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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 25 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

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    Silent Hill

    28/05/2007 01:13

    Silent Hill


    Source : jeuxvidéo.com

    Silent Hill Playstation

    Sortie : juillet 1999

    La petite bourgade de Silent Hill n'était plus qu'un village fantôme isolé de tout. La mort rodait dans les parages et prenait de multiples formes horribles. Si seulement cet épais brouillard pouvait disparaître, je retrouverais plus vite Cheryl et ... Ma radio se mit à grésiller d'une façon que je commençais à ne connaître que trop bien. Mon pistolet émit un cliquetis et j'attendis patiemment dans la brume, l'oreille tendue.

    Silent Hill

     

    Silent Hill est le nouveau jeu de Konami. Nos amis japonais se lancent dans l'aventure fantastique. Ne cachons pas qu'ils marchent allègrement sur les pieds de Capcom et de sa fameuse série Resident Evil. Konami a mis le paquet dans sa campagne publicitaire et dans son soft pour nous faire oublier son plagiat. Passons à la dissection...

    Test Silent Hill Playstation - Screenshot 1

    Une carte vous guidera tout en se remplissant automatiquement d'informations utiles

    Tout commence quand Harry Mason arrive dans la petite ville de Silent Hill à bord de son 4x4 et en compagnie de sa fille unique et adorée : Cheryl. En pleine nuit, un accident met fin au voyage familial. Harry se réveille dans sa voiture, Cheryl a disparu et une étrange chape de brouillard recouvre le village ; un village complètement infesté de créatures décharnées et avides de chair fraîche.

    Vous aurez à votre disposition des armes et de l'équipement afin d'avoir une petite chance dans le cauchemar qu'est devenu Silent Hill. On retrouve l'esprit Resident Evil avec un pistolet, un fusil de chasse etc. Chaque arme possède des munitions appropriées que vous trouverez ça et là. Une lampe de poche , des soins et des objets divers sont aussi présents. L'inventaire ressemble étrangement à celui de Resident et les habitués y seront tout de suite à l'aise. Harry possède aussi les mêmes mouvements que Léon ou Claire : marcher, courir, mettre en joue etc.

    Test Silent Hill Playstation - Screenshot 2

    Les effets de neige sont très bien rendus: Brrrrr !

    Là où Resident Evil 2 fait jouer des personnages en 3D dans des décors précalculés et donc fixes, SH se démarque tout de suite en faisant évoluer des personnages en 3D dans des décors en 3D. On se rapproche plus en fait d'un Tomb Raider. En effet, les caméras sont dynamiques et vous suivent selon l'action. Quelques plans sont fixes alors que d'autres bougent comme dans un film pour en effet garanti ! Là encore, tout la panoplie 3D est sortie : effets de pluie, neige, lumières dynamiques. Bref, la totale et c'est vraiment bien fait.

    Les décors où que vous arpentez possèdent deux caractéristiques essentielles dues à des contraintes scénaristiques et techniques. Soit vous êtes en plein jour et la ville est recouverte d'un épais brouillard ou alors c'est la nuit la plus noire. Dans tous les cas vous ne distinguerez qu'à quelques mètres devant vous. Ceci évite au moteur d'avoir à gérer des décors lointains (il n'y en a aucun !) et en même temps, ça donne une impression oppressante reflétant bien l'atmosphère du jeu. Le seul défaut du moteur est un gestuelle pas très naturelle du héros mais on ne le voit plus rapidement.

    Test Silent Hill Playstation - Screenshot 3

    Les monstres sont malsains plus que terrifiants

    Le jeu possède un scénario digne d'un film avec des rebondissements et beaucoup d'énigmes du type de Resident Evil. Même si au début, assez réaliste, rapidement le jeu nous fait plonger dans un univers monstrueux à souhait avec des cadavres malsains dans tous les coins. Resident Evil nous faisait sursauter en faisant apparaître des zombies au détour de chaque couloir. Silent Hill ne peux pas pour une raison simple. Dû au peu de vision que vous avez, vous possédez tout au long du jeu une radio qui grésille et sonne dès que vous êtes en présence d'un monstre. C'est très pratique car l'élément de surprise n'est plus le même. En effet, il a du vous arriver de vous faire tuer à Resident Evil à cause d'un monstre qui était en fait caché par les décors en 2D. C'est marrant au début et après ça agace. Silent Hill, lui, fait peur grâce à son ambiance et à son scénario. De plus, vous savez quelque fois qu'il y a un monstre mais vous ne le voyez pas... Dans le noir, c'est assez effrayant.

    Test Silent Hill Playstation - Screenshot 4

    La lampe n'éclaire que faiblement, renforçant l'atmosphère...

    Silent Hill est bourré de petits détails graphiques ou ludiques qui vous amènent à encore plus de réalisme. Par exemple, si vous possédez une manette dual shock, vous sentirez votre coeur battre dans la manette de manière de plus en plus lente en fonction de vos blessures. Pratique et sympa. Lorsque vous mourez, une aide de jeu en rapport avec votre mort vous conseillera. Ou encore, quand vous courez, Harry ressentira la fatigue et halètera quand vous vous arrêterez.

    Des scènes cinématique de grande qualité ponctuent les grands chapitres et de petites scènes dans le jeu accompagnent le scénario pour augmenter l'effet fantastique et angoissant. L'environnement sonore contribue aussi à l'ambiance. Peu de musiques sauf à des moments clés du jeu, ce qui laisse beaucoup de place aux bruits des créatures et de votre personnage.

    Finalement, Silent Hill est un clone de Resident Evil de par son scénario fantastique et ses caractéristiques de jeu. Ceci est loin d'être une critique car il respecte toutes les règles et ne faillit jamais. Là où Silent Hill fait plus fort, c'est qu'il corrige tous les problèmes dus au mélange 2D/3D de Resident en proposant un moteur 3D de bonne facture tout en rajoutant de nouvelles options intéressantes. Un scénario palpitant, des sensations fortes et un fun plus important que Resident Evil. Un grand jeu !

    Kornifex , le 20 juillet 1999

    Graphismes 18/20

    Le moteur tourne très proprement avec des effets 3D bien gérés. Les mouvements peu crédibles passent inaperçus tant le jeu est horriblement joli. Les pièces sont glauques et angoissantes, les monstres répugnants. Bref, un aspect graphique qui réussit son objectif, vous enfermer dans un monde d'horreur.

    Jouabilité 19/20

    Les touches ressemblent à Resident Evil et celui qui connaît sera en terrain conquis. Les mêmes mouvements ou positions sont disponibles. De pouvoir regarder autour de soi augmente carrément la jouabilité lorsqu'il s'agit de shooter du monstre. Les angles de caméra sont étudiés selon les pièces pour vous donner un maximum de visibilité sans jamais gêner. Soigné.

    Durée de vie 14/20

    C'est peut-être le seul défaut du jeu. En effet, les monstres sont très faciles à tuer et vous prenez le pli rapidement. Les énigmes, bien qu'assez complexes, sont orientées pour ne pas prendre trop de temps à résoudre. Les sauvegardes à des points fixes ne réussissent pas à rendre le jeu plus difficile. Heureusement, le jeu propose plusieurs fins et de toute façon, quel spectacle !

    Bande son 16/20

    Des musiques qui respectent l'action sans la noyer. Les bruits sont bien rendus : portes, monstres, armes. Les musiques ne sont là qu'à certains moments du jeu. C'est faiblard mais ça sert au jeu et à son atmosphère donc...

    Scénario 18/20

    Un scénario complet. Les énigmes se succèdent au cours d'une intrigue principale complexe. Le mystère reste entier pendant longtemps et des fins multiples sont disponibles. On regrettera juste des voix anglaises un peu molles lors des dialogues.

    Note Générale 19/20

    Silent Hill paraît jouer dans la même cour que Resident Evil mais en y regardant de plus près, il se différencie beaucoup par sa 3D intégrale. Un aspect qui comble les lacunes de RE tout en apportant de nouvelles options. Bref, c'est vraiment un très bon jeu car il prend le meilleur de Resident Evil tout en rectifiant ses défauts. Un sans faute.

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Le premier volet du jeu de Konami est assez surprenant parce que différent de son ancêtre Resident evil. En effet l'ambiance prend la toute sa signification, rien a voir avec les titres de Capcom qui eux ne font pas peur (c'est ce que je pense vraiment) et qui sont par contre très réussi au niveau de la trame scénaristique et de la mise en scéne très cinéma, mais qui n'ont pas justement cette ambiance oppressante. Je doit dire que ce n'est pas le meilleur de la serie et que je l'ai moins aimer que les Resident evil 1,2 & 3 que j'avais finis avant. Mais je doit dire avec beaucoup de recul (environ 8 ans hahaha) que je tire mon chapeau a Konami pour ce jeu qui a quand même tenter de révolutionner le genre du Survival horror et qui a réussi, preuve en est les titres suivant (le 5é volet est en préparation) et aussi le film (du réalisateur du "pacte des loups"), qui m'a beaucoup déçu, je me permet de le dire en passant.......quelle deception sniff, mais bon c'est pas la que je voulais en venir, non c'est sur le succés de la serie "Silent hill" et il ne se dément pas.
    Je doit dire qu'il y a plusieurs moments dans le jeu ou la tension monte d'un (gros) cran, je veux parler des passages du monde réel au monde obscur. En effet on est dans la même ville mais il arrive a certain moment qu'elle se transforme (de toute façon Silent hill est vivante, qu'on ce le dise) et la tout les repères pris au cours des heures qui précédées sont a ce moment là  inexistants, on se retrouve dans le noir avec le bitûme transformer en grilles sous lequelles se trouve un vide sans fond (haha). Mais je vous rassure la ville est toujours là autour de vous, en effet en courant (oui en courant car vous avez a ce moment là a vos trousses une orde de chiens enragés et de monstres assoiffés de sang.....le votre en outre et pas question de s'arreter) vous reconnaissez  la ville  autour de vous mais tellement transformer que vous ne savez pas ou vous allez (la c'est dur)....vous vous demander alors vraiment pourquoi vous avez acheter ce jeu et pourquoi vous n'avez pas plutôt acheter un jeu avec Mario sur nintendo 64.....non j'déconne j'aime pas Mario en plus n'y Nintendo (a part quelques titres). Je poursuit, donc vous courrez et vous arrivez quand même a vous en sortir malgré tout. De ce coté la le titre a pas mal de qualité, et sa principale est de vous mettre mal a l'aise (haha) ce que je lui reproché a l'époque c'est de n'être justement pas ce a quoi j'étais abitué.........un Resident evil et son coté "mise en scéne cinématographique super éfficasse", l'absence de.....comment dire......de rebondissement scénaristique ....voila le mot exacte. Mais comme je l'ai dit plus haut ce n'est pas le premier épisode de la serie que j'ai aimer le plus et qui m'a fait aimer la serie. Voila j'ai tout dit (façon de parler car il est très difficile de tout dire sur un jeu).


    Ma note ? 16/20








    Silent hill 2

    29/05/2007 22:19

    Silent hill 2


    Source : jeuxvidéo.com

    Silent Hill 2 : Inner Fear Xbox

    Sortie : Le 04 octobre 2002

    Un an (tout de même) après sa sortie initiale sur PS2, le brouillard de Silent Hill 2 vient envahir les circuits de la Xbox. Et oui, c'est maintenant au tour des xboxfans de jouer à se faire peur en allant se perdre dans les méandres de cette ville maudite.

    Silent Hill 2 : Inner Fear

     

    Voilà encore un manque qui se comble. Un nouveau genre qui enrichit la ludothèque de la Xbox, le Survival Horror. Il est vrai que les fans de cette catégorie ludique n'avait pas grand-chose à mettre au bout du pad de leur Xbox. Qu'ils soient heureux, cet état de fait va changer avec l'arrivée de James Sunderland dans leur vie. James a un problème. Ce pauvre bougre a bien du mal à se remettre de la mort de sa femme. Mais voilà que, chose peu commune, il reçoit une lettre de cette dernière, qui lui demande de la rejoindre à Silent Hill. Notre ami, perplexe, décide alors de résoudre cette énigme. C'est ainsi que Silent Hill s'apprête à accueillir un nouveau résident. Êtes-vous près à faire les rencontres les plus étranges de votre vie ? A sombrer dans un scénario complètement barré ? A passer d'un monde à l'autre et à vous aventurer dans des lieux de plus en plus glauques ? Alors allons-y.

    Test Silent Hill 2 : Inner Fear Xbox - Screenshot 1

    L'accessoire indispensable pour réussir votre Horror-Party : la lampe torche.

    Sachez d'abord une chose, si vous avez bouclé et rebouclé la version PS2, c'est un titre identique que vous retrouverez ici. Pour les nouveaux, voilà comment se passent les choses dans Silent Hill. Vous arpentez une ville au sein de laquelle tout a été mis en oeuvre pour vous faire flipper comme des malades. Votre radio grésille à l'approche de monstres au design absolument incroyable et totalement indescriptible, des sons étranges résonnent de part et d'autre et surtout, dehors, un épais brouillard pèse sur la ville, limitant toute visibilité. Bien sûr, à l'intérieur aucune lumière ne marche et c'est à l'aide d'une lampe torche que vous devrez progresser dans des bâtiments d'un glauque absolu et à l'intérieur desquels, règne une odeur de mort putride. L'ambiance, aussi bien visuelle, sonore ou scénaristique, est réellement le coeur du jeu.

    Test Silent Hill 2 : Inner Fear Xbox - Screenshot 2

    Les décors intérieurs ont l'air d'avoir abrité des événements terrifiants.

    Car, et ce n'est pas méchant, le gameplay de Silent Hill 2 n'a en soit rien d'exceptionnel et se montre aussi efficace que classique pour un titre du genre Survival. Attendez-vous donc à de nombreuses allées et venues et à des énigmes parfois corsées qui vous feront cogiter un moment. On n'oublie pas bien sûr le passage d'un monde à l'autre si cher aux fans et qui vous fera basculer du simplement « flippant » au carrément « super dégueu». A noter tout de même une originalité dans les commandes puisqu'il est possible ici de faire des pas de côté, pratique en cas d'assaut massif. L'autre innovation de la série, mais qui n'est pas en soi une nouveauté (un emprunt à Alone In The Dark), est la lampe torche, outil indispensable à toute montée en flèche de votre trouillomètre personnel.

    Test Silent Hill 2 : Inner Fear Xbox - Screenshot 3

    De bien étranges rencontres vous attendent.

    Mais ce qui fait vraiment l'intérêt de SH 2 c'est, comme je vous le disais, son ambiance, sa mise en scène et sa réalisation fabuleuse. Il y a les graphismes tout d'abord, et surtout le fameux grain d'image qui donne un aspect particulièrement « crade » au jeu. Sans compter les décors généreusement glauques, sales, ensanglantés etc. Et bien sûr le brouillard qui vous donne froid dans le dos en extérieur. Mais le must reste incontestablement la bande-son, toujours l'une des meilleures qui soit. Que de sons étranges et oppressants sont ici donnés a entendre ! Immersion garantie au bout de quelques secondes d'écoute. Les moindres recoins de Silent Hill transpirent ou murmurent la mort.

    Test Silent Hill 2 : Inner Fear Xbox - Screenshot 4

    Le brouillard de Silent Hill n'a rien du fog londonien.

    Mais ce portage Xbox est-il pour Konami l'occasion de rajeunir un peu leur titre ? Et bien oui et non. Oui parce que le jeu s'enrichit d'un second scénario qui mettra en scène l'énigmatique Maria. Un bonus appréciable et qui réserve son lot de surprises. Ceci dit n'attendez pas de lui qu'il rallonge conséquemment la durée de vie du soft, certes il révèle un nouveau pan de l'histoire mais il n'est pas excessivement long. Pour le reste, c'est une version absolument identique, à la fiole de boisson revigorante près, de la première mouture PS2. Techniquement, le résultat est satisfaisant mais il faut bien avouer qu'on comprend mal certains ralentissements, certes rares mais tout de même bien surprenants sur une telle machine.

    Inutile de tergiverser, Silent Hill 2 est une petite merveille du Survival Horror, un titre à l'ambiance terriblement scotchante qui va vous visser à votre pad. J'entends par contre les joueurs ayant déjà connu le jeu sur PS2 se demander s'ils devraient réinvestir dans cette version Xbox. Et bien, certes le titre dispose d'un nouveau scénario, mas vu sa longueur toute relative, il n'est pas certain que l'investissement soit particulièrement rentable. Que les nouveaux venus foncent tête baissée en tout cas.

    Dinowan, le 30 septembre 2002

     
    Graphismes 17/20
    Un bémol : l'animation des personnages pas forcément toujours très réussie. Mis à part ça, on retrouve le design si particulier de SH, son grain d'image, son côté épouvantablement glauque, ses monstres étranges et cauchemardesques et son brouillard volumétrique adoré. Ajoutez à cela des effets de lumières sympathiques (bien que pas encore au top du potentiel Xbox) et vous obtenez un résultat esthétique détonnant et qui a son petit caractère.
    Jouabilité 17/20
    Des commandes qui répondent au poil et un gameplay qui bien que classique est toujours diablement efficace. Si vous aimez vous balader de long en large au sein d'environnements qui vous glacent le sang, vous allez être servi.
    Durée de vie 15/20
    Une durée de vie plus que raisonnable et un paramétrage de la difficulté qui permettra aux plus acharnés de trouver un challenge à leur mesure. Le nouveau scénario, même s'il n'est pas extrêmement long, apporte tout de même sa pierre à l'édifice.
    Bande son 18/20
    Je l'ai déjà dit, c'est l'une des meilleures bande-son qui soit. Les effets sont très mais alors vraiment très flippants, les musiques collent parfaitement à l'action. Rarement une bande son aura aussi bien servi la mise en scène d'un jeu.
    Scénario 16/20
    Une histoire complètement barrée que vous découvrirez lentement mais sûrement. L'ambiance malsaine vous prend aux tripes et ne vous lâche pas facilement.
    Note Générale 18/20
    Foncez ! Foncez acheter Silent Hill 2 : Inner Fears. On a rarement vu un jeu offrir une ambiance aussi déstabilisante et palpable. Alors certes, les esprits chagrins regretteront que le lifting graphique de ce portage Xbox soit un peu limité, mais le résultat est tout de même probant. De plus, l'arrivée d'un nouveau scénario compense cette lacune. Vous aussi, venez vous perdre dans le brouillard de Silent Hill.

      L'avis de Lestat1975 :

    Il n'y a pas si longtemps je vous parler du premier Silent Hill sur PS1, et maintenant place au second épisode qui n'a rien a voir avec les personnages du premier opus, en effet le seul lien entre les deux titres est la ville de Silent Hill.
    Mais la différence ne s'arrete pas la, l'évolution graphique de ces derniéres années ce ressent fortement ici. C'est une autre dimension et le titre grace justement a ce changement est d'une très grande qualité, car la beauté du jeu apporte beaucoup a l'ambiance de ce chef d'oeuvre du Survival Horror et du jeu vidéo en général. J'ai jouer a Silent Hill 2 sur PS2 et aussi sur XBOX. La version BOBOX avait l'avantage (même si elle est sortie a peu près 1 ans plus tard) d'avoir un petit scénario en plus très sympa même si très court (30 mn environ). J'y est  jouer la première fois sur PS2 d'une traite de 11h du matin a 1h00 du matin le lendemain. En fait je n'ai jamais eu la console de sony parce que je n'aime pas particulièrement celle ci, mon frére m'a juste proposé de jouer a Silent Hill 2.....alors j'en est profiter (hihi) je me suis régaler....volets fermer pour être un peu plus dans l'ambiance, me suis arreter seulement pour pisser (et boire du café).
    L'ambiance du titre est incroyable !! Non pas qu'il fasse peur (parce que ce n'est pas spécialement le cas) mais le scénario est bien prenant. Le héros reçois une lettre de sa femme qui lui demande de venir la rejoindre a l'hotel de la ville de silent hill, un endroit ou ils ont l'abitude d'aller....enfin avaient l'abitude.....car sa femme est décédé il y a plusieures années d'une grave maladie......voila comment commence le jeu......il est pas fait pour mettre les joueurs dans l'ambiance ce début ?? Franchement si.....on retrouve bien évidemment ce qui a fait le succés du premier Silent Hill, une ville vraiment bizarre avec des personnages secondaire très bizarre et timbrés même (je veut parler par exemple du personnage de harold). On s'attache vraiment au personnage principal, on a envie qu'il retrouve l'amour de sa vie, on a envie que tout finisse bien, on a envie que (on ne sais par quel miracle) sa femme soit vivante....mais........
    Tout le long du jeu on ne décroche pas, on veut connaitre la vérité, qui a envoyer cette lettre ?? Ce mot est il réellement de sa femme chérie? Ou bien d'une chose vivant a Silent Hill ? Vous le saurais dans le prochain épisode.......Non sérieux j'ai pas envie de vous raconter l'histoire plus que ça ....j'ai pas envie de vous gacher le plaisir......un conseil.....acheter le ...surtout qu'on doit pouvoir le trouver pour pas cher....


    Ma note ? 18,5/20








    Silent Hill 4

    30/05/2007 16:23

    Silent Hill 4


    Source : jeuxvidéo.com

    Silent Hill 4 : The Room Xbox

    Sortie : Le 24 septembre 2004

    Tel un cri d’enfant pouvant faire rire en plein jour et terrifier en pleine nuit, Silent Hill 4 réchauffera votre coeur et vous glacera le sang. Portant le lourd fardeau d’amener la série vers un autre horizon, The Room, par le simple fait de véhiculer une interrogation de par son seul titre, gagne son premier combat en invitant le joueur à faire un pas puis un autre pour entrer dans la pénombre la plus totale. D’une claustrophobie suffocante à une peur primaire du noir en passant par une curiosité qui nous fait avancer, Konami incite le joueur à aller de l’avant, encore et encore.

    Silent Hill 4 : The Room

    Avec Silent Hill, Konami n'aura jamais aussi bien réussi le pari de singer tout en se démarquant habilement de ses modèles pour créer au final un nouveau genre qu'on pourrait qualifier de Critical Horror, l'horreur atteignant ici un point de non retour, un seuil critique. Les trois premiers volets de la série ont donc, chacun à leur manière, apporté une pierre à l'édifice du grotesque horrifique où divinités séculaires usèrent nos croyances (SH puis SH 3) tandis que la fragile cohésion du réel et de l'esprit fut rendue malléable pour mieux nous briser dans un psychologique Silent Hill 2. The Room marque donc, comme il se devait de le faire, le début d'un nouveau pèlerinage pour le joueur vers des horizons torturés, nauséeux, ou quand une tragédie grecque rencontre le cinéma de John Carpenter, Hideo Nakata ou encore de Jaume Balaguero. Ne cherchez pas la réponse dans l'image, ne cherchez pas une voie, qui sera inévitablement sans issue, Silent Hill 4 nous arrive tout droit de la bouche de l'enfer, son coursier se nomme Konami, et il ne vous reste plus qu'à prier, un dieu impie, cela va de soi.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 30

    L'ambiance brumeuse persistante. Signe que la ville de plaisance n'est pas loin.

    Si Silent Hill 4 n'a pas pour ambition de révolutionner le genre, il apporte malgré tout un point de vue différent dans sa narration du moins par rapport aux opus précédents. Ainsi, le joueur naviguera constamment entre un univers tangible, représenté par son appartement, et un monde parallèle constitué de lieux que le réel et la folie auront procréés. Ceci dit, le 4eme opus de SH est bien plus linéaire que ses prédécesseurs, ceci étant dû aux énigmes moins nombreuses et plus simples et à l'action qui prendra dès lors le pas sans autre forme de procès. Mais ce qui ressort de cette énième aventure horrifique est avant toute chose un pur moment de délectation malsaine, la terreur ne cessant d'humecter nos lèvres afin que nous salivions devant chaque nouvelle cut-scene ou invention des développeurs. Je me permets ainsi d'avouer ma passion pour ce titre qui m'aura fait voyager dans un espace-temps numérique qui résonne encore de cris infâmes et de visions déformées ou quand l'espoir de comprendre un cauchemar finit par nous dévorer tout entier.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 31
    Ces mouches géantes sont agaçantes mais restent simples à éliminer.

    Le pitch de départ du jeu voit un certain Harry Townshend emprisonné dans son appartement (hermétiquement coupé du monde) et qui n'aura d'autre échappatoire que de passer par un mystérieux trou apparu dans sa salle de bains pour démêler le vrai du faux, le présent du passé, le Moi du Surmoi. Si je ne vous révélerai quasiment rien du scénario, je vous dirai juste que cet opus revient sur un des personnages des plus esquissés de Silent Hill 2, du nom de Walter Sullivan, qui n'était en tout et pour tout représenté que par quelques notes et dialogues.

    Le synopsis du titre est une fois encore alléchant en termes de possibilités, de délires graphiques, de passages effroyables, d'allusions macabres et de révélations. A ce titre on retrouve des hommages plus ou moins appuyés à plusieurs long-métrages. J'ai pour ma part adoré le petit garçon qu'on retrouve à intervalle régulier qui me fait penser au Gage du film Simetierre dans la teneur maléfique de son regard et l'innocence dont il se sert pour terrifier son entourage. Je pourrai également citer le fameux couloir de l'hôpital gardé par de multiples fauteuils roulants (indissociables de la série) qui m'a ramené des années en arrière lors du visionnage de Freddy 3. Les abondances au genre pullulent, les clins d'oeils sont bien là (Dans La Peau De John Malkovich en tête de liste) et ici aussi le cinéphile se régalera dans ce dédale Kafkaïen.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 32

    Quand l'innocence devient vecteur de haine...

    On se laisse d'autant plus prendre au jeu qu'à l'image de Silent Hill 2, on ne peut s'empêcher de se questionner sur l'issue de l'aventure. Ceci est amené par les mystérieuses lettres qu'on reçoit, les messages laissés par l'ancien propriétaire de l'appartement (qui a lui aussi disparu), les inscriptions sur les murs ou les personnages qui viendront croiser notre route. Par contre, il est assez drôle de constater que le degré d'immersion du joueur est inversement proportionnel à l'implication de Harry dans ce qui lui arrive, tant le héros semble détaché de ce qui se passe. Mais, ici, je me répéterai une fois de plus en affirmant que Silent Hill doit être vu comme un livre (plus encore qu'un film) où nous construisons l'histoire, où notre avatar n'est finalement qu'une coquille vide que l'on remplit de notre envie de savoir. En cela, on se rapproche beaucoup de Silent Hill 2, même si James avait, lui, pour unique but de retrouver sa femme (implication très forte du héros) sans pour autant analyser profondément ce qu'il voyait, ce qui ramène à une distanciation qui laissait alors le soin au joueur d'avoir sa propre vision des choses.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 33

    Ces entités sont sans conteste les monstres les plus énervants du soft.

    Si nous repassons bien par tous les environnements du titre en charmante compagnie, le tout se montre suffisamment intelligent pour s'offrir les services de nouvelles créatures, d'énigmes et surtout de nombreuses cinématiques faisant avancer le scénario. De ce fait, je ne vois pas trop le problème dans la construction, même si je suis conscient qu'elle aurait pu être un peu mieux élaborée. En l'état, on obtient alors une durée de vie un peu plus élevée (comptez sur 9 à 10 heures pour finir le jeu) mais je suis formel en affirmant que le plaisir de la découverte ne baisse pas.

    Outre le fait d'évoluer en vue subjective dans votre appartement, le jeu se dote d'un nouveau système de combat avec esquive et charge pour porter un coup plus puissant. Ensuite l'inventaire est accessible via un menu d'action rapide et les sauvegardes sont uniquement réalisables à un endroit bien précis, à savoir chez vous. Vous devrez aussi faire attention aux objets que vous transporterez sachant que leur nombre sera limité. Le coffre de votre appart sera donc là pour accueillir armes et items encombrants et il vous faudra faire des allers-retours afin de constituer votre besace comme bon vous semble. Si on peste un peu au départ devant ce système, on s'y fait bon gré mal gré, les trous pour passer de votre dimension à celle déformée étant nombreux et bien placés. L'autre chose qui pourra aussi vous énerver est la place de l'action qui prend ici ses aises. Rien de dramatique si ce n'est certains monstres qui ne pourront être tués, qui reviendront très souvent et qui pourront vous blesser de par leur simple présence. Cependant vous trouverez un peu plus tard dans le jeu des bougies et épées qui pourront temporairement régler ces douloureux problèmes. En ce qui concerne la vue subjective, rien de bien précis à en dire si ce n'est que l'idée est bonne et bien exploitée par la possibilité d'épier votre voisine par un trou dans le mur ou bien de jeter un oeil à votre palier en regardant par le judas de votre porte. Le reste du titre se joue à la troisième personne et si on a parfois quelques soucis de caméras, il est légitime de féliciter les programmeurs qui ont bien compris le problème et qui se sont pliés en quatre pour nous offrir des angles de caméra majestueux.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 34

    Tu ne crois pas si bien dire ma pauvre Eileen.

    Artistiquement, hormis la démarche de Harry qui m'évoque encore plus celle d'un robot que le déhanchement d'Heather dans Silent Hill 3, le tout est simplement parfait. Du grain particulier savamment utilisé lorsqu'on arrive dans le monde parallèle aux atmosphères poisseuses où le brouillard englobe tout, Silent Hill 4 est irréprochable. Le jeu utilise à merveille les différents cosmétiques du démon pour habiller son bestiaire et les couleurs gluantes pour peindre ses environnements. Si je mettais en avant le fait qu'on retrouvait plus ou moins les mêmes décors que dans les autres segments (à savoir le métro, un immeuble, un hôpital, une forêt, une prison...), comment ne pas succomber une fois de plus au talent des graphistes qui ont donné naissance à la représentation de nos cauchemars les plus sordides. Ceci se ressent tout autant dans les lieux visités que dans les monstres qu'on croise. Mais ici, on préféra plutôt les attitudes des freaks aux freaks eux-mêmes qui ne sont "que" chiens mutants, gorilles décharnés, mouches géantes, poulets sur pattes au visage de bébé, etc. Mention spéciale au dernier monstre évoqué qui vous pointera du doigt dès qu'il vous verra et vous chargera dans la seconde qui suit.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 35

    Une conversation aussi dérangeante qu'importante.

    Dire que la bande-son apporte beaucoup serait un euphémisme. Les bruitages sont admirables et contribuent grandement à la réussite du jeu. Les divers sons utilisés pour la démarche ou les cris des monstres sont délectables, le doublage anglais se veut plaisant et un peu détaché ce qui sied à merveille au titre. Les cris lointains déchirent souvent le rythme pesant et moite du la progression et une fois de plus le procédé sonore employé par Konami est si efficace qu'on a l'impression d'avoir un Home Cinema à la place d'un simple téléviseur stéréo. Et les musiques dans tout ça ? Et bien, à l'image du thème principal : belles, langoureuses, ténébreuses, Yamaoka Akira ayant non pas composé un hymne à la joie mais bel et bien un véritable hymne à la Mort.

    Test Silent Hill 4 : The Room Xbox - Screenshot 36

    La vérité n'est pas nécessairement au bout du chemin.

    On pourra vous dire tout et n'importe-quoi sur Silent Hill 4 : The Room, sur ses partis pris, sur sa construction, sur sa durée de vie et j'en passe. Mais ayez bien à l'esprit que si vous avez aimé les trois autres épisodes (surtout le deuxième), vous allez une fois de plus tomber sous le charme. Si The Room cherche bel et bien à faire évoluer le matériau de base, le scénario n'en est pas pour autant oublié, le titre nous donnant constamment le choix d'avancer rapidement où de poser nos valises pour réfléchir à ce que nous venons de voir. Cette optique est si précieuse qu'il serait malvenu de ne voir en ce survival qu'un produit formaté destiné à faire plaisir aux fans. Certes, je suis le premier ravi à chaque annonce d'un nouveau Silent Hill mais il faut aussi voir que la série se dote à chaque fois (à des degrés différents) d'un scénario minutieux, de découvertes graphiques maladives et d'une impression de ne plus exister une fois qu'on a le pad en main.

    Logan, le 22 septembre 2004

    Graphismes 16/20

    Les décors de Silent Hill 4 renvoient à ceux des précédents opus, mais une fois encore, le titre se dote d'une qualité graphique surprenante, les effets spéciaux (comme une simple brume) contribuant à instaurer une ambiance délectable. Les visages des personnages sont toujours aussi étonnants de réalisme et seules leurs démarches manquent de finesse.

    Jouabilité 15/20

    Le système de combat et d'inventaire a complètement été revu et s'il amène une plus grande souplesse, quelques petits problèmes sont à surmonter, comme le fait de devoir faire de constants allers-retours pour ranger les objets en trop dans une malle se trouvant dans le monde réel. Enfin, on notera que vous disposez désormais automatiquement d'une carte du niveau où vous vous trouvez. Ceci est d'ailleurs représentatif de l'orientation du jeu : plus simple d'accès au niveau des énigmes, plus orienté action mais proposant en contre partie un suivi beaucoup plus intense de l'histoire. Un mélange qui peut s'avérer dommageable de prime abord mais qui se révèle finalement bien pensé à de multiples égards.

    Durée de vie 13/20

    Le jeu est bien plus simple que les autres épisodes de part des énigmes qui se veulent un peu trop proches de celles d'un Resident Evil. Vraiment dommage, mais paradoxalement il vous faudra un peu plus de temps pour boucler l'aventure, le jeu étant construit en deux parties, si je puis dire, avec un retour forcé dans les environnements déjà visités. Mais attention, car cette "deuxième" partie n'est absolument pas un défaut qu'on pourra mettre en avant pour descendre le jeu ! Citez-moi un survival à la bonne durée de vie qui ne joue pas sur de multiples allers-retours ?!

    Bande son 17/20

    Les bruitages d'ambiance (bruits des monstres, cris, sons de portes, etc.) font partie des meilleurs qu'il m'ait été donné d'entendre. Le doublage anglais est très réussi et soutient brillamment la psychologie des protagonistes et les musiques sont mystérieuses, angoissantes, belles et délicates. Que demandez de plus ?

    Scénario 15/20

    Rattaché à celui de Silent Hill 2 par le truchement du retour de Walter Sullivan, Silent Hill 4 : The Room se veut très intéressant. La mise en scène est précise et distille une pléthore d'indices pour vous retourner les méninges mais il est dommage que le scénario se tasse arrivé au dernier quart du jeu. Malgré celà, la lecture du jeu se rapproche de celle d'un livre de Douglas Clegg ou de Ramsey Campbell.

    Note Générale 16/20

    Le scénario instaure malaise et surprises macabres même si la fin du jeu est assez décevante. Certains joueurs aimeront le surplus d'action, d'autres non, et si je fais partie de la seconde catégorie, je confirme que cet aspect ne nuit pas vraiment à l'éclosion d'une histoire intéressante qui, bien que moins développée que celle de Silent Hill 2, demeure envoutante. La construction du jeu est perfectible mais apporte une durée de vie un peu plus conséquente et la maniabilité a été revue et ne souffre pas de gros défauts. The Room clôt donc la série d'une bien belle façon et si vous entendez quelques esprits malins hurler contre la perle noire de Konami, ne reculez pas, prenez votre courage à deux mains, préparez-vous à façonner la réalité à votre convenance et rentrez de plain-pied dans une obscurité si... reposante.

     

    L'avis de Lestat 1975 :

    Tiens j'ai sauter le 3é épisode.....c'est pas que j'avais pas envie d'y jouer, c'est que Silent Hill 3 n'est sortie que sur PS2 et que je ne possède pas cette console. 
    Mais revenons a nos moutons, voici donc Silent hill 4 the room.....je doit dire que j'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans l'histoire et qu'on est loin de l'univers des précèdent Silent hill. Si graphiquement le jeu est très réussi on ne peut pas en dire autant de l'ambiance. Au bout de seulement quelques minutes on ce retrouve en face d'un jeu plus tourner vers l'action que vers le survival horror pur et dur qui vous fait faire dans la culotte. En effet c'est la que le bas blésse, le titre est assez difficile au début et les ennemis vous arrivent dessus assez souvent et vous passez votre temps a leurs donnés des coups, des fois pendant un temps allucinant avant qu'ils crèvent. La vous vous dites que vous vous êtes fait avoir et que Konami n'a sortie ce titre que pour exploité le succés des 3 premiers titres. Non vraiment j'ai pas compris pourquoi le jeu était autant tourner vers l'action......Alors il ne me rester plus qu'une chose a faire .....j'ai arreter d'y jouer tellement la déception était grande.....je n'est repris le jeu que plus d'un an après...et la j'ai compris au fil des heures qu'en fait l'action du début ne duré que quelques temps et qu'ensuite le jeu se tourner plus vers ce qui a fait le succés des précèdents titres .....l'ambiance. En effet je crois que je n'ai pas insister assez et que si j'avais jouer rien qu'une demi heure de plus la première fois, bé je saurais aller jusqu'au bout. C'est vrai que nous sommes loin du deuxième épisode et le fait qu'une bonne partie du jeu ce déroule dans la chambre d'hotel du héros (il n'arrive pas a sortir de cette chambre exepter par un trou qui s'est former dans la salle de bain....et la il se retrouve dans l'autre monde) est assez déroutante surtout que de ce coté vous aurez droit a la vue genre FPS.....et que vous aurez beaucoup de mal a ne pas vous coincez dans le décor, genre chaises, tables ect.....pourtant cette chambre d'hotel est pour vous le seul moyen de souffler un peu et de sauvegarder, de s'éloigné de ce monde obscur. Elle est la bien venu .......jusqu'a ce qu'elle devienne elle aussi le pied à terre de créatures qui vous verez arrivé par les mûrs (wouah la trouille), vous n'étes plus du tout en sécurité.....nulle part. Il y a quand même de l'originalité dans ce 4é opus mais on a vraiment du mal a s'attacher au personnage principal (qui n'a rien a voir avec James Sunderland du 2é Silent Hill). Malgré tout en y jouant on reconnais quand même que le jeu porte bien son nom .....il sent le Silent Hill , il a le gout du Silent Hill, il resemble au Silent Hill ........bé c'est du Silent Hill,  malgré qu'il soit bien en dessous des autres on reconnais quand même la marque de fabrique de Konami. Cela dit j'ai quand même fini le titre et il m'a bien plu, surtout parce j'aime ce genre de jeu et que je trouve qu'il n'y en a pas assez.....
    Voila en attendant de jouer (prochainement j'éspere) au 3é Silent hill, je poste mon avis.


    Ma note ? 16/20








    Buffy Contre Les Vampires

    31/05/2007 16:40

    Buffy Contre Les Vampires


    Source : jeuxvidéo.com

    Buffy Contre Les Vampires Xbox

    Sortie : Le 12 septembre 2002

    La Tueuse la plus célèbre du petit écran a eu l'excellente idée de venir massacrer du vampire sur Xbox. Que ceux qui craignent l'adaptation facile d'un nom connu se rassurent, Buffy The Vampire Slayer est une véritable petite bombe de fun qui ne trahit pas la série. D'ailleurs le jeu est comme cette dernière : c'est fun et ça prend pas la tête. Une valeur sûre pour une console qui en manque ces temps-ci.

    Buffy Contre Les Vampires

    Alors, là, je dois dire que j'en reste bouche bée, d'ailleurs ... ... ... . Je ne m'attendais franchement pas à une adaptation aussi réussie, pour dire vrai, je redoutais un peu le jeu facile qui se vend plus grâce à son nom qu'à son gameplay. C'était sans compter sur EA et surtout sur le studio The Collective qui nous livrent finalement un beat'em All particulièrement jouissif. Buffy, à moins que vous ne viviez au fin fond d'un terrier Sibérien, vous devez au moins déjà avoir entendu parler d'elle. Peut-être même êtes-vous des fans. En tout cas, que vous soyiez dans un cas ou dans l'autre, vous serez content. Les incultes « buffyens » auront le loisirs de se mettre au goût du jour en découvrant l'histoire de la donzelle en début de jeu pendant que les acharnés jubileront en retrouvant leurs héros favoris : Giles, Xander, Willow, Cordellia, Spike, Angel et.... le Maître. Signalons d'ailleurs que tous les acteurs ont prété leur voix au jeu... sauf Sarah Michelle Gellar, sans doute trop occupée avec le tournage de Scooby Doo. Chacun ses priorités, moi ce que j'en dis.

    Test Buffy Contre Les Vampires Xbox - Screenshot 1
    Attention, ça va piquer un peu.

    Mais laissez-moi vous parler du jeu. Ah ! Laissez-moi parler je vous dis ! Nous voilà donc en présence d'un Beat'em All des familles agrémenté d'un côté plate-forme/exploration (light) à la Tomb Raider. Alors bien sûr, le plus marrant, c'est la castagne. Si vous connaissez la série et bien, c'est simple, on retrouve toute la panoplie de coup et d'armes de la Buffy en chair. Vous disposez d'une tripotée impressionnante de combos et de coups spéciaux particulièrement nerveux et, au demeurant, aisés à sortir. Pour effectuer les coups les plus efficaces, les « Slayer Moves », il vous faudra accumuler un peu de « Slayer Power » en dessoudant deux trois démons. A tout cela s'ajoute evidemment LE truc qu'on adore tous : le pieu. Enfin, le pieu ou le manche à balai, la queue de billard, l'arbalète, l'eau bénite, le barreau de chaise qu'on a soi-même cassé, etc. En pratique, voilà comment les choses se passent : vous bastonnez un vampire à grands coups de lattes de tueuse, et dès qu'il est sonné, PAF, un coup de pieu et on n'en parle plus. Mais en voilà un derrière vous ! Hop un transperçage de coeur en aveugle ! Yes ! Et summum, vous pouvez aussi envoyer la bête sur une poutre, sur un train en pleine course... rhââ !

    Test Buffy Contre Les Vampires Xbox - Screenshot 2
    Giles vous file un ou deux tuyaux.

    La progression dans le jeu se fera comme je vous le disais à la manière d'un Tomb Raider. On passe donc son temps à chercher des clefs, à réparer des générateurs ou à résoudre des énigmes à la portée du premier bigorneau venu (pour peu qu'il ait des doigts pour tenir le pad). C'est pas spécialemnt original, mais comme l'action est constante, on se lasse pas et finalement, on va chercher tout ce qu'on nous demande avec une grande joie, puisque ça veut dire qu'on va pouvoir castagner du revenant.

    Un bon gameplay c'est déjà bien, mais si en plus on nous gratifie d'une réalisation soignée alors moi je ne me contrôle plus. Non seulement vous retrouverez les lieux les plus huppés de Sunnydale (cimetierre, lycée, bibliothèque, le Bronze etc.) mais en plus c'est esthétiquement très réussi. Attention toutefois à l'éclairage, le jeu est sombre donc évitez de jouer avec un halogène à côté de la télé. Mais le top reste l'animation des persos, essentiellement au niveau des combats. Les enchaînements ont vraiment la pêche et les combos font preuve d'une certaine classe, quand au plantage de pieu il respecte à merveille le mouvement original de Buffy. Un régal. La bande-son suit elle aussi cette ligne de conduite qui mène vers la qualité. On retrouvera des dialogues en provenance directe d'une épisode de Buffy, et l'héroîne ne se privera pas de balancer quelques vannes en cours de jeu. Quant aux musiques elles collent parfaitement à l'action. Bon allez, je vous signale quand même la présence de deux ou trois bugs de rien du tout et quelques ralentissements assez peu gènants.

    Test Buffy Contre Les Vampires Xbox - Screenshot 3
    Cette vampirette est assez coriace.

    Pour conclure, je dirais tout simplement que Buffy the Vampire Slayer n'est certainement pas le jeu le plus surprenant de l'année, mais qu'il reste un Beat'em All étonnement scotchant et pourvu d'une réalisation des plus soignées. On s'éclate vraiment comme un malde à trucider tous ces vampires à grand coup de lattes et de pieu dans le coeur, à enchaîner les mouvements avec classe. Que l'on soit fan ou pas de la série, peu importe, il semble évident que le jeu fera bien marer tout le monde. Ah, un petit regret tout de même, le système de sauvegarde en fin de mission qui oblige à se retaper tout le niveau si on meurt, faut arrêter avec ça, c'est gonflant.

    Dinowan, le 11 septembre 2002

    Graphismes 16/20

    Bravo pour les animations lors des combats. Les enchaînements sont fluides, rapides et en plus ils ont de la gueule. Chapeau. Les décors, bien que parfois un peu sombres ne sont pas en reste et se montrent plutôt vastes. La modélisation des persos plaîra aux fans qui reconnaîtront facilement leurs héros.

    Jouabilité 17/20

    Le gameplay paraît simple, mais les combos sont nombreux, les armes variées. La maniabilité est véritablement excellente et tout ça sort sans embrouille. En clair, c'est du pur concentré de plaisir, ni trop simple ou simpliste, ni trop prise de tête. J'en redemande.

    Durée de vie 15/20

    Le jeu n'est pas toujours évident, certains passages demandent plusieurs essais, mais la diificulté n'est pas insurmontable. Le jeu est en tout cas assez long et le gameplay suffisamment exaltant pour qu'on ne lâche pas le jeu facilement.

    Bande son 16/20

    Des répliques dignes de la série et les voix des acteurs originaux (sauf Buffy, snif), c'est déjà un bon point. Les musiques suivent parfaitement l'action et font preuve d'une qualité certaine. C'est très bon. Certains speechs ont toutefois tendances à se montrer un peu top récurrents.

    Scénario 13/20

    Peut-être un des points faibles du jeu. Le scénario est dans la veine de ce qu'écrit mister Whedon mais semble, d'après de grands experts buffyphiles, être un poil en deça de ce à quoi l'on a droit dans la série. Il faut bien avouer que c'est pas du grand art.

    Note Générale 16/20

    En voilà un jeu qu'il est drôlement bien. Un bon Beat'em All avec un gameplay qui ne lasse pas et qui sait se montrer efficace et varié, vous pouvez me croire, c'est particulièrement jouissif. Le jeu vaut le coup juste pour le plaisir de planter un pieu dans le coeur d'un vampire qui vous suit de trop près. A n'en pas douter, un titre qui se doit figurer dans la ludothèque des xboxfans qui commencent à manquer de carburants pour leur machine.

     

    L'avis de Lestat 1975 :

    Bonne surprise. Je ne suis pas du tout a la base un fan de la serie de M6, a vrai dire je trouve ça un peu débile (encore une fois c'est mon avis personnel). Alors je me demande encore comment j'ai pu être amener à acheter ce titre ......Peut-être par rapport au test du XBOXmagazine. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu du tout. J'aime bien être surpris comme ça (un peu comme avec Munch Odyssé). Donc vous incarner Buffy la tueuse de Vampire plutôt bien réussi graphiquement, comme l'ensemble du titre d'ailleur. Buffy ce bat super bien et avec plein de trucs sympa qui traine des fois n'importe ou autour de vous ( tout est bon pour achever les créatures....dans le coeur de préférence) L'ambiance est super et on se régale a taper sur les Vampires (les pauvres). Franchement on se régale, on retrouve bien sur tout les protagonistes de la serie (Angel compris)....Cool pour les fans (personnellement moi j'm'en tape). Puis voila quoi aller y sans retenue ce jeu est une très bonne surprise.


    Ma note ? 17/20








    Resident Evil

    Resident Evil :Playstation

    Sortie en : juillet 1996

    Aller simple pour l'Enfer
    Des faits étranges se déroulent dans la ville de Raccoon City, les hautes autorités décident d'y envoyer une unité d'élite, les S.T.A.R.S. Une fois sur place, vous êtes attaqué par des chiens zombies, dans la panique, 4 membres de l’unité se réfugient dans un immense manoir isolé dans la forêt de Raccoon. Bienvenu en Enfer !!!
    Ce scénario n'a peut être pas l'air des plus passionnant, mais le déroulements de l'aventure et les rebondissements qui la constitue n'ont pas grand chose à envier aux production cinématographiques.

    Alone in the Dark made in Japan
    Resident Evil reprend le principe d'Alone in the Dark à savoir un jeu d'aventure en 3D à la troisième se déroulant principalement dans un manoir. Mais vous n'aurez pas accès à toutes pièces de ce manoir, pour avancer dedans, il vous faudra trouver les clefs des portes ou bien actionner divers mécanismes, il va s'en dire que ces mécanismes et ces clefs seront vos récompense pour résoudre les différentes énigmes (et pièges) éparpillés dans le dit manoir. Mais cela serait trop simple et bien sûr, d'autres choses vont vous causer des ennuis...

    Monstres et autres joyeusetés
    Et oui, vous n'êtes pas seul dans ce manoir et les autres occupants ne sont plus tout à fait eux-mêmes... Le manoir regorge en effet de zombies, créatures pathétiques, lentes et stupides, mais coriaces. Ces bestioles seront plus tard accompagnés d'autres créatures plus puissantes, plus résistantes, plus rapides et donc plus dangereuses. Capcom étant très généreux, vous ne croulez pas sous les munitions et des objets de guérison ne sont pas là tous les 5 mètres non plus... Bref, avant de chercher à résoudre des énigmes, il va falloir SURVIVRE !!!

    On complique encore un peu ???
    Mais tout cela serait trop simple selon Capcom, alors, ils ont rajouté un petit détail : vous ne pouvez transporter qu'un nombre limité d'objet !!! Selon le personnage avec lequel vous jouez (Jill Valentine ou Chris Redfield), vous ne pourrez transporter respectivement que 8 ou 6 objets, bien évident, objets de soins, armes et munitions vous de la place au même titre que les clefs et autres objets d'énigmes... dès lors on a un véritable petit côté gestion de son sac à dos. Mais rassurez vous, le jeu comporte également des grande malles dans lesquelles vous pouvez entreposer vos objets (ces malles "communiquent" entre elles). Mais la différence entre les 2 personnages ne s'arrête pas là : selon celui sélectionné, le jeu se déroulera différemment, les énigmes différeront, de même que le placement des objets... sans compter qu'avec Chris (qui correspond au mode dur), vous aurez moins de munitions et plus d'ennemis !!!

    Révolution graphique
    Resident Evil aura marqué les esprits par ses graphismes qui étaient d'une beauté à pleurer. Grâce à sa méthode décors 2D mêlés avec des personnages et objets en 3D, Capcom nous a pondu l'un des jeux qui ont marqué l'histoire de la Playstation sur le plan graphique au même titre que Wip&Out, Final Fantasy VII, Gran Turismo et autre Metal Gear Solid. Les musiques et autres bruitages renforcent quand à eux l'ambiance oppressante du jeu... il ne vous reste plus qu'à couper la lumière et jouer dans le noir pour que le tableau soit complet.

    Derniers détails
    Enfin, terminons avec la jouabilité un peu spéciale qui ne plaira pas à tout le monde. Haut/bas pour avancer/reculer et gauche/droite pour tourner sur soit même : cela à l'air simple dis comme ça, mais les caméras étant fixe, on est un peu déboussolé au début. Autre chose, il faut maintenir un bouton pour viser, et durant ce temps, vous ne pouvez que tourner sur vous même, ce qui peut être agaçant par moment. Une jouabilité particulière, mais qui s'avère tout de même efficace au final.
    Enfin, alors que le jeu offre déjà un challenge d'un bon niveau (voir haut niveau pour Chris), Capcom a rajouté quelques petites gâteries pour les plus exigeants... pour les débloquer, rien de plus simple : terminer le jeu dans un temps minimum. Ainsi, vous débloquerez de nouveaux costumes si vous finissez en moins de 7 heures et, surtout, vous débloquerez le surpuissant lance roquette de la fin (avec munitions infinies !!!) si vous l'achevez en... 3 heures (faisable avec Jill, mais avec Chris...).


    Jouabilité
    Le seul problème vient de la croix multidirectionnelle composée de 4 boutons de la Playstation.
    Graphisme
    C'était beau, le plus beau jeu de l'époque.
    Son
    Les bruitages et les musiques renforcent l'ambiance.
    Durée de vie
    De longues heures de jeu en perspectives si vous comptez débloquer les différents bonus.

    L'avis de Lestat1975 :

    La premier épisode de la serie n'est pas le meilleur mais il est plein de surprise. Avant que je commence à jouer a ce jeu, je n'avais jamais touché à un Survival-horror. Et vu l'attirance que j'éprouvais pour tout ce qui était fantastique il ne pouvais que me plaire. Le jeu est super-prenant, ça commence fort avec une sécance filmé ou tout les personnages sont poursuivis par des chiens de l'enfer, jusqu'à ce qu'ils arrivent à la porte d'un manoir. Ils se réfugis tous à l'intérieur se croyant à l'abris.....mais en ces lieux tout est bien pire qu'une meute de chiens enragés.
    L'ambiance est donnée, les personnages ce séparent et l'histoire commence pour de bon. Une des premières cinématiques ce déroule au rez-de-chaussée, un type est à genoux devant une personne alongée, vous entendez un bruit de mastiquation......puis le personnage a genoux ce retourne ...et la c'est l'horreur...c'est un Zombie, et le bruit de mastiquation que vous avez entendu n'est autre que le mort-vivant en train de bouffer le cadavre à terre. La ça commence fort....je rapelle que le jeu est sortie en 1996, en ce temps la il n'y avait pas autant de titre traitant de l'horreur à ce point....(tout ce que j'aime) à l'époque je commencer à peine à jouer régulièrement aux jeux vidéos et j'avoue avoir était plus qu'emballer par le scénario. Manoir, zombie, monstres, enigmes, trahison ect.....Bravo Capcom !!
    Le seul point faible de tout les resident evil, c'est bien sur les aller-retour aux coffres à cause d'un inventaire limité....je veux bien qu'il soit limité mais ils auraient pu mettre un peu plus de coffres aussi. Mais c'est sur qu'avec ça ils ont du rallongés la durée de vie. Mais quelle beauté avec tout ces décors en 2D, je n'avais encore jamais vu cela à l'époque ou je n'était qu'un débutant en manque de sensations , et cela à apporté énormèment à l'ambiance du jeu.

    Par contre j'ai vu la version Gamecube sortie il y a quelques années....bien que graphiquement le titre était magnifique j'ai trouver qu'il n'y avait pas beaucoup de changement au niveau du scénario, et c'est bien dommage, c'est pour cela que je n'est pas eu envie d'y jouer.

     Ma note ? 17/20


     










    Resident Evil 2

    Resident Evil 2 Playstation

    Sortie en : 1998

    Digne successeur de Resident Evil (RE), ce deuxième opus sort deux ans après le succès mondial qui a accueilli son aîné. Resident Evil 2 (RE2) assure la succession avec une notion de continuité, d'amélioration, et non pas de changement.

    Resident Evil vous a amené à visiter (en jouant deux agents de la STARS : Special Tactics and Rescue Squad) un manoir où des évènements étranges se sont déroulés, pour finir dans un laboratoire secret de la Umbrella Corp. Sur fond de manipulation génétique, destinée à la fabrication d'armes biologiques, le scénario de RE vous a permis de connaître les raisons qui font que des zombies se baladent un peu partout et que vous avez combattus...

    Resident Evil 2 vous installe dans un contexte un peu différent, dans la mesure où le T-Virus a infecté toute la ville de Raccoon. Ce deuxième opus met en scène, à l'instar du premier, deux personnages jouables. Leon S. Kennedy et Claire Redfield (oui la sœur de Chris Redfield, l'un des héros du premier). Leon est un agent de police de la RCPD, qui commence son premier jour de boulot, et Claire Redfield qui vient à Raccoon City pour chercher son frère. C'est dans ce contexte que RE2 vous invite à démarrer une nouvelle aventure de survival horror, genre que RE introduisit ou remit au goût du jour...


    REALISATION

    Resident Evil 2 est, à l'instar du premier opus, un jeu dont les décors sont en 3D pré-calculée, au milieu desquels évoluent les différents protagonistes du jeu. L'avantage d'utiliser de la 3D pré-calculée, est de permettre aux développeurs d'intégrer des décors plus jolis en terme de textures, d'éclairage, et en terme de nombre de polygones. La raison est que la 3D pré-calculée est moins gourmande en ressources, les polygones utilisés pour les décors ne sont pas animés pour la plupart, ce qui permet d'augmenter la qualité de l'ensemble des décors par rapport à un jeu en 3D temps réel. Les protagonistes évoluent donc dans un environnement composé de plans de caméra fixe.
    Cet épisode nous propose donc des décors, aussi bien en intérieur qu'en extérieur, d'une très grande qualité. Et pour cause, les textures sont beaucoup plus fines et réalistes que dans RE. Les différents éléments du décor disposent de plus de polygones et sont extrêmement bien éclairés. Le thème donné aux décors est penché dans le glauque, et diverses choses qui se rapportent à l'horreur : cadavres, traces de sang... Tout cela installe bien entendu l'atmosphère idéale pour un survival horror.
    Du coté des protagonistes, il y a aussi du mieux. En effet, les personnages jouables et les ennemis (zombies, mutants...) sont beaucoup mieux modélisés, car disposant d'un nombre de polygones plus élevé. Bien qu'ils soient en 3D temps réel, joliment texturés, ils s'intègrent parfaitement dans les décors en 3D pré-calculée. Il n'y a donc pas une réelle démarcation entre les protagonistes du jeu et les décors, points positif qui montre un souci bien maîtrisé par la réalisation.


    Enfin, du coté de la bande sonore, c'est de la même veine que RE. A savoir, qu'il n'y pas de musique en tant que telle, mais seulement un environnement sonore lié directement aux différents lieux visités. Les voix des personnages sont doublées par de vrais acteurs, et sont d'une bien meilleure qualité que celles de RE. Par ailleurs, RE2 se base encore plus sur les bruitages pour créer l'atmosphère oppressante qui vous tient tout le long du jeu. En effet, chaque type d'ennemis émet un gémissement particulier dans le but, d'abord de vous faire peur. Mais cela fait partie intégrante aussi du gameplay, dans la mesure où se ont ces gémissements spécifiques qui vont vous permettre d'anticiper et de savoir à quel type de monstre vous allez avoir à faire en pénétrant dans un endroit...


    GAMEPLAY

    Le gameplay n'a pas bougé d'un poil par rapport à RE en ce qui concerne les bases. En effet, vous vous baladez toujours dans le jeu, en résolvant des énigmes, en ramassant et en économisant vos munitions qui sont limitées dans le jeu. Différentes armes blanches et armes à feu sont trouvables, vous permettant de vous frayer un chemin plus facilement parmi les zombies. Vous avez toujours la possibilité de soigner vos blessures avec des spray ou des herbes à combiner. Les combinaisons d'objets divers font partie intégrante du gameplay dans la mesure où vous serez souvent amené à y avoir recours pour créer un élément nécessaire, pour résoudre une énigme par exemple. Vous avez toujours la possibilité d'utiliser les caisses communicantes (situées dans les salles de sauvegarde) pour décharger votre inventaire, dont la taille varie selon le personnage joué. Enfin, et à l'instar de RE, vous serez amené à diriger d'autres personnages au cours du jeu, pour réussir certaines phases du scénario.


    Par contre là où il y a du changement, c'est au niveau du traitement des personnages jouables, et plus précisément deux scénarios différents. Dans RE, les deux personnages jouables correspondent à deux niveaux de difficulté, et il n'y a que très peu de différences et d'interactions dans le déroulement dans leur scénario respectif. Alors que dans RE2, vous avez deux scénarios bien distincts avec des interactions plus poussées entre ces derniers et des fins différentes. Le scénario A est jouable dès le début avec l'un ou l'autre des personnages. En terminant le scénario A, vous débloquez le scénario B jouable avec l'un ou l'autre des deux personnages principal. Par exemple, si vous terminez le scénario A avec Leon, vous débloquerez le scénario B jouable uniquement avec Claire. Ce qui est logique dans la mesure où dans RE2, nos deux protagonistes évoluent simultanément dans l'aventure mais chacun de son côté, avec des interactions qui peuvent les amener à se croiser. Donc pour savoir ce que chaque personnage a fait lors de l'aventure, il faut avoir fini les 2 scénarios.
    Bien sûr, le gameplay est servi avec un système de contrôle du personnage aussi ergonomique que le premier opus et avec des améliorations qui permettent de jouer avec plus de précisions et de tirer où vous le désirez sur un ennemi, dans la mesure où les points d'impact sont différenciés.

    CONCLUSION

    Un deuxième opus qui s'installe dans une optique d'amélioration donc, pas de prise de risques de la part de Capcom pour faire de gros changements. Un bon jeu, mais il a quand même le défaut inhérent au genre du survival : l'effet de surprise. En effet, RE nous surprenait avec des séquences d'anthologie (le chien qui saute par la fenêtre...), alors que RE2 peine un peu dans ce sens là... Néanmoins, à défaut de nous surprendre, RE2 reste un jeu dont l'ambiance installe une peur permanente en vous... A jouer seul et dans le noir total. La durée de vie n'est pas énorme, même avec les deux scénarios, RE2 ne vous tiendra pas plus de 10 heures. Par contre, il existe des bonus à débloquer en terminant le jeu qui méritent le détour et qui mérite que vous fassiez l'effort de refaire une partie parfaite. Vous pouvez débloquer, dans un premier temps, des costumes. Mais c'est surtout les petits scénarios bis qui valent le coup. Comme celui de Hunk, un soldat de la Umbrella Corp. qui veut s'échapper avant l'explosion du complexe (initiée par vous-même...)...Vous démarrez avec des soins, un Desert Eagle et des munitions et vous n'aurez que ça pour vous en sortir... A mon avis ce petit scénario est même meilleur que le jeu lui-même. Il reprend toutes les composantes essentielles qui constituent l'essence du survival horror, et concentre le tout dans une demi heure de jeu intense...

    L'avis de Lestat1975 :

    Ce deuxième opus surpasse le premier épisode. C'est pour moi le meilleur des resident evil (sur les 4 auquel j'ai pu jouer).
    Un histoire  béton, de l'action en pagaille, plein de scénarios différents pour chaque personnage. A noter l'apparition d'un bien étrange personnage qui vous poursuit dans le manoir, et qui à une facheuse tendance à débarquer un peu n'importe ou en passant (non sans force) à travers les murs quand vous avez l'impression d'être en sécurité. Que l'on joue avec le perso masculin ou feminin le jeu est une réussite, on retrouve bien sur tout ce qui a fait le succés du premier épisode. Je pense que je n'ai pas grand chose à rajouter.

     Ma note ? 18/20

     






    Resident Evil 3, Nemesis

    14/06/2007 00:06

    Resident Evil 3, Nemesis


    Source : Jeux vidéos.com

    Resident Evil 3 : Nemesis Playstation

    Sortie : En février 2000

    Alors que tout le monde croyait que la menace était enfin écartée, que les monstruosités n'étaient plus que de lointains cauchemars, ils sont revenus, plus nombreux, plus hideux et plus vicieux... J'irai pas passer mes vacances au camping de Racoon City, moi.

    Resident Evil 3 : Nemesis

    Quand Capcom tient quelque chose, il ne lâche plus jusqu'à avoir épuisé toutes ses ressources. C'est donc sans surprise que la PlayStation accueille ce nouvel opus dans la série des Resident Evil, le troisième... Nemesis. Un des précurseurs du genre diront les puristes et certainement une série des plus marquantes de l'univers des jeux vidéo.

    Test Resident Evil 3 : Nemesis Playstation - Screenshot 1

    Une fois de plus donc, Racoon City est la cible d'évènements glauques. Les zombies veulent réinvestir la ville et une horde de macchabées puants et sanguinolents traînent partout dans les coins avec un appétit singulier pour les foies humains. Vous, vous incarnez cette fois Jill Valentine, l'héroïne du premier épisode et si vous pourrez jouer un autre personnage au cours de l'aventure, tout le scénario est axé cette fois sur ce seul et même personnage.

    Dans le principe, Capcom a décidé de ne pas trop changer l'équipe gagnante et s'est donc contenté d'optimiser et d'apporter les quelques retouches nécessaires à l'interface et aux contrôles, histoire de dire que ses développeurs ne sont pas payés à rien faire. L'interface reprend donc la fameuse vue de Jill en 3D temps réel dans des scènes en 3D précalculée et avec une caméra automatique et fixe... d'où quelques petits problèmes de visibilité lorsque vous arrivez par exemple dans une pièce avec une vue proche et de face mais qui rajoutent toujours autant au suspense.

    Test Resident Evil 3 : Nemesis Playstation - Screenshot 2

    Graphiquement, Capcom a pas mal bossé sur l'esthétique. Les scènes prérendues semblent encore plus fines et détaillées, les personnages en 3D sont eux aussi plus fins, leur animation est meilleure tout en étant plus fluide... De nouveaux effets font même leur apparition comme des éclairages dynamiques quand par exemple, vous passez près d'une flamme. Ces flammes et explosions sont aussi mieux faites et vraiment jolies. Au final, un résultat probant et bien plus abouti ou innovant en comparaison au changement qu'avait apporté le numéro 2 par rapport au 1.

    Dans le maniement de Jill, les habitués de la série s'y retrouveront agréablement et sauront sûrement apprécier les petits plus que Capcom a réussi à intégrer dans la maniabilité de la jeune donzelle. Tout d'abord, les escaliers ne sont plus maintenant ces barrières infranchissables où il fallait appuyer sur une touche, Jill les passe sans problème. Ensuite, la visée est maintenant semi-automatique, ce qui évitera le gaspillage si agaçant de balles quand la caméra vous met en défaut. Toujours dans les nouveautés, notre héroïne peut maintenant aussi faire des demi-tours rapides pour s'échapper, éviter les ennemis qui veulent lui arracher la joue ou bien encore tirer sur certains objets des décors pour les faire exploser. Très pratiques, ces nouveaux systèmes permettent d'une part d'enlever les tracas que certains pouvaient éprouver dans les situations de stress mais ajoutent en plus une petite complexité dans les commandes, ce qui n'est pas plus mal pour les vieux de la vieille.

    Test Resident Evil 3 : Nemesis Playstation - Screenshot 3

    Sinon, on retrouve toujours les fameuses interfaces de carte et d'inventaire, relookés un minimum et permettant toujours d'utiliser, d'examiner et d'associer les 8 objets que vous pourrez porter en même temps. Dans les changements, une ergonomie plus agréable pour la relecture des documents et une carte zoomable plus pratique à utiliser elle aussi. Nouvelle option intéressante dans l'inventaire, l'utilisation d'un kit munitions qui permet, en associant trois poudres de base, d'obtenir 13 munitions différentes pour vos armes. Ainsi, le facteur munition s'adapte à vos besoins et non l'inverse.

    Test Resident Evil 3 : Nemesis Playstation - Screenshot 4

    Les principes fondamentaux des Resident Evil restent eux aussi de la partie comme le deux modes de jeu : facile et normal, les sauvegardes à points fixes avec les sempiternels rubans encreurs ou bien encore les chargements des pièces avec ces portes qui s'ouvrent en grinçant de manière inquiétante.

    Pour le scénario, Resident Evil 3 reprend aussi tous les ingrédients des épisodes précédents : exploration, puzzles et shoot de zombie visqueux. Ces trois ingrédients formant toujours un cocktail détonnant, nous retrouvons ce breuvage dans RE3. Les puzzles ont été améliorés pour ne pas trop énerver le joueur et restent assez simples pour opposer un challenge de bon aloi. De plus, à certains moments clé du jeu, vous aurez à faire des choix dans l'orientation de votre personnage par rapport à l'histoire. Pour le reste, les ressemblances avec les épisodes précédents sont tout de même très agaçantes... Rien qu'à se retrouver dans le commissariat de Racoon City pour se persuader d'un gros sentiment de déjà vu...

    Kornifex , le 18 février 2000

    Graphismes 17/20

    Une amélioration sensible sur tous les domaines et les scènes cinématiques sont toujours d'une qualité exceptionnelle.

    Jouabilité 17/20

    Les quelques nouveautés ou options rafraîchissent nettement le jeu. Les habitués s'y retrouveront sans problème tandis que les novices trouveront un jeu plus accessible.

    Durée de vie 16/20

    Un scénario truffé d'énigmes honnêtes et la durée de vie de Resident Evil 3 approche approximativement celle des deux épisodes précédents. Donc un peu court mais assez soutenu.

    Bande son 17/20

    Voix anglaises de qualité et bien jouées, les musiques sont toujours aussi oppressantes. Les quelques bruitages sont eux aussi tout à fait convaincants.

    Scénario 15/20

    Bon scénario même si on nous ressert une fois de plus du réchauffé de chez réchauffé. Le manque d'histoire parallèle et de double scénario manquera peut-être aux amateurs de la série.

    Note Générale 17/20

    Resident Evil 3 poursuit sa route dans le survival-horror. Plus novateur que l'était RE2, ce nouvel épisode reprend tous les ingrédients du succès de la série pour un nouvel épisode tout aussi effrayant et palipitant.

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Le moins bien réussi des résident evil et aussi celui que j'ai du finir le plus de fois (10 fois, je m'expliquerai après). Avec une durée de vie racourci (environ 2 heures de jeu au total), on ne peut pas dire que l'on est en présence d'un chef d'oeuvre. Il y a des nouveautés c'est sur, notamment la présence de Nemesis qui n'est pas sans rapeller le mec qui casse les murs pour avoir votre peau dans le second épisode. En effet il vous poursuit tout le long du jeu, ce qui rajoute au stress. Mais voila le jeu est tellement court que l'on reste vraiment sur sa faim....un seul personnage est jouable, on retrouve quand même les petites missions à faire après avoir terminé le jeu une fois....mais est-ce suffisant pour rattrapper le tout ? Et bien oui et non (ha ha ha je prend pas de risque), le jeu est quand même pas mal malgré tout. Bizarrement Capcom proposer de gagner une photo representant les personnages principaux à chaque fois que l'on finissait le jeu....Ces photos sont repertoriées dans un genre d'album....moi pensant que Capcom nous caché je ne sais quelle surprise, je me mis en tête de toutes les avoir (9 photos au total) ....mais voila après avoir finis le jeu autant de fois (il me semble même qu'un jour, je l'ai finit 3 fois dans la journée).....la seule chose que j'ai eu avec mes pauvres photos, c'est un remerciement de Capcom pour avoir sauver la ville de Racoon City.....Bravo Capcom !!!! (enc***)

    Ma note ? 16/10






    Resident Evil, Survivor

    23/06/2007 15:02

    Resident Evil, Survivor


    Source : jeux vidéos.com

    Resident Evil : Survivor Playstation

    Sortie : Le 26 mai 2000

    Forcement, dès qu’il y a marqué Resident Evil dessus, on est tenté de dire amen. Et bien parfois on fait bien de se méfier. Capcom nous propose avec ce nouveau titre un jeu d’action pur et dur, qui ne laisse aucune place à la réflexion et aux bons sentiments. Si vous n’aimez pas les zombies, vous être très bien tombés.

    Resident Evil : Survivor

    C’est fou comme le marketing peut faire marcher le monde parfois … Alors que la série des Resident Evil peut être qualifiée de chef-d’œuvre, Capcom vient gâcher notre plaisir en essorant le sujet une fois de trop. Décidément, les gens ne savent pas s’arrêter et tous les points forts de la série sont massacrés un par un dans ce nouveau titre. Certes l’ambiance est assez bien rendue et les graphismes ne sont pas trop déplorables mais on reste loin des grands jeux auxquels on était habitué. Voyons ça dans le détail ...

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 1
    Comme ils sont gros ces pixels!

    Vous êtes dans la peau de ... et bien ... justement, vous n’en savez rien. Vous vous réveillez avec un sale mal de crâne dans une rue lugubre et infestée de zombies, tout ça sans rien vous rappeler de votre identité. On a connu des moments plus agréables mais après tout, vous avez signé pour ... Bref, vous avez quand même un pistolet avec vous et suffisamment de munitions pour faire passer de nombreux zombies de ...trépas à trépas :).

    Vous voilà plongé au cœur du survival horror, comme on dit, à vous de découvrir les mystères qui entourent votre passé et surtout de survivre (si !) jusqu’au bout de l’aventure sans finir entre les mâchoires tremblotantes d’un quelconque mort-vivant. Comme il se doit, les munitions ne seront pas légion (contrairement aux monstres) et il va falloir vous accrocher pour vous en sortir. Les commandes sont on ne peut plus simples à prendre en main (et c’est normal vu leur nombre) et on est vite maître du personnage bien que les contrôles de tirs soient assez peu précis : essayez de tirer sur un chien qui cours pour voir (remarquez, ça doit pas être facile non plus en vrai :).

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 2
    Même pas un zombie au comptoir pour mettre l'ambiance.

    Côté graphisme, le jeu est honnête, sans plus. Le manque de finesse se fait cruellement sentir et la pixellisation est omniprésente. Le jeu est par contre assez fluide mais cela ne rattrape pas le manque de cohérence dans certains décors (vous avez déjà vu une lourde porte métallique au beau milieu d’un casino vous ?). Par contre, les personnages sont ce qu’il y a de plus réussi et les créatures que vous rencontrerez sont relativement variées. Cela dit, l’ambiance aurait pu être bien meilleure si le son avait été à la hauteur. Malheureusement, c’est là aussi une déception, les musiques et les effets sonores n’étant pas toujours appropriées à l’action.

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 3

    Vous voyez le "recharger" en bas à droite ? C'est mauvais signe.

    Si les problèmes n’avaient été que techniques, le jeu aurait pu garder un certain intérêt, mais une fois encore, la réalisation des séances de tir n’arrive pas à convaincre. Pas de déplacements latéraux, pas de localisation des coups, une cadence de tir pitoyable, voilà ce qui vous attend dans la seule phase intéressante du jeu (puisqu’il n’y a ici aucune énigme à résoudre). Comme en plus les clés et les portes sont presque toutes dans l’ordre, vous ne risquez pas de vous perdre dans cette aventure plus que dirigiste.

    Certes, il reste l’ambiance et le coté survie qui est assez bien rendu mais tout cela ne sauve pas ce jeu qui n’intéressera que les fans (les plus atteints :) de la série et les même fanatiques du survival horror risquent d’être déçus tant la réalisation laisse à désirer. A ne conseiller qu’aux fans du cassage de zombies à la chaîne.

    Twitten , le 02 juin 2000

    Graphismes 12/20

    La qualité est honnête, les animations ne souffrent pas de trop de ralentissement mais le manque de finesse nuit grandement à l’ambiance.

    Jouabilité 13/20

    La prise en main est facile mais le mode tir est très décevant. C’est néanmoins le meilleur point du jeu.

    Durée de vie 9/20

    On se lasse très vite du avancer-tirer qui est malheureusement la seule chose à faire dans ce jeu.

    Bande son 10/20

    Les musiques et effets sonores sont d’une qualité moyenne mais tombent souvent comme un cheveux sur la soupe.

    Scénario -/20

    Impossible de mettre une note à un scénario qui ne sert que de prétexte à l’action mais l’idée est assez bonne et plutôt convaincante.

    Note Générale 10/20

    Un jeu qui aurait pu être la digne suite de la prestigieuse série des Resident Evil tout en explorant un autre genre. Malheureusement, la réalisation déplorable ne le destine qu’aux seuls fanatiques du genre (et aux malheureux qui auront cru voir dans le titre un gage de qualité).

    L'avis de Lestat1975 :

    Wouahh......Là nous sommes en présence du pire jeu vidéo que je connaisse....
    Sous l'apellation Resident evil, Capcom c'est permis de nous pondre une bonne grosse daube bien sentie.....Je me demande encore comment j'ai pu tomber dans le panneau.....Je crois que j'étais parti pour acheter un jeu (me rapelle plus lequel) qui me faisait envie, mais malheureusement le vendeur ne l'avait pas encore reçu. Puis j'ai vu ce titre "Resident evil survivor" ce qui semblait être un jeu avec la vue genre FPS, et avec bien sur des zombies, monstres ect....Trop cool quoi....mais j'ai vite déchanter.....j'ai donc acheter ce jeu pourri et je suis rentrer chez moi pour le tester.....je souligne que c'est le seul jeu que j'ai acheter sans avoir lu un seul avis ni un seul test....en général je fait confiance aux testeurs, et je n'ai jamais été déçu par les jeux que j'ai acheter. Mais là je me suis fait berné par Capcom. Arrivé chez moi, je commence une partie.....et là ...bé comment dire ...bé c'était nul ....des graphismes nazes (tout en 3D, une première pour un Resident), des zombies tout bon à éclater de rire, aucun scénario valable. On avance en cherchant la plupart du temps une clef pour continuer à progresser entre les niveaux...sans mentir je crois que j'ai du passer 20 mns maximum à jouer avant d'enlever le disque de ma PS1, et de ramener le jeu vidéo chez le vendeur. Quelle deception.....pourtant l'idée de départ n'était pas mauvaise, un Resident evil avec une vue FPS. D'ailleurs cette partie du jeu a était reprise dans "Resident evil, code Véronica" et son mode missions, en beaucoup plus réussi bien sur. Voila ...surtout n'acheter pas cette "Grosse Daube".


    Ma note ? 05/20






    Resident Evil, Code Véronica

    23/06/2007 15:19

    Resident Evil, Code Véronica


    Source : Jeux vidéos.com

    Resident Evil : Code Veronica Dreamcast

    Sortie : En mai 2000

    Enfin ! Enfin les possesseurs de Dreamcast vont avoir peur ! Capcom s'est enfin décidé à décliner l'univers de Resident Evil sur la console de SEGA, avec un titre pour une fois spécialement conçu pour la Dreamcast !

    Resident Evil : Code Veronica

    Enfin disais-je. Enfin car ce n'est pas avec le dernier épisode, Resident Evil 2, adapté dernièrement sur DC que les joueurs avaient pu vraiment goûté aux plaisirs d'un jeu de ce genre. Disons qu'ils avaient pu goûter à son atmosphère terrifiante et à ce petit quelque chose qui en fait un titre passionnant mais l'adaptation n'était clairement pas en harmonie avec les capacités de la machine. Faute avouée est à demi pardonnée, Capcom se rachète en développant spécifiquement pour la Dream et en nous pondant carrément un épisode tout neuf.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 1
    Il vous sera difficile quelquefois de faire la différence entre les FMV et les scènes du jeu

    Pour rester évidemment toujours dans ce même univers glauque et morbide, nous allons retrouver les fameux héros récurrents de la série. Vous vous souvenez des Redfield, Chris et Claire, ces deux agents du STARR qui avaient fait des actions d'éclat dans le premier épisode. Les revoici donc avec en bonus et guest star un nouveau personnage répondant au doux nom de Steven Burnside, sorte de Léonardo Di Caprio au charme et à la gâchette ravageurs. Bref, poursuivant l'histoire, Chris Redfield manque toujours à l'appel et sa sœur, à sa recherche, arrive à Paris. Paris car des informations secrètes lui laissent penser qu'un second laboratoire d'Umbrella serait dans les environs de la ville lumière. Voici donc pour notre plus grand plaisir un tout nouveau complexe labyrinthique de couloirs, portes à accès fermés et autres placards putrides.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 2
    Les angles de vue ont toujours un petit quelque chose de cinématographique

    Dans son fonctionnement, n'importe quel joueur de PSX se trouverait à son aise. Sans intégrer les derniers raffinements que l'on pouvait trouver dans des jeux comme Dino Crisis, Code Veronica reprend le maniement complet du premier épisode. Vous déplacez vos personnages de la même manière avec la possibilité de courir ou de ramasser des objets, activer des interrupteurs etc. Seule nouveauté, l'intégration d'un pivot à 180° pour shooter une tête arrivant par derrière. Le mode de combat est lui aussi le même avec un système de visée manuel. L'inventaire n'a subi qu'un lifting de façade et les multiples combinaisons ou les sempiternels 6 slots d'inventaire sont toujours là. Pour vous aider à ne pas (trop) vous perdre, Resident Evil : Code Veronica aura bien entendu le mode carte intégré. Comme d'habitude, la pure et simple reprise d'un maniement déjà maintes fois éprouvé ajoute souvent plus de problèmes que d'avantages. L'unique avantage étant de ne pas déstabiliser le joueur habitué à un certain mode de fonctionnement mais les multiples inconvénients viennent directement de ce "vieux" système. En effet, le manque de maniement de ce jeu qui date tout de même de plusieurs années posent certains problèmes notamment le fait de ne pouvoir tourner facilement sur soi ou encore certains défauts de chargements, longuets entre les pièces avec ces portes qui s'ouvrent en grinçant sinistrement.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 3
    Le bon vieux dégommage de mort-vivant au fusil à pompe, pas propre mais quel soulagement !

    Les angles de caméra s'adaptant automatiquement à votre position, ils sont logiquement "adaptés" au mieux pour votre visibilité mais il arrive très souvent qu'ils ne le soient justement pas. Cela ajoute au suspense que de rentrer dans un couloir où vous n'avez aucune vision mais là où ça devient gênant, c'est lorsque vous vous retrouvez en situation de combat. Les monstres vous bloquant la vue, vous aurez tendance à tirer à côté et à gâcher ainsi de précieuses munitions... Tous ces problèmes ne sont évidemment pas nouveaux et se retrouvaient déjà dans les précédents épisodes mais même si les joueurs y sont habitués, il n'est jamais trop tard pour bien faire.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 4
    Finie la 3D précalculée et bienvenue aux vrais décors en temps réel

    Mais là où Capcom fait fort sur le support Dreamcast, c'est en transposant cette atmosphère oppressante que peut receler un Resident Evil tout en utilisant pleinement les possibilités techniques de la Dreamcast. Car techniquement RECV n'a rien à voir avec n'importe laquelle des versions PlayStation. L'apport de la haute résolution donne tout d'abord des personnages bien plus fins, bien plus soignés et en résumé, nettement plus beaux et mieux animés. Les décors en 3D précalculée ont maintenant disparu pour laisser la place à des décors 3D temps réel. Certains déplacements sont donc maintenant accompagnés de mouvements de caméras du plus bel effet et les personnages n'ont plus ce côté décalé dans les décors dû aux différences de rendus. Lumières dynamiques, fumées ou réverbérations la panoplie complète de la console 128 bit est employée et visuellement, le jeu y gagne nettement en éclat. Surtout quand les superbes cinématiques de Capcom émaillent toujours aussi subtilement le scénario.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 5
    L'arrivée de nouveaux monstres rendant certaines rencontres intéressantes

    Parlons du scénario justement. Encore une fois, s'il s'agit bien je vous rassure d'un tout nouvel opus, la trame ultra classique des Resident Evil se retrouve très facilement. Les 2 CD qui vous proposent de jouer l'un après l'autre Claire puis Chris, les petits puzzles, les salles remplies de monstres, les interrupteurs à actionner, la terreur de la sauvegarde avec ces satanés rubans encreurs etc. etc. Du bon mais du déjà vu avec la descente aux enfers retrouvée dans tous les autres jeux de la série. Vous aurez peur, c'est certain mais le scénario ne relève encore pas de Lynch ou de Coppola.

    Kornifex , le 31 mai 2000

    Graphismes 18/20

    La véritable amélioration de Resident Evil : Code Veronica. Un moteur de jeu parfait au service de la Dreamcast et qui rendra cet épisode encore plus beau et terrifiant.

    Jouabilité 16/20

    Un système auquel nous sommes tous habitués mais qui comporte toujours les mêmes défauts de contrôle et de précision.

    Durée de vie 16/20

    Les différents modes accessibles en fin de jeu ou la présence de deux aventures parallèles donne toujours autant de longévité.

    Bande son 17/20

    Tout est fait pour que vous ayez peur et ça marche. Musiques angoissantes, râles des zombies, gouttes d'eau (de sang ?) suintant du plafond.... Brrrr !

    Scénario 15/20

    Ultra classique, les héros sont toujours aussi naïfs que gentils tandis que les méchants sont toujours aussi...euh méchants :)

    Note Générale 17/20

    Une très sensible amélioration graphique permet de prévoir des prochains Resident Evil plus beaux et plus effrayants mais une jouabilité qui vieillit aussi, n'offrant que peu d'alternative. Code Veronica reste un pur moment d'aventure teinté d'action.

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Après avoir tester le plus gros raté de l'histoire du jeu vidéo (peut-être pas quand même) je me suis payer le tant attendu "Resident evil, code Véronica" sur ma console Dreamcast (récemment acheter à l'époque) .
    On passe au niveau supérieur avec ce titre, fini les décors en 2D qui on fait le bonheur des 3 premiers Résident evil. Et bienvenue à la 3D, bien meilleure sur la console 128 bits de Sega que sur la pauvre PS1 a bout de souffle de Sony. Le titre n'est pas le meilleur de la serie à mon goût mais il n'en est pas loin, avec une mise en scène très pointue, des cinématiques tout en 3D qui font rêver et des personnages super bien fait. J'ai trouver le jeu un peu plus dur que les précédents, j'ai du recommencer ma première partie. Cause ? : Manque de munitions à l'approche d'un Boss....hi hi...la première fois que cela m'arriver sur un Resident Evil. Le titre est plus long que les précédents jeux de Capcom, il a une très bonne durée de vie, et Le jeu est beaucoup plus réaliste que ceux de la PS1, grace bien sur à la puissance de la Dreamcast. Vous passerait un bon moment....


    Ma note ? 17/20






    The house of the dead 2

    23/06/2007 23:22

    The house of the dead 2


    source jeux vidéo.com

    The House Of The Dead 2 Dreamcast

    Sortie : Le 29 octobre 1999

    Autant le signaler tout de suite, The House of The Dead 2 doit se jouer avec le flingue. Alors seulement, on peut profiter de bonnes conditions de jeu, et retrouver toutes les sensations de l'arcade !

    The House Of The Dead 2

    La Dreamcast fait partie de la première génération de console en phase avec l'arcade, en ce sens qu'il est aujourd'hui à peu près impossible de différencier les deux supports. Prenons l'exemple de Sega Rally premier du nom, sorti en même temps dans les salles de jeu et sur Saturn. Si la conception du jeu était strictement la même, on ne pouvait toutefois parler que d'une adaptation à propos de la sortie sur console. Aujourd'hui avec Sega Rally 2, on parle d'une version, et non d'une conversion - la nuance est de taille ! La Dreamcast exploite en effet les mêmes technologies que la Naomi, c'est à dire les bornes d'arcade Sega ; reste que, devant votre téléviseur, vous ne profitez pas du siège baquet, du pédalier, du volant retour de force et de l'immense écran...

    Test The House Of The Dead 2 Dreamcast - Screenshot 1

    Avec The House of The Dead 2, en revanche, on se rapproche plus encore de l'ambiance des salles de jeu si on possède le flingue, puisque c'est là le seul accessoire requis. Pour peu que vous ayez un écran de grande taille, vous ne ferez plus aucune différence, le résultat est garanti ! Que ce soit dans les animations, dans les graphismes ou dans le son... c'est kif-kif bourricot.

    The House of The Dead 2, dans son ambiance gore, malsaine et apocalyptique, est vraiment une référence et une exception. Vous rencontrerez une douzaine de types de zombies, tous plus laids et effrayants les uns que les autres. Ceux-ci se jettent sur vous comme des cinglés, et si vous ne parvenez pas à leur exploser la tronche à temps, ils vous tailladeront le visage avec une force bestiale... l'effet est saisissant ! Au cours de la partie, vous aurez trois armes : un pistolet, un fusil et une mitraillette, vous pourrez également ramasser des bonus, de la vie etc. pour que la tuerie dure plus longtemps encore.

    Test The House Of The Dead 2 Dreamcast - Screenshot 2

    Le principe de jeu est simple : la caméra vue subjective guide automatiquement vos déplacements, et vous n'avez plus qu'à gérer le viseur de votre arme, un peu comme dans Virtua Cop. A vous maintenant de flinguer à outrance les mort-vivants, sans pour autant sacrifier les nombreux civils pris de panique, et à la fin de chaque niveau, un big boss vous tiendra compagnie quelques temps. Certaines scènes d'action sont absolument haletante, on est pris à la gorge par les mouvements incessants de la caméra, les courses effrénées, les zombies jaillissant du coin de la rue, comme des diables d'une boîte, les éléments du décors qui s'écroulent à votre passage etc. De plus, là où le produit a su gagner en intérêt, c'est qu'il existe plusieurs chemins, que vous emprunterez ou non selon votre habileté, ce qui donne une bonne raison de plus pour rejouer. Oui, plus qu'un jeu... The House of The Dead 2 est une expérience !

    Mélo , le 30 novembre 1999

    Graphismes 18/20

    La fluidité des mouvements de caméra, l'animation saisissante des zombies, le graphisme angoissant et superbe à la fois... ces ingrédients réunis rendent le jeu purement saisissant !

    Jouabilité 16/20

    Pistolet Sega indispensable, sous peine de s'offrir de jolies prises de tête... Mais quoi qu'il arrive, la jouabilité est très bonne, sauf peut-être en mode deux joueurs, dans lequel on à tendance à perdre de vue son viseur et tirer un peu n'importe comment sans arrêt.

    Durée de vie 15/20

    Le jeu est assez difficile. Toutefois, après avoir terminé le scénario, on à peine à revenir, sauf pour découvrir de nouveaux passages ou jouer avec un poto... C'est le lot de ce genre de jeu.

    Bande son 17/20

    D'un haut niveau là encore. Les coups des armes sont excellents, et l'environnement général est prenant.

    Scénario -/20

    Plusieurs passages existent ; évidemment, c'est tout de même un jeu linéaire.

    Note Générale 17/20

    Prodigieux ! Ce jeu est angoissant comme jamais. La réalisation est quasi parfaite, et le rythme des parties est soutenu, à tel point qu'on semble devoir s'accrocher à son flingue comme si on redoutait les coups... Ah oui ! le flingue ! Il est indispensable pour la jouabilité, et encore, même avec, on finit toujours par s'emmêler les pinceaux quand les ennemis se font nombreux à l'écran, c'est le point faible de l'histoire. A part ça, c'est vraiment un sacré jeu !

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Pas mal ce jeu. A jouer à deux absolument. Normalement ça se joue au Gun, mais quand on à pas les moyens d'en acheter 2, on peut toujours jouer à la manette. Le jeu est ultra dur en tout cas, mais un poil plus facile quand on est deux. Vous avancé à travers les niveaux et vous dégommé tout ce qui bouge, Zombis, monstres ect....jusqu'au boss final de chaque fin de niveau. Attention aux crampes, je pense que vous pourriez en attrapper aux doigts (ça m'est arrivé) en appuyant comme un fou sur le bouton de tir. Ce jeu est un défouloir pour ceux qui on envie de passer leurs nerfs sur quelque chose. (je sais pas moi, comme après une journée de boulot éprouvante ou votre boss n'a pas arreter de vous faire chier par exemple....). Vous pouvez chopper plein de bonus pour vos armes et des vies supplémentaires si vous sauver les abitants qui vous appellent à l'aide. Mais attention, avec toute cette agitation c'est souvent difficile de tirer sur la bonne personne....il arrive que vous tuer le civil au lieu du Zombi juste derrière lui qui s'appretait à le bouffer tout cru. A consommer sans modération.


    Ma note ? 17/20






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