King ou l'art d'enraciner dans les petits faits les plus insignifiants de la vie quotidienne le suspense et l'épouvante. Bazaar est au coeur de Castle Rock, cette petite ville américaine où l'auteur a situé nombre de ses thrillers tels Cujo, La Part des ténèbres ou Les Tommyknockers... Une poudrière où s'accumulent et se déchaînent toute la violence et la démence que recèle l'âme de chacun. Jusqu'à l'implosion. King ou l'art de rayer une ville de la carte par la seule force de la haine. De ces haines qui vous font mourir ou tuer.

Bof  Bof ......pas terrible du tout (c'est mon avis perso) je n'est pas aimer du tout ....mais ou est passer stephen king ??!!
Libérer le !!

Les poignets enchaînés aux montants du lit par des menottes, Jessie vit un cauchemar. Gisant sur le plancher, les yeux révulsés, Gerald, son mari, est mort, victime de sa libido et du coup de pied qu'elle lui a donné dans un moment de dégoût. Comble de l'horreur, un chien errant s'est introduit dans la chambre, un clebs affamé prêt à planter ses crocs dans la joue de Gerald ! Si personne ne vient la libérer - et qui viendrait ? sa villa du lac Kashwakamac est totalement isolée -, Jessie ne tardera pas à mourir à son tour. Torturée par la soif, les muscles tétanisés. Avec, en prime, ces voix OVNI dans la tête, qui lui jettent son passé à la figure. De la douleur à la folie il n'y a qu'un pas. Et lorsqu'elle voit dans l'ombre ce visiteur du soir à la mallette en peau humaine, elle sent le monde basculer...

Alors là ça bat des records..........de nulité.....il me semble bien que c'est le plus mauvais livre du King que j'ai lu .....

Réalisé par George A. Romero  
Avec Ted Danson, Ed Harris, Leslie Nielsen
Film américain. Genre : Epouvante-horreur
Durée : 1h 40min. Année de production : 1982
Interdit aux moins de 12 ans
Remake : Creepshow(2006)

Resumé :

Un père confisque à son petit garçon un magazine d'épouvante et le jette dans la poubelle. Le vent fait tourner les pages et cinq histoires s'en échappent: "La fête des pères", "La mort solitaire de Jody Verrill", Un truc pour se marrer", "La caisse" et "Ca grouille de partout". 

Critiques spectateurs :

Shaveman - le 23/03/2007
Une série de sketchs tout aussi réussis les uns que les autres. Un film qui fait plus rire que peur. Avec deux acteurs surprenants : Leslie Nielsen (totalement à contre-emploi) et Stephen (The) King en personne qui semblait tout destiné à jouer l'idiot du village dans "la main verte"

 
Ash_evil_dead - le 22/10/2006
Ce film qui mélange plusieurs histoires (bonnes et moins bonne) m'a beaucoup plus : La fête des pères : L'histoire est assez sympa, le père-zombie est très bien fait et la fin est génial avec le gateau. La mort solitaire de Jody Verrill : Moins bien que l'histoire précédente. Elle est assez innitéressante, elle ne fait pas peur et on attend la suite de le segment suivant. Bof ! Un truc pour se marrer : Mon histoire préférée, Leslie Nielsen joue super bien les malades et l'idée d'enterrer les deux personnage dans le sable est amusante. Et la fin avec les revenants est superbe. La caisse : cette histoire est presque aussi bien que la précédente. J'adore le sang qui tache partout et le look de la bête est magnifique. Ca grouille de partout : Cette petite histoire n'a de bien que la fin, le reste est pour moi du remplissage. En gros le film reste bon et il fout de temps en temps une bonne petite trouille.
 

 
thproject - le 21/11/2005
Encore un prêt à bon escient du sieur Francis! CreepShow déja vu lors de mes jeunes années, il n'est pas sans rappeler la joie que j'ai pu avoir en revisionnant ce film fantastique-horreur tout public! L'ouverture du film est vraiment sympathique avec une plongée dans la lecture favorite du jeune enfant pour ainsi nous immiscer au coeur des différentes histoires de ce comics! Le film est donc constitué de 5 saynétes d'humour noir toutes aussi réussies les unes que les autres! Deux histoires se démarquent tout de même: la premiére est celle avec Stephen King himself en pecno enraciné... qui finira d'ailleurs tel quel et la seconde est celle qui réunit le tandem Leslie Nielsen-Ted Danson. D'ailleurs mention spéciale à Leslie Nielsen (Y'a-t'il un pilote dans l'avion entre autres), pour lequel, son talent n'étant pas à mettre en doute, réussit ici un joli tour en jouant un tortionnaire de la pire espéce. Son choix de mise à mort est vraiment horrible et fait froid dans le dos! Avec de plus Georges A. Romero aux mannettes, CreepShow est donc vivement conseillé pour un jeudi de l'angoisse sans fard [:-)! 

 
hitchboy - le 07/09/2005
Que du bonheur pour les amateurs d'horreur! Car quand l'univers de King rencontre le sens du morbide de Romero, cela donne un film barré, subtil et finalement bon enfant. Bon enfant, Romero? Et bien, oui, car le suggere le prégénérique il s'agit d'un film 'pour enfants avertis', il n'y a pas de gore mais une ambiance curieusement morale et tout de même un peu violent visuellement, mais rien de méchant. Disons aussi, que c'est sans doute le seul Romero 'pour tous'. En un mot : Un petit chef d'oeuvre.

 
GASTON - le 25/07/2004
Un film qu'on ne se lasse pas de revoir et encore revoir, musique flippante, filmé avec originalité par un pro du film d'horreur.
 

Réalisé par William Friedkin 
Avec Ellen Burstyn, Max von Sydow, Lee J. Cobb
Film américain. Genre : Epouvante-horreur, Thriller
Durée : 2h 2min. Année de production : 1973
Interdit aux moins de 12 ans
Titre original : The Exorcist

Resumé :

En Irak, le Père Merrin est profondément troublé par la découverte d'une figurine du démon Pazuzu et les visions macabres qui s'ensuivent.
Parallèlement, à Washington, la maison de l'actrice Chris MacNeil est troublée par des phénomènes étranges : celle-ci est réveillée par des grattements mystérieux provenant du grenier, tandis que sa fille Regan se plaint que son lit bouge.
Quelques jours plus tard, une réception organisée par Chris est troublée par l'arrivée de Regan, qui profère des menaces de mort à l'encontre du réalisateur Burke Dennings. Les crises se font de plus en plus fréquentes. En proie à des spasmes violents, l'adolescente devient méconnaissable.
Chris fait appel à un exorciste. L'Eglise autorise le Père Damien Karras à officier en compagnie du Père Merrin. Une dramatique épreuve de force s'engage alors pour libérer Regan.

Critiques spectateurs :

Mr_Marceau - le 16/04/2007
Un des plus grands film fantastique qu'il m'ait été donné de voir (et pourtant j'en ai vu des tonnes!). Aucun point négatif ne vient entacher ce chef d'oeuvre. Mythique !!!
 

 
nat-fisher - le 16/04/2007 
j'ai vu l'exorciste a l'age de 10 ans a peu pres.9ans plus tard ce film me hante encore,le visage mutilé de regan ainsi que sa voix terrifiante,la statue du demon pazouzou et biensur la scene de l'araignée me font encore peur. voila pourquoi je mets 4 etoiles a l'exorciste,par ce qu'il reste le film le plus terrifiant de tous les temps.
 

 
tes2 - le 06/04/2007
Excellent film avec des effets spéciaux qui n'ont pas prient une rides ,les acteurs jouent tres bien ajouté a cela une excelente bande son. Une petite astuce pour apprécier ce film a sa juste valeurs regarder ce film sans avoir vu une parodie de celui-ci.Car moi j'avais vu une parodie avant de regarder "l'exorciste" et bien dans les moments de "peur" j'ai rigolé.(lol) Néanmoin ce film reste excellent.
 

 
Erkenbrand85 - le 31/03/2007
L'exorciste représente un des sommets du film d'horreur. Même si le film ne provoque plus trop le même effet de terreur que dans les années 70, il conserve tout de même une ambiance malsaine qui angoisse toujours le spectateur. En effet, cette histoire de possession très réaliste est vraiment perturbante et dérangeante et sûrement traumatisante pour les plus jeunes. Certaines scènes telles que la scène de l'araignéee ou la tête tournant à 360 degrés sont très saisissantes et marqueront fortement les esprits. On est révulsé après avoir vu ce film car le diable s'en prend à une personne innocente. Finalement, c'est vraiment un chef d'oeuvre de l'horreur qui marquera quiconque l'ayant vu. 
 

 
Grolandais - le 16/02/2007
La plus grande bataille de toute l’Histoire du Cinéma : l’éternelle lutte tragique entre le Bien et le Mal… Aussi, l’un des films les plus controversés… La séquence en Irak, à priori anodine, résume à elle seule l’atmosphère paranoïaque, angoissante et terrifiante de l’œuvre. Des ouvriers borgnes aux regards inquiétants ; des marteaux qui s’entrechoquent dans un chantier ; une charrette qui surgit de nulle part avec à son bord un passager plutôt louche, comme possédé ; le temps qui se fige sur une pendule ; des statuettes grimaçantes ; un coucher de soleil grandiose qui partage les deux clans : d’un côté l’exorciste – de l’autre, son adversaire : l’effigie du Démon. Sublime ! Tout nous saisit à la gorge, nous inquiète, nous heurte sans relâche mais pas (uniquement) d’un point de vue esthétique, malgré les effets spéciaux réussis, mais bien plus d’un aspect psychologique. La véritable Horreur dans ce film est cette chose métaphysique que l’on ne peut pas montrer, qui s’insinue dans tous les individus et qui fait finalement partie de notre condition humaine… Ce virus qui ne dévoile pas toujours des marques visibles sur le visage ou ne pousse pas à être injurieux (allusion aux nazis, l'abandon d'une mère...) Angoisse, fantastique, réalisme quasi-documentaire, suspens, polar, drame, sociologie, théologie, psychologie, philosophie… Beaucoup de thèmes sont abordés dans le chef-d’oeuvre de Friedkin, ce génial réalisateur sous-tension. Tout est abordé, y compris le domaine de l’émotion et, je dirais même plus, surtout l’émotion !… Inoubliable !
 

Tout avait commencé juste avant les vacances d'été quand le petit Browers avait gravé ses initiales au couteau sur le ventre de son copain Ben Hascom. Tout s'était terminé deux mois plus tard dans les égouts par la poursuite infernale d'une créature étrange, incarnation même du mal. Mais aujourd'hui tout recommence. Les enfants terrorisés sont devenus des adultes. Le présent retrouve le passé, le destin reprend ses droits, l'horreur resurgit. Chacun retrouvera dans ce roman à la construction saisissante ses propres souvenirs, ses angoisses et ses terreurs d'enfant, la peur de grandir dans un monde de violence.

Vu le téléfilm (super) avant de lire le livre (wi encore) ....J'ai trouver celui ci un peu long et bien sur sans surprise snifff

 Tu croyais pouvoir te débarrasser de moi. Tu pensais qu'avec un enterrement bidon pour mes fans et pour la presse, tout serait réglé. Tu te disais : "Ce n'est qu'un pseudonyme, il n'existe même pas." Tu te disais : "Fini George Stark, maintenant consacrons-nous à la vraie littérature..." Pauvre naïf ! Ca a dû te faire un choc quand tu as vu la fausse tombe grande ouverte, hein ? Et cette série de meurtres abominables ? Exactement comme dans nos romans ! Sauf que cette fois, c'est réel, bien réel. Non, ne t'imagine pas que tu vas pouvoir si facilement te débarrasser de moi. Je suis ton double, ta part de ténèbres... Et j'aurai ta peau !
 
Bien sans plus.....du mal à rentrer dans le livre ......et puis la fin  (comme la plupart des livres du king) traine en longueur....

Greg Stillson, candidat à la Maison Blanche, est un fou criminel, grand admirateur d'Hitler et d'autres maniaques de l'extermination. Quand il sera élu, ce sera l'Apocalypse. Un seul homme le sait : John Smith, car il est doué d'un étrange pouvoir qui lui attire pas mal d'ennuis, il devine l'avenir. Il n'y a rien de réjouissant à cela. Il peut prévoir les accidents, les catastrophes, les hécatombes. On ne le croit pas, ou alors on le croit trop.John Smith n'a encore rien dit de ses prémonitions. Pourtant, le candidat à la présidence des Etats-Unis est un dément. Que fera John Smith pour son pays ?.

Super !!! Le film est génial ainsi que le livre .....

Avec " Différentes saisons " King nous offre cette fois quatre histoires qui sont en fait des romans à part entière. Un innocent condamné à perpétuité cherche à s'évader; un jeune garçon démasque un ancien nazi dans une petite ville de Californie; des gamins partent à la recherche d'un cadavre; un médecin raconte l'histoire d'une jeune femme célibataire et enceinte dans les année 30... Rien de commun, en apparence, entre ces quatre thèmes. Mais derrière ces héros d'âges et de milieux très différents, c'est la société américaine qui dissèque Stephen King, avec le souci de détail et du mot juste, le sens de l'observation, de suspense et de l'humour noir qui le caractérise. L'Amérique ne sort pas indemne de cette vivisection. Nous non plus...

Encore une réussite, des histoires géniales dont certaines ont étaient adaptées au ciné "Les évadés & Stand bye my"

Maître incontesté du suspense et de l'épouvante, Stephen King a connu, depuis la publication de son premier roman, un succès phénoménal qui ne s'est jamais démenti à ce jour. Il est aujourd'hui l'un des écrivains les plus lus au monde.Avec La Tour sombre, saga fantastique dont voici le premier volet, il nous offre le plus déroutant, le plus énigmatique de ses romans.«L'homme en noir fuyait à travers le désert et le pistolero le poursuivait...». Dernier aventurier d'une époque qui ressemble à la nôtre, Roland le Pistolero est poussé par une force inconnue. Au-delà de cette chasse à l'homme, ce qu'il cherche, c'est la Tour.A la croisée des temps, lieu de rencontre de notre univers et d'autres mondes...Voilà vingt ans que dure cette poursuite.Pour Roland, l'enjeu est maintenant de rattraper l'homme en noir. Lui seul - il l'a vu en rêve - peut l'éclairer sur son avenir.Le sorcier doit tirer trois cartes qui vont lui ouvrir trois portes. Vers l'enfer ou le paradis ?. Nul ne le sait encore.En attendant, tous deux marchent. Hallucinés.Ne pouvant se soustraire l'un à l'autre.Sous l'oeil vigilant du gardien de la Tour...

Suis dsl de le dire mais j'ai  pas aimer ....doit avoir l'esprit trop critique ou alors je m'ennuie vite ....je n'est lu que le premier volume

Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passe après minuit ?
Tout bascule.
Le temps se courbe, s'étire, se replie ou se brise en emportant parfois un morceau de réel. Et qu'arrive-t-il à celui qui regarde, les yeux écarquillés, la vitre entre réel et irréel juste avant qu'elle explose et que des aiguilles de verre se mettent à voler en tous sens ?
Minuit 1 : L'heure où un avion peut atterrir dans le néant, le monde des Langoliers.
MINUIT 2. Fenêtre secrète : L'heure où un écrivain peut rencontrer le pire, dans un jardin très secret d'où l'on ne revient pas. Une exploration de la démence et des forces obscures qui nous gouvernent, et parfois nous échappent.

Mouais.....Rien à dire ......Puis si finalement ...pourquoi je lis encore stephen king