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Poltergeist
23/04/2007 14:59
Réalisé par Tobe Hooper Avec Craig T. Nelson, JoBeth Williams, Heater O'Rourke Film américain. Genre : Fantastique Durée : 1h 55min. Année de production : 1982 Interdit aux moins de 16 ans
Resumé :
Un "Poltergeist", esprit refusant la mort, seme la terreur dans la maison d'un couple californien.
Critiques spectateurs :
Sergio_Leone_is_great - le 09/03/2007 Un modèle du genre. Un film fantastique sur tous les points, une réalisation parfaite et une image de grande qualité. Il est à savoir que Spielberg producteur de ce film a lui même tourné plusieurs scènes. Le film est angoissant comme il faut et l'histoire très bien menée. Ce film est sans nul doute le meilleur de sa catégorie (fantastique/épouvante).
loveman - le 07/02/2007 Absolument génial, une pure merveille, une exploration du surnaturel comme on en voit rarement d'aussi pertinentes. Ce film a suscité en moi toutes les émotions: fascination, frayeur, rire, inquiétude...et il a contribué a éveiller ma croyance au paranormal et m'a illuminé l'esprit. Le clown est horrible, l'arbre effrayant. La musique, les apparitions de fantômes et la mise en scéne sont particuliérement réussis, j'en ai toujours les poils qui se dressent. Félicitations aux scénaristes et a toute l'équipe.
Mr.Green - le 08/01/2007 J'ai vu ce film quand j'avais 9 ans, je me souviens que j'avais eu un peu la frousse en voyant quelques scènes. Je l'ai revu dernièrement il y a quelque chose qui a changé, ce film ne me donne plus la frousse mais je le trouve beaucoup plus magique, l'horreur a fait place au fantastique. Les effets on un peu vieilli mais cela ne gâche rien au plaisir du film, et ils restent tout de même bon. On s'attache bien aux personnages, surtout à la petite Carole-Anne, qui joue son rôle à la perfection. Ce film ne vaut plus sa classification interdit au moins de 16ans, mais elle vaut bien un moins interdit au moins de 10ans.
hanks38 - le 18/10/2006 Un des films les plus flippant que j'ai jamais vu, des sursauts à n'en plus finir. A voir absolument.
Camusduverseau - le 04/04/2006 Je pense dire sans me tromper que c'est l'un des meilleurs films de "fantômes" ! C'est le pendant horrifique de "S.O.S. fantômes".
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Shining
23/04/2007 15:15
Réalisé par Stanley Kubrick Avec Jack Nicholson, Shelley Duvall, Danny Lloyd Film britannique. Genre : Epouvante-horreur, Thriller Durée : 2h. Année de production : 1980 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : The Shining
Resumé :
Jack Torrance, gardien d'un hôtel fermé l'hiver, sa femme et son fils Danny s'apprêtent à vivre de longs mois de solitude. Danny, qui possède un don de médium, le "Shining", est effrayé à l'idée d'habiter ce lieu, théâtre marqué par de terribles évènements passés...
Critiques spectateurs :
Shirak - le 23/03/2007 Shining, film d'horreur modèle du genre permet à Jack Nicholson d'apparaître sous son jour le plus effrayant. Son interprétation est troublante et l'on se demande encore pourquoi il n'en a pas tiré d'Oscar. La réalisation donne le vertige et un sentiment d'angoisse permanent. La musique morbide s'intègre parfaitement aux scènes tandis que certains plans nous mettent au bord de la nausée. La métamorphose de Nicholson est saisissante et le film est plus que culte !
SpiderBaby - le 11/04/2007 Dans Shining, Kubrick réussit le tour de force de faire peur en pleine lumière, alors que la plupart des films voulant procurer du frisson se complaisent dans la pénombre ou l'obscurité. Certaines images impriment la rétine du spectateur à jamais : le gosse en tricycle, les jumelles, le sang qui se déverse, le visage halluciné de Nicholson à travers la porte, la poursuite dans le labyrinthe. Stephen King n'a pas aimé, mais est-ce vraiment important? Une adaptation ne peut elle pas s'affranchir de son support, s'épanouir librement? En tout cas, ici, le film est bien plus culte que le bouquin.
la_tite_miss - le 08/04/2007 excellente histoire ! sa donne des frissons et on ne peux plus décrocher son regard du film !effets speciaux ( même si il y en a peu ) sont très bien fait ! moi j'ai adoré !
CinephileAmateur - le 05/04/2007 Un film culte qui maintien l'angoisse jusqu'à la fin. L'interprétation de Jack Nicholson est magistrale, la mise en scéne exceptionelle et la musique idéalement choisis. Un vrai chef d'oeuvre qui prouve qu'il n'ait pas forcément utile d'avoir recours à une succésion de scénes gores pour crée une vraie angoisse. Une belle leçon de cinéma
Anamir - le 25/03/2007 Ah,Shining!Ce film qui,à sa sortie en 1980,a fait trembler les foules et traumatisé toute une génération de cinéphiles continue toujours de nous faire flipper et fais résolumment parti des chefs-d'oeuvre immortels du cinéma!Puissant,maîtrisé,Shining a de la gueule et nous le fait savoir!Stanley Kubrick nous offre une fois de plus un spectacle inoubliable servi par un Jack Nicholson très en forme,sa prestation magistrale aurait bien mérité un Oscar!On ne décroche pas de notre siège devant ce film tandis que l'on assiste à la descente aux enfers inexorable de cette famille et que Jack Torrance sombre dans la folie et la démence.L'ambiance particulièrement soignée est servie par des décors surprenants et glauques avec une musique prenante et un éclairage aveuglant.La mise en scène de Kubrick pousse l'angoisse des spectateurs à son comble et tout dans le film laisse deviner un drame inévitable(les gros plans sur le tricycle de l'enfant allant à toute allure sur un tapis rouge sang représentant un labyrinthe,comme celui de la course-poursuite infernale finale). Décidemment, cet oeuvre intemporelle est incontestablement un des sommets de l'Histoire du Cinéma!!!
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Esprits, Fantômes, Maison hantés ect....
23/04/2007 16:16
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Amityville, la maison du diable
23/04/2007 16:20
AMITYVILLE - LA MAISON DU DIABLE
Cette maison de style colonial à trois étages est située dans les quartiers aisés d'Amityville, Long Island, non loin de NewYork. Bien que les propriétaires suivants n'aient pas été gênés par des incidents inhabituels, les Lutz, eux, avaient déménagé au bout de vingt-huit jours. Ils auraient été chassés par des événements surnaturels, sous forme d'activité poltergeist et d'apparitions démoniaques.
En 1977, dans son best-seller TheAmity-ville Horror: A True Story (Amityville, la maison du diable, livre épuisé en France), Jay Anson, depuis lors décédé, relate l'histoire terrifiante des Lutz. Tiré du livre, le film du même nom sort en 1979 et a un succès retentissant.
En dépit de la controverse, c'est une histoire effectivement terrible qui est à l'origine des affirmations selon lesquelles la maison serait hantée. Le 13 novembre 1974, Ronald DeFeo, vingt-quatre ans, abat dans la maison ses parents, ses deux frères et ses deux sœurs.
N'ayant pas réussi à convaincre les jurés qu'il avait obéi à l'injonction de voix lui intimant l'ordre de tuer, DeFeo est déclaré responsable de ses actes; inculpé d'homicide sous six chefs d'accusation, il est condamné à vingt-cinq ans de prison pour chacun d'entre eux.
Après cet épisode sanglant, la grande maison d'Océan Avenue est mise en vente à un prix dérisoire, George Lutz, propriétaire d'une compagnie de géomètres qui bat de l'aile, visite la propriété avec sa femme Kathy.
Malgré le passé macabre de la grande demeure, ils croient avoir trouvé la maison de leurs rêves et s'en portent acquéreurs...
Les sceptiques affirment aujourd'hui que toute l'affaire n'était qu'un canular, une escroquerie perpétrée par les Lutz pour gagner de l'argent. Ceux qui croient à l'histoire disent au contraire que la thèse du canular n'a été élaborée que dans le but de décourager les hordes de curieux qui, après la sortie du livre et du film, sont venus en masse à Amityville pour jeter un coup d'œil sur l'attraction locale: la désormais célèbre "maison du diable" qui se dresse au numéro 112 d'Océan Avenue.
VOIX DE L'AU-DELÀ
Quand les Lutz emménagent avec leurs trois enfants le 18 décembre 1975, une des premières choses qu'ils font est de demander à un prêtre de bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre aurait entendu une voix forte, venue de nulle part, lui disant simplement : "Allez-vous en ! " Mais cet épisode troublant n'était, pour les Lutz, que le début d'une série d'événements bizarres. Selon le livre de Jay Anson Amityville, la maison du diable, la maison fut remplie d'une puanteur irrespirable et la porcelaine de la salle de bains fut tachée d'un dépôt noir résistant à tous les détergents. La maison fût également infestée de centaines de mouches alors qu'on était au cœur de l'hiver.
LA MAISON DU DIABLE
Et il ne se passa pas longtemps avant que des manifestations plus graves encore ne se produisent. Un lion de céramique de plus d'un mètre de haut se mit à bouger tout seul. On trouva des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces menaient tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, "une force au-delà de celle d'un être humain". Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la "maison de leurs rêves" était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.
Kathy Lutz fut la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantaient la maison. Des bras invisibles l'enlaçaient; des êtres tentaient de la posséder. «Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. » Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant.
A la même période, George Lutz vécut à son tour des événements étranges. Il entendit une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son des instruments à vent. Il ne vit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée.Par-dessus le marché, les Lutz affirment qu'ils eurent plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestaient sous des formes très variées: «immense silhouette encapuchonnée de blanc», «démon cornu» ou encore «cochon diabolique» avec «deux yeux ardents ».
Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, eut lieu une nuit de début janvier. Cette nuit-là, George n'arrivait pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévilait dans les airs ! Plus horrible encoie : lors-qu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prit un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.
C'en était trop pour les Lutz. Ils quittèrent la maison le 14 janvier 1976. Mais, selon Thé Amityvüle Horror Part II , le cauchemar ne s'arrêta pas là. L'auteur du livre, John G. Jones, décrit la façon dont le Diable, resté «lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe» poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.
DES ESPRITS INHUMAINS
Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; us furent remplis d'un sentiment d'« horreur absolue » en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des «milliers de points lumineux», ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.Pour les Wàrren,le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. La propriété aurait été autrefois un asile de fous pour les Amérindiens malades et mourants : « Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Wàrren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée. »
On ne saura probablement jamais ce qui s'est passé au 112 Océan Avenue. Les Cromarty, qui ont emménagé juste après les Lutz, affirment qu'aucun phénomène bizarre ne s'est produit. Ils ont même intenté un procès aux Lutz parce qu'ils étaient assaillis de curieux réclamant des visites guidées. Ils sont parvenus à un règlement à l'amiable. Son montant n'a pas été dévoilé.
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La malediction d'OTZI
24/04/2007 09:34
Une momie exceptionelle Découvert en 1991 dans un glacier des Dolomites italiennes à Hauslabjoch , Otzi est un représentant de l'espèce Homo sapiens. La momie a été retouvée à 3213 mètres d'altitude... Pris sous la neige immédiatement après sa mort, il a "bénéficié" d'un processus de momification naturelle. C'est actuellement la momie la plus ancienne connue : plusieurs laboratoires ont confirmé sa datation à 5300 ans BP (Before Present). Une étude des dents et des os d'Otzi, publiée dans la revue "La Recherche" en janvier 2004, a permis de mesurer les quantités d'éléments chimiques présents, comme le strontium, le plomb, l'oxygène, le carbone... Cet assemblages d'élements, et leurs proportions ont permis de déterminer la région natale de la momie. Nous savons donc maintenant qu'Otzi est né dans la région de l'Eisack en Italie, au sud est du lieu de son décès. (Wolfgang Muller et son équipe, Université de Camberra, Australie)
Une mort brutale Un éclat de flèche retrouvé dans son épaule, près du poumon gauche, laisse penser que l'Homme de Similaun est décédé de façon brutale. Le docteur Eduard Egarter Vigl (médecin légiste à Bolzano) a déclaré que le projectile avait sans doute sectionné une artère et entrainé un infection bactérienne. Par ailleurs la main d'Otzi présentait des blessures et son poignet une fracture. Une rixe ou un coombat pourraient donc être à l'origine de son décès. (radiographie de l'épaule d'Otzi)
Pour démontrer "la malédiction de la momie", on fantasme sur une liste de sept morts ayant eu un rapport avec Ötzi :
- Helmut Simon, un des 2 randonneurs qui avait découvert Otzi, est mort en 2004, lors d'une randonnée en montagne à l'age de 67 ans. (A noter, sa femme Erika qui avait trouvé le momie avec son mari est toujours vivante...) - Dieter Warnecke, 45 ans, qui était parti à la recherche du premier est décédé d'une crise cardiaque
- Gunter Henn, 64 ans (chef de mission scientifique) est victime d'un accident de voiture - Kurt Fritz (52 ans) qui avait accompagné Gunter Henn sur les lieux de la découverte de la momie, meurt sous une avalanche... - Rainer Hoelzl, 47 ans, journaliste qui avait couvert la découverte d'Otzi ne survit pas à une tumeur au cerveau - Konrad Spindler, l'un des archéologues qui a examiné la momie, meurt d'une sclérose en plaque à l'age de 55 ans - Tom Loy (Université de Bribane, Australie) est mort le 21 octobre 2005 d'une infection du sang. Il faut noter qu'il s'occupait des annalyses ADN de la momie... ce qui rajoute du paranormal à la chose...
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Lu en 1994
24/04/2007 21:59
J'e n'est trouver aucun resumé, ce dont je suis sur c'est de l'avoir aimer...
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Hurlements
24/04/2007 22:04
Réalisé par Joe Dante Avec Dee Wallace-Stone, Dennis Dugan, Patrick MacNee Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 31min. Année de production : 1980 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : The Howling
Resumé :
Une série de meurtres effroyables terrorise la population de Los Angeles. Une jeune journaliste de télévision mène sa propre enquête.
Critiques spectateurs :
Suppositoire - le 28/01/2007 Film de genre culte. Bien qu'assez vieux maintenant, il n'accuse absolument pas son âge, et rares sont les films de loup-garous qui lui sont seulement arrivés à la cheville.
Delosa - le 27/02/2006 Tout cinéphile amateur de fantastique et d'horreur se doit de voir "hurlements" au moins une fois dans sa vie. Il fait partie avec "le loup-garou de londres" de ces films de genre (horreur/sexy) qui ont fait la grande époque des 80's. Aujourd'hui encore il n'a pas trop vieilli, les effets spéciaux sont toujours aussi sympa, l'histoire est habilement menée et les acteurs...bien qu'ils ne soient que des "second couteaux" ne jouent pas trop mal. Très franchement rien à redire. A éviter par contre: ses nombreuses suites qui sont toutes sans exceptions de sombres daubes.
CROCOP - le 19/10/2005 LE film de loup garou par excellence avec le loup garou de Londres (son "rival" de la même époque), à part être allergique aux films d'horreurs, tout bon cinephile ne peut qu'apprécier ce film culte qu'est Hurlements. Contrairement aux 3/4 des films d'horreurs/humouristiques que l'ont a droit de nos jours, ce film est angoissant, voir flippant, et certaines scènes sont même presque gênantes (la scène dans le sex shop par exp.). Malgré l'âge du film les effets spéciaux sont excellent et n'ont vraiment pas à rougir à côté de ceux d'aujourd'hui, les loups garous sont impressionants et que dire de leurs transformations à part dire qu'elles sont hallucinantes et cultes. Tout çà grâce au magicien des effets spéciaux qu'est Rob Bottin (il fera ceux de "The Thing" 2 ans après, un autre film culte). En bref, un film à voir et à posséder, un grand merci à Joe Dante et Rob Bottin de nous avoir offert ce film culte sur nos amis lycantropes. Pour ceux qui n'ont pas aimés ce film, je leurs dirais..... ben tampis pour eux. et
clark_gaybeul - le 18/10/2005 Tout simplement l'un des meilleurs films de loup-garou (avec Wolf), et le meilleur film de Joe Dante.
lemiwings - le 25/07/2005 J'en profite ici pour réhabiliter ce qui reste à mon sens le plus grand film de lychanthropes jamais réalisé(voir les récentes sorties du Loup-garou de Paris et surtout Cursed pour s'en convaincre)à une époque ou le personnage était délaissé par le cinéma de genre.La renaissance du mythe résidait ici dans le traitement contemporain du sujet avec son loup-garou psychopathe,ainsi que de l'exploration de l'animalité résidant en chacun de nous et des moyens de la combattre(idée amusante de la thérapie de groupe de la colonie dont les membres n'acceptent pas leur condition monstrueuse)mais chassez le naturel et il revient au galop(cf la fin du film).De plus que dire des effets spéciaux du genial Rob Bottin qui nous gratifiait ici de la plus belle métamorphose de toute l'histoire du cinéma de loup-garou!Suivi l'année suivante par le tout aussi culte mais moins réussi Loup-garou de Londres,Hurlements a redonné ses lettres de noblesse à l'un des plus beaux personnage du béstiaire fantastique.Inoubliable et indispensable à tout cinéphile qui se respecte.
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Lu en 1994
24/04/2007 22:11
Huit ans et la beauté de l'innocence. Mais ne la contrariez jamais. Sous peine de mort... Lorsqu'elle assiste, sans être vue, à un affrontement familial particulièrement violent puisqu'il s'achèvera par la mort de sa mère. Amy sent une transformation s'opérer dans sa tête, ce qu'elle appelle un "vent froid" dont elle découvrira peu à peu qu'il lui donne un pouvoir mental sur les autres. Ce don, personne au début ne le voit ou ne veut le voir. Pas plus les psychiatres qui la soignent que ses parents adoptifs. Jusqu'au jour où...
Pas mal du tout celui là .....à lire sans retenue
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Peur bleue
24/04/2007 22:16
Réalisé par Daniel Attias Avec Gary Busey, Everett McGill, Corey Haim Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 30min. Année de production : 1985 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : Silver Bullet
Resumé :
La première fois, c'était en mai, depuis a chaque pleine lune, ça recommence. Dans la petite ville de Tarker's Mills, personne n'oubliera cet été là.
Critiques spectateurs :
sandrinemartinic - le 26/03/2007 Le seul film que je ne puis voir seul dans le noir! Le senario est prenant et le suspence de rigueur... Le meilleur film de loup-garou! Les effets spéciaux ne sont pas fréquent mais tres bien réalisés même 22 ans apres. L'oncle "Gary BUSEY" y joue un rôle formidable et a la perfection. La soeur du petit hero est impressionnante. Bref ce film est à voir absolument mais il n'est pas disponible en zone2! J'ai du le faire venir des USA pour une somme vraiment modique :) Merci S.KING et D. Attias qui nous offre un chef d'oeuvre incontestable!
donnie.darko - le 22/11/2006 Voilà le parfait archétype du film d’épouvante/horreur des années 80. En clair, un régal, avec Stephen King au scénario pour l’adaptation de l’un de ses bouquins (édité sous forme de pièce de théâtre, avec une partie romancée), des effets spéciaux que l’on soupçonne être bons marchés mais qui restent néanmoins terriblement efficaces (et ce, même 20 ans plus tard), et surtout cette atmosphère bien particulière que l’on ne réinventera jamais. En effet, c’était l’époque de ces films dans lesquels on pouvait en l’occurrence se permettre de dire des phrases hilarantes car complètement ignobles. Citons, sans rien dévoiler du film, deux exemples particulièrement flamboyants de cette liberté verbale totalement satirique : un père buvant une bière et balançant « handicapé de merde, c’est les contribuables qui payent [...] Si c’était moi, j’te passerais tout ça à la casserole, ça libèrerait le budget, tiens », ou encore le curé du village qui traite le jeune enfant et héros du film de « sale petite graine de connard ». Oh oui, c’était une belle époque, à laquelle tout ou presque était permis. Et puis, il faut aussi le dire, on sursaute, dans ce film ! Il peut en effet nous flanquer une belle trouille, à certains moments, et à de plus le mérite d’être porté par de très bons acteurs, notamment un excellent Gary Busey. En conclusion, Peur Bleue est un film forcément culte, qui mélange à merveille tous les bons ingrédients des films de genre des années 80. C’est tout simplement une référence de l’horreur à l’ancienne, et dieu que l’on aime ça.
barbarius - le 12/10/2006 D'après Stephen King, "Peur bleue" était à l'origine un script d'un film. King n'avait en effet pas fait un roman à part entière comme "Misery" ou "Shining", mais bel et bien uns cript de film. Attias n'avait donc pas grand chose à faire, si ce n'est appliquer les directives de King. Même si King n'a pas fait de très grands succès au cinéma, ici, on a affair eà un film passionnant, même si on peut pas le qualifier de chef-d'oeuvre. Le mythe du loup-garou est en effet vu et revu, et on ne peut donc pas s'attendre à des innovations, même de la part du Maître de l'Horreur. Cependant, le film est bien joué, nous permettant quelques rebondissements, quelques frissons sans totuefois plonger dans cet angoisse de ne plus vouloir dormir avec la lumière éteinte et de regarder constamment sous son lit... Le tout est bien enrendu, avec du suspens, de l'horreur, des phases "gores". L'ambiance du petit village solidaire qui s'effondre comme un château de cartes est ici également présente, et est, si je puis dire, une signature de King. En bref, un bon film, où on passe du bon temps.
Arachnid-from-mars - le 19/10/2006 Le film a vieilli, certes, mais l’ambiance 80s est bien présente (Dino de Laurentiis oblige !) et on passe un bon moment. L’histoire du loup-garou est classique mais Stephen King sait bien comment montrer la peur infantile. Question scénario, les soupçons sont partout et le suspense est bien mené (mis à part à la fin). Avec une réalisation maîtrisée, des acteurs aux visages familiers (Gary Busey, Terence O’Quinn si si le Locke de Lost !!) ainsi que de bons maquillages et d’excellents effets spéciaux d’époque, Peur bleue donne de bons moments de frissons bienvenus !
dahbou - le 29/04/2006 Peur bleue est avant tout un mélange d'horreur et de chronique sociale. Le film se laisse voir agréablement même si les éffets spéciaux commencent à dater, cela reste un bon petit film portant la patte de stephen king bien supérieur à des films plus récent comme Cursed.
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Lu en 1994
24/04/2007 22:23
Mary Higgins Clark est le maître incontesté du suspense dissimulé derrière la façade ordinaire de la vie de tous les jours. Depuis le triomphe de son best seller, La Nuit du renard, aucun roman n'a su emporter le lecteur avec autant de force dans un monde de terreur soudaine.L'héroïne, Katie DeMaio, est une jeune, séduisante et brillante adjointe au procureur dans une petite ville du New Jersey. Un accident de voiture mineur la conduit à la clinique Westlake où elle aperçoit - ou croit apercevoir - au milieu de la nuit, une silhouette familière transportant un corps de femme inanimée dans une voiture.Lorsque la femme est retrouvée le lendemain morte dans son lit, prétendument victime d'un suicide, Katie décide de découvrir la vérité, et met très vite au jour les scandales et les peurs enfouis dans la vie de personnages en apparence parfaitement équilibrés et respectables. Parmi ceux-ci : le Dr Edgar Highley, un grand gynécologue qui semble capable d'accomplir des miracles sur certaines de ses patientes, et dont la froideur distante cache peut-être autre chose que son intérêt pour les problèmes de maternité...
Ouais ouais ....me demande encore pourquoi j'ai lu ce livre .....je ne devais pas avoir grand chose à me mettre sous la dent
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