| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://lestat1975.vip-blog.com


BLOG DU FANTASTIQUE
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 651 articles publiés
  • 324 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
    Origine : Quelque part entre ici et ailleurs.....
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]



    L'Echange (S2-02)

    Réalisé par: Arnold Schwarzenegger
    Avec: Kelly Preston (Linda)


    Résumé:

    Un vieux milliardaire paie un jeune homme contre des parties de son anatomie, afin de séduire une jeune femme…

    Anecdotes:

     Est-il utile de présenter Arnold Schwarzenegger ? Quant à Kelly Preston, femme de John Travolta, elle est apparue dans CHRISTINE (John Carpenter, 1983), JERRY MAGUIRE (Cameron Crowe, 1996), UNE NUIT EN ENFER et TERRE CHAMP DE BATAILLE (Roger Christian, 2000) avec son mari.








    Cartes à Double Tranchants (S2-03)

    Réalisé par: Walter Hill
    Avec: Lance Henriksen (Reno Crevice), Kevin Tighe (Sam Forney)

    Résumé:

    Deux joueurs rivaux de longue date jouent une dernière partie de cartes…

    Anecdotes:

    Lance Henriksen est l'inoubliable Bishop dans ALIENS de James Cameron (1986) mais aussi l'agent Frank Black dans la série TV Millenium. C'est lui qui a co-écrit le script de cet épisode.








    Jusqu'à ce que la Mort… (S2-04)

    Réalisé par: Chris Walas
    Avec: D.W. Moffett (Logan Andrews), Pamela Gien (Margaret Richardson)

    Résumé:

     Logan tente de séduire Margaret pour sa fortune et éponger ainsi ses dettes. Devant la réticence de cette dernière, il consulte une prêtresse vaudoue. Cette dernière lui donne une potion qui doit lui octroyer l'amour éternelle de la jeune femme…

    Anecdotes:

    D.W. Moffett est un habitué des séries télé. Au cinéma, on a pu le voir récemment dans le rôle de l'avocat Ray Porter au côté d'Ashley Judd dans INSTINCTS MEURTRIERS de Philip Kaufman (2002).






    Link

    21/11/2007 07:57

    Link


    Réalisé par Richard Franklin
    Avec Elisabeth Shue, Terence Stamp, Steven Pinner 
    Film américain, britannique. Genre : Fantastique
    Durée : 1h 55min. Année de production : 1985

    Résumé :

    Une étudiante en anthropologie obtient pour l’été un poste d’assistante auprès d’un de ses enseignants, installé dans une maison isolée en bord de mer qu’il occupe avec deux chimpanzés et un vieil orang-outan. Peu après son arrivée, elle apprend que le professeur a décidé de se débarrasser de deux de ses singes, de plus en plus agressifs.

    Critiques spectateurs :

    albinou26 - le 07/02/2007

    Je mets 4 etoiles pour compenser un peu la mauvaise note qui a été donnée car elle est tres severe. J'ai regardé ce film avec mon amie et nous avons vraiment apprécié. J'adore car cela commence comme une comédie et se termine en bain de sang... Les 1h45 du film passe a ma grande surprise tres vite. Le couple d'acteurs est tres convaincant, et les scenes avec les singes sont vraiment bien faites.Ces derniers sont assez impressionants et on comprend rapidement la puissance physique qu'ils peuvent dégager. Bref j'ai vraiment été tres agréablement surpris par cet excellent film que je conseille a tout le monde. 

    Le Marquis

    Petit classique des années 80, LINK retrouve les qualités si spécifiques au fantastique australien (rythme posé, montage tout particulièrement soigné, exploitation et mise en scène des grands espaces en opposition avec des situations ponctuelles de huis-clôs…). N’hésitant pas à prendre son temps pour agencer un suspense peu porté sur les séquences spectaculaires, Richard Franklin laisse à ses personnages le temps de prendre une réelle consistance.
    Dans le registre du film d’agression animale, LINK est plus qu’un film honorable, c’est une très belle réussite, détachée de l’esthétique branchée des films de l’époque (le film n’a pas pris une ride). Sa mise en scène efficace et l’intelligence de son traitement (situation réaliste, scènes d’agression brutales et très crues) valent très largement le détour. C’est, du reste, l’un des meilleurs films du cinéaste, par ailleurs réalisateur de films souvent très intéressants – PATRICK, grand prix à Avoriaz (Franklin a pourtant souvent fait mieux), un PSYCHOSE II sur lequel on a beaucoup craché (sacrilège !) mais qui était pourtant très respectable…


    Stéphane Pons

    Fable horrifique sur les rapports étranges que les hommes peuvent tisser avec les animaux et les chimpanzés en particuliers, « Link », malgré des moyens réduits, propose un huit-clos assez surprenant et intéressant. Prenons une demeure de bord de mer un rien austère et isolée, un anthropologue spécialiste des primates un brin dérangé, une étudiante pleine de dévotion pour son maître et en recherche d’un job d’été, 3 chimpanzés plutôt hors normes, touillez le tout durant une heure quarante et vous obtenez « Link », un bon thriller horrifique, mené tambour battant. Etrangement, si le suspense réside évidemment dans le fait de savoir s’il y aura des survivants ou pas au carnage, on découvre un petit bijou de l’horreur, et parfois du gore, jouant souvent sur les rapports de forces tissés entre le maître, son élève et les chimpanzés (entre eux y compris). La performance de Terence Stamp est une fois de plus à signaler et la mise en scène de Richard Franklin adopte même parfois quelques plans assez inédits pour l’époque. On soupçonne aussi ce « Link » d’avoir discrètement influencé pas mal de productions des années 1990-2000 agissant dans le même créneau. A noter, les performances d’acteurs des chimpanzés qui nécessitèrent sans doute quelques heures de dressages intensif. A ce propos, deux scènes avec le chimpanzé Link resteront dans les mémoires : celle de l’accueil de Jane dans la maison du prof vaut son pesant de cacahouètes ainsi que le dernier salut au-dessus du brasier finalement destiné à tous les révoltés de la planète (clin d’œil à Frankenstein ?) qui procure aussi pas mal d’émotions. Bref, c’est très surprenant et revigorant.

    Walter Paisley

    Excellent film que ce Link, malheureusement assez inconnu du public. Pourtant, aucun défaut majeur n'est à signaler dans cette série B désignée pour les soirées télé... Le ton, s'il ne verse pas non plus dans des gags faciles qui auraient pu être commis en rapport avec la présence d'un singe comme personnage principal, est avant tout basé sur l'humour. Etrange que de voir ce singe tyranniser à ce point les humains. Juste retour des choses, presque. Du reste, l'orang-outang se comporte presque entièrement comme un humain. Jusqu'à aller mater Elizabeth Shue sous la douche ! Et il possède même une certaine classe et un sang-froid naturel contrastant avec l'habituelle hystérie des singes bondissants que l'on nous montre au cinéma.
    Bref une sorte de boogeyman naturel aux fortes connotations comiques. Mais qui pourtant, à force de se comporter en humain, n'est pas sans mettre le spectateur et les protagonistes assez mal à l'aise... Sous ses dehors amicaux d'orang-outang (un animal qui inspire tout de suite la sympathie), Link cache quelque chose de violent, de radicalement opposé avec son apparente innocence. Il n'est donc pas non plus sans évoquer le Damien de La Malédiction.
    Mais pourtant, au-delà d'un film "de personnages", Link est aussi un modèle de réalisation. Limite hitchockien pourrait-on dire (d'ailleurs ce n'est pas un hasard si le réalisateur s'était trois ans auparavant rendu coupable du pas si mauvais Pyschose 2). Ni tout à fait comique ni tout à fait sérieux, avec un huis-clos dans une maison reculée. Comme si celle-ci était assiégée de l'intérieur, en fait ! Pas de sortie possible pour les protagonistes, avec un singe menaçant et jaloux pour seule compagnie...
    La lumière est également très belle, tributaire de la proximité de l'océan qui donne un charme très "Cornouailles" à l'ensemble. Du reste, Franklin, le réalisateur, ne se prive pas pour nous montrer l'environnement naturel de la maison. Un peu comme Hitchcock dans Les Oiseaux, quelque part. Si l'on ajoute que Link représente un singe (donc une représentation de l'homme du temps où celui-ci n'était pas encore le citadin qu'il est devenu) se rebellant vis-à-vis de ses maîtres, on peut dès lors dire que Link est un film nous montrant avec une certaine légèreté ironique la nature reprenant ses droits sur l'homme...

    Anonyme

    Link constitue l'un des films les plus originaux réalisés sur le thème de l'animalité. Entre la bête devenant plus humaine, et l'homme devenant bestial, la frontière est parfois mince. Et le réalisateur Richard Franklin parvient à exploiter parfaitement cette frontière changeante, dans un excellent film fantastique, classique du cinéma de genre des années 80. Une oeuvre dont la structure hitchcockienne fait largement écho au Psychose du maître Alfred Hitchcock, avec sa maison isolée, son propriétaire mystérieux et une jeune femme perdue. Et le tout contribue à créer une atmosphère oppressante et un suspense haletant, parsemé de touches d'humour noir salutaires.

    Natalys Raut-Sieuzac et Jean Thooris

    Une ou deux fois pas an, on repère le nom de Richard Franklin collé à la confection d'un téléfilm de troisième zone. S'en offusquer serait accorder trop d'importance à des cinéastes n'en méritant pas tant. Car il suffit de préciser que Richard Franklin débuta sa carrière en écrivant le script de Psychose 2 (purgatoire !) puis en réalisant l'avoriazé Patrick, un pompage de Carrie, pour se faire une idée de la jeunesse tourmentée du gaillard : on raconte qu'Hitchcock en personne lui changeait les couches ! Le vote du jury serait clos si, entre deux hommages maladroits au gros Alfred, Franklin n'avait réalisé Link, un coup de bol. Dans nos souvenirs, un sacré bon film, ce Link. Dix-huit ans après La Planète des singes (celui de Schaffner, hein !) et deux avant Incidents de parcours (l'un des meilleurs Romero), Richard Franklin reprend à son compte l'idée suivante : les singes, ça fait peur. Très conscient des règles du suspense, Link isole une charmante étudiante (Elisabeth Shue, déjà excellente) dans un manoir tenu par un savant spécialisé dans les guenons. Le savant disparu, un jeu de cache-cache entre la femme et le primate se met en place. Attention : ici, le singe n'est clairement pas identifié à un psycho-killer court sur pattes, et l'étudiante ne passera guère l'heure trente du film à repousser les attaques poilues du primate. Au contraire, une partie érotique, tout en non-dit et regards lourds d'envies renfrognées, unira la femme et le singe dans ce qui n'est, au fond, qu'une énième variation sur l'instinct et le désir. Celle-ci se révèle suffisamment originale pour être signalée...






    Frankenstein

    21/11/2007 08:34

    Frankenstein


    Réalisé par Kenneth Branagh
    Avec Robert De Niro, Kenneth Branagh, Tom Hulce  
    Film américain. Genre : Fantastique
    Durée : 2h 8min. Année de production : 1994
    Interdit aux moins de 12 ans
    Titre original : Mary Shelley's Frankenstein

    Résumé :

    Le jeune savant Victor Frankenstein est persuadé que la science peut venir à bout de tout et même créer la vie. Il s'attèle à cette tache avec ardeur et crée à partir de morceaux de cadavres un être humain qui sera acculé par sa différence à la méchanceté.

    Critiques spectateurs :

    ptitmayo - le 21/02/2007
    Ames sensible s'abstenir, ce film ne fait pas dans la dentelle. La scène de création de Frankenstein est un peu gore et la manipuation dela chair n'est pas quelque chose qui se regarde facilement. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce film nous remue, et on aime cà car, derrière la monstruosité de la créature(Danny de Vito exceptionnel) se cache un homme doté de sentiments. Ce film est donc finalement une réflexion sur les limites de la science: jusqu'où on doit aller?? quelle frontière il ne faut pas franchir??. Kenneth Branagh est épatant dans le rôle du créateur mais égalemnt en tant que réalisateur: son film baigne dans une atmosphère lugubre et froide, propice au sujet du film. Excellent film.
     
    pricks - le 12/05/2007
    Très bon film, grand jeu d'acteur. Par contre, dans les autres critiques, bien qu'on laisse croire, j'ai bien l'impression que (presque) personne ne connait le roman. C'est l'adaptation la plus proche qu'il n'y ai jamais eu du roman, mille fois plus que tous ces "retour, vengeance, femme de, etc..." de frankenstein. tout le monde pense trop que l'original est celui de 1931, fait par je ne sais plus quel cineaste, mais qui n'en reste pas moins un grand chef d'oeuvre cinematographique.
     
    tomsdiniro - le 07/10/2006
    Apres dracula, coppola recidive avec cet adaptation litteraire du mythe frankenstein mais laisse la reailsation au britannique kenneth branagh.Le resultat en est tout aussi magnifique. Le film repose sur le genie du realisateur mais surtout sur l'interpretation de Mr De Niro. Son jeu est sobre mais degage une grande humanité. Il parle doucement ,ne tombe jamais dans l'exces. une interpretation des plus memorables qui atteint la perfection.
     
    Catomano - le 20/03/2005
    Le sujet a été exploité au cinéma maintes fois mais j'ai trouvé ce film superbe et assurément le plus réussi de tous ceux réalisés sur ce même thème. Je n'ai pas compris la critique de la Presse qui semble s'être acharnée vis à vis de cette réalisation. La fin n'a rien à voir avec celle du roman mais elle a le mérite d'être originale et elle ne discrédite pas le film.


     
    oregann - le 02/03/2005
    Un film magnifique, avec un magnifique Kenneth Branagh, fringant et plein de panache, qui réalise ici une version gothico-romantique très humaine et pleine d'élan du roman de Mary Shelley. De Niro est à la fois touchant et effrayant, et le reste de la distribution nous livre une performance impeccable. La mise en scène est imposante et la musique est excellente. Un de mes films préférés.
     








    A l'Amour, à la Mort (S2-05)

    Réalisé par: David Burton Morris
    Avec: Dante d'André (Alvarez), Ruth DeSosa (Della)

    Résumé:

    Un couple marié depuis dix ans va passer quelques jours dans un chalet de leur ami. Petit à petit, le mari se persuade que sa femme le trompe avec ce dernier…

    Anecdotes:

    Dante d'André fut le général Strasser dans SCARFACE de Brian de Palma (1983).








    La Chose de la Tombe (S2-06)

    Réalisé par: Fred Dekker
    Avec: Miguel Ferrer (Mitch Bruckner), Teri Hatcher (Stacy)

    Résumé:

    Un photographe tombe amoureux de son modèle. Ils deviennent amants. Quant le petit ami de la top-model le découvre, il tue le photographe. Mais l'amour est plus fort que la mort…

    Anecdotes:

    Teri Hatcher fut Loïs Lane pour le petit écran dans Loïs & Clark. Quant à Miguel Ferrer, il fut Lloyd Henreid dans Le Fléau d'après le roman de Stephen King. Au cinéma, on s'en souvient comme le créateur du ROBOCOP (1981) dans le film du même nom de Paul Verhoeven.








    Le Sacrifice (S2-07)

    Réalisé par: Richard Greenberg
    Avec: Michael Ironside (Jerry Reed), Kim Delaney (Gloria Fleming), Don Hood (Sebastian Fleming)

    Résumé:

    Jerry Reed, un agent d'assurances, tue son patron et épouse la femme de ce dernier, Gloria. Le plan marche à merveille jusqu'à ce que l'ex-mari de Gloria débarque et fasse chanter Reed avec des photos du meurtre…

    Anecdotes:

    Michael Ironside a joué dans SCANNERS de David Cronenberg (1983) et TOTAL RECALL de Paul Verhoeven (1987). Il prête actuellement sa voix à Sam Fisher pour la franchise Splinter Cell, le jeu vidéo édité par Ubisoft.








    Hurlement Nocturne (S2-08)

    Réalisé par: Jeffrey Price
    Avec: Lee Arenberg (Marty Slash), Katey Sagal (Mme Kielbasa), Iggy Pop (lui-même)

    Résumé:

     Marty Slash est un producteur de musique. Depuis quelque temps déjà, il entend des voix. A la suite d'une arnaque montée par lui lors d'un concert d'Iggy Pop, il s'aperçoit que cette voix est en fait sa conscience…

    Anecdotes:

    Katey Sagal est l'inoubliable Peggy Bundy de la série Mariés, Deux Enfants.








    Le Pantin Ventriloque (S2-10)

    Réalisé par: Richard Donner
    Avec: Bobcat Goldthwait (Billy Goldman), Don Rickles (Mr Ingles)

    Résumé:

     Billy rêve de devenir ventriloque. Il rencontre son idole, Mr Ingles, à la retraite depuis qu'il s'est blessé la main. Malheureusement pour Billy, le vieil homme ne semble pas aussi amical qu'il le laisse paraître…

    Anecdotes:

    Le script est signé Frank Darabont. Billy Goldman est une référence à William Goldman, qui a écrit MAGIC (Richard Attenborough, 1978) dans lequel Anthony Hopkins interprète un ventriloque cinglé qui parle à son pantin.






    Début | Page précédente | 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact lestat1975 ]

    © VIP Blog - Signaler un abus