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BLOG DU FANTASTIQUE
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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 651 articles publiés
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    [ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]



     Le tueur à l'échiquier

    Alexandre Pitchouchkine n'aura pas eu le temps de finir la partie. Il lui restait trois cases à remplir pour parvenir aux soixante-quatre que compte son échiquier du meurtre. A son arrestation, ce Russe de 33 ans a reconnu avoir tué plusieurs dizaines de personnes, la plupart à coups de marteau. Que serait-il advenu une fois l'échiquier plein ? "J'aurais commencé un nouveau jeu", a calmement répondu Alexandre Pitchouchkine, interrogé par la police. Son procès a commencé le lundi 13 août pour quarante-neuf meurtres et trois tentatives d'homicide. Il pourrait être un des plus grands tueurs en série russe.

    C'est à la sortie du métro Kakhovskaya qu'Alexandre Pitchouchkine a abordé la plupart de ses proies. Un vaste carrefour ouvert à tous les vents, encadré de barres de béton d'une vingtaine d'étages, comme il en existe tant à la périphérie de Moscou. Les kiosques des marchands de journaux, de confiseries et de fleurs s'alignent sur le trottoir. Des ivrognes puants tuent le temps assis en haut des escaliers du métro. Natacha, une fleuriste corpulente et décolorée, comme beaucoup d'habitants du quartier, avait « une amie dont une amie a été assassinée par le tueur ». Dans les années 2000, lorsque les disparitions dans le parc voisin se multiplièrent, « on avait peur, raconte Natacha, on n'y emmenait plus les enfants ». En dix minutes de marche, on atteint le parc Bitsevski, un espace vert très fréquenté le week-end, à dix kilomètres au sud du Kremlin. Plus vaste que le bois de Boulogne, plus touffu aussi. C'est dans ces allées sombres que Pitchouchkine entraînait ses victimes, rencontres de hasard ou connaissances, pour aller boire de la vodka sur la tombe de son chien. Avant de les étrangler, ou - pour la plupart - de les massacrer à coups de marteau.

     
    Au sud-est de Moscou, les habitants connaissaient l'existence du personnage. Dans le parc forestier de Bitsevski, où les meurtres ont été commis, des arbres ont été habillés de son portrait-robot : le dessin au fusain accusait un visage coiffé d'un bonnet, souligné d'une mise en garde : "Attention, c'est peut-être à cela que ressemble "le maniaque de Bitsevski"." Bientôt les journaux s'emparaient de son histoire, banalisant ce terrible surnom.

    Depuis, les informations diffusées par les enquêteurs et par la presse russe se sont parfois contredites et beaucoup de détails restent au conditionnel. Combien de morts exactement ? Et peut-on faire confiance au système judiciaire ? L'interrogatoire d'Alexandre Pitchouchkine a été filmé par la chaîne de télévision NTV à la demande de la police, qui voulait éviter d'être accusée d'avoir arraché des aveux. Ce dont la mère de l'accusé se dit convaincue.

    Le terrible jeu a été arrêté net le 16 juin 2006, lorsqu'Alexandre Pitchouchkine a été arrêté chez lui. C'est l'alerte lancée par le fils de sa dernière victime qui le perdra. Le 5 juin, Alexandre avait proposé à une de ses connaissances d'aller faire une promenade, puis, chemin faisant, de se rendre sur la tombe de son chien dans le parc. Marina Moskaleva a-t-elle senti le danger ? Elle avait pris soin de signaler à son fils Sergueï le nom et le numéro de téléphone de ce compagnon. La soirée passe, sa mère ne rentre pas. Sergueï compose le numéro, Alexandre Pitchouchkine répond, dit qu'il ne sait pas où elle est et raccroche. La police met la main sur lui quelques jours plus tard.

    Pendant la fouille de l'appartement, Alexandre présente lui-même aux enquêteurs l'arme de ses crimes : depuis le début, c'est à coups de marteau qu'il tue ses victimes. Dans la forêt, lors d'une reconstitution, il montre la petite trappe d'une canalisation où il cachait ses marteaux, l'étang où il les jetait. Certains des corps de ses victimes étaient balancés dans une sorte de profond réservoir d'eau.

    "J'ai commis moi-même près de soixante et un meurtres. Soixante sur le territoire du parc forestier de Bitsevski. Et le premier en 1992. Il y a quatorze ans. C'était un camarade de promotion", a-t-il expliqué lors d'une audition. Les deux hommes se seraient disputés au sujet d'une fille, qu'il aurait aussi tuée plus tard, en 2001.

    Parmi les victimes figurent certains de ses collègues de travail. Alexandre Pitchouchkine est manutentionnaire dans un petit magasin. Interrogés par le journal populaire Jisn, ses collègues de travail doutent que cet homme calme et peu bavard ait pu être "le maniaque". Certes, il changeait très souvent de vêtements, de coupe et de couleur de cheveux, mais quoi d'étonnant pour un tel passionné de la propreté ? Ils évoquent son aversion envers l'électronique : son refus de prendre de l'argent aux distributeurs, son agacement au bruit de la caisse enregistreuse.

    Au début, il s'attaquait exclusivement à des hommes âgés, après leur avoir fait boire une vodka pour les affaiblir. Puis il aurait commencé à s'en prendre à des femmes, à des jeunes ou à des connaissances. "Il tuait ceux avec qui il travaillait, à côté de qui il vivait, ceux qu'il croisait sur les chemins du parc", résume le parquet de Moscou. Son objectif était de les achever d'un seul coup. Jusqu'au jour où il croise par hasard une de ses victimes, qu'il croyait avoir assommée à mort. Il décide alors de défoncer méthodiquement le crâne de ses proies, en y enfonçant bâtons ou tessons de bouteille, toujours à coups de marteau.

    L'un des enquêteurs a raconté que, durant les derniers mois, il tuait de plus en plus souvent et était moins vigilant. Il ne s'éloigne plus aussitôt en courant. Au contraire, il restait auprès de ses victimes agonisantes pour observer leurs dernières convulsions. Parfois, il laissait leur corps sur le sentier et emportait un "souvenir".

    Selon ses propres déclarations, "le maniaque de Bitsevski" éprouve une vive admiration pour Andreï Tchikatilo, l'autre grand criminel russe de ces dernières années. Dans son journal intime, un cahier où il aurait noté le nom de ses victimes et la façon dont il les exterminait, Alexandre Pitchouchkine aurait collé des articles relatant les méfaits de Tchikatilo. Avec lui, il partagerait le lieu d'exécution de ses meurtres : la forêt. Mais, dans l'échelle de l'horreur, Andreï Tchikatilo, docteur en philosophie, était plus effroyable encore puisqu'il poignardait, violait puis mangeait ses victimes. Tchikatilo revendiqua cinquante-cinq assassinats commis entre 1978 et 1990. La justice lui en attribua cinquante-deux, le condamna à mort et l'exécuta en 1994. Alexandre Pitchouchkine dit avoir jeté ce carnet de bord quelques jours avant son arrestation.

    Mais il avoue son plaisir à lire les articles de presse narrant les récits de ses meurtres. Un jour, il est pris de colère : il apprend que la police prétend avoir arrêté "le maniaque de Bitsevski". Durant la même semaine, il tue deux personnes. "Je voulais montrer que j'étais encore en liberté", expliquera-t-il aux enquêteurs. C'était la deuxième fois que la police se trompait : une première fois, elle avait arrêté un homme ressemblant au portrait-robot, trouvé en possession d'un couteau, et la seconde fois le suspect était un travesti. Les centaines de patrouilles effectuées vingt-quatre heures sur vingt-quatre par plus de 200 policiers, n'ont rien donné puisque finalement le meurtrier présumé a été arrêté chez lui.

    Pendant toutes ces années criminelles, « Sacha » habitait avec sa maman et sa soeur, rue Khersonskaya, près du parc, un deux-pièces dans une khrouchtchovka. C'est ainsi que l'on surnomme ces milliers d'immeubles de cinq étages construits à la hâte sous Khrouchtchev dans toute l'URSS. En cette fin d'été, les pelouses sont vertes, la façade repeinte, la rue calme. On se croirait en province. Une voisine, la cinquantaine, traits tirés, rentre des courses. Elle ne souhaite pas parler. Et lâche, contenant mal son émotion : « Il a tué mon frère. Je suis convoqué au tribunal pour témoigner. » Un autre voisin, père de famille, lui, ignorait que le « maniaque » habitait l'immeuble. Il affiche, comme d'autres riverains, une indifférence amusée. À Moscou, on tue deux fois plus qu'en Ile-de-France (une douzaine de meurtres par semaine). Pitchouchkine s'attaquait surtout à des alcooliques, des solitaires. Huit de ses victimes sont des SDF que la police n'a pas identifiés. On s'émeut davantage lorsqu'il s'agit de fillettes.


    Presque un an après, le 3 avril 2007, les spécialistes de l'Institut Serbsky déclarent après plusieurs semaines d'examens médicaux qu'Alexandre Pitchouchkine est parfaitement responsable et a accompli ses actes en pleine conscience. Sa mère, convoquée par l'institut, explique qu'il a souffert dans son enfance d'un sérieux traumatisme après être tombé de sa balançoire.

     « Je ne tuais que ceux qui me plaisaient, a confié Pitchouchkine à la Moskoskaya Pravda. Chaque fois, je sentais que c'était une personne à moi, un feu brûlait en moi, et ne s'arrêtait pas tant que je ne les tuais pas. Comme un drogué en manque. » Après son arrestation, les autorités l'ont autorisé à répondre aux médias, y compris à la chaîne de télévision NTV. Il a évoqué les meurtres comme des « orgasmes perpétuels ». Lui qui rêvait de rester dans l'histoire n'aurait, dit-on, pas aimé son image sur petit écran.

    Il savait donc quelles atrocités il commettait. En prison, l'homme demande les journaux, collectionne les articles dont il est le protagoniste et s'ennuie lorsqu'il disparaît des médias. Il évoque l'envie d'écrire un livre sur lui-même, qu'il intitulerait Mémoires d'un maniaque. Mais, lors d'une de ses lectures, il découvre la condamnation qui l'attend. C'est le choc : le maniaque décide d'en finir et se frappe la tête violemment contre les barreaux.

    "Si vous ne m'aviez pas attrapé, je n'aurais jamais arrêté, jamais. En me capturant, vous avez sauvé de nombreuses vies", aurait-il déclaré aux enquêteurs. L'homme s'est présenté au tribunal lundi, dans une chemise à carreaux, son motif préféré. Le même que Tchikatilo. Mais, entre les deux affaires, la Russie a signé un moratoire sur la peine de mort : Pitchouchkine risque la prison à vie.






    News du 18 Septembre

    18/09/2007 21:34

    News du 18 Septembre


    Coucou tout le monde !!
    Bientôt la sortie d'Halo 3...j'espère que la XBOX 360 que j'ai commander ne vas pas me lacher au bout de quelques jours...avec tout les renvois au SAV de ces derniers mois, c'est pas trop rassurant...mais bon pour un Halo, ça vaut le coup de prendre le risque...bon vent a tous !!
    Bye Bye








    Loup-Garou en Grande-Bretagne ?

    La Grande-Bretagne a une longue histoire de lycanthropie – depuis le conte du célèbre loup-garou de Flixton qui a terrorisé le nord de l'Angleterre il y a plus de mille ans, aux sagas étranges des têtes d'Hexham, du loup-garou d'Abbotsham..

    de l'homme loup sauvage de Lynton et d'innombrables autres histoires.

    Mais probablement rien ne rivalise avec la vague incroyable d'étrangeté lupine qui s'est récemment abattue sur la Grande-Bretagne - un grand secteur forestier en Angleterre centrale et un endroit qui est devenu un véritable foyer de rencontres avec des grands chats, des chiens noirs fantomatiques, des entités semblables à Bigfoot et maintenant des loups-garous.

    Cannock Chase (ci-dessous) est situé à seulement environ 6 km d'où je vis ; ainsi je connais très bien le secteur, y ayant passé un temps considérable à enquêter sur les bêtes étranges qu’on dit rôder dans ces bois sombres.

    L'été dernier, des témoignages effrayants sur un loup sauvage en liberté dans le voisinage sont apparus ; cependant, si le courant actuel des observations s'avère être exact, alors le loup pourrait être un peu plus monstrueux qu'on ne le supposait précédemment.

    Le 26 avril 2007, le journal Stafford Post (qui couvre le secteur en question) a déclaré ce qui suit : "une vague d’observation d'une créature de type 'loup-garou' rôdant dans les alentours de Stafford a incité un groupe paranormal respecté de Midlands à enquêter. Le West Midlands Ghost Club dit qu'ils sont entrés en contact avec un certain nombre d’habitants choqués qui ont vu ce qu'ils ont prétendu être "une créature velue de type loup" marchant sur ses pattes arrières autour du cimetière de guerre allemand, juste à la sortie de Camp Road, entre Stafford et Cannock. Plusieurs d'entre eux affirment que la créature s'est dressée sur ses pattes arrières et a couru dans les buissons à proximité quand elle a été repérée."

    Le journal continue : "Nick Duffy, du West Midlands Ghost Club, a dit que les histoires d'observations de loup-garou dans la région de Chase étaient quelque chose qu'il avait rencontré auparavant. Il a dit : 'la première personne à nous contacter était un facteur qui nous a dit qu'il avait vu ce qu'il pensait être un loup-garou à l'endroit du cimetière de guerre allemand. Il a dit qu'il était à mobylette et qu'il a vu que ce qu'il a cru être un grand chien. Quand il s'est approché, la créature s'est dressée sur ses pattes arrières et s'est enfuie."

    Le Post cite Duffy ajoutant : "J'ai parlé à beaucoup de témoins et je sais quand ils mentent. Mais ce qui m'a frappé est la manière dont il l'a dit. Je n'ai aucun doute qu'il disait la vérité."

    La créature a apparemment également été repérée par un chef scout marchant près de la forêt début avril. L'homme, dont le Post a indiqué qu'il ne voulait pas être nommé, a dit qu'il a vu que ce qu'il a au départ cru être un grand chien rôdant dans les buissons. C'est seulement quand il est allé dans sa voiture pour rentrer qu'il a réalisé que quelque chose d'étrange se tramait.

    Il a dit : "cela ressemblait à un chien énorme. Mais quand j'ai claqué la portière de ma voiture il s'est relevé sur ses pattes arrières et a couru vers les arbres. Il doit faire environ 2 m de haut. Je sais que cela semble absolument fou, mais je sais ce que j'ai vu."

    Et cette semaine, le journal Chase Post (dont le site Web officiel est la demeure d'innombrables rapports d'animaux étranges dans le secteur) et le Birmingham Post ont diffusé l'histoire suivante :

    "Une meute de créatures souterraines qui sort sur Cannock Chase (ci-dessus) pour chasser de la nourriture pourrait être à l'origine d'une vague d'observations de "loup-garou" et de Bigfoot près de Stafford. Et ces êtres mystérieux ont pu également être responsables d'une série de disparitions d'animaux de compagnie, a-t-il été affirmé.

    Le West Midlands Ghost Club, notre principal groupe d'investigation paranormale du secteur, dit qu'ils sont entrés en contact avec un certain nombre de témoins oculaires choqués qui leur affirment avoir été face à face avec "une créature velue de type loup" sur le site. Un chef scout et un facteur local sont parmi les témoins "crédibles" qui ont contacté le club.

    Les théories derrière les observations vont d'un vagabond fou aux aliens. Mais maintenant un autre expert en paranormal a proposé la théorie que la bête sub-humaine n'est pas du tout un loup-garou mais un rejeton de l'âge de pierre. L'investigateur, qui souhaite rester anonyme, nous a dit : 'des observations étranges dans ce secteur ont été faits au cours de nombreuses années par des civils, des militaires, la police, des ex-chefs de police et scout en patrouille. Quelques incidents ont été rapportés et consignés mais d'autres non - certaines personnes ne veulent pas être classées comme folles."

    Les journaux ont développé : "la rumeur la plus étrange est venue d'un riverain âgé qui pense que les mystérieux intrus vivent sous terre," il nous a dit : "les créatures sont parvenues à la surface par l'intermédiaire de vieux remblais de chasse, par exemple, pour les cerfs du coin."

    Et, en apparence, ce conte tiré par les cheveux pourrait être facilement écarté. Cependant, la source du Post a ajouté: "c'est un fait qu'il y a eu des minages importants sous Cannock Chase pendant des siècles. Et c'est un fait qu'il y a un taux élevé de disparition d'animaux domestiques dans le secteur - particulièrement des chiens sans laisse... demandez seulement à n'importe qui qui promène son chien près du cimetière de guerre allemand... "

    Bien... je ne suis pas vraiment prêt à dire que ces êtres velus monstrueux demeurent dans les profondeurs de Cannock Chase (ci-dessus) dans un genre de tanière sombre et caverneuse, mais il n'y a aucun doute que le cimetière en question a été un foyer absolu d'activité monstrueuse et étrange ces deux dernières décennies.

    Et, il est certainement question que le secteur ait été un site de mutilations animales (en particulier des cerfs) et d'histoires de "choses" en maraudage se cachant dans les bois.

    Quoiqu'il se passe, il semble que quelque chose soit vu ; si vous décidez de vérifier l'histoire en personne, rappelez-vous de faire très attention si c'est la pleine lune...

    (source: Monsterusa)








    Sortie Halo 3

    03/10/2007 10:09

    Sortie Halo 3


    Ca y est !!
     J'ai jouer, terminer et torcher Halo 3.
    En plus de découvrir le troisième volet, j'ai aussi decouvert la Xbox 360.
    C'est vraiment une console excellente. 
    Bientôt mon test Halo 3 sur "Blog du fantastique".
    @ + tard les enfants...








    LES LIGNES NAZCA

    Bien que les géoglyphes d'animaux attirent l'attention, ils sont en fait recouverts par d'énormes
    trapézoïdes. Certaines de ces figures ont des côtés de plus de 2.500 pieds de long !

    Depuis que les lignes de Nazca ont été découvertes dans les années 1930, plus d'une théorie a été proposée pour expliquer les traces sur la surface du désert. LE mystère des lignes Nazca est une des énigmes les plus embarrassantes de l'archéologie.
     


     Le problème se situe dans la grande variété des dessins (environ 300), généralement désignées sous le nom des "géoglyphes". On trouve sur le site aussi bien des dessins figuratifs, comme l'araignée, le singe, le héron, le colibri, etc., que des dessins totalement abstraits composés d'une grande diversité de forme dont certains comportent jusqu'à 365 angles tandis que d'autres en spirale n'en contiennent aucun. Bien que les géoglyphes d'animaux attirent l'attention, ils sont en fait recouverts par d'énormes trapézoïdes. Certaines de ces figures ont des côtés de plus de 2.500 pieds de long! Vues dans leur ensemble, les lignes de Nazca semblent être un fouillis, dispersé apparemment au hasard sur la plaine, se croisant et créant des intersections sans raison apparente.


     

    Dans quelques endroits, des géoglyphes soigneusement dessinés ont été en partie effacés par les énormes trapézoïdes. De plus, il y a un grand contraste entre quelques schémas qui ont été parfaitement exécutés, et d'autres qui ont été dessinés sans soin. Plusieurs dessins sont si grands qu'ils ne peuvent être visualisés que des airs à une hauteur de 1.000 pieds ! Qui était censé voir les figures. En 1969, Erich von Daniken a émis l'idée que des extra-traterrestres aéroportés pourraient avoir conçu ces lignes comme pistes d'atterrissage. Cependant, sa théorie se heurte à de nombreux problèmes. Premièrement, le sol ne serait pas assez dur pour soutenir des atterrissages répétés en raison du poids présumé de ces vaisseaux spatiaux. Deuxièmement, pourquoi ces extraterrestres n'auraient pas conçu quelque chose de beaucoup plus sophistiqué ? Troisièmement, beaucoup de ces lignes sont de seulement 3 pieds de large, ce qui semble être trop étroit pour des vaisseaux. De plus, Von Daniken n'a pas réussi à expliquer le sens et l'utilité des figures animales.
     

         

    En 1939, le savant américain Paul Kosok émit l’hypothèse que ces lignes constitueraient « le plus grand livre d’astronomie du monde. » Il avait en effet remarqué que lors du solstice d’été, les rayons du soleil couchant étaient parrallèles à un groupe de lignes figurant un oiseau.

    Cependant, pour l'allemande Maria Reiche, grande spécialiste des glyphes et mathématicienne, qui consacra l’essentiel de son existence à l’analyse et la protection des lignes, cet ouvrage a été fait pour que les dieux puissent le voir d’en haut et assister ses auteurs dans leur activité de pêche, d’agriculture et dans leur vie en général. Selon elle, la pampa était également un vrai calendrier astronomique ; le dessin du singe étant ainsi le symbole indien de la Grande Ourse, la constellation qui, pour les populations anciennes, représentait la pluie. Une année où cette dernière se faisait trop attendre, les Nazcas dessinèrent le singe pour rappeler aux dieux que la terre avait terriblement soif. Bien que n'ayant pas tiré une conclusion définitive, Maria Reiche penche fortement vers la théorie d'un calendrier astronomique. Elle pense que les habitants de Nazca employaient les lignes et les figures pour mesurer les points clés de l'année solaire en vue d'une planification agricole.

    Elle a également expliqué comment les indiens de Nazca ont pu faire preuve d’une telle connaissance de la géométrie et de la symétrie. D’après elle, ils utilisaient une unité de mesure de base en l’occurrence la longueur de l’avant-bras (32,5 cm) pour faire leurs calculs. Ils obtenaient la symétrie des tracés en attachant des cordes à des piquets, pour former des cercles et des arcs que traversaient des lignes droites. Maria Reiche, bien que n'ayant pas tiré une conclusion définitive, penche fortement vers la théorie d'un calendrier astronomique. Elle pense que les habitants de Nazca employaient les lignes et les figures pour mesurer les points clés de l'année solaire en vue d'une planification agricole.

    Mais la théorie de Reiche, comme celle de Von Daniken, n'a pas résisté aux arguments élevés contre celle-ci. En 1968, une étude menée par la Société Géographique Nationale a déterminé que certaines lignes de Nazca étaient dirigées vers des positions du soleil, de la lune et d'étoiles dans le ciel il y a deux mille ans, cela ne pouvant être dû à la seule chance. En 1973, Dr Gerald Hawkins a étudié 186 lignes avec un programme informatique et a constaté que seulement 20 pour cent d'entre elles n'ont eu aucune orientation astronomique. En 1982, Anthony Aveni a obtenu des résultats semblables, tandis qu'en 1980, Georg Petersen précisait que la théorie de Reiche n'a pas expliqué les différentes longueurs et largeurs des lignes. Plus récemment, Johan Reinhard a noté que les montagnes environnantes ont fourni un mécanisme prêt à l'emploi et beaucoup plus pertinent pour les Nazcas à utiliser comme calendrier solaire ; les lignes leur auraient ainsi été tout à fait superflues. En plus de cette avalanche d'opinions scientifiques, nous devrions également noter que Reiche, comme Von Daniken, n'a pas expliqué la signification des géoglyphes animaux.


     

    Il ne s'agit certainement pas de routes incas, pas plus que des canaux d'irrigation, puisque la plupart d'entre elles ne mènent pas à des sources d'eau. Toutes les explications pratiques possibles étant épuisées, beaucoup d'auteurs se sont penchés sur le symbolisme des lignes et des figures. Tous les cultes religieux ont été évoqués, culte ancestral, culte de l'eau, culte de la fertilité et culte de la montagne.

    Johan Reinhard a détaillé diverses traditions antiques, selon lesquelles les dieux de la montagne prennent la forme d'aigles ou de condors. Comme l'explique Reinhard, cette théorie cultuelle explique l'aspect le plus significatif des lignes de Nazca qui est que les figures ne peuvent être vues que par les airs. Les anthropologues attribuent la croyance dans les dieux de la montagne à une base écologique solide, puisque les montagnes sont la source des fleuves et des nuages. 
     
     

    Pour certains, c'est l'identification d'une culture préhistorique et mondiale avancée, désignée par certains en tant que "Atlantes" et par d'autres sous le nom de "Dieux de chair et de sang". Toutes les études scientifiques précédentes de Nazca l'ont traitée comme un phénomène local, mais si nous étudions les lignes en tant qu'élément intégré dans une configuration de préhistoire mondiale, comme nous l'avons fait, une réponse plausible émerge.

    Les divers indices qui jalonnent le monde incitent à penser que la technologie aéronautique existait dans les périodes antiques. Ces indices se composent des enregistrements textuels, des traditions orales et de preuves physiques. Ainsi, à Baalbek au Liban, une plate-forme énorme en pierre corrobore la montée et la descente de fusées, histoire mentionnée dans "l'épopée de Gilgamesh" et dans les légendes du dieu Hélios (Dieu du Soleil) qui aurait garé son chariot ici. En attendant au Pérou, le fait que les lignes de Nazca puissent seulement être correctement appréciées de l'air est également un indice puissant quant à l'existence de l'aéronautique antique. A présent, je voudrais éclaircir deux choses, tout d'abord, je ne dis pas que les lignes de Nazca ont représenté un terrain d'aviation ; ensuite, je dis qu'elles indiquent fortement qu'une technologie aéronautique était nécessaire pour les observer. Ceci pourrait sembler être une idée fantaisiste s'il n'y avait pas d'autres aspects de technologie élevée qui peuvent être vus partout sur les sites pré-incas du Pérou.
     

    La plaine de Nazca est pratiquement la seule à posséder une telle capacité de préservation des inscriptions, et ce, en raison de la combinaison du climat (un des plus sec de la terre, avec seulement vingt minutes de précipitations par an) et une terre plate et pierreuse qui réduit au minimum l'effet du vent au niveau du sol. Sans la poussière ou le sable pour couvrir la plaine, et peu de pluie ou de vent pour l'éroder, les lignes tracées ici tendent à se conserver. Ces facteurs, combinés avec l'existence d'un sous-sol de couleur plus claire sous la croûte de désert, fournissent une vaste possibilité d'écriture qui ont idéalement convenu à l'artiste qui a voulu laisser sa marque pour l'éternité.

    Le symbole du trident du dieu Viracocha, seigneur de Tiahuanacu, qui est également connu sous le nom de "Dieu de l'Orage" apparaît à une faible distance au nord de Nazca, chez les Paracas. Ce dieu serait l'artiste initial de Nazca. Il aurait utiliser un appareil dirigeant un faisceau de découpage dans la plaine désertique.


     

    A Tiahuanacu en Bolivie un mystérieux site qui aurait connu la production du bronze quelques 6.000 ans en arrière, on trouve des pierres pesant une centaine tonne qui ont été découpé et adapté si précisément entre elles que l'on ne peut rien insérer dans les interstices. Lorsque l'ère de Tiahuanacu a décliné vers 2200 av. J.-C., certains esclaves se sont rebellés. Un groupe d'entre eux aurait saisi l'antenne appartenant à Viracocha et servant à exécuter ces dessins et aurait défiguré la plaine de Nazca dans un acte de vandalisme. Par endroits ils ont imprimé de larges bandes qui ont peut-être effacé les dessins que Viracocha lui-même avaient dessiné plus tôt. Dans d'autres endroits, ils ont dessiné des images conçues pour railler et insulter leur maître. Certains des rebelles ont dessiné des images impressionnantes, d'autres auraient pris les commandes et ont pu seulement dessiner des dessins d'amateur. Lorsque Viracocha a vu les ravages faits sur la plaine et la vandalisation de son propre dessin, il a pleuré. Ce qui aurait soutenu la légende de Tiahuanacan comme un "Dieu pleurant".

    Des études ont confirmé que la période la plus ancienne de Nazca était en effet la plus avancée. Plusieurs des lignes convergent vers des montagnes, puisque c'est une tendance humaine normale de piloter un avion vers un point de référence sur l'horizon. Les lignes se croisent parfois parfaitement dans de profonds ravins, c'est impossible à réaliser sans avion.

    Arbre
    Chien
    Etoile Fleur Mains
    Perroquet Spirale


     

    Source : http://secretebase.free.fr






    Halo 3

    10/10/2007 21:55

    Halo 3


    Source : Jeuxvidéo.com

    Halo 3 Xbox 360

    Sortie : Le 26 septembre 2007

    Des millions de gens scandent son nom dans les rues. Des quantités phénoménales de joueurs attendent fébrilement la venue du facteur qui, peut-être, amènera la tant convoitée édition collector pré-commandée il y a des mois. Les pages des magazines arborent depuis longtemps ses couleurs flashy et les spots télé obscurs se sont soudainement multipliés à son approche. Et c'est aujourd'hui, enfin, qu'Halo 3 lance son offensive. La grande question est maintenant de savoir si le bébé de Bungie est à la hauteur des monstrueuses attentes qui l'ont accompagné tout au long de sa conception.

    Halo 3

    Bungie déclarait encore il y a peu qu'Halo 3 était sans conteste le meilleur jeu jamais créé par le studio. Pourtant, les dernières apparitions du Master Chief version next-gen nous laissaient quelque peu dubitatifs, voire même carrément inquiets. Avec des graphismes décevants pour un titre de cette envergure et un gameplay sans grandes nouveautés apparentes, le Halo nouveau ne semblait pas si éloigné de son prédécesseur. Vous me direz qu'il y a pire comme situation, puisqu'Halo 2 reste encore aujourd'hui la référence ultime du jeu online sur console. Mais avant de savoir si sa suite a les épaules assez solides pour conserver son statut de leader dans ce domaine, attachons-nous tout d'abord à la toute nouvelle campagne du soft. Car après tout, depuis le temps que nous attendons, il serait idiot de ne pas décrire la façon dont le Master Chief va s'y prendre pour "Finish the fight".

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 96
    Le nouveau design des Brutes est une vraie réussite. De véritables barbares perdus dans l'univers.

    Petit rappel tout de même pour les joueurs distraits, la très frustrante fin d'Halo 2 voyait Cortana prise au piège dans les filets du Fossoyeur et la Terre sur le point d'être attaquée par l'alliance Covenant. Une situation fort peu encourageante. La campagne d'Halo 3 débute juste après une chute vertigineuse du Master Chief dans l'atmosphère terrestre. On ne sait pas trop comment le bougre en est arrivé là, mais on passera vite sur ce détail. Rapidement rejoint par l'inénarrable sergent Johnson ainsi que par l'Arbiter, le Spartan repart immédiatement sur le sentier de la guerre pour tenter de repousser les forces Covenant fraîchement débarquées. Articulé autour d'une série de cinématiques tout à fait en accord avec ce que nous connaissions de l'univers d'Halo, le titre pèche néanmoins par une narration brouillonne, qui rendra sans doute la compréhension du scénario difficile à ceux qui n'auront pas traversé les épisodes précédents. Le jeu abuse même d'un procédé maladroit, censé apporter un peu de tension dramatique à l'ensemble mais qui au final, devient franchement lassant. Il s'agit en fait d'images parasites qui obstruent votre vision lors des rares accalmies et vous permettent de distinguer une Cortana au discours torturé et fragmentaire. Deux de ces interventions n'ont d'ailleurs même pas été traduites en français, mais là encore, on pourra dire que je chipote. Quoi qu'il en soit, le scénario d'Halo 3 se révèle extrêmement classique, sans réelles surprises et se conclut sur une séquence décevante. Malgré tout, le plaisir de revêtir l'imposante armure du Master Chief est toujours aussi vif et on finit inévitablement par se plonger dans l'aventure, avec un petit goût amer dans la bouche tout de même.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 97
    Quelques effets et explosions nous rappellent tout de même qu'on se trouve sur Xbox 360.

    En terme de structure, la dernière campagne du Master Chief est très semblable à celle des précédents volets. En effet, celle-ci comprend 10 chapitres, ce qui représente 8 heures de jeu. Attention cependant, le mode de difficulté Normal est à proscrire si vous ne voulez pas exterminer Halo 3 en 6 ou 7 heures. On pourra néanmoins se réconforter dans les bras de 3 autres joueurs, puisque le titre nous offre la possibilité de refaire la campagne en coopération sur le live, en lan ou en écran splitté. Cette dernière option n'est d'ailleurs pas à recommander car le jeu perd beaucoup de sa fluidité et de sa finesse, de même qu'il ne daignera même plus s'afficher en 16 : 9. Mais que découvre-t-on précisément dans cette fameuse campagne vous demandez-vous ? Une action intense, rondement menée où se mêlent des séquences de combat à pied dans la plus pure tradition des Halo et des sessions en véhicules extrêmement intenses, et donc toujours aussi plaisantes. Halo 3 ne peut plus être placé sur le même niveau que ses prédécesseurs, au sens où les escarmouches qui faisaient battre le coeur du joueur se sont transformées en batailles rangées impliquant de très nombreux combattants et véhicules. Certains niveaux font d'ailleurs la part belle à de vastes environnements ouverts, parfaits pour manoeuvrer avec les véhicules du jeu. Pourtant, on ne pourra pas s'empêcher de regretter la structure ultra linéaire du titre, et ces nombreuses situations de jeu répétées encore et encore, comme c'était déjà le cas dans le premier Halo.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 98
    Le Hornet est un véritable bijou. Aussi agréable à contrôler que destructeur.

    Certes, le reproche semble facile quand on parle d'un FPS, mais tout de même, traverser un niveau pour remplir un objectif, puis apprendre immédiatement qu'il faut repartir en sens inverse, parcourir les mêmes salles, qui se sont bien sûr repeuplées entre-temps, est un tantinet énervant. D'autant que le soft nous ressert ce procédé 4 ou 5 fois au cours de la campagne, au point qu'on finira par se demander si ce n'était pas là un artifice des développeurs pour gonfler la médiocre durée de vie du solo. Mais le fait est que massacrer du Covenant est toujours aussi fun. Cela est sans doute dû au fait que le Master Chief répond à toutes les sollicitations en un éclair, et que les contrôles sont toujours aussi intuitifs. Différence notable avec ses prédécesseurs cependant, la touche X sert désormais à déployer des dispositifs spéciaux comme la bulle protectrice, imperméable aux tirs mais pas au raid d'un ennemi venu en découdre avec vous à coups de crosse. Le bouton en question nous permettra également d'utiliser des mines antipersonnel, des grenades aveuglantes, des bombes qui drainent l'énergie des boucliers, ainsi qu'un module antigrav, sorte de trampoline futuriste qui permet d'atteindre des zones apparemment inaccessibles.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 99
    Les parasites seront bien évidemment de la partie.

    Vous ne serez d'ailleurs pas le seul à user de cet armement puisque les Covenants y auront souvent recours. Perturbantes au départ, ces nouvelles options apportent un plus indéniable au jeu. Parlons enfin de l'I.A., immense sujet de fierté de Bungie, et qui tient à peu près la route dans le jeu, mais nous gratifie occasionnellement de moments de grand n'importe quoi. Quant aux pétoires, rassurez-vous, elles sont nombreuses, variées et surtout parfaitement équilibrées. On notera par exemple la puissance destructrice du Needler et du marteau des Brutes, qui fera sans doute de la concurrence à l'Energy Sword. Notons enfin l'arrivée d'armes lourdes qui évoquent inévitablement celles de Lost Planet et qui ralentiront donc les mouvements du porteur. Combattre avec deux armes en mains est toujours possible, mais un joueur qui se contente d'un fusil de combat et des 4 types de grenades du jeu pourra se montrer tout aussi efficace.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 100
    Les combats entre véhicules sont plus jouissifs que jamais.

    Côté véhicules, de nouveaux venus viennent se poster sur la ligne de départ. On retrouvera donc nos traditionnels Warthogs, Scorpions, Ghosts et Banshees aux côtés de la Mangouste qu'on apercevait déjà dans la bêta. La Mangouste est un petit quad, très rapide et incroyablement maniable qui se révélera parfait pour rallier un point éloigné ou opérer un raid éclair sur les positions ennemies. Citons également le Hornet, qui semble être la réponse de l'UNSC au fameux Banshee des Covenants. L'engin se comporte d'ailleurs plus comme un hélicoptère que comme la petite fusée violette. Capable d'opérer un vol stationnaire, de mitrailler copieusement l'ennemi tout en lâchant un duo de petites roquettes à tête chercheuse, l'Hornet est aussi mortel que plaisant à piloter. Côté alien, on accueille le Chopper, la moto des Brutes, les remplaçants des Elite au sein de l'alliance Covenant. Plutôt délicat à maîtriser, le Chopper est à l'image de ses concepteurs : redoutable lorsqu'il charge un autre véhicule avec une giclée de boost, il est nettement moins efficace lorsqu'il s'agit d'abattre une cible éloignée.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 101
    Véritable force d'Halo 3 : son multijoueur. Tout simplement brillant.

    Tout cet équipement, on le retrouvera bien entendu lors des parties multijoueurs. Car c'est là que réside le véritable attrait d'Halo 3. Bungie a fait les choses en grand et nous permet de profiter de tous les derniers raffinements en la matière. Les 12 maps proposées sont extrêmement bien équilibrées. Certaines sont clairement orientées vers les combats rapprochés, d'autres, plus ouvertes, favorisent les véhicules décrits précédemment. Tous les modes les plus populaires d'Halo 2 sont de retour et sont soutenus par quelques nouveautés ainsi que par un système de classement revu et corrigé. Et en fonction de nos performances, on pourra même débloquer des équipements pour personnaliser son guerrier. Bungie a effectivement mis l'accent sur la customisation et laisse au joueur la possibilité de modeler le jeu à l'envie en partie personnalisée. Cela passe bien entendu par le mode Forge, qui permet de modifier à loisir la position de tous les objets d'un niveau (armes, caisses, mais aussi spots de réapparitions) ou même d'en rajouter. Voilà qui devrait vous permettre de constituer le niveau de vos rêves. Niveau sur lequel vos potes pourront bien sûr venir s'entretuer en temps réel. Le système est pratique et intuitif, même si on aurait aimé pouvoir faire bouger notre curseur plus vite.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 102
    Le mode Cinéma permet de profiter encore et encore de nos meilleurs exploits.

    Enfin, le mode Cinéma se pose comme la cerise sur le gâteau. Halo 3 conserve un historique vidéo des 25 dernières parties auxquelles vous aurez participé. Il sera alors possible de les visionner, en caméra libre ou en suivant vos adversaires. Arrêter l'image, avancer le film, zoomer, tout est possible. D'autant qu'on pourra sauvegarder les films tels quels ou en faire de véritables clips, montés et même pourquoi pas, scénarisés. Ces clips seront de plus accessibles aux autres joueurs, un peu à la manière des vidéos du dernier Burnout. Bref, Halo 3 possède tout pour devenir la nouvelle référence sur le Xbox Live. Fun, plaisant, ultra complet, le jeu en multi conserve toute la saveur de ses prédécesseurs, mais sort considérablement enrichi des forges de Bungie. Halo 3 n'est pas véritablement à la hauteur de ce qui nous avait été annoncé, la faute à sa réalisation décevante et à une campagne solo parfois plaisante, mais qui souffre de nombreuses lacunes et d'une faible durée de vie. Reste le multijoueur, brillant, sur lequel de nombreux joueurs perdront leurs nuits et une grande partie de leurs week-ends.

    Hiro, le 26 septembre 2007

    Graphismes 15/20

    D'un point de vue purement technique, Halo 3 est une déception. Beaucoup d'aliasing, des textures grossières, des bugs d'affichage ou de collisions. Reste le design si particulier de la série et quelques effets de grande classe pour se consoler. Il n'empêche qu'Halo 3 aurait pu être bien plus beau et qu'il aura du mal à se présenter en vitrine de la Xbox 360.

    Jouabilité 18/20

    Du grand Halo. Les commandes sont intuitives et offrent une très grande précision, que l'on se batte à pied ou au volant de je ne sais quelle monstruosité mécanique. La campagne solo pourtant, n'est pas toujours un plaisir à parcourir et on se lassera sans doute d'une mise en scène poussive et d'un level-design pas toujours très inspiré.

    Durée de vie 17/20

    Tout dépend de votre approche. Si vous ne comptez pas jouer à Halo 3 sur le Xbox Live, le jeu ne mérite sans doute pas plus de 12 . Mais si au contraire, vous ne jurez que par le frag, alors Halo 3 est le titre qu'il vous faut. Avec ses nombreux modes de jeu, son interface revue et corrigée ainsi que les sections Forge et Cinéma, nul doute que le titre vous tiendra en haleine pendant des mois.

    Bande son 19/20

    Beaucoup de musiques du précédent volet ont été recyclées pour agrémenter cette nouvelle galette. On ne s'en plaindra pas, la bande-son est toujours aussi fantastique. Heureusement d'ailleurs, car la campagne tire beaucoup de force de ces morceaux épiques.

    Scénario 13/20

    L'histoire d'Halo 3 sera difficile à appréhender pour les nouveaux venus. Les autres y trouveront une conclusion décevante. Avec une narration maladroite et quelques effets de style répétés jusqu'à la mort, on ne pouvait guère s'attendre à mieux.

    Note Générale 17/20

    17/20 si vous pouvez jouer sur le Xbox Live, et 14 si vous ne vous en tenez qu'au solo. Une note cinglante, mais qui résume bien l'incroyable déséquilibre entre une campagne qui paraît presque bâclée, et l'un des meilleurs multijoueurs tous supports confondus. Quoi qu'il en soit, Halo 3 laisse cependant un petit goût amer au fond de la bouche. Triste quand on sait que c'est probablement là la dernière aventure du Master Chief. Et au fond, la véritable histoire d'Halo 3, ne se fera que sur le Live.

     

    L'avis de Lestat 1975 :

    Nous voici devant le troisième volet des aventures de Master Chief, cette fois présent sur la Xbox 360. Quel plaisir de retrouver le Héros de Bungie encore une fois (La dernière ?). Le jeu est magnifique, beaucoup plus beau qu'Halo 2, est-ce parce que je ne posséder pas la 360 avant la sortie d'Halo 3 ? En tout cas je ne le trouve pas décevant du tout, il est beau et meilleur que le second. La seule chose que je pourrais reprocher à Bungie, c'est de ne pas avoir intégrer des Bots en multijoueurs (personnages gérer par la console). En effet tout le monde ne joue pas sur Xbox Live et tout le monde n'a pas forcément des personnes pour jouer en reseau local à porter de mains, donc voilà c'est dommage. A part ça et pour faire écho a certains test (celui de Jeuxvidéo.com par exemple) , oui la campagne d'Halo 3 est courte mais la durée de vie du multijoueurs est illimité. Le soft apporte suffisamment de nouveautées avec le mode "Forge" qui permet d'organiser les cartes multi en déplaçant pratiquement tout ce qui traine sur la carte, armes, véhicules, caisses ect...et de les placer à des endroits stratégiques où même ou bon vous semble et de sauvegarder la map tel quel pour des parties à venir, il y a aussi les 13 crânes cachés (très bien planqués) dans le mode campagne qui vous permettent une fois activer de corsé les parties et d'augmenter votre capital point pour débloquer des succés, et des pièces d'armure pour votre personnage multi. Il y a aussi la possibilité de revisionner les parties jouées de tout les modes, campagne, forge et multi, grace au mode Cinéma. Il est terrible ce mode !! La campagne est vraiment bien avec des niveaux assez variés, vous allez vous régaler !! La maniabilité n'a pas changer, elle est toujours aussi bonne (la meilleure que j'ai vu pour un FPS console). Par contre je trouve que Bungie aurais pu intégré un peu plus de nouvelles armes et mais bon...on va pas ce plaindre, il y a des nouveaux véhicules, des nouvelles armes, des nouvelles options ect...Par contre je vous conseille d'attaquer le jeu directement en Héroïque pour les débutants et directement en légendaire pour les spécialistes, en effet j'ai trouver le jeu beaucoup plus facile que les précédents Halo. Le mode légendaire d'Halo 3 est comparable au mode héroïque d'Halo 2. Voilà que dire de plus si ce n'est vivement le prochain...

    Ma note ? 18/20








    Les phénomènes étranges chez les vrais jumeaux

    C'était comme regarder dans un miroir: tous deux hauts d'un mètre quatre-vingt, même corpulence, et surtout même visage. Tout à fait ce dont on s'attend de deux jumeaux monozygotes (issus d'un même oeuf). Mais entre Jim Lewis et Jim Springer (ci-dessus), les ressemblances dépassaient de beaucoup l'aspect physique. JIM et JIM sont frères jumeaux et vivent aux Etats-Unis, ils sont séparés dès leur naissance et sont adoptés par deux familles qui, sans le savoir, leur ont donnés le même prénom :JIM. C’est la première des incroyables similitudes qu’ils ont découvertes lorsqu’ils se sont retrouvés après 40 ans de séparation.
    Ils ont vécu toute leur vie sans se voir ni même communiquer et pourtant ils n’étaient qu’à 100Km l’un de l’autre.
    Malgré cette séparation, de très mystérieux liens les unissent, le premier évidemment : le physique ; ils ont chacun adopté un chien baptisé TOY ; ils ont conduit la première fois une voiture de même marque, fumé la même marque de cigarettes et pratiqué le même sport ; leur profession est bien, ils sont tous les deux policiers. Si des similitudes peuvent être expliquées par les gènes, d’autres restent sans la moindre réponse rationnelle.
    La première femme de Jim luis s’appelle Linda, la première femme de Jim springer s’appelle également Linda, Jim luis se remarie avec Betty, son frère se remarie également avec une autre Betty. Jim luis a un fils qui s’appelle James Alain, son frère également .

    Les liens entre jumeaux monozygotes éveillent en général seulement un peu de curiosité : pourquoi deux individus nés le même jour et porteurs du même patrimoine génétique ne pourraient pas avoir également en commun les traits significatifs de leurs personnalité?

    Mais quand les jumeaux monozygotes sont séparés immédiatement après la naissance et se retrouvent de nombreuses années plus tard, en découvrant avoir mené des existences similaires, les implications sont non seulement fascinantes, mais potentiellement révolutionnaires.

    Les cas de jumeaux monozygotes séparés à la naissance sont aujourd'hui très rares (on en relève dans le monde seulement 68). En 1979, en Angleterre, alors qu'elles avaient mutuellement ignoré pendant 34 ans l'existence l'une de l'autre, deux jumelles séparées à la naissance furent réunies. Quand elles rencontrèrent Tom Bouchard, chercheur à l'Université du Minnesota (USA), Bridget Harrisson et Dorothy Lowe portaient chacune sept bagues, 2 bracelets à un poignet, un bracelet et une montre à l'autre. De plus, on sut que toutes deux avaient arrêté de prendre des leçons de piano au même âge, qu'elles avaient toutes deux un chat nommé "Tiger", et que l'une avait appelé son fils Richard Andrew alors que l'autre avait appelé le sien Andrew Richard. Mais le plus étrange était que toutes deux, en 1960, avaient tenu un journal. La couleur et la marque de leurs journaux respectifs étaient identiques et même les pages laissées blanches au cours de l'année étaient les mêmes.

     En remontant dans le temps et en considérant diverses cultures on remarque que "l'étrangeté" des jumeaux monozygotes a toujours généré quelques craintes. Dans certains groupes tribaux d'Amérique Septentrionale, les jumeaux monozygotes étaient tués à la naissance, tout comme chez les Inuit, esquimaux du Groënland, chez les aborigènes australiens et les japonais. Parfois, on tuait même la mère, dont on croyait alors qu'elle avait eu des relations sexuelles avec deux hommes différents.

     A notre époque, les travaux les plus importants sur les jumeaux sont ceux de Tom Bouchard. A partir de 1979, dans le cadre de l'un des plus grands programmes de recherche dans ce domaine, Bouchard a interviewé et examiné des centaines de jumeaux monozygotes. Les tests duraient une semaine et comprenaient des évaluations de la personnalité des individus et des examens médicaux. On comparait des échantillons de sang, on prenait des empreintes digitales, et on prenait en considération d'éventuelles allergies. On n'épargnait même pas l'intimité de la sphère sexuelle. Après 50 heures d'examen, Bouchard et ses collaborateurs savaient tout ce qu'il y avait à savoir sur la paire de jumeaux qui avait fait l'objet de leurs tests. Ces travaux semblent indiquer que le caractère d'une personne est plus influencé par des facteurs génétiques qu"il ne peut l'être par des facteurs sociaux.

     Mais il semble qu'un autre facteur entre en jeu. Le travail de Richard J. Rose, professeur de psychologie et de génétique médicale à l'université de l'Indiana (USA), a démontré que, chez les jumeaux monozygotes, le degré de ressemblance, ou mieux celui d'"identité", est en relation avec la précocité de la division embryonale dans l'utérus maternel. En d'autres termes, Rose a trouvé que plus la division embryonale est précoce, moins les jumeaux monozygotes auront tendance à développer des différences au niveau psychique.

    Malgré la masse d'informations venant de cette étude et d'autres similaires, les phénomènes associés aux jumeaux monozygotes n'ont pas encore été expliqués. Par exemple, comment se fait-il aue des jumeaux ayant vécu dans des familles et villes différentes aient pu vivre les mêmes choses au même moment?

    En juillet 1975, Nita Hurst ressentit soudainement une douleur lanscinante à la jambe gauche et vit de ses propres yeux un hématome qui s'élargissait sur toute la partie gauche de son corps. L'origine de cette mystérieuse lésion fut découverte plus tard, quand Nita sut qu'à ce moment précis, Nettie Porter, sa soeur jumelle, avait eu un accident de voiture en Californie, à 650 km de là. EN 1977, une californienne nommée Martha Burke eut la sensation d'être "coupée en deux" par une vive sensation de brûlure qui lui traversait le Thorax et l'abdomen. Quelques heures plus tard, elle fut informée que sa soeur avait été tuée dans un accident d'avion. Le cas de deux jumelles de 4 mois, Samantha et Gabrielle Connolly, est encore plus terrible : le 8 octobre 1983, elles furent toutes deux frappées de "mort au berceau (mort subite)"; les petites dormaient pourtant dans des lits différents, dans des pièces différentes, à des étages différents de la maison.

     Ces liens paranormaux qui unissent les jumeaux sont considérés par certains comme la preuve que tous les êtres humains ont de fait le pouvoir de développer et d'utiliser complètement la perception extrasensorielle. Au début des années 90, ne étude sur la relation entre jumeaux et perceptions extrasensorielles, menée par l'Université de Bristol pendant un an, a montré que les jumeaux possèdent une extraordinaire capacité à penser exactement de la même manière : lorsque les chercheurs demandèrent aux jumeaux de choisir des images ou symboles à se "transmettre", les résultats obtenus furent bien supérieurs aux résultats recueillis auprès de frères "normaux".

    Encore plus radical est le point de vue de ceux qui croient que nos destins dépendent de la position des étoiles dans le ciel le jour de notre venue au monde. Suzel Fuzeau-Braesch (ci-dessus), du Centre National de Recherches scientifiques d'Orsay, près de Paris, a réexaminé les cartes astrologiques relatives à la naissance des jumeaux. Mais que l'astrologie soit ou non la clef d'interprétation la plus pratique, elle est, dans les recherches en ce domaine, un problème de second ordre.

     Les scientifiques sont également perplexes devant les ressemblances physiques des jumeaux. Aujourd'hui, grâce à l'emploi fréquent de l'échographie dans le monitorage des embryons, on sait que le phénomène de gemelliparité est beaucoup plus fréquent qu'on ne pensait. Au moins une grossesse sur huit comprend un jumelage, même si ensuite un dixième seulement de celles-ci mène réellement à un accouchement de jumeaux. De plus, il faut considérer la non-négligeable évidence que le foetus puisse souffrir d'un sentiment de culpabilité à cause de la mort de son jumeau.Cette hypothèse jette une lumière toute nouvelle sur le sentiment d'être incomplet, dont certains individus souffrent toute leur vie. Selon cette théorie, une partie d'eux-mêmes n'existe plus.

    Le biologiste Charles E. Boklage estime que le pourcentage de personnes qui pourraient avoir eu un frère jumeau n'ayant pas survécu s'élève à 10-15%.

    Dans quelques cas très rares, les jumeaux monozygotes ne se séparent pas complètement dans le ventre maternel : ce sont des frères siamois.

    Les frères siamois les plus célèbres furent Chang et Eng Bunker (ci-dessus), nés en 1811 en Thaïlande, pays qui était alors appelé Siam. Les jumeaux Bunker, attraction du cirque Barnum, Vécurent 63 ans, se marièrent, et eurent en tout 21 enfants. Ils furent chanceux : peu de frères siamois survivent à l'enfance. Chang et Eng étaient unis au niveau du thorax par une sorte de bande de tissus. A notre époque, ils auraient été séparés de manière chirurgicale. Le cas de ces frères est évoqué dans un épisode d'X-Files, où un forain explique à l'agent Scully que suite à la mort subite de son frère, Eng serait à son tour mort, mais de peur, en constatant la mort d'une partie de lui-même.

     Luigi Gedda (ci-dessus) à , fondateur et directeur de l'Institut Gregorio Mendel de Rome, formula la théorie de l'"horloge de la vie". Elle est l'une des peu nombreuses tentatives scientifiques de résoudre l'énigme des jumeaux. Entre 1953 et 1978, Gedda étudia plus de 15 000 paires de jumeaux et arriva à la conclusion que nous avons tous une sorte de "projet de vie", crypté dans notre code génétique. C'est "l'horloge de la vie". Gedda trouva que ceci se vérifie particulièrement chez les jumeaux. Sa théorie serait donc en mesure d'expliquer les inquiétantes analogies qui se rencontrent dans la vie de deux jumeaux; mais malgré les progrès de la génétique, celle-ci reste très controversée. Si elle peut facilement expliquer pourquoi les jumeaux Jim étaient de gros fumeurs, avaient tous deux eu un infarctus et souffraient d'hémorroïdes, elle ne suffit pas pour éclairer les motifs qui les ont tous deux portés à épouser des femmes de noms identiques, ou à passer des vacances sur la même plage en Floride.

    Y a-t-il vraiment dans chacun de nous une force mystérieuse qui décide de chacune de nos actions, de celui ou celle que nous épouserons,du moment et de la façon dont nous mourrons?

    Les choix en apparence occasionnels, comme le nom que l'on donne au chat de la maison ou la destination de nos vacances, font-ils en fin de compte partie d'un projet de vie individuel?

    Ce qui est certain pour le moment, c'est que beaucoup d'aspects particuliers des jumeaux restent une énigme à laquelle les scientifiques doivent encore répondre.

    Source : home.scarlet.be






    L'hôpital et ses fantômes Saison 1

    11/10/2007 09:29

    L'hôpital et ses fantômes Saison 1


     

     L'hôte indésirable (Saison 1 épisode 1)

    Que ton règne arrive (Saison 1 épisode 2) 

    Ecoute et tu entendras (Saison 1 épisode 3)

    Un corps étranger (Saison 1 épisode 4)

    Un mort-vivant (Saison 1 épisode 5)






    L'hôpital et ses fantômes saison 2

    11/10/2007 09:32

    L'hôpital et ses fantômes saison 2


    Reminiscence (Saison 2 épisode 1)

    Les oiseaux de passage (Saison 2 épisode 2)

    Gargantua (Saison 2 épisode 3)

    Leger comme l'air, lourd comme le plomb (Saison 2 épisode 4)

     De profundis (Saison 2 épisode 5)

    Pandemonium (Saison 2 épisode 6)






    Twin Peaks saison 1

    11/10/2007 09:49

    Twin Peaks saison 1


    Épisode Pilote (Saison 1 épisode 00)

    Traces to Nowhere (Saison 1 épisode 01)

    Zen, ot the Skill to Catch a Killer (Saison 1 épisode 02)  

    Rest in Pain (Saison 1 épisode 03)

    The One-Armed Man (Saison 1 épisode 04) 

    Cooper's Dreams (Saison 1 épisode 05)

    Realization Time (Saison1 épisode 06)

    The Last Evening (Saison 1 épisode 07)






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