armes de l'avion.








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