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BLOG DU FANTASTIQUE
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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 52 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    Le bois des enfants

    03/06/2007 00:09

    Le bois des enfants


    Eric Maple, qui s'intéressait aux légendes populaires concernant les revenants, interrogeait des habitants du village de Reculver dans l'Essex (Angleterre), site d'une ancienne colonie romaine. Les villageois lui parlèrent d'un bosquet d'arbres du voisinage, hanté par les esprits de petits enfants dont les lamentations pitoyables troublaient les nuits d'hiver. Plusieurs d'entre eux jurèrent qu'ils avaient entendu ces bruits lugubres et que pour rien au monde ils ne pénétreraient dans le "bois des enfants".

    Au cours des années 1960, d'importantes fouilles furent exécutées à Reculver, qui firent apparaître un grand nombre de vestiges romains. Eric Maple les visita, à temps pour voir un amoncellement d'ossements et de crânes d'enfants, mis au jour par les archéologues. Leur analyse montra qu'ils dataient d'au moins 1500 ans. Il y avait, entre autres, le squelette complet d'un enfant qui avait apparament été sacrifié lors d'une cérémonie rituelle, et enterré dans les fondations par les soldats romains qui campaient là. Il était évident que ceux-ci avaient suivi la sinistre coutume consistant à offrir aux dieux un sacrifice humain lorsqu'on posait les fondations d'un édifice. Une telle coutume était communément pratiquée dans plusieurs parties de l'Europe préchrétienne et, bien qu'officiellement abolie, elle se perpétuait secrétement. Nous posons la question; la découverte des ossements de Reculver est-elle venue confirmer le phénomène des lamentations dans le bouquet d'arbres, ou bien était-ce l'ancienne histoire du sacrifice humain qui avait donné naissance à l'idée des lamentations ?








    La marque d'identification

    03/06/2007 00:16

    La marque d'identification


    Mr.F.G., voyageur de commerce de Boston, était revenu un après-midi dans sa chambre d'hôtel. Tandis qu'il travaillait, il eut soudain l'impression d'une présence dans la pièce. Levant les yeux, il fut stupéfait de voir sa soeur, décédée depuis neuf ans. " Je m'élançais vers elle plein de joie, l'appelant par son nom, dit-il, mais, au même instant, l'apparition s'évanouit d'un coup...J'avais été près d'elle , à la toucher si cela eût été matériellement possible...Elle semblait vivante. " Il y avait pourtant quelque chose de changé dans son aspect ; une égratignure rouge vif sur la joue droite.

    Troublé, F.G. alla voir ses parents pour leur parler de son aventure, lorsqu'il mentionna l'égratignure, sa mère fut très émue. Elle lui révéla que c'était elle qui avait fait cette égratignure accidentellement, alors qu'elle se penchait sur le corps de sa fille. Ensuite, deux semaines plus tard, sa mère mourut paisiblement.
    Le chercheur Myers fait remarquer que l'apparition n'était pas "le cadavre à l'aspect lugubre sur lequel les tristes pensées de la mère auraient pu se fixer, mais...la jeune fille pleine de santé et de gaieté, dont la marque rouge symbolique était simplement un témoignage d'identité" . Il pense que la vision avait été émise par l'âme de la jeune fille, pour inciter son frère à aller chez ses parents voir leur mère.






    Le chasseur de fantômes devient fantôme

    03/06/2007 01:17

    Le chasseur de fantômes devient fantôme


    Une nuit du début du printemps de 1948, un jeune Suédois que nous appellerons Erson vit un vieil homme debout à côté de son lit. L'étranger parlait une langue qu'Erson ne comprenais pas, mais qu'il pensa être de l'anglais. L'étranger arriva à faire comprendre que son nom était Price. Le mystérieux Price apparut ensuite assez souvent. Il fut vu non seulement par Erson, mais aussi par sa femme et sa fille. L'apparition était opaque et avait l'aspect de la vie ; mais lorsque Erson voulut la photographier, il ne trouva après développement que quelques ombres.
    Erson finit par connaitre suffisamment l'anglais pour savoir que son visiteur aviat étudié de son vivant les fantômes. "Price" pressa Erson de se rendre dans un hôpital déterminé de Lund afin d'y subir un traitement pour un problème de santé. Alors qu'il était dans cet hôpital, Erson parla à un psychiatre de son visiteur fantomatique. Ce médecin, qui avait entendu parler du célèbre spécialiste anglais de métapsychique Harry Price, se renseigna auprès de la SPR pour connaître la date du décès de celui-ci. Price est mort le 29 mars 1948, exactement à l'époque ou son spectre amical avait fait sa première apparition.






    La femme en noir....

    03/06/2007 01:25

    La femme en noir....


    Un des cas les plus interressants fut celui de Miss Morton, étudiante en médecine. Pendant sept ans, de 1882 à 1889, sa maison avait été hantée par le spectre d'une femme de grande taille vêtue de noir. Ce fantôme avait ses habitudes; il descendait dans le salon par l'escalier, restait un moment debout à côté de la baie vitrée, quittait le salon et disparaissait par la porte donnant sur le jardin. Miss Morton la vit et l'entendit plusieurs fois, elle put la décrire de façon précise. "Cette femme", dit-elle, "était vêtue d'un lainage noir et souple, à en juger par le bruit léger accompagnant ses mouvements. Un mouchoir cachait son visage. J'ai aperçu le haut de son front, et un peu de sa chevelure. Sa main gauche était presque cachée par la manche et un pli de sa robe. Elle n'avait pas de coiffe de veuve sur la tête, mais un ton général sombre donnait à penser qu'elle portait un chapeau à brides avec un long voile ou une capuche". Pendant les deux premières années, l'apparition avait de l'épaisseur, au point que l'on eût pu la prendre pour une personne en vie. A partir de 1884, elle devint moins distincte et se montra moins souvent.

    D'autres personnes que Miss Morton la virent aussi, et leur témoignage correspond au sien. Mais son père, lui, ne put jamais la voir. Dans les descriptions qu'en donna Miss Morton se place cet incident :
    "Le lendemain soir, 12 août, je revenais du jardin et me dirigeais vers le verger, quand je vis la forme de cette femme traverser le verger, prendre l'allée des voitures devant la maison, entrer par la porte latérale qui était ouverte, traverser le vestibule et pénétrer dans le salon. Je la suivis. Elle traversa le salon et pris sa place habituelle derrière le canapé, dans le renfoncement de la baie vitrée. Mon père entra peu après; je lui dis qu'elle était là. Il ne la voyait pas, mais il alla à l'endroit ou je lui disait que je la voyais. Elle se déplaça alors rapidement, passa derrière mon père, traversa la pièce, sortit par la porte et le vestibule, puis disparut comme d'abitude près de la porte du jardin, tandis que nous la suivions..."

    Vers huit heures, le même soir, Miss Morton et sa soeur virent la forme dans le salon, ou elle se tint près de la fenêtre " pendant dix minutes ou un quart d'heure".
    Essayant de comprendre la nature du phénomène, Miss Morton plaça en travers de l'escalier un fil collé aux deux bouts; l'apparition traversa le fil sans qu'il bouge. Lorsqu'elle tentait de la toucher, la forme s'éloignait toujours hors de sa portée. Quand elle lui parlait, la forme semblait hésiter et être sur le point de répondre, mais ne le fit jamais.

    On s'aperçu que la description de l'apparition ressemblait à une Mrs.S., qui avait habité la maison jusqu'à sa mort en 1878, mais une certitude était impossible du fait que le spectre avait toujours le visage en partie couvert d'un mouchoir. Les vêtements de deuil étaient une indication. Mr.S. étant mort deux ans avant sa femme. Le mouchoir sur le visage pouvait être aussi une indication. Mr.S. s'était mis à boire après le décés de sa première épouse, et la seconde Mrs.S., non seulement n'avait pas réussi à lui faire perdre cette habitude, mais encore s'était mise à boire elle aussi. D'après les personnes qui l'avaient connue, l'attitude et l'apparence du fantôme rappelaient celles de la veuve malheureuse et souvent prise de boisson.






    Nathaniel Hawthorne et le fantôme

    03/06/2007 01:33

    Nathaniel Hawthorne et le fantôme


    Dans sa jeunesse, l'écrivain Nathaniel Hawthorne vivait à Boston, ou il avait l'abitude de fréquenter la bibliothèque de l'Atheneum. Il y rencontrait souvent dans la salle de lecture le révérent docteur Harris, clergyman âgé d'environ 80 ans, que l'on pouvait voir chaque jour vers midi lisant le Boston Post au coin du feu. Un soir, un de ses amis lui annonça que le vieillard venait de mourir. Or Hawthorne avait été à L'Artheneum ce même jour, et il y avait vu le Dr Harris assis à sa place habituelle ; il fut donc surpris, mais le fut encore plus le lendemain lorsqu'il entra dans la salle de lecture et vit le docteur lisant son journal près de la cheminée. Hawthorne resta là quelques temps à lire, jetant de temps en temps un regard sur ce personnage qui avait toute l'apparence d'un homme vivant. Et cela dura des semaines. "Finalement", raconte Hawthorne, "je ne fis pas plus attention au vénérable défunt qu'aux autres vieilles badernes somnolant sur leurs journal près du feu." Aucune autre des "vieilles badernes" vivantes ne semblait voir le revenant, bien que nombre d'entre elles aient été de bons amis du Dr Harris. Le plus étonnant, c'est que le fantôme ne se manifesta qu'à Hawthorne, qui n'avait connu Harris que de vue. Mais peut-être après tout les autres le voyaient-ils aussi, et étaient-ils aussi réticents que Hawthorne à admettre le fait.

    Des années plus tard, racontant cette aventure à un ami, Hawthorne s'étonnait de sa répugnance à tenter d'éclaircir le phénomène; il aurait pu essayer de toucher du doigt le revenant, ou de lui prendre son journal si journal il y avait. "Peut-être, dit-il, hésitais-je à détruire l'illusion, à me voler une si bonne histoire de revenant, qui aurait probablement pu être expliquée d'une façon très ordinaire." A un certain moment, il s'était aperçu que le vieillard le regardait comme s'il attendait que Hawthorne lui parle. Sans doute, pensait celui-ci, avait-il quelque chose à lui communiquer. "Mais dans ce cas, le fantôme avait fait un mauvais calcul, chose fréquente dans la confrérie des esprits, pur ce qui était du lieu de l'entretien et de la personne choisie par lui comme interlocuteur. Car, dans la salle de lecture de l'Artheneum, toute conversation est interdite, et je n'aurais pu lui adresser la parole sans m'attirer aussitôt les froncements de sourcils indignés des vieux messieurs qui dormaient à moitié autour de moi...Et quel air idiot j'aurais eu de m'adresser avec solennité à ce qui, pour l'assistance, n'eût été qu'une chaise vide." "En outre", conclut Hawthorne, en se retranchant derrière les convenances mondaines, "je ne lui avais jamais été présenté."

    Un beau jour, l'apparition ne se manifesta plus sur la chaise au coin du feu, et Hawthorne ne la revit jamais.

    Que penser de ce récit ? Hawthorne est-il tout bonnement un romancier racontant une histoire ? Probablement pas, car il était un auteur de talent, et il aurait certainement construit autrement un récit d'imagination. Si l'histoire est une fiction, elle est assez terne. Mais si c'est une expérience psychique, elle est d'un intérêt exeptionnel. Il ne s'agit pas en effet d'une "dame en blanc" vaporeuse et transparente, aperçue un instant dans un corridor sombre par une personne impressionnable et à la vue basse. Au contraire, c'est une forme ayant l'apparence de la réalité, vue de façon continue pendant plusieures semaines par un homme qui - bien que sensible au surnaturel et attiré par lui - gardait de toute évidence l'esprit lucide. Qu'a-t-il donc vu ?

    De nombreuses personnes ont une réponse toute prête : Hawthorne a vu l'esprit de feu le Dr Harris, dont l'entrée dans l'autre monde avait été retardée pour une raison quelconque, et qui était temporairement retenu à l'endroit qu'il " hantait" de son vivant.






    Dunkerque 1940

    03/06/2007 22:37

    Dunkerque 1940


    Le lieutenant John Scollay était d'un tempérament calme; mais, à ce moment, son sergent-major lui faisait perdre patience. Ici, dans ce petit bois devant Dunkerque, Scollay résistait avec sa compagnie soumise à un tir, sporadique mais meurtrier, des Allemands. Trop de Highlanders au Kilt vert étaient tombés dans ce bosquet en cette journée de juin 1940, et l'idée absurde du sergent-major venait à bout du calme de Scollay.

    " Quelle sacrée histoire me racontez-vous ? Hanté ?" dit-il. " Ce bois est hanté par les Boches, mon garçon ; c'est tout ce que vous avez à savoir actuellement."
    Le sergent-major insistait : " Le bois est hanté, mon lieutenant. Je le sais et les gas le savent. Vous pouvez être certain que nous n'avons pas peur des Allemands. Si nous devons avancer, nous le ferons, et nous forcerons le passage au milieu des Fritz; mais nous ne pouvons pas rester ici une nuit de plus ! "

    Si ridicule que lui parût cette idée, Scollay n'arrivait pas à la repousser entièrement. Depuis 48 heures, sa compagnie était terrée sous ce maigre couvert. Elle était entourée de champs dans lesquels les Allemands étaient retranchés et attendaient l'arrivée des chars, qui signifierait la fin pour la petite troupe d'Ecossais. Pendant ces deux jours, les Highlanders s'étaient battus avec leur enthousiasme habituel, arrosant l'ennemi avec leur mitrailleuse Bren et tirant au fusil sur tout ce qui bougeait. Mais maintenant ils semblaient avoir perdu le moral, ce qui ne s'était jamais vu au 51é Highlanders. A cause de fantômes ?

    " C'est seulement une présence", expliqua le sergent-major, " mais nous l'avons tous sentie. C'est comme une force qui nous pousse dehors. Et c'est quelque chose de mystérieux, que nous ne pouvons combattre. "

    Ensuite le 51é se replia et rejoignit les autres troupes britanniques dans la désastreuse évacuation de Dunkerque. Les hommes de Scollay avaient retrouvé leur détermination et leur fougue; mais, contre les panzers et les stukas, ils ne pouvaient pas faire grand chose. La plupart furent tués ou faits prisonniers sur les plages de Dunkerque.
    Scollay passa le reste de la guerre dans un camp de prisonniers allemand, ou il put penser tout à loisir aux paroles du sergent-major en cette soirée de juin. La guerre terminée, il revint voir le "bois hanté ". Ses recherches dans la bibliothèque de Dunkerque lui révélèrent un fait important : dans l'été de 1415, quelques mois avant la bataille d'Azincourt, des soldats anglais et français s'étaient battus dans ce même bosquet.
    Les âmes des soldats morts, dont les cadavres gisaient dans ces taillis, étaient-elles revenues hanter leur successeurs plus de 500 ans après ? Ou bien la terre exhalait-elle des effluves de mort, que les écossais avaient commencé à percevoir au bout de deux jours ? Aucune tradition locale ne disait que ce lieu était hanté; mais peut-être la force psychique était-elle demeurée endormie pendant cinq siècles, pour ne se manifester que sous le stimulant d'une violence neuve.

    Scollay n'est pas certain de ce qu'était cette force, mais il est convaincu de son existence. " Il ne pouvais être aucunement question du courage de ces hommes, qui est légendaire. Mais ce jour-là, c'est autre chose que le tir d'artillerie qui les a effrayés." Si le bosquet est hanté, ce n'est pas le seul champ de bataille ayant une réputation supranaturelle. Ainsi, celui de Marathon. D'après la légende, pendant plusieurs années après la victoire des Grecs sur les Perses en 490 avant J.-C., la bataille se répéta chaque nuit. Toute personne passant là après le coucher du soleil entendait le cliquetis de l'acier qui s'entrechoque, les gémissements des blessés et des mourants, et sentait l'odeur du sang. On disait que celui qui, pour son malheur, avait vu les guerriers fantômes mourait dans l'année.






    La fille de Mrs.Mills

    03/06/2007 22:49

    La fille de Mrs.Mills


    Si vous pensez que la dame en noir de Miss Morton est un produit de l'obsession victorienne de la mort, considèrons un cas plus simple raconté par MacKenzie dans son livre "Apparitions and Ghosts". En 1929, Mrs.Deane passait un week-end chez Mrs.Mills, gouvernante de sa fille. Mrs.Mills était veuve et avait un jeune fils que connaissait Mrs.Deane; cette dernière ne savait rien d'autre de la famille de Mrs.Mills.
    Le premier soir, Mrs.Deane se préparait à se mettre au lit quand, dit-elle, "j'entendis du bruit à la porte de la chambre comme si quelqu'un tournait le bouton; je l'ouvris et me trouvai devant une jeune fille d'aspect aimable, habillée normalement, qui se tenait sur le pas de la porte. "Bonsoir, lui dis-je, qui êtes-vous ? ", à quoi elle répondit : "je suis Lottie et c'est ici ma chambre. " Mais lorsque je lui dis " voulez-vous entrer ? ", elle sourit et disparut.
    " Chose curieuse, je n'en fus pas effrayée, et je dormis fort bien cette nuit-là. Le lendemain matin, je demandai à Mrs.Mills : "Qui est Lottie ? " Elle me répondit : " Lottie est un diminutif de Charlotte, ma fille morte voici quelques années; mais comment la connaissez-vous ? "
    " Je lui racontai l'incident de la veille; elle me montra une photographie de Charlotte; c'était bien elle que j'avais vue ". Mrs.Mills fut bouleversée et ne voulut plus parler de cela. Quarante ans plus tard, lorsque Mrs.Deane lui raconta l'histoire, MacKenzie essaya, sans succès, de trouver la déclaration de décès de la jeune fille : il ne connaissait pas l'année de sa mort et ne put retrouver ni Mrs.Mills ni son fils pour avoir le renseignement.
    Il est certain que, pour Mrs.Deane, pendant quelques instants, la réalité des faits a été une apparition ayant des points communs avec Charlotte Mills. Peut-être était-ce un courant d'air dans le vestibule qui avait été cause du bruit d'un bouton de porte que l'on tourne. Peut-être Mrs.Deane était-elle agitée à ce moment-là ?
    Peut-être la conversation avec la jeune fille était-elle le fruit de son imagination ? Il est cependant difficile de nier que Mrs.Deane, de même que les milliers d'autres personnes dont les histoires de fantômes ont été examinées par des chercheurs en parapsychologie, a été en contact avec des phénomènes encore inexplicables par la science actuelle.

    Les fantômes - quoi qu'ils soient - sont un fait de notre vie.






    Le chat noir de Killakee

    03/06/2007 23:01

    Le chat noir de Killakee


    De 1968 au début des années 1970, une intense activité à effets physiques (objets déplacés par une force invisible) se manifesta dans la maison Killakee du comté de Dublin. Malgré un exorciste et les enquêtes de spécialistes de la parapsychologie, ces phénomènes se produisent encore occasionnellement de nos jours. Killakee est actuellement un centre artistique ou des artistes irlandais peignent, sculptent, et exposent leurs oeuvres. Sa propriétaire est Mrs.Margaret O'Brien, qui l'acheta vers la fin des années 1960, et y apporta des aménagements.

    Depuis longtemps courait dans la région l'histoire d'un grand chat, de la taille d'un chien airedale, qui hantait les jardins envahis d'herbe de la maison - "hantait" parce que l'on en parlait depuis 40 ou 50 ans, ce qui dépasse de beaucoup la durée normale de vie du chat. En 1968, Mrs. O'Brien eut des visions fugitives d'un gros animal noir qui disparaissait dans les massifs.

    A cette époque deux hommes de l'endroit et Tom McAssey, artiste ami de Mrs. O'Brien, remettaient en état la salle de bal et le hall dallé. Par une soirée sombre de mars, ils venaient de terminer leur travail dans le hall, quand se produisit une chose étrange.
    McAssey raconte : "je venais de fermer la lourde porte d'entrée, en poussant le verrou de quinze centimètre de long. Tout à coup un des hommes dit que la porte s'était rouverte. Nous nous retournâmes, fort étonnés. La serrure était bonne, le verrou était fort...et tous deux s'ouvraient de l'intérieur. "Nous regardâmes dans le hall sombre; puis je m'avançai; la porte était bien grande ouverte, laissant entrer l'air froid. Dans l'obscurité extérieure, je discernai seulement une forme drapée de noir, dont je ne pus voir le visage. Je crus que quelqu'un faisait une plaisanterie et je dis : " Entrez. Je vous vois. " Un voix basse et gutturale répondit : " Vous ne pouvez pas me voir. Laissez cette porte ouverte. "

    " Les hommes qui étaient juste derrière moi entendirent tous deux la voix, mais ils crurent qu'elle parlait une langue étrangère. Ils partirent en courant. Un long ronflement sortit de l'ombre ; pris de panique, je claquai la porte et m'enfuis aussitôt. Arrivé au milieu de la galerie, je me retournai pour regarder. La porte était encore ouverte, et un monstrueux chat noir accroupi dans le hall me fixait de ses yeux jaunes tachetés de rouge."

    Val McGann, ancien champion de saut à la perche qui peint et expose aussi a Killakee, ne fut pas surpris de l'histoire de McAssey. Il habite une villa dans les bois voisins, et a vu à plusieurs reprises un chat semblable. " La première fois, j'ai eu peur; mais ensuite c'était plutôt de l'étonnement. Il a la taille d'un assez gros chien et des yeux terrifiants. Je me suis mis à l'affût avec mon fusil, mais je n'ai jamais pu le tirer."

    Derrière Killakee s'élève Montpellier Hill, colline escarpée et aride surmontée des ruines d'un ancien pavillon de chasse. Celui-ci est connu  dans le pays comme le club du feu de l'enfer, et il est à peu près certain que les jeunes viveurs de Dublin l'utilisaient à des orgies au XVIIIé siècle. D'après la tradition, le diable le brûla - avec ingratitude ! - au cours d'une messe noire.On raconte aussi que, pendant les orgies, un énorme chat noir y trônait pour symboliser Satan quand celui-ci n'apparaissait pas en personne. C'est le spectre de ce chat, disent les gens du pays, qui hante le centre artistique de Killakee.






    L' autobus fantôme

    04/06/2007 17:43

    L' autobus fantôme


    Le véhicule fantôme qui commença à se manifester, au milieu des années 1930, dans le secteur landonien de Kensington. Le carrefour de la route de St Mark et de Cambridge Gardens était depuis longtemps considéré comme dangereux, et c'était l'endroit ou les gros autobus rouges arrivant de la route n° 7 tournaient pour entrer dans Cambridge Gardens. Des centaines d'accidents mineurs - et plusieurs accidents mortels - s'étaient produits là, avant que les autorités locales ne se décident à apporter des modifications à la disposition du carrefour.

    Leur décision fut prise, entre autres raisons, à cause de l'avalanche de plaintes provenant de conducteurs nocturnes. Ils disaient tous que leur accident provenait du fait qu'ils avaient été obligés de faire une embardée pour éviter un autobus à deux étages roulant silencieusement à toute allure, et arrivant par la route de St Mark, en pleine nuit - à une heure ou il n'y avait plus aucun service d'autobus.

    Dans un de ces rapports, ont lit : " Au moment ou je tournais, je vis un autobus qui arrivait sur moi. Ses feux de position et ses phares de route étaient allumés, mais je n'aperçus ni machiniste, ni passagers. Je braquai tant que je pus et grimpai sur le trottoir en éraflant le mur. A ce moment l'autobus disparut. "

    Ce rapport est typique. Le coroner eut de nouvelles preuves lorsqu'il fit une enquête concernant un conducteur qui avait heurté le mur de face;  un témoin oculaire dit que l'autobus était apparu soudainement, se précipitant sur la voiture juste avant que celle-ci fasse son embardée fatale. Lorsque le coroner émit des doutes, des douzaines de personnes de l'endroit se présentèrent pour témoigner qu'elles avaient vu l'apparition. Parmi elles se trouvait un fonctionnaire d'un dêpot d'autobus voisin, qui déclara avoir vu le véhicule sortir silencieusement de ce dêpot aux petites heures du matin, puis disparaître.

    Le mystére n'a jamais été expliqué; fait peut-être significatif, l'autobus ne fut pas revu après l'aménagement du carrefour. Avait-il été en quelque sorte projeté sur la scène pour dramatiser le danger propre à ce carrefour ? Dans ce cas, la décision était plutôt énergique - et prise par qui ? Plus vraisemblablement, c'était une forme visible de l'appéhension des conducteurs eux-mêmes, qui savaient l'endroit dangereux; mais cette théorie ne cadre pas avec les visions du fonctionnaire du dépôt et des autres spectateurs. Le rébus restera probablement sans solution.






    Peinture hantée...

    06/06/2007 11:44

    Peinture hantée...


    Source : http://dark-ride.org/

    Nous sommes en février 2000, et on trouve un bien étrange objet en vente sur ebay, il s’agit d’un tableau appelé "The Hands Resist Him" le tableau représente un jeune garçon devant une porte avec à coté de lui une poupée derrière cette porte vitrée on peut voir des mains... L’annonce nous indique que ce tableau est hanté...


    La petite annonce précise que la fille de l’ancien propriétaire aurait vu le petit garçon se battre et sortir du tableau. Les parents a la fois amusé et inquiet car leur fille semblait très apeurée placèrent un appareil photo couplé a un détecteur de mouvement dans la pièce où se trouvait le tableau. Après trois nuit, ils obtinrent deux photos, qui montraient l’enfant était "éjecter" du tableau... Après cela ils mirent en ventes ce tableau...

    Pendant les enchères environ 13000 personnes visitèrent cette page, et de nombreuses personnes envoyèrent des mails au propriétaire. Il semble que 7 personnes auraient eut autour d’eux d’étrange événement après avoir observé cette image.

    La personne qui obtint l’objet a fait des recherches dessus, il semble que ce tableau ai été commencer dans les années 20 ou 30, et aurait été fini entre 1965-1975. Pour lui les gens qui ont eut des phénomènes étrange après avoir visualisé la photo de se tableau serait simplement victime d’auto suggestion.

    Les seules phénomènes étrange que le propriétaire eut ce sont le nombre incroyable de mail de gens voulant soit voir la toile, soit exorciser sa maison soit acheter des reproduction de son tableau... Il ne se passa rien...

    Finalement un an après son achat, il se mit a vendre des reproductions de ce tableau, peut être que ceux qui possèdent ces reproduction on eut des expériences similaires à leurs premier propriétaire... En tout cas depuis sur ebay on ne compte pas le nombre de tableau et objets hantés peut être qu’avec un peu de chance on peut vraiment en trouver un...








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