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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 25 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    Legacy of Kain, Soul Reaver

    23/06/2007 23:42

    Legacy of Kain, Soul Reaver


    Source : jeux vidéo.com

    Legacy Of Kain : Soul Reaver Dreamcast

    Sortie : En mars 2000

    Vampire errant maudit par son maître, vous naviguez entre transcendance et monde réel, entre le matériel et l’immatériel, dans un univers inquiétant et sournois. L’aventure commence pour les joueurs Dreamcast.

    Legacy Of Kain : Soul Reaver

    Raziel , un des premiers lieutenant vampire de Kain est condamné à errer éternellement dans les limbes de l'enfer pour avoir osé surpasser les pouvoirs de son maître. Kain était toujours le premier à évoluer. Un autre évoluait à son tour une décennie ou deux plus tard. Cette réalité prit fin le jour où Raziel eut l'audace d'évoluer avant son maître. Il fut pourvu d'ailes et damné pour son outrecuidance.

    Test Legacy Of Kain : Soul Reaver Dreamcast - Screenshot 1

    L'Ancien lui a beaucoup appris. Il lui a expliqué la création, la mort, les âmes et la faim. Cette faim qui le ronge depuis des siècles... Depuis que l'empire des vampires de Kain l'a privé des âmes de Nosgoth.... Raziel sert maintenant un nouveau maître. Un maître exigeant, un maître affamé d'âmes.

    Ainsi est planté le décor. Une intro magnifique illustre cette légende si crédible et si prenante… On sait alors que l’on est en possession d’un grand jeu, et que l’aventure sera belle et haletante ; que mille rencontres extraordinaires nous feront y croire toujours plus. En jouant à Soul Reaver, vous n’aurez parfois plus la sensation de jouer. Vous y serez.

    Test Legacy Of Kain : Soul Reaver Dreamcast - Screenshot 2

    La vue et le style de gameplay sont empruntés à Tomb Raider, le héros tournant le dos au joueur la plupart du temps. Le monde de Soul Reaver est à la fois une quête, un labyrinthe et un univers peuplé de créatures hostiles, d’esprits belliqueux et d’humains que vous devrez affronter. Il se divise en deux antipodes : la sphére spectrale et la sphère matérielle. Dans cette dernière, votre héros ne peut survivre bien longtemps, son énergie vitale diminuant graduellement ; pour demeurer il doit se nourrir des âmes de ses ennemis, sous peine d’être automatiquement téléporté dans la sphère spectrale. Toute la subtilité du jeu réside dans cette ambivalence abstrait / concret, et vous aurez à jongler habilement entre les deux pour déjouer les énigmes qui jonchent votre aventure. Certaines actions vous seront permises dans une sphère et pas dans l’autre…

    Test Legacy Of Kain : Soul Reaver Dreamcast - Screenshot 3

    Les mouvements et actions de Raziel sont impressionnants : il peut tout faire, avec une agilite et une rapidité d’éxécution propre à sa constitution : s’agenouiller, marcher doucement, courir, sauter (haut ou très haut), voler, escalader, s’aggriper… sa panoplie en combat est également riche. On a tendance à s’emmeler les pinceaux au début, mais c’est là tout naturel, tant la jouabilité est profonde. Toutefois, le pad de la Dreamcast se prête tout particulièrement bien au maniement du personnage, et le stick analogique se révèle encore une fois bien pratique. Enfin, pour ce qui est de la pure réalisation, la Dreamcast fait une nouvelle fois montre de ses capacités. L’animation est parfaitement fluide, sans aucun accroc, les effets visuels sont très jolis… et puis on retrouve toujours ce scintillement glacial caractéristique de la machine. Le son est bon lui aussi, bien qu’inférieur comparativement aux autres compartiments de la technique.

    Test Legacy Of Kain : Soul Reaver Dreamcast - Screenshot 4

    Bref ! vous l’aurez compris (enfin j’espère, sinon je me suis fais chier pour rien ;o)), Soul Reaver est un grand jeu ; une de ces aventures qui vous marque, un de ces jeux dont on reparle x années plus tard avec enthousiasme et nostalgie.

    Mélo , le 13 mars 2000

     

    Graphismes 17/20

    Superbe ! le monde de Soul Reaver est envoûtant, et la console y est pour beaucoup – l’animation est d’une fluidité magistrale.²

    Jouabilité 17/20

    Complexe, profonde, la jouabilité n’en est pas moins idéale et aisée. La manette de la console est parfaite sur ce coup là.

    Durée de vie 17/20

    Deux niveaux de monde, de nombreux lieux et monstres à découvrir… la tâche est rude mes amis !

    Bande son 15/20

    C’est pas exceptionnel, l’ambiance de fond, faite de ronronnements, du mugissements, est absolument electrisante. Les bruitages en revanches sont un peu ternes.

    Scénario 18/20

    C’est remarquable ! Soul Reaver est tout en subtilité, car il faut composer avec la sphère matérielle et la sphère spectrale, les interactions entre les deux monde sont fondamentales pour progresser. Par ailleurs, le jeu se situe entre aventure, quête, action, avec une partie de réflêxion non négligeable.

    Note Générale 18/20

    Soul Reaver, c’est d’la balle, comme on dit aujourd’hui quand on est « in »… ! :) C’est une grande aventure, un grand jeu d’action, un grand jeu de rôle aussi… ; oui car on y croit à ce jeu, on est DANS le personnage ! Plongez-vous dans ce monde et vous en reviendrez changé…

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Avant de jouer à "Shadow man" j'avais fini ce superbe jeu qu'est "Soul Reaver" qui est un peu dans le même style. Vous incarner un Vampire (trop cool) qui suce du sang (hahaha la bonne blague...qu'est-ce que tu veut qu'il suce d'autre ?). Raziel est un personnage très carismatique et vous aurez beaucoup de plaisir à le controler. Si je me rapelle bien l'histoire,  ce vampire à était banni il y a très longtemps. Les niveaux sont magnifiques et comme un peu à la manière de Shadow man, vous évoluer à travers deux mondes. Les tenèbres et puis le monde réel (si l'on peut dire). En fait quand vous passer de l'un à l'autre vous vous retrouver au même endroit , sauf que beaucoup de choses se modifie. Notamment les pouvoirs de Raziel qui sont pratiquement inexistant dans le monde réel.Vous pouvez naviguer de l'un à l'autre à tout moment comme pour (par exemple) passer aux travers de barreaux. Dans le monde des ténebres votre personnage peut passer aux travers des barreaux, ou peut grimper des murs, chose qui serait impossible dans le monde réel. Au fur et à mesure que vous avancez dans l'histoire, Raziel se dote de nouveaux pouvoirs qui lui permettent de revenir dans les précèdents niveaux pour faire des choses qu'il ne pouvait pas auparavant, et accéder à de nouveaux lieux (ce qui rallonge la durée de vie, soit dit en passant). Voila je ne sais quoi dire de plus si ce n'est que j'ai pris beaucoup de plaisir à jouer à "Soul Reaver".


    Ma note ? 17/20






    The Elder Scrolls III, Morrowind GOTY

    24/06/2007 00:01

    The Elder Scrolls III, Morrowind GOTY


    Source : jeu vidéo.com

    The Elder Scrolls III : Morrowind Xbox

    Sortie : Le 14 novembre 2002

    Les possesseurs de Xbox sont décidément des chanceux. Non contents de baver devant les screens alléchants de Fable, le prochain gros titre de Lionhead, ils pourront désormais assouvir leur passion de rôlistes avec Morrowind. Déjà largement acclamé sur PC, le successeur de Daggerfall, troisième opus de la série The Elder Scrolls, nous arrive dans une version Xbox tout aussi éblouissante.

    The Elder Scrolls III : Morrowind

     

    A priori, on pourrait croire que l'intérêt de cette conversion Xbox de Morrowind ne se justifie que pour les joueurs n'ayant pas eu la possibilité de découvrir ce titre sur PC. Pourtant, j'imagine que la plupart des joueurs possédant ces deux machines ont cru bon d'attendre quelques mois pour se procurer cette version Xbox, et on peut dire que ce choix n'est pas réellement étonnant. Avec cette version console, pas besoin de se prendre la tête pour savoir si son jeu va tourner correctement ou non sur sa config, pas de soucis de bugs ou de plantages, autant de préoccupations qui deviennent obsolètes et donnent un sens concret à ce nouveau portage, qui se veut en plus d'un niveau technique tout aussi satisfaisant que sur PC. En contrepartie, il est clair que tous ceux qui auront fait ce choix doivent avoir en tête que Morrowind dans sa version Xbox ne pourra pas évoluer au moyen de patches ou d'éventuels plugins. Reste que le résultat se veut tout à fait convaincant. Aucun reproche à faire si ce n'est un certain manque de fluidité dans l'animation, quelques saccades de temps à autres, et des loadings de trois minutes pour charger une partie.

    Test The Elder Scrolls III : Morrowind Xbox - Screenshot 1

    On peut passer en vue à la troisième personne pour contempler son perso.

    Tant qu'à conclure avec ces comparaisons entre les deux versions, on peut dire que le gameplay au pad Xbox ne présente aucune difficulté particulière. Les déplacements s'effectuent sans problème avec les deux sticks, et la caméra peut être contrôlée de façon totalement libre, aussi bien en vue subjective qu'à la troisième personne. Tous les détails qui nous avaient bluffés auparavant n'ont rien perdu de leur efficacité : l'impression de se retrouver trempé sous l'effet d'une pluie battante, les coups de tonnerre qui vous donnent froid dans le dos tandis que les éclairs déchirent le ciel avec violence, ou encore le rendu superbe de l'élément liquide lorsqu'on avance avec de l'eau jusqu'à la taille. Les contrôles de jeu sont simples et exploitent l'analogie des gâchettes Xbox puisque l'importance des dommages faits à l'ennemi découle directement de la violence de vos coups, et donc de la pression exercée sur la gâchette du pad.

    Test The Elder Scrolls III : Morrowind Xbox - Screenshot 2

    Les habitants de Tamriel ont des physionomies troublantes.

    Mais Morrowind, c'est aussi tout un univers cohérent où vos actions, bonnes ou mauvaises, ont toujours des conséquences irréversibles sur les personnes qui vous entourent. Ainsi, ne vous attendez pas à voir un PNJ reparaître si vous l'avez tué, et n'espérez pas de la sympathie de la part de vos hôtes si vous avez eu l'audace de vous emparer d'un objet qui leur appartient. Votre charisme et votre comportement à l'égard des marchants, par exemple, sera déterminant du prix qu'il vous proposeront pour votre équipement. En les caressant trop dans le sens du poil ils risquent même de se rebuter et de refuser de traiter avec vous. Les puristes de Dagerfall regretteront sans doute l'absence d'éléments importants comme les chevaux, les banques ou encore les bateaux, et ne manqueront pas de noter les quelques faiblesses de l'IA à travers le comportement de certains ennemis et les réactions de certains PNJ. On peut regretter aussi que la mort ne conduise à rien qui incite vraiment à progresser, puisqu'elle se traduit toujours par un simple Game Over. Dans le même ordre d'idées, le fait de pouvoir interroger n'importe qui sur toutes sortes de points précis aurait été appréciable s'ils ne vous répondaient pas tous la même chose, et cela indépendamment de leur race, de leur fonction ou de leur alignement. Heureusement, une simple consultation de la map suffira généralement à éviter une perte de temps précieux.

    Test The Elder Scrolls III : Morrowind Xbox - Screenshot 3
     
    Les zones de jeu sont réellement vastes.

    Puisque nous en sommes au chapitre des personnages jouables, il faut reconnaître que la variété des races proposées compense le design déconcertant de ces différents persos, même si l'égalité des classes n'est pas toujours vraiment respectée. Les êtres que l'on pourra incarner incluent notamment les Argonian (des hommes-lézards qui peuvent respirer sous l'eau), les différentes variétés d'elfes, les guerriers Imperial, Nord et Redguard, mais aussi les Orcs et les Khajiit (des sortes de lynx qui ont le pouvoir de faire détaler de terreur leurs ennemis). Les nains sont par contre l'objet d'une disparition mystérieuse qu'il s'agira de résoudre au cours de l'aventure. En pratique, c'est toute une série de questions qui détermineront les diverses caractéristiques de départ de votre personnage.

    Test The Elder Scrolls III : Morrowind Xbox - Screenshot 4
     
    On ne provoque pas impunément un rodeur en train de faire cuire sa pitance.

    La particularité du jeu est quand même de ne pas proposer de trame scénaristique linéaire puisque le jeu est entièrement libre. En contrepartie, on s'ennuie parfois de ne pas pouvoir espérer une fin ou l'intervention subite d'événements particuliers pour relancer l'intérêt de la quête. La progression accentue l'impression de faire vivre son personnage dans le monde de Morrowind, mais elle se résume à nous entraîner d'une quête annexe à une autre et l'action retombe parfois, entraînant quelques temps morts. Voilà tout de même un titre de grande qualité que les amateurs de RPG au vrai sens du terme sauront apprécier à sa juste valeur. Un soft qui n'a pas encore son équivalent sur Xbox.

    Romendil, le 16 octobre 2002

     

    Graphismes 17/20

    On atteint des sommets en matière de qualité de réalisation. Les paysages donnent envie de prendre des screenshots et les environnements affichent une foule de détails hallucinants. Seule ombre au tableau : le jeu n'est pas toujours très fluide et affiche quelques saccades malheureusement assez récurrentes.

    Jouabilité 16/20

    Un gameplay tout à fait adapté au jeu avec le pad, et qui se veut riche sans pourtant poser de problèmes au niveau de la maniabilité. Les caméras sont souples et entièrement libre, que l'on soit en vue subjective ou à la troisième personne. Les combats se font en temps réel mais dans l'esprit rôliste. Dommage que les PNJ n'aient pas plus de personnalité quand il s'agit de répondre aux questions qu'on leur pose, mais on appréciera leur capacité à réagir en fonction du comportement du joueur.

    Durée de vie 17/20

    Difficile de mettre moins à un jeu qui bénéficie d'une durée de vie quasiment illimitée. Cependant, la plupart des joueurs risquent de ne pas accrocher totalement du fait d'un certain manque d'intérêt à long terme, dû à un rythme de jeu qui retombe parfois malgré la pléthore de quêtes annexes proposées. Pas d'éditeur de niveaux dans cette version Xbox qui ne pourra pas être améliorée ni enrichie par la suite, contrairement à son homologue PC.

    Bande son 16/20

    Le degré d'efficacité avec lequel la bande-son parvient à passer d'un type de situation à une autre et impressionnant. Résultat : une immersion totale dans l'univers du jeu.

    Scénario 16/20

    La trame principale est sans doute moins palpitante que la plupart des autres RPG, mais le jeu regorge de quêtes annexes intéressantes. La totale liberté qui est offerte au joueur compense le manque de rythme qui ronge parfois l'aventure.

    Note Générale 18/20

    Un RPG au vrai sens du terme, puisqu'il mise tout sur la liberté totale d'action, de comportement et de décision qui est offerte au joueur. La durée de vie est gigantesque et le jeu n'a pas encore son équivalent sur Xbox.

    L'avis de Lestat1975 :

    Alors là attention ......c'est le meilleur jeu que j'ai vu de ma vie de Gamer !!!! A l'époque de sa sortie en 2002, je n'était pas du tout branché RPG, à vrai dire à part "Vagrant Story" de Square Soft, je n'avais aucune expérience en ces jeux là, et les Final Fantasy du même éditeur (Square Soft) ne me plaisais pas du tout (et c'est toujours le cas aujourd'hui) en raison des combat au tour par tour que je ne pouvais pas blairé. En fait c'est un pur hasard si je me suis retrouvé à posséder le jeu "Elder Scroll III". Je m'explique.....à l'époque j'attendais avec beaucoup d'impatience "Splinter Cell" premier du nom. Mon petit frère lui attendait "Elder Scroll III, Morrowind", nous étions un vendredi après-midi, mon frère devais recevoir son jeu ce jour là.....malheureusement il n'est pas arriver .....mon frère était vraiment dégouter, surtout qu'il était disponible en grande surface à côté de chez lui, mais ça il ne pouvais pas le savoir à l'avance et c'est pour ça qu'il l'avais commander. Alors nous avons discuter ma mère et moi pour voir s'il n'y avais pas une solution. Bé y en avais une, il fallait que j'aille acheter le jeu à Super U (wi les nouveaux commerçants....et si vous passiez au U commerce) que je le donne à mon frère, et moi que j'attende que l'autre arrive le lendemain ou la semaine prochaine. Bien comme idée non ? Sauf que moi il m'interressais pas le jeu ha ha ha !!! ....Mais bon en regardant le Test dans le magazine XBOX je me suis dit qu'apres tout il avait pas l'air si mal et que je verrais bien en jouant. Après mon passage chez U et avoir remis le jeu à mon petit frère (qui était fou de joie), je suis passer à autre chose.
    Je crois que le jeu est arrivé le lendemain, j'ai du le tester une paire d'heures sans avoir eu le temps de découvrir son véritable potentiel (et surtout en ne comprenant pas grand chose), et ensuite je me suis mis sur "Splinter Cell" qui venait d'arriver chez moi ....j'y ai jouer pendant 2 semaines et ensuite je me suis remis à Morrowind. Et là, j'ai pris une claque , je ne m'attendais pas du tout à un jeu aussi immense !!!  Je comprend pourquoi ils vous fournissent une carte avec le jeu. J'ai eu un peu de mal à comprendre comment mon perso pouvais monter de niveau (en fait il faut dormir, mais pas n'importe ou) mais à part cela je me suis fait très bien à ce style de jeu. Le plus dur c'est au début, votre personnage est tellement faible qu'il ne peut même pas s'aventurer hors de la ville sous peine de ce voir tuer par un vugaire Rat (entre autre), en effet avoir une épée en main ne signifie pas forcément que vous étes en sécurité face à un ver ou un rat. Si vous possedez une lâme longue et que votre niveau en lâme longue et de 20 sur 100 vous toucherez votre bestiole seulement 1 fois sur 10 par exemple et en lui infligeant très peu de dégats. Pareil pour l'armure ....si votre niveau en armure lourde, légère ou intermédiaire et par ex de 30 sur 100 votre protection est pratiquement inexistante, en 2 morsures un Rat peut avoir votre peau (Ho la la le chevalier ha ha ha !!!). Il y à énormèment d'armes, d'armures, d'objets à posséder dans Morrowind, moi personnellement je faisait la collection des Casques. Morrowind est un jeu tellement vaste tant au niveau de l'espace qu'au niveau des possibilités. Je n'aurais jamais assez de ligne (ni le courage) pour vous parlez de tout ce qu'il est possible de faire .....vous pouvez par exemple vous transformer en Vampire si vous avez eu la chance de vous faire mordre par un membre des clans de Vampire (ou même par un batard....il y en a pas mal qui traine de si de là dans quelque tombeau). Vous pouvez acheter tout les sorts que vous avez envie et même d'en créer, vous pouvez enchanter vos armes, vos vêtements, des bagues, des ceintures, des amulettes ect.....Vous pouvez jouer les aventuriers à condition de bien être équiper et costaud physiquement car les dangers sont très nombreux. C'est ce que moi j'ai fait à ma première partie...j'était tellement scotché devant l'immensité du jeu que j'ai voyager le plus possible pour découvrir les trésors cachés de ci de là, en ne me souciant pas des quètes que j'avais à effectuées. En effet le vrai plaisir de Morrowind c'est la liberté......vous pouvez faire ce que vous voulez, rien n'est linéaire, rien ne vous arréte....vous pouvez aller ou bon vous semble ....les seules limites de la carte se rencontrent très loin dans les mers qui vous entourent. Et quand vous en aurez marre de voyager, vous pourrais vous posez un peu dans votre maison, dans la ville que vous aurez choisi (pour son côté pratique ou bien pour sa beauté) en l'achetant si cela vous est proposé ou bien en tuant le propriétaire (ce que j'ai fait).....wi je sais c'est pas bien .....une chose à préciser.....ne tuer pas n'importe qui.....car dans certaines quètes qui vous seront proposées vous serez amener à rencontrer certains personnages.....mais malheureusement si celui ci n'est plus là parce qu'il est tombé sur vous au moment ou il ne fallait pas, vous ne pourrais pas finir la quète......mais rassurer vous ..si vous avez le malheur de tuer un personnage important pour la quète principale, un message s'affichera pour vous dire que le monsieur ou la madame que vous avez tuer était très importante et vous empêchera de finir la quète principale....Dans Morrowind il n'y a pas bien sur que la quète principale....en effet vous pouvez vous engager avec une bonne dizaine de guildes.....les voleurs, les guerriers, les mages, la morag tong, le temple et bien d'autre encore. Jusqu'à atteindre le haut de la hiérarchie reconnu par tous. Ce jeu est incroyable !!!! Une durée de vie de plus de 200 heures (surtout pour ce qui décident de tout faire) et même plus je dirais. Morrowind c'est le jeu du siècle !!!! Je crois que j'y est jouer presque 4 mois à peu près 10 heures par jour !!!! J'ai fait le jeu plusieurs fois, avec des personnages différent.Vous avez pas mal de chose à faire lors de la création de votre personnage, vous pouvez choisir la race bien évidemment....mais ce qu'il faut faire c'est choisir ces talents principaux par rapport à ce que vous utiliserais le plus, sinon vous n'aller pas monter assez vite en niveau....c'est à dire par exemple ne choisissait pas lâme courte si vous utilisez une arme classer dans la catégorie lâme longue. Vous avez des talents principaux et des talents secondaire chacun de ses talents correspond à une partie de votre personnage, par exemple la hâche correspond à la force, la course à pied correspond à l'endurance ect.....plus vous utiliserait un talent plus vous aurez de chance d'avoir (à la monter de niveau) des points de bonus (+ 5 maxi) dans la partie de votre personnage que vous aurez utiliser le plus. Mais là j'arrete de rentrer dans les détails parce que sinon je vais y passer la nuit.....dsl mais le jeu est incroyable, il y a tellement à dire à expliquer .....je vais juste me recentré sur le plaisir d'y jouer.....Car le plaisir est bien là ......les graphismes sont vraiment super, excepter pour les personnages qui sont franchement moches...Mais bon un bon casque sur la tronche et on en parle plus, non c'est vrai que c'est le point faible de Morrowind....si vous jouer à la version PC (ce que j'ai fait aussi) vous pouvez téléchargé des MODS qui vous transforme la tête et le corps de vos personnages (j'ai essayer c'est incroyable). Le jeu est aussi bourrer de Bugs en tout genre.....personnages bloquaient dans les décors ect.....mais franchement, on s'en balance tellement le plaisir est immense. Ha quel jeu !!!!! Si vous voulez acheter Morrowind ne l'acheter pas seul....en effet Bethesda à ressortie Morrowind sous le titre "GOTY" avec ses deux extensions que sont "Tribunal" et "Bloodmon" se qui ralonge encore plus la durée de vie de ce très très très grand jeu !!!!!!  (Là on doit être à 300 heures de jeu à peut près.....LOL) J'e n'en suis toujours pas remis......Bethesda à sortie la suite de "The elder scroll III, Morrowind" l'année dernière sur XBOX 360 sous le titre "The elder scroll IV, Oblivion". Je n'est malheureusement pas la dernière console microsoft (à moins que tout les membres de Vip-blog me versent 1 Euros chacun....LOL je me paye pas que la console avec ça hahahaha !!!) et d'après ce que j'ai pu lire et entendre "Oblivion" malgré ces graphismes tape à l'oeil n'est pas du niveau de "Morrowind" .....c'est vous dire la qualité de ce titre.....


    Ma note ? 19/20






    Silent hill 3

    07/07/2007 16:51

    Silent hill 3


    Source : jeux vidéo .com

    Silent Hill 3 Playstation 2

    Sortie : Le 23 mai 2003

    « Si tu regardes longtemps dans l'abîme, l'abîme aussi regarde en toi ». Jamais série de jeux vidéo ne siéra mieux à cette citation de Nietzche Friedrich que celle de Silent Hill. Avec ce troisième opus, Konami pose définitivement les jalons d'une grande saga qui ne cesse d'évoluer tout en se restreignant pourtant à un univers commun à tous les jeux, une petite station balnéaire américaine, véritable antichambre de l'enfer. Si le troisième épisode est tout de même en nette rupture par rapport à Silent Hill 2, il n'en demeure pas moins aussi angoissant et terrifiant que ses grands frères et se veut de surcroît totalement indissociable de Silent Hill premier du nom. Chroniques d'un « petit » jeu pour de grandes angoisses.

    Silent Hill 3

    Quand le premier Silent Hill est sorti, on pouvait penser à un honteux plagiat du survival horror Resident Evil. Lorsque Silent Hill 2 est arrivé, on aurait pu se dire qu'un jeu se passant exactement dans le même univers que le précédent serait inutile et lassant. Silent Hill 3 sort, et là on soupire en se disant que Konami n'a vraiment pas mis longtemps à nous pondre ce troisième titre, ce qui n'est jamais bon signe et pourtant, et pourtant...Le premier Silent Hill fut un choc par son ambiance malsaine, sale, à mille lieues de celle du hit de Capcom, privilégiant le mal-être du joueur aux frissons immédiats. Silent Hill 2 reste à l'heure actuelle une expérience traumatisante, véritable conte horrifique, psychologique, aux multiples embranchements, aux incessantes questions qui tiraillent encore aujourd'hui le joueur qui l'aura terminé plusieurs fois.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 1

    Les premiers monstres rencontrés sont très dérangeants.

    Quant à Silent Hill 3, il se veut donc inséparable du premier épisode et en cela n'a pas grand chose à voir avec Silent Hill 2 qui, malgré les divergences au sein même des amateurs, représente pour moi un opus ayant une vie propre et n'étant rattaché au premier que par le lieu de l'action bien sûr. Dans ce 3ème opus, vous jouez le rôle de Heather, une jeune femme à l'air amorphe qui semble déambuler dans le jeu telle un zombie. Le regard vide, les bras tombants, elle se verra accoster très rapidement par Douglas, un détective qui compte lui révéler ses origines. J'aimerais beaucoup vous en dire plus mais ce serait vraiment gâcher la surprise. Pour être honnête, je vous dirais que j'ai été énormément déçu au niveau scénario durant les 3 premières heures de jeu qui sont clairement orientées action. Avant tout, le jeu ne commence pas à Silent Hill mais dans une ville dont on ne sait rien. D'un centre commercial, vous passerez à une rame de métro ou encore des égouts. Le problème est que durant ce début de partie, vous n'apprendrez que peu de choses sur Heather et seuls quelques clins d'oeil à Silent Hill vous mettront sur la voie (comme une certaine image sur un écran de télévision par exemple). Bref, durant tout ce temps vous ne cesserez de courir passant d'une dimension à l'autre, ramassant plusieurs armes et achèverez de nombreux ennemis, très Lovecraftesques, qui entraveront votre route.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 2

    Malgré son poids cet ennemi est très rapide.

    Si ce début de partie est très déroutant et risque fort de surprendre l'amateur de la série, le grand changement interviendra une fois que Heather arrivera enfin chez elle (le but de son périple) et assistera à un événement tragique. A partir de là on rentre dans un autre jeu, puisque l'héroïne décide de partir en quête de réponses à Silent Hill et c'est là qu'est le véritable paradoxe. En effet, à ce moment on jubile complètement bien qu'on retrouve des endroits connus, des monstres déjà croisés dans les aventures précédentes, mais le tout est bien plus terrifiant que le début de jeu en demi-teinte. A croire que Konami n'aura pas réussi à concevoir une prolifération de l'horreur, une extension aussi forte du malaise à une autre ville que Silent Hill qui est plus que jamais un paratonnerre à démons. En somme, arrivé dans la station balnéaire, tout se met en place, les cut-scènes fusent, on commence à entrevoir la vérité, l'ambiance est plus lugubre, plusieurs moments cruciaux versent dans le gore et c'est une goutte de sueur perlant sur le front qu'on avance dans une ville définitivement dédiée au culte de l'atroce.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 3

    Plusieurs pièces sont pleines de surprises.

    Des monstres qui n'ont rien d'humain, des abominations sans nom, Silent Hill 3 c'est ça. En fait les développeurs ont tout compris puisque quelque part ils ont conçu des atrocités, des scènes de terreur qui nous renvoient à notre vie de tous les jours. Ici un simple fauteuil roulant vous dérangera nerveusement, un téléphone sonnant dans une pièce silencieuse fera battre votre coeur à cent à l'heure, la peur du noir surgira de votre inconscient, les difformités des monstres humanoïdes vous feront détourner le regard, tout sera prétexte à des hauts le coeur. Enfin pour appuyer cette tension Konami n'a pas hésité à puiser allègrement dans de nombreux films fantastiques. Entre Lost Highway, In the mouth of madness, Le carnaval des âmes, le fantasticophile va se régaler. Si l'aspect graphique n'est pas parfait (le déhanchement d'Heather, quand elle court, fait penser à celui d'une dame âgée), les visages sont les plus impressionnants qu'il m'ait été donné de voir sur PS2. On dirait que chaque muscle facial bouge lorsque les personnes discutent, et le travail à ce niveau est remarquable.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 4
    La carte des niveaux façon gribouillis d'écolier. 

    Les décors sont évidemment toujours dans le ton. Comme je le disais plus haut, si le début de jeu est moins intéressant que le reste, il n'en propose pas moins des environnements détaillés, toujours vides de PNJ (ce qui est toujours un peu dommage, car à mon avis le sentiment d'oppression serait encore plus important si on côtoyait autant de monde que dans la vie de tous les jours) mais suintants de crasse et de sang. Mais une fois de plus la pleine mesure du talent des développeurs explosera arrivé à Silent Hill. Comment oublier ce parc d'attractions (rempli de souvenirs d'enfants et donc encore plus macabre, terrifiant par le simple fait de souiller un lieu généralement si vivant), cette maison hantée (un des passages, trop court, les plus « magiques » du jeu), l'hôpital de Brookhaven ou cette église (et ses images impies, dantesques). Rajoutez à tout cela des monstres indescriptibles (certains étant beaucoup plus convaincants que d'autres ceci dit), des effets spéciaux dérangeants (ha ces pièces qui se remplissent de sang) et vous obtenez l'épisode de Silent Hill le plus abouti d'un point de vue graphique.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 5

    Les « boss » ne sont guère coriaces.

    La bande son, qui est toujours l'oeuvre de Yamaoka Akira, est une fois de plus intense, sombre, rapide, avec des instruments aux sonorités très douces ou au contraire stridentes. Les thèmes instrumentaux se partagent cette fois la vedette avec des chansons du plus bel effet et qui font penser, pour certaines, aux compositions de Lisa Gerrard ou de Dead Can Dance. Là aussi Yamaoka réussit son pari et nous offre des musiques magistrales qui à elles seules réussiront à vous faire frémir (écoutez les bandes originales de Silent Hill dans le noir et vous m'en direz des nouvelles). Pour les bruitages, et bien c'est aussi un sans faute avec l'ajout de plusieurs effets de style (pleurs de fillette, bruits imperceptibles et pourtant très présents qui entourent le joueur...), des détonations d'armes réalistes et surtout des doubleurs qui sont tout simplement parfaits.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 6

    Cette phrase équivaut pour moi à toutes les scènes cultes du jeu réunies. Renversant !

    Question gameplay, le constat est un peu moins idyllique. L'inventaire n'a subi aucune retouche et est toujours constitué de plusieurs parties distinctes (objets/armes/provisions). La navigation est aisée mais le tout aurait pu être optimisé. De plus le système de jauge de vie est très moyen, une simple image changeant de couleur pour vous informer de votre état de santé (de bleu, vous passez au marron puis au rouge, etc), ce n'est pas la panacée. Pour finir là-dessus signalons les cartes des niveaux toujours aussi bien pensées par contre et enfin la partie Notes qui vous permettra à loisir de consulter tous les indices que vous aurez trouvés au cours du jeu. Le maniement de Heather peut poser quelques problèmes mais ici aussi, comme deux configurations sont disponibles (2D à la Devil May Cry et 3D à la Resident Evil) tout type de joueur devrait être contenté. A part ceci, si on peut disposer d'un système de lock automatique, des problèmes de caméra viennent parfois entacher l'action et ceci est gênant surtout quand on se trouve dans une pièce fermée pleine d'ennemis. Ce n'est pas insurmontable mais il y avait tout de même quelque chose à améliorer de ce côté-là.

    Test Silent Hill 3 Playstation 2 - Screenshot 7

    La maison hantée, un des passages les plus délectables du jeu.

    Niveau durée de vie, comme toujours trois modes de jeu sont disponibles (tant au niveau de l'action que des énigmes) et les puzzles changeront en fonction de ce choix. Maintenant Silent Hill 3 innove un peu en vous jetant en pâture un surplus de monstres et pour en venir à bout il ne faudra pas hésiter à utiliser votre katana, masse, mitraillette, taser, etc. Le jeu (en mode normal ou hard) se finit en 8, 9 heures mais vous pourrez toujours y revenir pour tenter de voir toutes les fins différentes (dont la célèbre fin Aliens :).

    Moins cérébral, moins freudien que Silent Hill 2, indissociable de Silent Hill et disposant d'un capital action important, Silent Hill 3 est un jeu terrifiant, prenant (du moins dans sa seconde partie), graphiquement superbe. Le dernier bébé en date de Konami respecte la charte de la série et si son scénario est moins complexe que celui du deuxième épisode, il ferme malgré tout la boucle et par là-même semble ouvrir une toute nouvelle voie pour le futur de la saga. Si 4ème épisode il y a, il sera dès lors très intéressant de voir quelle direction Konami fera prendre à sa série. Personnellement je serai au rendez-vous.

    Logan, le 20 mai 2003

    Graphismes 18/20

    Dehors les scènes cinématiques en images de synthèse. Un peu dommage mais les cut-scènes utilisant le moteur du jeu sont très bonnes avec un niveau de détails dans les expressions faciales jamais atteint sur PS2. La démarche de Heather est trop rigide mais on oublie vite ce défaut devant la beauté macabre des décors.

    Jouabilité 16/20

    Alors que l'écran d'inventaire aurait pu être amélioré il n'en est rien. Le maniement du personnage demande un petit temps d'adaptation mais plusieurs configurations sont possibles. Quelques problèmes de caméra viennent parfois gêner durant les combats et si on doit souvent recentrer la caméra, cela n'est pas bien méchant.

    Durée de vie 15/20

    Le jeu se termine rapidement, comptez 8 heures en mode Normal ou Hard, mais Silent Hill 3 comme ses aînés propose plusieurs fins différentes.

    Bande son 18/20

    Angoissante, sombre et douce à la fois. Les compositions de Yamaoka sont discrètes, stridentes mais toujours très justes. Les bruitages sont dans la continuité des titres instrumentaux à savoir impeccables.

    Scénario 14/20

    Si vous n'avez pas joué au premier Silent Hill, vous risquez de passer à côté de plusieurs petits clins d'oeil ou détails. Ceci dit, des journaux intimes seront là pour vous rappeler les événements du premier épisode. Moins surprenant et passionnant que le scénario de Silent Hill 2, celui de Silent Hill 3 n'en est pas moins fort réjouissant et clôt magistralement une épopée...divine.

    Note Générale 17/20

    Silent Hill 3 est encore plus beau que Silent Hill 2, plus intense au niveau de l'action mais il est déconcertant de voir comment est découpé le jeu, la première partie du soft étant assez décevante et ce même si nous avons droit à de nouveaux environnements. Néanmoins dans son ensemble, Silent Hill 3 est une oeuvre fragile, indispensable, le jeu nous raconte une histoire qui semble avoir été co-écrite par Machiavel et Lovecraft, et se pose simplement comme un prolongement aux plus belles oeuvres de Carpenter, Lynch ou Brian Yuzna.

     

    L'avis de Lestat1975 :

    C'est tout frais, je l'ai fini hier après-midi. Bé j'ai était plutôt déçu sur ce coup là. Je m'attender à beaucoup, beaucoup mieux.....J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire pour commencer, même si au fil du jeu on s'y accroche quand même un peu grace à des clins d'oeil au premier Silent hill. En effet on peut considérer Silent hill 3 comme une suite au premier. Le personnage principal du troisième est le petit bébé que le héros tener dans ses bras à la fin du premier épisode. Mais bon à part ça pas grand chose......Le jeu est très réussi graphiquement, notamment les visages. Par contre j'ai trouver le jeu très court (moins de 9 heures en mode normal) par rapport au 2 et surtout au 4 . En fait je trouve que Silent hill 3 ressemble à un jeu sortie à la va-vite.......pas fini quoi. Le jeu ne se passe pratiquement jamais en extérieur, et vous ne parcourais à pied qu'une toute petite parcelle de la ville, je trouve cela vraiment décevant. (surtout quand on le compare au second) puis les enigmes sont nulles aussi...aucune originalité . En plus de ça j'ai trouver le jeu assez dur (surement pour augmenter une durée de vie minable), avec très peu de munitions et très peu d'armes réussies ainsi que très peu de quoi recharger sa vie (que du très peu en fait hihihihi) et ça en mode normal. Puis les monstres ne sont même pas effayant. J'oserai même dire que j'ai préferai "Silent hill 4, the room" à Silent hill 3 c'est vous dire. En effet le 4 est assez original et on est un peu  plus accroché par le scénario et les effets "malaises" sont beaucoup plus nombreux. Je doit dire aussi que j'ai beaucoup gallèré avec la manette PS2 (que je ne peut pas blairé). J'arrive pas à mis faire à cette "chose". En fait les pires moments de frayeurs que j'ai rencontrer dans Silent hill 3 c'est la manette PS2 qui me les à procurés (LOL) . En effet je n'arriver jamais à stabiliser mon perso  en courant (il zigzagué tout le temps). Je me prennai les murs, les monstres et tomber dans le vide régulièrement. Mais ce n'est pas à cause de la manette que je trouve le jeu un peu décevant (Il se débrouille très bien tout seul), non ça encore c'est pas grave. Mais bon je ne suis pas là pour casser du Silent hill 3. Le jeu est quand même bien dans l'ensemble (même si il est très très loin du niveau du second). On a plaisir à se retrouver dans un Silent hill malgré tout, et on a envie d'aller au bout. Mais souhaitons à Konami de retrouver se qui à fait la qualité des deux premiers pour leurs prochains épisodes.


     Ma note ? 16/20






    Halo 3

    10/10/2007 21:55

    Halo 3


    Source : Jeuxvidéo.com

    Halo 3 Xbox 360

    Sortie : Le 26 septembre 2007

    Des millions de gens scandent son nom dans les rues. Des quantités phénoménales de joueurs attendent fébrilement la venue du facteur qui, peut-être, amènera la tant convoitée édition collector pré-commandée il y a des mois. Les pages des magazines arborent depuis longtemps ses couleurs flashy et les spots télé obscurs se sont soudainement multipliés à son approche. Et c'est aujourd'hui, enfin, qu'Halo 3 lance son offensive. La grande question est maintenant de savoir si le bébé de Bungie est à la hauteur des monstrueuses attentes qui l'ont accompagné tout au long de sa conception.

    Halo 3

    Bungie déclarait encore il y a peu qu'Halo 3 était sans conteste le meilleur jeu jamais créé par le studio. Pourtant, les dernières apparitions du Master Chief version next-gen nous laissaient quelque peu dubitatifs, voire même carrément inquiets. Avec des graphismes décevants pour un titre de cette envergure et un gameplay sans grandes nouveautés apparentes, le Halo nouveau ne semblait pas si éloigné de son prédécesseur. Vous me direz qu'il y a pire comme situation, puisqu'Halo 2 reste encore aujourd'hui la référence ultime du jeu online sur console. Mais avant de savoir si sa suite a les épaules assez solides pour conserver son statut de leader dans ce domaine, attachons-nous tout d'abord à la toute nouvelle campagne du soft. Car après tout, depuis le temps que nous attendons, il serait idiot de ne pas décrire la façon dont le Master Chief va s'y prendre pour "Finish the fight".

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 96
    Le nouveau design des Brutes est une vraie réussite. De véritables barbares perdus dans l'univers.

    Petit rappel tout de même pour les joueurs distraits, la très frustrante fin d'Halo 2 voyait Cortana prise au piège dans les filets du Fossoyeur et la Terre sur le point d'être attaquée par l'alliance Covenant. Une situation fort peu encourageante. La campagne d'Halo 3 débute juste après une chute vertigineuse du Master Chief dans l'atmosphère terrestre. On ne sait pas trop comment le bougre en est arrivé là, mais on passera vite sur ce détail. Rapidement rejoint par l'inénarrable sergent Johnson ainsi que par l'Arbiter, le Spartan repart immédiatement sur le sentier de la guerre pour tenter de repousser les forces Covenant fraîchement débarquées. Articulé autour d'une série de cinématiques tout à fait en accord avec ce que nous connaissions de l'univers d'Halo, le titre pèche néanmoins par une narration brouillonne, qui rendra sans doute la compréhension du scénario difficile à ceux qui n'auront pas traversé les épisodes précédents. Le jeu abuse même d'un procédé maladroit, censé apporter un peu de tension dramatique à l'ensemble mais qui au final, devient franchement lassant. Il s'agit en fait d'images parasites qui obstruent votre vision lors des rares accalmies et vous permettent de distinguer une Cortana au discours torturé et fragmentaire. Deux de ces interventions n'ont d'ailleurs même pas été traduites en français, mais là encore, on pourra dire que je chipote. Quoi qu'il en soit, le scénario d'Halo 3 se révèle extrêmement classique, sans réelles surprises et se conclut sur une séquence décevante. Malgré tout, le plaisir de revêtir l'imposante armure du Master Chief est toujours aussi vif et on finit inévitablement par se plonger dans l'aventure, avec un petit goût amer dans la bouche tout de même.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 97
    Quelques effets et explosions nous rappellent tout de même qu'on se trouve sur Xbox 360.

    En terme de structure, la dernière campagne du Master Chief est très semblable à celle des précédents volets. En effet, celle-ci comprend 10 chapitres, ce qui représente 8 heures de jeu. Attention cependant, le mode de difficulté Normal est à proscrire si vous ne voulez pas exterminer Halo 3 en 6 ou 7 heures. On pourra néanmoins se réconforter dans les bras de 3 autres joueurs, puisque le titre nous offre la possibilité de refaire la campagne en coopération sur le live, en lan ou en écran splitté. Cette dernière option n'est d'ailleurs pas à recommander car le jeu perd beaucoup de sa fluidité et de sa finesse, de même qu'il ne daignera même plus s'afficher en 16 : 9. Mais que découvre-t-on précisément dans cette fameuse campagne vous demandez-vous ? Une action intense, rondement menée où se mêlent des séquences de combat à pied dans la plus pure tradition des Halo et des sessions en véhicules extrêmement intenses, et donc toujours aussi plaisantes. Halo 3 ne peut plus être placé sur le même niveau que ses prédécesseurs, au sens où les escarmouches qui faisaient battre le coeur du joueur se sont transformées en batailles rangées impliquant de très nombreux combattants et véhicules. Certains niveaux font d'ailleurs la part belle à de vastes environnements ouverts, parfaits pour manoeuvrer avec les véhicules du jeu. Pourtant, on ne pourra pas s'empêcher de regretter la structure ultra linéaire du titre, et ces nombreuses situations de jeu répétées encore et encore, comme c'était déjà le cas dans le premier Halo.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 98
    Le Hornet est un véritable bijou. Aussi agréable à contrôler que destructeur.

    Certes, le reproche semble facile quand on parle d'un FPS, mais tout de même, traverser un niveau pour remplir un objectif, puis apprendre immédiatement qu'il faut repartir en sens inverse, parcourir les mêmes salles, qui se sont bien sûr repeuplées entre-temps, est un tantinet énervant. D'autant que le soft nous ressert ce procédé 4 ou 5 fois au cours de la campagne, au point qu'on finira par se demander si ce n'était pas là un artifice des développeurs pour gonfler la médiocre durée de vie du solo. Mais le fait est que massacrer du Covenant est toujours aussi fun. Cela est sans doute dû au fait que le Master Chief répond à toutes les sollicitations en un éclair, et que les contrôles sont toujours aussi intuitifs. Différence notable avec ses prédécesseurs cependant, la touche X sert désormais à déployer des dispositifs spéciaux comme la bulle protectrice, imperméable aux tirs mais pas au raid d'un ennemi venu en découdre avec vous à coups de crosse. Le bouton en question nous permettra également d'utiliser des mines antipersonnel, des grenades aveuglantes, des bombes qui drainent l'énergie des boucliers, ainsi qu'un module antigrav, sorte de trampoline futuriste qui permet d'atteindre des zones apparemment inaccessibles.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 99
    Les parasites seront bien évidemment de la partie.

    Vous ne serez d'ailleurs pas le seul à user de cet armement puisque les Covenants y auront souvent recours. Perturbantes au départ, ces nouvelles options apportent un plus indéniable au jeu. Parlons enfin de l'I.A., immense sujet de fierté de Bungie, et qui tient à peu près la route dans le jeu, mais nous gratifie occasionnellement de moments de grand n'importe quoi. Quant aux pétoires, rassurez-vous, elles sont nombreuses, variées et surtout parfaitement équilibrées. On notera par exemple la puissance destructrice du Needler et du marteau des Brutes, qui fera sans doute de la concurrence à l'Energy Sword. Notons enfin l'arrivée d'armes lourdes qui évoquent inévitablement celles de Lost Planet et qui ralentiront donc les mouvements du porteur. Combattre avec deux armes en mains est toujours possible, mais un joueur qui se contente d'un fusil de combat et des 4 types de grenades du jeu pourra se montrer tout aussi efficace.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 100
    Les combats entre véhicules sont plus jouissifs que jamais.

    Côté véhicules, de nouveaux venus viennent se poster sur la ligne de départ. On retrouvera donc nos traditionnels Warthogs, Scorpions, Ghosts et Banshees aux côtés de la Mangouste qu'on apercevait déjà dans la bêta. La Mangouste est un petit quad, très rapide et incroyablement maniable qui se révélera parfait pour rallier un point éloigné ou opérer un raid éclair sur les positions ennemies. Citons également le Hornet, qui semble être la réponse de l'UNSC au fameux Banshee des Covenants. L'engin se comporte d'ailleurs plus comme un hélicoptère que comme la petite fusée violette. Capable d'opérer un vol stationnaire, de mitrailler copieusement l'ennemi tout en lâchant un duo de petites roquettes à tête chercheuse, l'Hornet est aussi mortel que plaisant à piloter. Côté alien, on accueille le Chopper, la moto des Brutes, les remplaçants des Elite au sein de l'alliance Covenant. Plutôt délicat à maîtriser, le Chopper est à l'image de ses concepteurs : redoutable lorsqu'il charge un autre véhicule avec une giclée de boost, il est nettement moins efficace lorsqu'il s'agit d'abattre une cible éloignée.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 101
    Véritable force d'Halo 3 : son multijoueur. Tout simplement brillant.

    Tout cet équipement, on le retrouvera bien entendu lors des parties multijoueurs. Car c'est là que réside le véritable attrait d'Halo 3. Bungie a fait les choses en grand et nous permet de profiter de tous les derniers raffinements en la matière. Les 12 maps proposées sont extrêmement bien équilibrées. Certaines sont clairement orientées vers les combats rapprochés, d'autres, plus ouvertes, favorisent les véhicules décrits précédemment. Tous les modes les plus populaires d'Halo 2 sont de retour et sont soutenus par quelques nouveautés ainsi que par un système de classement revu et corrigé. Et en fonction de nos performances, on pourra même débloquer des équipements pour personnaliser son guerrier. Bungie a effectivement mis l'accent sur la customisation et laisse au joueur la possibilité de modeler le jeu à l'envie en partie personnalisée. Cela passe bien entendu par le mode Forge, qui permet de modifier à loisir la position de tous les objets d'un niveau (armes, caisses, mais aussi spots de réapparitions) ou même d'en rajouter. Voilà qui devrait vous permettre de constituer le niveau de vos rêves. Niveau sur lequel vos potes pourront bien sûr venir s'entretuer en temps réel. Le système est pratique et intuitif, même si on aurait aimé pouvoir faire bouger notre curseur plus vite.

    Test Halo 3 Xbox 360 - Screenshot 102
    Le mode Cinéma permet de profiter encore et encore de nos meilleurs exploits.

    Enfin, le mode Cinéma se pose comme la cerise sur le gâteau. Halo 3 conserve un historique vidéo des 25 dernières parties auxquelles vous aurez participé. Il sera alors possible de les visionner, en caméra libre ou en suivant vos adversaires. Arrêter l'image, avancer le film, zoomer, tout est possible. D'autant qu'on pourra sauvegarder les films tels quels ou en faire de véritables clips, montés et même pourquoi pas, scénarisés. Ces clips seront de plus accessibles aux autres joueurs, un peu à la manière des vidéos du dernier Burnout. Bref, Halo 3 possède tout pour devenir la nouvelle référence sur le Xbox Live. Fun, plaisant, ultra complet, le jeu en multi conserve toute la saveur de ses prédécesseurs, mais sort considérablement enrichi des forges de Bungie. Halo 3 n'est pas véritablement à la hauteur de ce qui nous avait été annoncé, la faute à sa réalisation décevante et à une campagne solo parfois plaisante, mais qui souffre de nombreuses lacunes et d'une faible durée de vie. Reste le multijoueur, brillant, sur lequel de nombreux joueurs perdront leurs nuits et une grande partie de leurs week-ends.

    Hiro, le 26 septembre 2007

    Graphismes 15/20

    D'un point de vue purement technique, Halo 3 est une déception. Beaucoup d'aliasing, des textures grossières, des bugs d'affichage ou de collisions. Reste le design si particulier de la série et quelques effets de grande classe pour se consoler. Il n'empêche qu'Halo 3 aurait pu être bien plus beau et qu'il aura du mal à se présenter en vitrine de la Xbox 360.

    Jouabilité 18/20

    Du grand Halo. Les commandes sont intuitives et offrent une très grande précision, que l'on se batte à pied ou au volant de je ne sais quelle monstruosité mécanique. La campagne solo pourtant, n'est pas toujours un plaisir à parcourir et on se lassera sans doute d'une mise en scène poussive et d'un level-design pas toujours très inspiré.

    Durée de vie 17/20

    Tout dépend de votre approche. Si vous ne comptez pas jouer à Halo 3 sur le Xbox Live, le jeu ne mérite sans doute pas plus de 12 . Mais si au contraire, vous ne jurez que par le frag, alors Halo 3 est le titre qu'il vous faut. Avec ses nombreux modes de jeu, son interface revue et corrigée ainsi que les sections Forge et Cinéma, nul doute que le titre vous tiendra en haleine pendant des mois.

    Bande son 19/20

    Beaucoup de musiques du précédent volet ont été recyclées pour agrémenter cette nouvelle galette. On ne s'en plaindra pas, la bande-son est toujours aussi fantastique. Heureusement d'ailleurs, car la campagne tire beaucoup de force de ces morceaux épiques.

    Scénario 13/20

    L'histoire d'Halo 3 sera difficile à appréhender pour les nouveaux venus. Les autres y trouveront une conclusion décevante. Avec une narration maladroite et quelques effets de style répétés jusqu'à la mort, on ne pouvait guère s'attendre à mieux.

    Note Générale 17/20

    17/20 si vous pouvez jouer sur le Xbox Live, et 14 si vous ne vous en tenez qu'au solo. Une note cinglante, mais qui résume bien l'incroyable déséquilibre entre une campagne qui paraît presque bâclée, et l'un des meilleurs multijoueurs tous supports confondus. Quoi qu'il en soit, Halo 3 laisse cependant un petit goût amer au fond de la bouche. Triste quand on sait que c'est probablement là la dernière aventure du Master Chief. Et au fond, la véritable histoire d'Halo 3, ne se fera que sur le Live.

     

    L'avis de Lestat 1975 :

    Nous voici devant le troisième volet des aventures de Master Chief, cette fois présent sur la Xbox 360. Quel plaisir de retrouver le Héros de Bungie encore une fois (La dernière ?). Le jeu est magnifique, beaucoup plus beau qu'Halo 2, est-ce parce que je ne posséder pas la 360 avant la sortie d'Halo 3 ? En tout cas je ne le trouve pas décevant du tout, il est beau et meilleur que le second. La seule chose que je pourrais reprocher à Bungie, c'est de ne pas avoir intégrer des Bots en multijoueurs (personnages gérer par la console). En effet tout le monde ne joue pas sur Xbox Live et tout le monde n'a pas forcément des personnes pour jouer en reseau local à porter de mains, donc voilà c'est dommage. A part ça et pour faire écho a certains test (celui de Jeuxvidéo.com par exemple) , oui la campagne d'Halo 3 est courte mais la durée de vie du multijoueurs est illimité. Le soft apporte suffisamment de nouveautées avec le mode "Forge" qui permet d'organiser les cartes multi en déplaçant pratiquement tout ce qui traine sur la carte, armes, véhicules, caisses ect...et de les placer à des endroits stratégiques où même ou bon vous semble et de sauvegarder la map tel quel pour des parties à venir, il y a aussi les 13 crânes cachés (très bien planqués) dans le mode campagne qui vous permettent une fois activer de corsé les parties et d'augmenter votre capital point pour débloquer des succés, et des pièces d'armure pour votre personnage multi. Il y a aussi la possibilité de revisionner les parties jouées de tout les modes, campagne, forge et multi, grace au mode Cinéma. Il est terrible ce mode !! La campagne est vraiment bien avec des niveaux assez variés, vous allez vous régaler !! La maniabilité n'a pas changer, elle est toujours aussi bonne (la meilleure que j'ai vu pour un FPS console). Par contre je trouve que Bungie aurais pu intégré un peu plus de nouvelles armes et mais bon...on va pas ce plaindre, il y a des nouveaux véhicules, des nouvelles armes, des nouvelles options ect...Par contre je vous conseille d'attaquer le jeu directement en Héroïque pour les débutants et directement en légendaire pour les spécialistes, en effet j'ai trouver le jeu beaucoup plus facile que les précédents Halo. Le mode légendaire d'Halo 3 est comparable au mode héroïque d'Halo 2. Voilà que dire de plus si ce n'est vivement le prochain...

    Ma note ? 18/20






    Bioshock

    15/11/2007 09:45

    Bioshock


    Source: Jeux vidéo .com

    Bioshock Xbox 360

    Sortie: Le 31 août 2007

    Si le nom System Shock ne leur appartient plus, les développeurs d'Irrational Games n'ont pas été dépossédés de leur talent, ni de l'héritage de leur oeuvre. S'ils ont créé une fois un jeu d'anthologie, ils prouvent qu'ils sont capables de réitérer l'exploit.

    Bioshock

    Dans les années 60, un avion se crashe au-dessus du Pacifique. Vous, héros anonyme, en êtes le seul survivant et aurez à surnager dans les flammes qui embrasent l'océan jusqu'à un phare planté au milieu de nulle part. A l'intérieur, un bathysphère semble vous avoir toujours attendu, bercé par une version instrumentale de La Mer de Charles Trenet pour vous conduire au sein de Rapture, Atlantide moderne et terrifiante. Rapture est née des rêves délirants d'Andrew Ryan, un mégalomane milliardaire qui bâtit cette cité sous-marine et utopique au lendemain de la Seconde Guerre, un lieu où il pourrait faire vivre sa propre philosophie de l'existence, loin de la morale religieuse, des guerres, du capital et du communisme. Dans ce monde clos, la science a pris d'étranges directions inspirées par l'étude des fonds marins et la découverte de l'Adam, une substance sécrétée par une sorte de limace. Grâce à l'Adam, l'humanité évolue, se transforme, jusqu'au jour où Ryan et un dénommé Fontaine finissent par se livrer une véritable guerre civile pour son contrôle, guerre qui ravagera Rapture et la changera en une cité peuplée d'humains totalement fous, déformés par l'abus d'Adam, en quête d'une nouvelle dose. Les ressources d'Adam seront détruites dans l'affaire, amenant un ancien scientifique nazi à créer les Petites Soeurs, fillettes conditionnées au corps altéré chargées de ponctionner les résidus d'Adam sur les « anges », les cadavres.

    Test Bioshock Xbox 360 - Screenshot 182
    Gelé en plein saut, ma plus belle oeuvre, dommage d'avoir à la faire éclater à coup de shotgun.

    Très vite, vous serez amené à expérimenter le pouvoir de l'Adam et des plasmids, les modifications spécifiques que vous pouvez apporter à votre anatomie, des transformations nombreuses. De différents types, le nombre de plasmids que vous pouvez transporter simultanément évoluera avec votre progression. Les plus importantes sont les plasmids vous offrant de véritables pouvoirs. Geler vos adversaires, incinérer tout ce qui vous entoure, invoquer une nuée d'insectes, créer des pièges tourbillonnants, tromper les systèmes de sécurité ou projeter des éclairs électriques sont parmi les possibilités qui vous sont offertes. D'autres aptitudes sont toutefois rendues accessibles par l'usage de l'Adam, renforcer sa condition physique de multiples manières, développer des capacités défensives comme ce champ électrique qui frappe tous ceux qui tentent de vous toucher, améliorer sa perception etc. Libre à vous de progresser selon votre bon vouloir, même d'acquérir plus de plasmids que vous ne pouvez en utiliser puisque vous trouverez régulièrement des machines permettant de réassigner vos modifications. Et puisqu'on cause de modifications, vos armes elles-mêmes pourront être améliorées ou nourries de munitions spéciales et il sera également possible, sur les bornes U-Invent, de créer des objets à partir de matériaux glanés çà et là.

    Test Bioshock Xbox 360 - Screenshot 183
    La télékinésie, ou comment renvoyer son missile à une tourelle un peu trop défensive.

    Pas de doutes, les plasmids sont plaisantes. En jouant avec l'électricité, on assommera nos adversaires de façon encore plus efficace s'ils sont assez imprudents pour marcher les pieds dans l'eau, le feu se répandra pour sa part rapidement et on sera bien avisé de noter la présence de flaque d'huile ou d'autre matière inflammable au cours d'un affrontement. Les plasmids vous offrent les moyens, à vous d'être suffisamment réactif pour en profiter au bon moment. Bien sûr, pour jouir de tout ceci, il faudra s'approvisionner en Adam, or la seule source encore valable pour ce faire sont les Petites Soeurs, malheureusement gardées par les Big Daddys, les Protecteurs en français (et non les gros papas). Les Protecteurs sont des humains, génétiquement modifiés, abêtis et enfermés dans un énorme scaphandre. Ils ne vivent que pour protéger les Petites Soeurs. Autant vous prévenir, les « monsieurs P » sont costauds, nettement plus vifs qu'ils ne le paraissent et doivent absolument être éliminés si on souhaite approcher les Petites Soeurs. Pour y parvenir, il faudra se montrer rapide et se magner de trouver une solution pour venir à bout de la bête en associant les bonnes actions à notre disposition au moment du combat. Une fois le gros papa écarté, il vous restera encore à faire un choix moral. Pour récolter l'Adam, vous aurez à choisir entre l'obtenir en totalité, en tuant la Petite Soeur (160 unités) ou n'en gagner que la moitié en la sauvant de son état de fillette des enfers. Cette décision a non seulement une implication morale, mais également des conséquences sur le gameplay et la suite du jeu, d'ailleurs, la perte en Adam pur sera compensée par des cadeaux offerts par... Vous verrez bien par qui. A vous de juger.

    Test Bioshock Xbox 360 - Screenshot 184
    Votre première rencontre avec une Petite Soeur terrifiée à l'idée de savoir quel sort vous lui réservez.

    Il est donc facile de pointer l'aspect RPG de Bioshock qui réside dans l'évolution du personnage et qui rappelle bien le passé des développeurs marqué par des jeux comme System Shock ou Deus Ex. Pour autant, n'allez pas croire que Bioshock fasse l'impasse sur son optique FPS, le titre regorge de phases de combats qui peuvent s'avérer corsés, très nerveux et très bourrins pour peu qu'on monte un brin le niveau de difficulté. On regrettera pourtant à ce titre le peu de variété des ennemis et leur manque de jugeote rattrapé par leur agressivité. La plupart du temps, ils se contenteront de foncer droit vers vous en hurlant, leur seule marque d'intelligence, convaincante ceci dit, résidant dans leur aptitude à rejoindre des postes médicaux pour se soigner ou à plonger dans l'eau lorsqu'on les attaque par le feu. De temps à autre, des variantes plus résistantes que la normale viendront également vous compliquer un peu la tâche. Mais dans la plupart des cas, le modus operandi du joueur restera inchangé, alterner attaques plasmids et armes conventionnelles sur des adversaires qui encaissent de plus en plus de coups. Le résultat est passablement primaire mais bigrement efficace. Dommage que les pièges qu'il est possible d'installer ne soient finalement qu'une option très peu utilisée, faute de réellement convaincre de son efficacité. Plutôt bourrins, les combats ont pourtant du mal à faire monter le niveau de stress pour une bonne et simple raison : Bioshock adopte l'école Prey du non game over. En cas de décès, vous irez ressusciter non loin de là dans une cuve spécialement conçue et l'ensemble des dégâts infligés aux ennemis seront conservés. En somme, la pénalité ne réside que dans l'obligation de faire quelques pas. Le challenge en prend un sacré coup.

    Test Bioshock Xbox 360 - Screenshot 185
    Y a vraiment un truc qui tourne pas rond chez les Chrosomes. Fallait mettre des crochets aux poignets, pas des noeuds.

    Si les phases d'actions de Bioshock sont alléchantes, sachez que ce n'est néanmoins pas sa plus grande qualité. Bioshock est un FPS certes, mais c'est également un jeu d'aventure et d'exploration. De prime abord, on se trouve en face d'un titre des plus linéaires, avec des objectifs clairs et précis et qui propose même de nous guider à travers la ville grâce à une flèche de quête nous conduisant droit vers le point visé. Malgré tout, absolument rien ne vous empêche de quitter les rails pour explorer les nombreux recoins de Rapture et profiter pleinement de l'ambiance exceptionnelle de Bioshock avec son design entremêlant une variation de l'esthétique des années 50 à des éléments de science-fiction, le tout sous une couverture de système D et de bricole d'ingénieurs débrouillards. Fréquemment, vous traverserez des zones où la musique des années 50 résonne encore, vous admirerez des affiches dans le plus pur esprit de l'époque ou pourrez écouter des messages de propagande. De manière générale, Bioshock profite de l'une des meilleures bandes-son qu'on ait entendue depuis des lustres. Entre vieux jazz crachoté sur d'antiques haut-parleurs et thèmes symphoniques, se glissent les chuchotements ou les hurlements des chrosomes et le son de l'eau, omniprésente dans le jeu. De plus, si on aurait tendance à penser qu'une cité sous-marine manque de variété architecturale, on se trompe, du coeur énergétique de la ville à son marché en passant par une forêt l'alimentant en oxygène ou encore son quartier de loisirs, Rapture est vaste et riche. C'est déjà un petit bonheur d'explorer pour admirer, mais chacun y trouvera son compte. En farfouillant, vous tomberez sur quantité de journaux enregistrés, de comptes-rendus et autres mines d'informations sur le monde de Rapture, souvent en rapport avec sa déchéance racontée par des hommes et des femmes aux rêves brisés. Vous en saurez plus sur les expériences menées ici-bas, sur Ryan et même sur d'autres sujets dont je ne parlerai point pour des raisons évidentes. Et le contenu des ces témoignages audio sera souvent dur, très dur. Ne perdez pas de vue que Bioshock est un jeu dont l'intérêt réside sans l'ombre d'un doute dans son ambiance et son scénario, pourvu d'un bon retournement des familles venant introduire le grand final. Et pour s'assurer de ne jamais briser l'immersion, le jeu ne contient aucune cinématique, la totalité du scénario étant dévoilée par les comptes rendus vocaux ou des communications radios. Bioshock n'est pas simplement immersif, il est intrigant, quant à Rapture, si on la croit abandonnée, elle est en fait bien vivante.

    Dinowan, le 29 août 2007

    Graphismes 19/20

    On ne parlera même pas des considérations techniques, le design suffit à lui seul à nous faire oublier le reste. Rapture expose son esthétique années 50 ayant évolué en vase clos vers une abomination scientifique, on reste scotché par cette approche totalement inédite et enfin originale dans un FPS.

    Jouabilité 18/20

    Le PC a évidemment l'avantage du clavier/souris, plus précis et plus pratique pour la gestion des armes et des plasmids, mais la version Xbox 360 ne pose absolument aucun problème de prise en main.

    Durée de vie 16/20

    Tout dépendra de vous, en courant comme un dératé, vous en aurez terminé en 10 heures, si vous jouez le jeu de l'exploration, on atteint la petite vingtaine.

    Bande son 19/20

    Avec une excellente VF, même si la VO reste un cran au-dessus, une ambiance sonore à tomber et des thèmes musicaux simplement excellents, la bande-son de Bioshock entre dans le panthéon ludico-musical.

    Scénario 19/20

    Ambiance, design, scénario, Bioshock repose sur ces 3 bases bien plus que sur son gameplay. Allant puiser son inspirations là où ne se tournent pas les autres studio, Irrational livre un jeu nanti d'un univers réellement original dont on a du mal à sortir.

    Note Générale 19/20

    Il est vrai que l'IA n'est pas au top du top, il est vrai que si on court bêtement la durée de vie chute, que le système de résurrection est un peu trop laxiste, il est blablabla... Quelques arguments qui ne valent que si on s'obstine à comparer Bioshock aux autres FPS en lui refusant le fait que, à l'image de son ancêtre System Shock, il vaut pour lui seul. Alors au diable les critères idiots, froids et objectifs, Bioshock est envoûtant, une pièce d'art qui se savoure non seulement comme un excellent jeu mais même comme un excellent bouquin narrant la déchéance d'une utopie. Et ça, c'est encore trop rare.

     L'avis de Lestat1975 :

    Bon FPS.
    Après avoir passer le cap du "P'tain il est a chier ce jeu !!" ou bien "Il est trop chiant a controler, ça vaut pas Halo3" j'ai trouver que ce titre était finalement de bonne facture. Il est aussi tout le contraire d'Halo3, l'impossibilité de configurer la manette m'a obliger a changer ma manière de jouer a un FPS, ce qui n'a pas était facile je l'avoue (j'en est chier jusqu'à la fin). Tout ce passe en intérieur ou dans des décors plutôt serrés, rien a voir avec les niveaux gigantesques d'un certain titre de Bungie (Je dit ça pour éviter de me répéter), les graphismes sont de bonnes factures même si personnellement je préfére ceux d'Halo 3. Au fil des heures on se prend au jeu et le plaisir est là, le seul reproche qu'on puisse faire a ce titre c'est peut être sa magnabilité, car à par cela le titre se dote d'une sacrée ambiance. Les graphismes sont de toutes beautés et le jeu a une bonne durée de vie (+ qu'un Halo), j'ai trouver la difficulté un peu élevé (surement du à la difficulté que j'ai eu a m'adapter a une configuration manette différente de mes abitudes en matière de FPS). Bioshock est une bonne surprise, votre personnage s'améliore au fil de l'histoire, vous pouvez gagner des tas de nouveaux pouvoirs très intérressant, a noter que j'ai eu droit a la fin bidon pour avoir tuer un peu trop de "petites soeurs" mais je n'en dit pas plus. Maintenant je vous laisse je vais jouer a OBLIVION ^_-


    Ma note ? 17/20






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