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Lu en 1995
24/04/2007 22:31
Aucun homme ne doit savoir, ni aucune femme en parler. Sinon... Un peintre new-yorkais, sa femme et sa fille d'une douzaine d'années réalisent enfin leur rêve : s'installer à la campagne. Ils trouvent une vieille maison dans un village où les habitants vivent encore selon les coutumes ancestrales. Nos citadins sont aussitôt séduits par ces gens si proches de la nature, par cette vie toujours rythmée par les fêtes traditionnelles. Pourtant, peu à peu, l'inquiétude s'installe : Quels sont exactement ces rites de fertilité dont on parle à mi-mots ? Ce culte de la terre si vivace, si pittoresque, n'impliquerait-il pas des sacrifices humains ?
J'ai adoré celui la !!!
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Lu en 1995
24/04/2007 22:51
Tu glisses, tu t'ouvres le crâne contre un trottoir.A l'hosto des toubibs te sondent, te scannérisent, te recollent et te déclarent normal. Mais toi,l'artiste, t'as des hallucinations, tu vois des formes gélatineuses, couleur argent, des des mains qui dégoulinent qui veulent ta peau.Tu le dis pas : qui te croirait ? Et puis, qui sait, ça passera peut-être... Tu parles ! Alors, que faire ? Ton grand amour s'est tiré, t'as pas d'amis. Donc tu vas voir ta mère, à l'autre bout du pays, puis tu rencontre un illuminé qui t'emmenera faire le tour des guérisseurs. Bonjour les motels. T'essaies le sexe aussi.Mais les visions ne disparaissent pas. T'y prends goût, même. Elles sont si belles, si puissantes, si artistiques. Tu vas les peindre. Elles finiront par t'avoir, par te posseder, tu le sais. Et c'est alors que tu deviens violent, très violent...
J'ai pas aimer du tout mais suis aller au bout par respect pour l'auteur.....
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La maison pres du cimetiére
24/04/2007 23:00
Réalisé par Lucio Fulci Avec Catriona MacColl, Paolo Malco, Ania Pieroni Film italien. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 27min. Année de production : 1981 Interdit aux moins de 16 ans Titre original : Quella villa accanto al cimitero
Resumé :
Après le suicide de son mentor, le Dr Norman Boyle emménage dans la maison de ce dernier avec sa femme et son fils. Sombrant rapidement dans la folie et l´horreur, la famille découvre rapidement que quelque chose se terre dans le sous-sol de la maison.
Critiques spectateurs :
Oswaldo - le 20/08/2006 Une fois encore, Lucio Fulci signe un filme bien deguelasse comme on les aime sans pour autant delaisser l'hestetisme. En effet,les décors semblent etres de vieilles peintures tant ils sont beaux (la cave est particulierment glauque.) et l'éclairage plonge le film dans une ambiance malsaine.Nottez egalement les pleurs d'enfants omnipresants. En parlant d'enfant,Giovanni Frezza (Bob Doyle dans le film) est vraiment tres laid. Mis a part ce détail, La maison pres du cimetierre est un exellent film qui rappelle certaines nouvelles d'Horward Philips Lovecraft, si cher a Fulci.
Lulalex - le 17/04/2006 LA MAISON PRES DU CIMETIERE se rattacherait sur le plan purement scénaristique aux deux opus horrifiques précédents de Fulci que sont L'AU-DELÀ et FRAYEURS, dans le sens où la maison dans laquelle la famille Boyle emménage ne serait autre que la représentation de l'une des portes permettant d'accéder à l'Enfer (deux d'entre elles avaient été ouvertes par mégarde dans les scripts des deux films cités plus hauts). Ce cru demeure l'une des réussites les plus importantes du maître, dispensant une atmosphère lourde et oppressante, symbolisée par l'architecture et les décors baroques de la maison, mais également par le savoir-faire tangible d'un cinéaste dans la progression de l'angoisse puis de la terreur. LA MAISON PRES DU CIMETIERE octroie l'occasion à Giannetto de Rossi, maquilleur professionnel ayant travaillé au service des plus grands réalisateurs transalpins qu'il y eut été, de mettre une fois de plus en pratique son talent dans la représentation graphique et méticuleuse de la violence et l'atroce, à grand renfort d'effets spéciaux Gore pouvant se classer sans problème dans la catégorie hard; ainsi, l'on a droit à un couteau planté sur une tête et dont la lâme ressort par la bouche, à un égorgement grossier et si insistant que la tête de la victime finit par se détacher du tronc avant de dégringoler en bas d'un escalier, à une femme se faisant trouer le corps avec une barre en fer puis exploser l'artère carotide à l'aide du même ustensile, à la vision d'une cave jonchée de morceaux de cadavres, ou encore à un déchirement de gorge, tous filmés avec une insistance maladive dans des séquences d'une longueur interminable et dont le voyeurisme pourra sembler contestable aux yeux de certains. Dans cette overdose de Gore explicite, de mutilations, de décapitations et d'hémoglobine surabondante transparaît néanmoins une volonté de la part de Fulci d'opter pour un environnement visuel plus léché, moins crade, à l'aune de ses ouvrages antérieurs. Incontournable.
Onedice - le 19/03/2006 Malgré, peut- être, un petit manque de scène gore, ce film est vraiment excellent. Malgré son âge, il a gardé son côté effrayant. Les pleurs qu'on entend dans la maison renforce l'angoisse. les scènes gores sont vraiment très bien faites (comme dans tous les films de Fulci). Même si c'est moins ''choc'' que dans un film comme Frayeur. A voir et à revoir.
elephantman - le 05/04/2005 L'une des oeuvres majeures du grand maître du gore à l'italienne. Aux risques et périls des âmes sensibles, l'hémoglobine coule ici à flots, d'une manière absolument morbide. Un véritable enchaînement d'atrocités gore pour qui n'a pas froid aux yeux !
manball - le 13/09/2006 Après "frayeurs" et "l'au-delà" Lucio Fulci signe un autre film du genre. Un film angoissant (presque traumatisant) malgré des acteurs plutôt caricaturaux.
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Lu en 1995
24/04/2007 23:07
Une maison est comme un visage. Quand elle exhale l'arrogance et la haine, quand elle est sans cesse à l'affût, elle ne peut être que dangereuse. Et Hill House semblait s'être érigée seule, selon ses propres plans. Il n'y avait pas en elle la moindre place pour l'homme, ni pour l'amour, ni pour l'espoir. Elle était l'abomination, la mort. Elle m'attendait, maléfique et patiente...
Il ne m'a pas marquer ....
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Cabal
24/04/2007 23:16
Réalisé par Clive Barker Avec Craig Sheffer, Anne Bobby, David Cronenberg Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 42min. Année de production : 1990 Titre original : Nightbreed
Resumé :
Un groupe de mutants tente d'échapper à un tueur en série.
Critiques spectateurs :
BuilderX - le 25/06/2005 Cabal fut pour moi l'un des meilleurs films d'horreur-fantastique de ma jeunesse, il combinait à la fois l'effroi, une gallerie de monstres impressionnante, et un scénario sympathique ! J'ai d'ailleurs du le regarder une bonne dizaine de fois car je m'en souviens encore près de 10 ans plus tard. Je n'ai pas lu le roman, mais ce qui m'a plu c'était surtout la vie autour de ces monstres reclus de l'humanité.
serrafin - le 23/12/2006 Un film excellent par sont concept. Je tiens d'ailleurs à signaler que le synopsis inscrit sur Allociné ne correspond pas à ce qu'est le film. Il s'agit en realité d'une communauté de creatures reclues dans les sous sols d'un immense cimetière, craignant d'etre découverte et aneanties. Ces creatures ne sont en rien des mutants, mais les derniers representants de peuplades aujourdui eteintes. La plupart de sont pas vraiment humaines, d'autres sont d'anciens humains qui ont choisi de renoncer à leur humanité et de vivre au sein de cette communauté après leur mort. C'est le cas de Aaron Boone, le héro du film. Il rêve depuis lontemps à cette communauté de monstres et de l'endroit où ils vivent, Midian. Il est suivit par un psychiatre pour le caractère assez dérrangeant de ces rêves, jusqu'au jour où la police vienne frapper à la porte du Docteur afin de lui montrer des photos de scènes de crime qui s'avèrent etre etrangement proches des scènes que Boone voit en rêve et qu'il décrit à son psychiatre. Le seul bemol que je trouve à ce film c'est sa fin que je trouve trop formatée à l'américaine. Sinon c'est vraiment un film à ne pas rater.
AMCHI - le 01/05/2004 Cabal est très bon film d'horreur même s'il joue plus sur les scènes d'action que les scènes d'angoisse. David Cronenberg est convaincant en tueur fou.
lillois - le 11/05/2006 Avec "Nightbreed", Clive Barker mettait en scène sans totale latitude sa propre adaptation de son quatrième roman, "Cabal" (paru en 1988 et publié en France en 1990 sous le titre "Cabale"). Le scénario aborde sous un angle inhabituel les monstres, faisant d’eux les victimes d’une cruelle persécution génocidaire. A Midian, sous un cimetière, le Peuple de la Nuit se terre, se protégeant de ses ennemis. Ça peut paraître bizarre à dire mais on retrouve un peu le schéma de la série "Fraggle Rock", avec un "Doc" qui cherche à détruire les craintifs habitants d’un monde souterrain. Rêvant régulièrement de ce lieu mythique et inquiétant, Aaron Boone se décide à s’y rendre lorsque sous l’influence de son psychanalyste il se convainc d’être le meurtrier qui sévit dans la région. Dès les dix premières minutes on avait en effet assisté à une séquence de massacre particulièrement efficace. Sans grande prestance, Craig Sheffer ne m’a pas enthousiasmé. Concernant la distribution, j’ai davantage compris le choix d’Anne Bobby pour jouer sa petite amie Lori. C’est une surprise que de retrouver David Cronenberg tenant l’un des premiers rôles. Son interprétation assez froide du personnage du docteur Decker ne jure pas, mais on le préfèrera toujours derrière la caméra où, là, il excelle. J’avais remarqué avant d’en trouver la confirmation sur le Net que le nom Philip K. Decker était une référence à l’auteur de science-fiction Philip K. Dick. Si l’histoire retient rapidement notre attention, le film ne décolle jamais et toute la dernière partie déçoit beaucoup. Décors qui sonnent parfois faux (ça a été tourné en studio en Angleterre) et maquillages inventifs mais à la limite de l’outrancier renforcent ce constat de demi-échec. L’abondance voire la surenchère de créatures difformes nous donnait pourtant l’impression d’une version live du "Gandahar" de René Laloux ! Malheureusement il n’a pas vraiment été tiré parti de cette galerie entrecroisant horreur esthétique et aspiration à la paix…
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Lu en 1995
24/04/2007 23:20
Son pouvoir maléfique ne connaît pas de limites. Les êtres qu'il possède se transforment en de véritables machines à tuer, douées d'une force surhumaine, insensibles à la douleur, invincibles au combat. Aucune arme ne peut enrayer leur folie meurtrière et, même si l'on réussissait à les réduire en miettes, chacun des fragments donnerait naissance à des démons plus terrifiants encore. Quand les policiers de Los Angeles découvrent le corps déchiqueté d'une femme, ils croient que celle-ci a été attaquée par un animal. Ils sont loin de se douter que ce meurtre est peut-être le premier pas vers l'apocalypse. Les guerriers masqués du Tengu sont lâchés sur les Etats-Unis. A eux seuls, ils pourraient plonger le pays dans un bain de sang, mais ils ne sont que les exécutants d'un plan diabolique qui vise à rayer cette nation de la carte, une bonne fois pour toutes.
Un Graham Masterton fidéle à lui même....c'est à dire moyen (c'est mon choix Ha Ha !! )
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La colline a des yeux
24/04/2007 23:37
Réalisé par Alexandre Aja Avec Aaron Stanford, Ted Levine, Kathleen Quinlan Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 43min. Année de production : 2006 Interdit aux moins de 16 ans Titre original : The Hills Have Eyes Remake de La Colline a des yeux
Resumé :
Pour fêter leur anniversaire de mariage, Big Bob Carter, un ancien policier de Cleveland, et sa femme Ethel ont demandé à leur famille de partir avec eux en Californie. Big Bob est sûr que faire la route tous ensemble les aidera à resserrer des liens familiaux un peu distendus. Même si tout le monde vient, personne n'est vraiment ravi d'être là. Lynn, la fille aînée, s'inquiète du confort de son bébé. Son mari, Doug, redoute de passer trop de temps près de son beau-père. La jeune Brenda regrette de ne pas être allée faire la fête à Cancun avec ses amis. Et Bobby ne s'intéresse qu'aux deux chiens de la famille. Une route désertique va conduire les Carter vers le pire des cauchemars...
Critiques spectateurs :
sawhostelator83 - le 24/04/2007 Remake du film choc de Wes Craven par les français Alexandre Aja et Gregory Levasseur, La colline à des yeux 2006 en a surpris plus d'un par son sadisme, son pervers (viols, tortures...), et par son aspect gore renversant...
almanach76 - le 23/04/2007 ce film est une pure reusite pour les film d'horreur.je me suis acheter la version non censurer est il y a du sang partout.Les scene sont horrible et toute plus gore les une que les autre.Au debut ont s'attache au personage main par la suite il meurent sauvagement.Ce film en plus est tres realiste.Donc je conseille ce film au grand amateur de film d'horreur et je le deconseille au ame sensible ayant eu peur a des film comme saw ,freddy cntre fason,the grudge etc...
Denzelplus - le 09/04/2007 Très bon film, tout ce qu'il faut de suspense, d'action et de violente à l'état pure. Servie par des comédiens inconnus mais excellent, et d'un scénario flippant a souhait, Alexandre Aja nous sort un film gore et distrayant. Le dernier quart d'heure est absolument génial. Du grand cinéma d'horreur.
BlackXmas - le 06/04/2007 Un des rares et meilleurs films de l'année 2006 avec destination finale 3 a avoir su imposée son genre meme si destination finale 3 c'est deja imposé. Du gore jouissif,des acteurs tres beau. Les mutants tres euh...........machiavelique et sans pitié! Un film a voir d'urgence de meme que les bonus!
specialized - le 31/03/2007 un très bon film d'horreur,avec entre autres des scènes bien flippantes et quelques scènes gores . Aja signe avec la colline a des yeux un autre chef d'oeuvre,après l'excellent "Haute tension"(beaucoup + hard).Si vous avez aimé la colline,vous aimerez sans doute "Detour mortel"(dans le meme genre),"La maison de cire","The descent",...
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Lu en 1995
24/04/2007 23:43
Vampire impie, qui ne croit ni en Dieu ni au diable, ivre d'amour et de sensualité, résolu à découvrir les mystérieuses origines de ses semblables, Lestat se lance dans une quête effrénée qui va nous transporter du Paris de Louis XV à l'Égypte ancienne pour nous amener à San Francisco de nos jours où, devenu chanteur de rock, il lance un défi suprême aux " puissances des ténèbres ". Fresque épique, mélodrame flamboyant et superbe roman, riche de l'héritage de la littérature populaire, Lestat le vampire bouscule les genres et les conventions pour nous offrir l'un des plus grands livres de ces dernières années.
Alors la bravo l'auteur !!!
Je ne sais pas comment j'en suis venu à lire ce roman d'Anne Rice, mais j'en remercie dieu
Un des meilleurs livres que j'ai lu avec "Le Fleau" et "Nuit D'été"
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Scream
24/04/2007 23:49
Réalisé par Wes Craven Avec Neve Campbell, David Arquette, Courteney Cox Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 50min. Année de production : 1996 Interdit aux moins de 16 ans
Resumé :
Casey Becker, une belle adolescente, est seule dans la maison familiale. Elle s'apprête à regarder un film d'horreur, mais le téléphone sonne. Au bout du fil, un serial killer la malmène, et la force à jouer à un jeu terrible : si elle répond mal à ses questions portant sur les films d'horreur, celui-ci tuera son copain... Sidney Prescott sait qu'elle est l'une des victimes potentielles du tueur de Woodsboro. Celle-ci ne sait plus à qui faire confiance. Entre Billy, son petit ami, sa meilleure amie Tatum et son frère Dewey, ses copains de classe Stuart et Randy, la journaliste arriviste Gale Weathers et son caméraman Kenny qui traînent tout le temps dans les parages et son père toujours absent, qui se cache derrière le masque du tueur ?
Critiques spectateurs :
Nrgie - le 09/04/2007 L'un des meilleurs films d'horreur; Ce que j'ai aimé dans ce film c'est son mélange de comédie grinçante et horreur pure ( scéne d'ouverture avec Drew Barrymore). Il m'a foutu les jetons ce film, j'en ai pas dormi de la nuit. Neve Campbell est géniale. MAis c'est surtout Courteney Cox qui tire son épingle du jeu avec son célébre rôle de Gale Weather, drôle, opportuniste, égocentrique, amoureuse, un perso antipathique mais génialement bien intérprété. Je regarde ce film souvent et avec toujours autant de plaisir.
spidermanao - le 02/04/2007 mon troisième film d'horreur préferé avec "halloween" et "les griffes de la nuit " (également réalisé par wes craven). à la fois un hommage aux classiques du film d'horreur et un film qui critique les règles du genre et puis le trio de tête : neve campbell, courteney cox et david arquette fonctionne très bien . original et très bien fait .
ptitmayo - le 02/04/2007 Une saga qui annonce la couleur d'entrée. Pervers, méchant, drôle, sanglant, ce film l'est dès le début et on admire à quel point Wes Craven mélange et maîtrise ces styles. Surtout, on ne sait à aucun moment qui est le tueur car tous les personnages sont mystérieux. Ainsi, Wes Craven s'amuse à brouiller les pistes en dépeignant des personnages spéciaux comme celui de Courteney Cox. De plus, comme dans tous les bons films d'horreur, les fausses pistes et feintes sont employées. Personnellement, ce genre de films ne me fait pas peur mais m'amuse et c'est encore le cas ici. La fin, en forme d'orgie horrifique, est absolument géniale et est menée avec maestria. Enfin, les acteurs sont formidables avec des mentions pour Neve Campbell, David Arquette et Courteney Cox.
xgfhgfjhgj - le 29/03/2007 Scream est le tout premier film d'horreur que j'ai vu, et c'est celui que le prefere (la saga) ! Un trop bon film, a voir et a revoir, avec beaucoup de sang et, on frissonne du debut à la fin !
Chatondamouretjesus - le 19/03/2007 Super classique dans sa conception ce film reste quand même un classique du film d'horreur car la première fois qu'on le voit on a bien les pétoches.A voir une fois tous les deux mois sinon la peur que procure ce film ne fonctionne plus.Mais il faut dire que pour les amateurs du genre c'est le film a voir au moins une fois dans sa vie et rien que ça vaut 4 étoiles.
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Histoires d'Auto-stoppeur fantôme
25/04/2007 18:12
Auto-stoppeur fantôme Dans l’univers inexpliqué du paranormal, les auto-stoppeurs fantômes occupent une place de choix. Les cas d’apparitions d’auto-stoppeurs qui s’avèrent après coup être des fantômes sont si nombreux qu’il est impossible de tous les citer. Ces fantômes modernes semblent être liés à de tragiques accidents de la route. Le nombre très important de témoignages a amené certains spécialistes du paranormal à étudier ces apparitions spectrales. Ces fantômes semblent être selon les cas soit protecteurs, soit au contraire la cause d’accidents. Il faut croire que ces faits sont pris au sérieux par les autorités puisqu’en Norvège, des mesures ont été mise sen place pour mettre en garde les automobilistes contre un fantôme maléfique. Cette auto-stoppeuse serait le messager d’un terrible accident imminent. Pour prévenir de ses méfaits, des panneaux de signalisation ont été installés avec un triangle rouge contenant le dessin d’un fantôme.
La Dame Blanche de la RN 90
Une nuit du mois de mai 1982, Maurice D. roulait sur la RN 90, qui va de Grenoble à Chambéry, lorsque, tout à coup, sous la pluie battante, la lumière de ses phares accrocha une silhouette féminine au bord de la route, toute de blanc vêtue. L'inconnue ne portait qu'une robe légère, ses cheveux blonds tombaient en longues mèches détrempées sur ses frêles épaules nues. Maurice ralentit, et prit cette curieuse auto-stoppeuse à son bord. Elle dit rentrer chez elle, à Chapareillan, 3 km plus loin. Tout en conduisant, Maurice discutait avec sa charmante passagère, lorsque, soudain, la jeune fille l'avertit : "Attention, nous arrivons au virage du mont du Furet, c'est un endroit dangereux!". Maurice prenait cette route plusieurs fois par semaine, aussi tenta-t-il de rassurer sa passagère. Mais celle-ci, d'une voix brisée par la terreur, insista : "Il y a sept ans, une jeune fille a raté ce virage à moto et elle est morte !". Ne voulant pas effrayer davantage la jeune femme, Maurice ralentit et tourna la tête pour rassurer sa passagère d'un sourire. A sa grande stupeur, le siège était vide ! Incrédule, il s'arrêta pour fouiller la voiture, y compris le coffre, et retourna en arrière pour inspecter la route. Rien. Il n'était pourtant pas le premier à qui une telle aventure était arrivée.
En 1975, une jeune fille s'était tuée sur le pont du Furet. Depuis, nombreux sont ceux qui ont pris à bord de leur véhicule celle que l'on appelle dans la région la Dame Blanche de la RN 90. Parmi eux, un médecin dont le témoignage est encore plus incroyable. En 1977, cette nuit là, il pleuvait encore. Le médecin avait lui aussi pris en auto-stop une jeune fille sur la RN 90. Cette fois, sa passagère ne s’évapora pas et il l’a ramena jusqu’à son domicile. Il lui prêta son parapluie puis attendit qu'elle le lui rapporte. Comme elle ne revenait pas, il se décida à sonner à la porte de la maison où il l'avait déposée.Une vieille femme vint lui ouvrir, mais lui assura que sa fille unique était morte deux ans plus tôt, dans un accident de la route. Incrédule, l'homme insista et décrivit la jeune fille. La vieille dame lui montra alors une photo : c'était bien la jeune fille qu'il venait de quitter. Source : Alain Boulaire : "Fantômes, ces spectres qui nous hantent", in Le Nouveau Détective # 452 - FacteurX # 20
La femme disparue
Par une belle soirée de mars 1978, le brigadier Dawie van Jaarsveld roulait à moto sur la route de Barandas à Willowmore, près de Uniondale, Afrique du Sud. Il aperçut une jeune autostoppeuse brune et s'arrêta pour l'emmener. Quinze kilomètres plus loin, il sentit soudain une secousse. Regardant par-dessus son épaule, il s'aperçut que sa passagère avait disparu. Horrifié à l'idée qu'elle avait pu tomber, il fit aussitôt demi-tour. Il ne retrouva que le casque qu'il lui avait prêté, attaché au porte-bagages !Deux ans auparavant, Anton Le Grenge l'avait rencontrée au même endroit. La jeune femme faisait du stop. En démarrant, il s'avisa qu'il ne lui avait pas demandé où elle allait. II tourna la tête et découvrit le siège vide. Le Grenge raconta son histoire à la police d'Uniondale. Un officier de police retourna avec lui sur les lieux. Tous deux virent alors la portière de la voiture s'ouvrir, comme si quelqu'un d'invisible en sortait. Simultanément, ils entendirent un hurlement. Dawie van Jaarsveld et Anton Le Grenge identifièrent tous deux leur passagère comme étant Maria Roux, une jeune femme morte dans un tragique accident en avril 1968.Source : L'Encyclopédie de l'astrologie - L'Inexpliqué, p. 235
L'auto-stoppeur silencieux
Un soir d'octobre 1979, Roy Fulton, un poseur de moquette, revenait chez lui après un match de fléchettes à Leighton Buzzard, en Angleterre. Comme il s'approchait du village de Stanbridge, il s'arrêta pour recueillir un jeune auto-stoppeur. Lorsque Fulton lui demanda où il se rendait, le jeune homme se contenta de montrer la route. Fulton pensa qu'il était peut-être sourd-muet et conduisit en silence. Après avoir roulé pendant 3 kilomètres, il se dit qu'une cigarette aiderait peut-être à briser la glace; il se tourna pour en offrir une à son passager. Le siège était vide. Le jeune homme avait disparu d'un véhicule se déplaçant à une vitesse régulière de 60 kilomètres à l'heure et dont la porte n'avait à aucun moment été ouverte. Fulton se rendit directement jusqu'à son bar habituel, où il raconta son histoire. Le patron du bar et la police de Dunstable ont dit plus tard croire qu'il était arrivé quelque chose d'étrange à Fulton, et que son histoire était peut-être vraie. Source : Fortean Times, n° 34, hiver 1981.
Etrange petit scout
Le Dr Mike Barnes traversait le désert d'Arizona pour se rendre au lac Tahoe, lorsqu'il aperçut un petit garçon au bord de la route.Vêtu d'un uniforme de scout et d'une casquette de base-ball rouge, celui-ci agitait frénétiquement les bras. Barnes s'arrêta et le garçon, visiblement en état de choc, le supplia : « S'il vous plaît, monsieur, pouvez-vous m'emmener ? »Barnes accepta et, après quelques kilomètres, le garçon lui demanda d'emprunter une piste, puis un chemin de montagne. II conduisit ainsi durant plusieurs kilomètres, le garçon devenant de plus en plus agité. Près du sommet de la montagne, Barnes entendit des cris. Le petit garçon lui demanda de s'arrêter et pointa le doigt en direction du ravin. En se penchant, Barnes vit que les cris provenaient d'un car de ramassage scolaire qui avait fait une chute. Grâce à son téléphone de voiture, le Dr Barnes a pu appeler des secours. Laissant le petit garçon dans le véhicule, il descendit au fond du ravin pour prodiguer les premiers soins aux enfants en attendant les secours. Lorsqu'on a pu enfin les dégager, on découvrit qu’il y avait un seul mort : un petit garçon qui portait un uniforme de scout et une casquette de base-ball rouge.Source : L’Inexpliqué p. 164.165
Une étrange victime
L'un des fantômes les plus célèbres est celui d'une jeune femme qui hante la région de Blue Bell Hill, dans le Kent, en Angleterre. En novembre 1992, un certain M. Sharpe raconta comment une jeune fille apparut soudainement au bord de la route et se précipita sur sa voiture. Elle le regarda droit dans les yeux au moment de l'impact et Sharpe fut certain de l'avoir tuée. II s'arrêta et rechercha le corps, mais il n'y en avait pas la moindre trace. II inspecta les fourrés sur le bas-côté, au cas où le corps aurait été projeté, mais il ne trouva rien non plus. II finit par se rendre au commissariat de police le plus proche pour raconter ce qui s'était passé. Les policiers procédèrent aussi à de recherches, sans résultat, et, pour « rassurer » M. Sharpe, ils déclarèrent qu'il avait dû voir un fantôme.Le même incident se produisit sur la même route. Un certain M. Goodenough conduisait sa voiture quand il heurta quelqu'un mais, cette fois, il trouva le corps de la personne qu'il avait renversée. II le recouvrit d'une couverture et appela la police. Lorsque les policiers arrivèrent, il n'y avait plus de corps sous la couverture ni de traces de sang.Source : L’Inexpliqué p. 169
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