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Catégorie : Esprits & Fantômes

BLOG DU FANTASTIQUE
VIP-Blog de lestat1975

  • 52 articles publiés dans cette catégorie
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    [ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]

    Esprits, Fantômes, Maison hantés ect....

    23/04/2007 16:16

    Esprits, Fantômes, Maison hantés ect....


    Counter

            Page 1 
    -- Amityville, la maison du diable --
    -- Histoires d'Auto-stoppeur fantôme --
    -- Seances de Ouija --
    -- Histoires de Fantômes --
    -- Le fantôme de Lady Brown --
    -- Le caveau hanté de la famille Chase --
    -- Les fantômes d'animaux --
    -- 3:27 --
    -- Le Fantôme du père --
    Page 2
    -- Le bois des enfants --
    -- La marque d'indentification --
    -- Le chasseur de fantômes devient fantôme --
    -- La femme en noir --
    -- Nathaniel Hawthorne et le fantôme --
    -- Dunkerque 1940 --
    -- La fille de Mrs.Mills --
    -- Le chat noir de Killakee --
    -- L'autobus Fantôme --
    -- Peinture hantée... --
    Page 3
    -- Les anglaises de Versailles --
    -- Les Poltergeists --
    -- Les Dames Blanches (2é) --
    -- Le fantôme d’Henry VIII --
    -- L'histoire d'Amityville plus détaillée --
    -- Les lamentations de la Fée de mort --
    -- Le crâne du manoir de Bettiscombe --
    -- Shirley Hitchins et l'esprit frappeur --
    -- Le vieux Jeffrey --
    -- La sorcière des Bell --
    Page 4
    -- Histoires d'esprits frappeurs --
    -- Une adoption réalisée grâce à la planche Ouija --
    -- La femme en gris --
    -- La grand-mère --
    -- Le carrosse fantôme --
    -- Ou est passé la maison ? --
    -- Le cimetière de Silver Cliff --
    -- Le presbytère hanté --
    -- Le fantôme du restaurant Toby Jug --
    -- Esprit frappeur à Killakee --
    Page 5
    -- Vision macabre --
    -- Les animaux et les fantômes --
    -- Trop tôt pour la retraite --
    -- Le grand noir balafré --
    -- Des esprits tourmentent une famille pendant 12 ans --
    -- Les voix de l'au-delà --
    -- Musique de l'au-delà --
    -- Stella.C --
    -- Le médium Autrichien Rudi Schneider --
    Page 6







    Amityville, la maison du diable

    23/04/2007 16:20

    Amityville, la maison du diable


    AMITYVILLE - LA MAISON DU DIABLE


    Cette maison de style colonial à trois étages est située dans les quartiers aisés d'Amityville, Long Island, non loin de NewYork. Bien que les propriétaires suivants n'aient pas été gênés par des incidents inhabituels, les Lutz, eux, avaient déménagé au bout de vingt-huit jours. Ils auraient été chassés par des événements surnaturels, sous forme d'activité poltergeist et d'apparitions démoniaques.
     


     En 1977, dans son best-seller TheAmity-ville Horror: A True Story (Amityville, la maison du diable, livre épuisé en France), Jay Anson, depuis lors décédé, relate l'histoire terrifiante des Lutz. Tiré du livre, le film du même nom sort en 1979 et a un succès retentissant.

    En dépit de la controverse, c'est une histoire effectivement terrible qui est à l'origine des affirmations selon lesquelles la maison serait hantée. Le 13 novembre 1974, Ronald DeFeo, vingt-quatre ans, abat dans la maison ses parents, ses deux frères et ses deux sœurs.

    N'ayant pas réussi à convaincre les jurés qu'il avait obéi à l'injonction de voix lui intimant l'ordre de tuer, DeFeo est déclaré responsable de ses actes; inculpé d'homicide sous six chefs d'accusation, il est condamné à vingt-cinq ans de prison pour chacun d'entre eux.

    Après cet épisode sanglant, la grande maison d'Océan Avenue est mise en vente à un prix dérisoire, George Lutz, propriétaire d'une compagnie de géomètres qui bat de l'aile, visite la propriété avec sa femme Kathy.

    Malgré le passé macabre de la grande demeure, ils croient avoir trouvé la maison de leurs rêves et s'en portent acquéreurs...
     

    Les sceptiques affirment aujourd'hui que toute l'affaire n'était qu'un canular, une escroquerie perpétrée par les Lutz pour gagner de l'argent. Ceux qui croient à l'histoire disent au contraire que la thèse du canular n'a été élaborée que dans le but de décourager les hordes de curieux qui, après la sortie du livre et du film, sont venus en masse à Amityville pour jeter un coup d'œil sur l'attraction locale: la désormais célèbre "maison du diable" qui se dresse au numéro 112 d'Océan Avenue.
     

    VOIX DE L'AU-DELÀ

    Quand les Lutz emménagent avec leurs trois enfants le 18 décembre 1975, une des premières choses qu'ils font est de demander à un prêtre de bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre aurait entendu une voix forte, venue de nulle part, lui disant simplement : "Allez-vous en ! " Mais cet épisode troublant n'était, pour les Lutz, que le début d'une série d'événements bizarres. Selon le livre de Jay Anson Amityville, la maison du diable, la maison fut remplie d'une puanteur irrespirable et la porcelaine de la salle de bains fut tachée d'un dépôt noir résistant à tous les détergents. La maison fût également infestée de centaines de mouches alors qu'on était au cœur de l'hiver.
     

    LA MAISON DU DIABLE

    Et il ne se passa pas longtemps avant que des manifestations plus graves encore ne se produisent. Un lion de céramique de plus d'un mètre de haut se mit à bouger tout seul. On trouva des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces menaient tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, "une force au-delà de celle d'un être humain". Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la "maison de leurs rêves" était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.

    Kathy Lutz fut la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantaient la maison. Des bras invisibles l'enlaçaient; des êtres tentaient de la posséder. «Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. » Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant.

    A la même période, George Lutz vécut à son tour des événements étranges. Il entendit une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son des instruments à vent. Il ne vit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée.Par-dessus le marché, les Lutz affirment qu'ils eurent plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestaient sous des formes très variées: «immense silhouette encapuchonnée de blanc», «démon cornu» ou encore «cochon diabolique» avec «deux yeux ardents ».

    Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, eut lieu une nuit de début janvier. Cette nuit-là, George n'arrivait pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévilait dans les airs ! Plus horrible encoie : lors-qu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prit un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.

    C'en était trop pour les Lutz. Ils quittèrent la maison le 14 janvier 1976. Mais, selon Thé Amityvüle Horror Part II , le cauchemar ne s'arrêta pas là. L'auteur du livre, John G. Jones, décrit la façon dont le Diable, resté «lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe» poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.


     
    DES ESPRITS INHUMAINS

     Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de  chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; us furent remplis d'un sentiment d'« horreur absolue » en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des «milliers de points lumineux», ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.Pour les Wàrren,le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. La propriété aurait été autrefois un asile de fous pour les Amérindiens malades et mourants : « Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Wàrren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée. »

    On ne saura probablement jamais ce qui s'est passé au 112 Océan Avenue. Les Cromarty, qui ont emménagé juste après les Lutz, affirment qu'aucun phénomène bizarre ne s'est produit. Ils ont même intenté un procès aux Lutz parce qu'ils étaient assaillis de curieux réclamant des visites guidées. Ils sont parvenus à un règlement à l'amiable. Son montant n'a pas été dévoilé.








    Histoires d'Auto-stoppeur fantôme

    25/04/2007 18:12

    Histoires d'Auto-stoppeur fantôme


    Auto-stoppeur fantôme
    Dans l’univers inexpliqué du paranormal, les auto-stoppeurs fantômes occupent une place de choix. Les cas d’apparitions d’auto-stoppeurs qui s’avèrent après coup être des fantômes sont si nombreux qu’il est impossible de tous les citer.
    Ces fantômes modernes semblent être liés à de tragiques accidents de la route. Le nombre très important de témoignages a amené certains spécialistes du paranormal à étudier ces apparitions spectrales.
    Ces fantômes semblent être selon les cas soit protecteurs, soit au contraire la cause d’accidents.
    Il faut croire que ces faits sont pris au sérieux par les autorités puisqu’en Norvège, des mesures ont été mise sen place pour mettre en garde les automobilistes contre un fantôme maléfique.
    Cette auto-stoppeuse serait le messager d’un terrible accident imminent. Pour prévenir de ses méfaits, des panneaux de signalisation ont été installés avec un triangle rouge contenant le dessin d’un fantôme.
        
     

     La Dame Blanche de la RN 90

    Une nuit du mois de mai 1982, Maurice D. roulait sur la RN 90, qui va de Grenoble à Chambéry, lorsque, tout à coup, sous la pluie battante, la lumière de ses phares accrocha une silhouette féminine au bord de la route, toute de blanc vêtue. L'inconnue ne portait qu'une robe légère, ses cheveux blonds tombaient en longues mèches détrempées sur ses frêles épaules nues. Maurice ralentit, et prit cette curieuse auto-stoppeuse à son bord. Elle dit rentrer chez elle, à Chapareillan, 3 km plus loin. Tout en conduisant, Maurice discutait avec sa charmante passagère, lorsque, soudain, la jeune fille l'avertit : "Attention, nous arrivons au virage du mont du Furet, c'est un endroit dangereux!".
    Maurice prenait cette route plusieurs fois par semaine, aussi tenta-t-il de rassurer sa passagère. Mais celle-ci, d'une voix brisée par la terreur, insista : "Il y a sept ans, une jeune fille a raté ce virage à moto et elle est morte !".
    Ne voulant pas effrayer davantage la jeune femme, Maurice ralentit et tourna la tête pour rassurer sa passagère d'un sourire. A sa grande stupeur, le siège était vide !
    Incrédule, il s'arrêta pour fouiller la voiture, y compris le coffre, et retourna en arrière pour inspecter la route.
    Rien. Il n'était pourtant pas le premier à qui une telle aventure était arrivée.

    En 1975, une jeune fille s'était tuée sur le pont du Furet. Depuis, nombreux sont ceux qui ont pris à bord de leur véhicule celle que l'on appelle dans la région la Dame Blanche de la RN 90. Parmi eux, un médecin dont le témoignage est encore plus incroyable. En 1977, cette nuit là, il pleuvait encore. Le médecin avait lui aussi pris en auto-stop une jeune fille sur la RN 90. Cette fois, sa passagère ne s’évapora pas et il l’a ramena jusqu’à son domicile.
    Il lui prêta son parapluie puis attendit qu'elle le lui rapporte. Comme elle ne revenait pas, il se décida à sonner à la porte de la maison où il l'avait déposée.
    Une vieille femme vint lui ouvrir, mais lui assura que sa fille unique était morte deux ans plus tôt, dans un accident de la route. Incrédule, l'homme insista et décrivit la jeune fille. La vieille dame lui montra alors une photo : c'était bien la jeune fille qu'il venait de quitter. Source : Alain Boulaire : "Fantômes, ces spectres qui nous hantent", in Le Nouveau Détective # 452 - FacteurX # 20

     La femme disparue

    Par une belle soirée de mars 1978, le brigadier Dawie van Jaarsveld roulait à moto sur la route de Barandas à Willowmore, près de Uniondale, Afrique du Sud. Il aperçut une jeune autostoppeuse brune et s'arrêta pour l'emmener. Quinze kilomètres plus loin, il sentit soudain une secousse. Regardant par-dessus son épaule, il s'aperçut que sa passagère avait disparu. Horrifié à l'idée qu'elle avait pu tomber, il fit aussitôt demi-tour. Il ne retrouva que le casque qu'il lui avait prêté, attaché au porte-bagages !Deux ans auparavant, Anton Le Grenge l'avait rencontrée au même endroit. La jeune femme faisait du stop. En démarrant, il s'avisa qu'il ne lui avait pas demandé où elle allait. II tourna la tête et découvrit le siège vide.
    Le Grenge raconta son histoire à la police d'Uniondale. Un officier de police retourna avec lui sur les lieux. Tous deux virent alors la portière de la voiture s'ouvrir, comme si quelqu'un d'invisible en sortait.
    Simultanément, ils entendirent un hurlement. Dawie van Jaarsveld et Anton Le Grenge identifièrent tous deux leur passagère comme étant Maria Roux, une jeune femme morte dans un tragique accident en avril 1968.Source : L'Encyclopédie de l'astrologie - L'Inexpliqué, p. 235

     L'auto-stoppeur silencieux

    Un soir d'octobre 1979, Roy Fulton, un poseur de moquette, revenait chez lui après un match de fléchettes à Leighton Buzzard, en Angleterre. Comme il s'approchait du village de Stanbridge, il s'arrêta pour recueillir un jeune auto-stoppeur. Lorsque Fulton lui demanda où il se rendait, le jeune homme se contenta de montrer la route. Fulton pensa qu'il était peut-être sourd-muet et conduisit en silence. Après avoir roulé pendant 3 kilomètres, il se dit qu'une cigarette aiderait peut-être à briser la glace; il se tourna pour en offrir une à son passager.
    Le siège était vide. Le jeune homme avait disparu d'un véhicule se déplaçant à une vitesse régulière de 60 kilomètres à l'heure et dont la porte n'avait à aucun moment été ouverte. Fulton se rendit directement jusqu'à son bar habituel, où il raconta son histoire. Le patron du bar et la police de Dunstable ont dit plus tard croire qu'il était arrivé quelque chose d'étrange à Fulton, et que son histoire était peut-être vraie.
    Source : Fortean Times, n° 34, hiver 1981.

     Etrange petit scout

    Le Dr Mike Barnes traversait le désert d'Arizona pour se rendre au lac Tahoe, lorsqu'il aperçut un petit garçon au bord de la route.Vêtu d'un uniforme de scout et d'une casquette de base-ball rouge, celui-ci agitait frénétiquement les bras.
    Barnes s'arrêta et le garçon, visiblement en état de choc, le supplia : « S'il vous plaît, monsieur, pouvez-vous m'emmener ? »
    Barnes accepta et, après quelques kilomètres, le garçon lui demanda d'emprunter une piste, puis un chemin de montagne. II conduisit ainsi durant plusieurs kilomètres, le garçon devenant de plus en plus agité.
    Près du sommet de la montagne, Barnes entendit des cris. Le petit garçon lui demanda de s'arrêter et pointa le doigt en direction du ravin. En se penchant, Barnes vit que les cris provenaient d'un car de ramassage scolaire qui avait fait une chute.
    Grâce à son téléphone de voiture, le Dr Barnes a pu appeler des secours. Laissant le petit garçon dans le véhicule, il descendit au fond du ravin pour prodiguer les premiers soins aux enfants en attendant les secours. Lorsqu'on a pu enfin les dégager, on découvrit qu’il y avait un seul mort : un petit garçon qui portait un uniforme de scout et une casquette de base-ball rouge.
    Source : L’Inexpliqué p. 164.165

     Une étrange victime

    L'un des fantômes les plus célèbres est celui d'une jeune femme qui hante la région de Blue Bell Hill, dans le Kent, en Angleterre.
    En novembre 1992, un certain M. Sharpe raconta comment une jeune fille apparut soudainement au bord de la route et se précipita sur sa voiture. Elle le regarda droit dans les yeux au moment de l'impact et Sharpe fut certain de l'avoir tuée.
    II s'arrêta et rechercha le corps, mais il n'y en avait pas la moindre trace. II inspecta les fourrés sur le bas-côté, au cas où le corps aurait été projeté, mais il ne trouva rien non plus. II finit par se rendre au commissariat de police le plus proche pour raconter ce qui s'était passé. Les policiers procédèrent aussi à de recherches, sans résultat, et, pour « rassurer » M. Sharpe, ils déclarèrent qu'il avait dû voir un fantôme.
    Le même incident se produisit sur la même route. Un certain M. Goodenough conduisait sa voiture quand il heurta quelqu'un mais, cette fois, il trouva le corps de la personne qu'il avait renversée. II le recouvrit d'une couverture et appela la police. Lorsque les policiers arrivèrent, il n'y avait plus de corps sous la couverture ni de traces de sang.Source : L’Inexpliqué p. 169








    Séances de Ouija

    26/04/2007 22:43

    Séances de Ouija


    Frissons d'Halloween
    Par Yves Baril
    Me voici de retour avec la suite de ma chronique  concernant le jeu Ouija ainsi qu'un mélange d'événements plus ou moins étranges. le récit qui suit m'a fait frissonné.
    L'aventure se passe en 1985 dans une maison en banlieue de Trois-Rivières. La jeune femme qui m'a raconté cet épisode fut témoin d'une session Ouija un peu spéciale et qui, par surcroit, se déroula le soir d'Halloween…
    Cette jeune femme qui demande fermement l'anonymat, faisait également partie d'un groupuscule d'adorateurs de Satan. Elle me raconta brièvement qu'une petite secte existait dans la ville et que ses adeptes se réunissaient régulièrement afin d'honorer leur maître.
    Or donc, le soir de l'Halloween, une réunion à laquelle prirent part les membres chevronnés ainsi que 2 nouvelles recrues, eut lieu dans une maison très en retrait de la ville, dans la campagne trifluvienne. En guise d'introduction, les recrues furent soumis à une session de Ouija dans le but de vérifier leur degré de tolérance et d'ouverture face aux esprits et au surnaturel. Les recrues, un homme et une femme dans la vingtaine, étaient par surcroit des adeptes de drogues dures comme l'héroïne.
    La session débuta sur une note frissonante. Des incantations diaboliques, parsemées de chants maléfiques, mirent les deux recrues en état de transe. Les deux individus avaient les mains sur le tableau Ouija et, au fur et à mesure que les incantations progressaient, le pointeur du tableau Ouija se mit à bouger en épelant les lettres du mot SATAN. Puis, dans le paroxisme des incantations, la jeune femme fut soudainement prise de convulsions et se mit à raconter des choses dans une langue totalement inconnue. Elle n'était plus maître de ses mouvements et elle semblait soudée au pointeur Ouija. Elle se tortillait sur sa chaise tout en maintenant les mains sur le pointeur. Quant au jeune homme, celui-ci sortit rapidement de sa transe en entendant les grognements que la jeune femme se mit à émettre. Les grognements étaient assortis de blasphèmes et de saignements de nez et, pris de panique, le jeune homme se leva et se précipita hors de la maison en prenant ses jambes à son cou.
    Dans les minutes qui suivirent, la jeune femme perdit connaissance en ne pouvant plus faire cesser les mouvements du pointeur Ouija. La jeune femme, ou la force derrière ces mouvements, faisait déplacer le pointeur à une vitesse hallucinante et l'épuisement ou l'étourdissement lui fit perdre conscience. La session s'interrompit sur cette note et les adeptes de la secte ramenèrent la jeune femme, toujours inconsciente, dans un parc de Trois-Rivières. Elle reprit conscience parmi les gnômes, farfadets et autres petits monstres qui déambulaient dans le parc et qui se demandaient bien ce que cette jeune femme faisait avec une seringue plantée dans un bras. La seringue avait été évidemment fournie par la secte afin de couvrir leur 'méfait'. Si jamais elle racontait quelque chose à la police, personne ne la croirait. Ce qui fut le cas. Suivant cette soirée d'Halloween, sa vie prit un malheureux tournant. Elle fut internée dans un hôpital psychiatrique pendant 6 mois et à sa sortie, elle sombra de nouveau dans l'héroïne afin de ne pas entendre les voix qui la rappelait à son maître…
    Mystère…mystère…
    Bon, quel est le sérieux de cette histoire ? Je n'oserais le dire. Plusieurs facteurs se trouvent réunis sous la loupe de l'explicable: drogue, satanisme, imagination de la victime et/ou de la lectrice. Je ne peux définir le degré de véracité de cette histoire car j'ai moi-même de la difficulté à y croire. Chose certaine, c'est une histoire digne des plus belles soirées d'Halloween…Et, lorsque les petits monstres, vampires et spectres sonneront bientôt à vos portes, souvenez-vous de ne pas les ouvrir aux vraies créatures des ténèbres !!!! Celles-ci cherchent bien d'autres choses que des friandises. Ils veulent votre âme !!!
    Joyeuse Halloween !!!!


    Les in-X-plicables expériences des lecteurs
    Par Yves Baril
    Un lecteur de la région de Québec m’a fait part d’une expérience digne de l’émission fantaisiste ‘Tales from the Crypt’...Cette histoire se déroula il y a près de vingt ans. Le soir d’Halloween, trois adolescents eurent la malencontreuse idée de jouer au tableau ‘Ouija’. Ce tableau est manoeuvré par nos mains mais soi-disant guidé par les esprits. Une session typique de ce jeu consiste à interpeller un ou des esprits présents dans la pièce, ou même un esprit de parents défunts. Puis, en demandant une question claire, l’esprit répond en épelant sa réponse sur le tableau qui contient toutes les lettres de l’alphabet, ainsi que les chiffres de 0 à 9.
    Les adolescents en question invoquèrent au hasard un esprit qui ne tardât pas à se manifester. Tous étonnés d’obtenir une réponse aussi rapide, les ados entrèrent alors dans le ‘jeu’. On lui demanda son nom et l’esprit répondit "H – E – N – R – I". Puis, on lui demanda depuis combien de temps il était décédé et l’esprit répondit 80 ans. Par la suite, l’esprit répondit à une série de questions assez anodines, toutes reliées aux préoccupations des adolescents. Somme toute, la session se déroula assez bien jusqu’à ce que celle-ci prenne une toute autre dimension lorsque les parents des ados revinrent à la maison.
    En effet, dès que le père mis le pied sur le seuil de la porte, une forte odeur de soufre se fit soudainement sentir à travers toute la maison. Les ados lâchèrent immédiatement le socle du ‘Ouija’ pensant que quelqu’un leur avait lancé une bombe au soufre (très populaire à l’époque chez les étudiants en mal de mauvais coups). Ceux-ci se précipitèrent rapidement vers la fenêtre du salon pour voir qui leur aurait fait cette farce mais n’aperçurent alors que les parents face à la porte.
    Puis, toutes les portes intérieures situées au rez-de-chaussée de la maison se fermèrent d’elles-mêmes, de même que quelques bibelots et cadres furent projetés par terre sans aucune intervention humaine. De la fenêtre du salon, les parents assistèrent impuissants à la scène. Ils essayèrent tant bien que mal d’entrer dans la maison mais ils eurent beaucoup de difficulté. La porte avant refusait de s’ouvrir et ils durent fracasser une fenêtre du sous-sol pour ainsi se faufiler à travers la minuscule fenêtre. Pendant ce temps, les ados étaient littéralement pétrifiés par la peur.
    Une fois à l’intérieur, le saccage s’interrompit mais, quelques jours plus tard, la famille ne put que constater l’inévitable vérité: La maison était dorénavant hantée… Plusieurs autres manifestations se produisirent et la famille commença alors à crier son désarroi face à la situation.
    Une médium, amie de la famille, vint à leur rescousse et put enfin calmer l’esprit après plusieurs manifestations, sessions de spiritisme et beaucoup de ‘psychologie’. En effet, cet esprit prénommé Henri était l’arrière-grand-père des adolescents et ce spectre s’était soudainement révolté à la vue de son petit-fils… Celui-ci voulait vendre la maison centenaire qu’ils habitaient et qui était en fait un héritage familial.
    Après avoir assuré à l’esprit que la maison ne serait pas vendue, les manifestations cessèrent et toute la famille put enfin vivre dans le calme et la sérénité.
    Somme toute, cette histoire se termine relativement bien. Cependant, je lance un avertissement à tous les adeptes de sessions de spiritisme et de ‘Ouija’. Il est TRES dangereux de s’adonner à ces pratiques sans le suivi d’un médium expérimenté.








    Histoires de fantômes

    26/04/2007 23:28



    Histoire de fantômes
    par Yves Baril
    À l’été 1982, je décroche un emploi dans un hôtel du Parc Waterton dans le sud de l’Alberta. Cet hôtel, le ‘Prince of Wales Hôtel’ est très renommé dans ce loin de pays. C’est une construction de 80 et quelques chambres qui datent de plusieurs décennies (1929, si je ne me trompe pas) et c’est également un lieu de prédilection pour les amateurs de nature car les Rocheuses l’embrassent de tous côtés.
    Je travaillais de nuit à l'accueil des clients. Il était environ 2 heures du matin et je m’affairais, avec le comptable, à trouver une erreur dans les recettes de la journée. Les lumières du ‘lobby’ étaient éteintes, aucun bruit n’était perceptible mis à part le cliquetis de la calculatrice. La console téléphonique était également d’un silence de plomb. J’étais accoudé sur le comptoir lorsque j’entends alors un bruit derrière moi. Je me retourne et j'aperçois mon stylo ‘BIC’ par terre. Je crois que vous savez tous qu’un stylo ‘BIC’ ne peut pas rouler à cause de sa forme plus ou moins octogonale. Je croyais que le comptable l’avait emprunté puis gauchement échappé mais je le vis alors sortir de la cuisine. Je ramasse donc le stylo tout en le déposant au centre de la table de la console téléphonique. Je me dis alors que j’avais probablement déposé le stylo trop près du bord et que celui-ci était tombé de par lui-même. Je me retourne alors vers le comptoir de la réception et, à ma grande surprise, le même scénario se répète. Le stylo se retrouve encore par terre. À ce moment je réalisai que quelque chose de pas très normal se passait sous mes yeux…
    Le comptable s’approcha de moi et me dit alors qu’elle était là... Et que ce n’était pas la première fois qu’elle se manifestait... Avec un air sceptique, je lui demande alors de m’expliquer de qui et de quoi il était question et celui-ci me raconta l’histoire d’une certaine jeune femme qui hante les lieux depuis plusieurs décennies. Cette femme décéda dans le lobby de l’hôtel lorsqu’elle découvrit les infidélités de son mari lors de leur voyage de noce (si je me souviens bien). Le couple séjournait dans une chambre du dernier étage et c’est lors d’une altercation que la jeune femme aurait fait sa chute fatale au milieu du lobby. Selon les rumeurs, elle hanterait toujours les lieux.
    Je doutais de l’histoire jusqu’à ce que je sente soudainement une zone de refroidissement autour de moi. C’était vraiment spécial. Je vous jure que ce n’était pas un courant d’air car la nuit était d’un calme féerique. Puis, la chaleur normale revint et mon confrère me raconta alors qu’il était un peu médium et il m’assura qu’elle était très gentille (aussi gentille qu’un fantôme peut l’être...). Honnêtement, j’avais mes doutes sur toute cette expérience du moins jusqu’au prochain événement...
    Il s’écoula environ une heure avant que je me décide à aller me chercher quelque chose à manger dans la cuisine. Pour ce faire, afin d’entrer dans la cuisine, il fallait ouvrir une porte vitrée assez imposante qui était tout de même assez lourde à déplacer pour un courant d’air... Lorsque je revins de la cuisine et m'apprêtais à pousser la porte, celle-ci s’ouvrit soudainement par elle-même... Je n’en revenais tout simplement pas. Personne n’était en arrière car je pouvais tout voir à travers celle-ci. J’étais littéralement figé sur place. Puis, je me décidai finalement à avancer et lorsque je traversais le cadre de porte, j'aperçus alors mon confrère regardant dans ma direction avec stupéfaction. L’ambiance était indescriptible ; pas un bruit mis à part la porte qui s’ouvrait d’elle-même. Je me tournais alors rapidement afin de voir ce qu’il regardait mais malheureusement, ce qu’il regardait avait disparu... Je retournai vers la réception avec un pouce de chair de poule sur le corps...
    Lorsque mes ...esprits... revinrent au calme, il me raconta ce qu’il avait vu et je regrette vraiment de ne pas l’avoir aperçu de mes propres yeux. Il avait vu le spectre de la jeune fille et, apparemment, elle était très jolie dans sa longue robe de nuit blanche flottant dans le silence de la nuit... J’étais vraiment déçu.
    Nous passâmes alors le restant de la nuit à parler de cet événement ainsi que des esprits en général. Puis, des jours et des semaines s’écoulèrent sans qu’aucune autre manifestation ne vienne raviver le souvenir de la présence de cette charmante jeune fille à la robe blanche...
    J’ai analysé et ré-analysé ces événements et je crois qu’ils appartiennent vraiment au monde du paranormal. Que ce soit ce ‘fantôme’ ou mon confrère de travail qui ait provoqué ces événements, les deux possibilités ne sont pas à la portée du commun des mortels.
    Aussi longtemps que je vivrai, je me souviendrai "vividement" de mon été 1982; ma première rencontre du 3ième type avec le paranormal…

    Histoire de fantômes
    par Yves Baril
    20 juillet 1997
    Ce qui suit est une histoire véridique et elle m'a été racontée par un ami digne de confiance. Je le crois entièrement et je vous expliquerai pourquoi à la fin du récit.
    Cela se passe en 1990 lors d'un voyage d'affaires en France. L'ami en question réside dans une petite commune de la Dordogne appelée Lalinde. Lors d'une promenade nocturne près du cimetière, cet ami se met à blaguer avec un confrère de travail sur les forces occultes et le monde des esprits. Un peu après minuit, seul le croassement des grenouilles vient perturber le silence de la nuit. Fatigués, les deux comparses décident donc de retourner à leur chambres respectives qui se trouvent dans deux édifices différents séparés par environ 1/2 kilomètre. Ils se disent donc bonsoir en se donnant rendez-vous pour le déjeuner. Mon ami se mit donc à marcher d'un pas rapide dans une petite rue déserte. Il perdit instantanément de vue son confrère de travail lorsque celui-ci s'éloigna dans l'ombre des grands arbres qui longeaient la rue principale. Puis, quelque chose de bizarre se produisit.
    En arrivant sous un lampadaire, celui-ci s'éteigna soudainement. Il fut surpris mais il se dit que ça n'était qu'une coïncidence. Puis, en arrivant au lampadaire suivant, celui-ci s'éteigna également... La chair de poule (lire ici LA PEUR !!!!) s'empara rapidement de lui et il se mit à courir jusqu'à sa chambre...
    Lorsque enfin arrivé sur le seuil de la porte, il regarda derrière lui mais ne vit rien d'anormal. Une fois à l'intérieur, rien d'anormal non plus et après s'être convaincu de ne pas téléphoner à son ami pour lui raconter ce qui venait de se produire, le sommeil commença à s'emparer graduellement de lui.
    Environ une heure après s'être endormi, il fut soudainement sorti de son sommeil par quelque chose. Il regarda rapidement autour de son lit mais ne vit rien de particulier jusqu'à ce qu'il lève les yeux au plafond. Il aperçu alors une masse vaporeuse sombre se glisser de gauche à droite de la chambre jusqu'à ce qu'elle disparaisse à travers le plafond. Cette masse n'avait ni corps ni tête proprement dit. Elle ressemblait à un nuage sombre d'été. À ce moment, mon ami cru que son coeur allait flancher et suite à cette apparition, inutile de vous dire qu'il n'a pas fermé l'oeil de la nuit...
    Ces événements se reproduirent pendant plusieurs nuits et cessèrent lorsqu'il retourna au cimetière pour s'excuser auprès de ceux qu'il aurait pu offenser par ses blagues. Il n'en parla évidemment pas à son confrère de travail qui l'aurait rapidement ridiculisé.
    Un fait intéressant : il ne s'était jamais senti menacé par cet ou ces entités qui lui ont rendu visite ! À une occasion, il a même passé sa main à travers l'une d'elles. L'impression était que ces entités voulaient seulement lui signifier qu'elles existaient et ce peut-être depuis fort longtemps...En effet, une visite rapide au cimetière (le jour...) révéla certaines pierres tombales qui dataient de plusieurs siècles.
    En conclusion, pourquoi est-ce que je crois sincèrement à cette histoire ??? Et bien parce que c'est ....moi qui ai vécu ces événements....et que je demeure disponible pour en discuter ouvertement.
    Qu'est-ce que c'était ??? Je ne peux pas répondre à cette question. Par contre, ça m'a servi une sacrée bonne trouille tout en m'inspirant respect face au monde des esprits.








    LE FANTÔME DE LADY BROWN

    26/04/2007 23:48

    LE FANTÔME DE LADY BROWN


    LE FANTÔME DE LADY BROWN, NORFOLK, ANGLETERRE
     
      
    La "Brown Lady" de Raynam Hall, Norfolk, Angleterre. On dit que ça serait l'esprit d'une femme nommée Dorothy Warpole qui aurait vécu à Raynam Hall. Elle aurait été vue pour la première fois en 1835, par une femme ayant vu passer une robe brune. C'est une des plus authentiques photos de fantômes. Histoire de la photo de fantôme la plus célèbre et crédible au monde. Ce fantôme aurait été observé plusieurs fois à Raynham Hall (Norfolk, Angleterre) au fil des ans. La demeure existe depuis le 17ème siècle, et appartient depuis toujours à la famille Townsend.
    En 1835, Lord Charles Townsend (ancêtre de Thomas Townsend Brown) invite diverses personnes à passer Noël à Raynham Hall. Parmi eux se trouve le colonel Loftus. Alors qu'il déambule sans sa chambre tard dans la nuit, il voit une étrange forme devant lui. Il tente d'y voir mieux, mais la forme disparaît rapidement. La semaine suivante, il rencontre à nouveau l'apparition, avec un ami nommé Hawkins. Il la décrira une femme noble portant une robe de satin marron. Son visage semblait luire, ce qui faisait ressortir ses orbites noires. Après que Loftus ait décrit son apparence, un artiste réalise une peinture, qui est accrochée dans une chambre que le fantôme semble fréquenter.
    Quelques années plus tard, le capitaine Frederick Marryat (mort en 1848) demande à dormir dans la chambre hantée — il étudie intensément le portrait qui s'y trouve — mais apparemment sans succès. Un soir qu'il discute avec deux jeunes invités, il parle du pistolet qu'il porte sur lui au cas où la "dame brune" apparaîtrait. Alors qu'ils reviennent vers leurs chambres par un couloir, ils font soudain face à une forme descendant les escaliers en leur direction et tenant une lampe. Marryat reconnaît la femme comme étant celle du portrait accroché dans sa chambre. Ils se réfugient derrière une porte et observent la femme. Ils remarquent qu'elle porte une robe brodée brune et l'observe passer à leur hauteur en les fixant d'une manière si diabolique qu'ils en sont terrorisés. Marryat sort alors de derrière la porte et tire sur la forme avec son pistolet. La balle passe à travers la figure fantomatique qui disparaît immédiatement. La balle sera plus tard retrouvée dans une porte derrière un endroit où on l'avait observée. En 1926, elle est vue par le fils de Lady Townsend et un de ses camarades.

    Le fantôme

    Si c'est bien d'un fantôme qu'il s'agit, son origine est assez difficile à trouver. La "Brown Lady" en question pourrait être Lady Dorothy Walpole, qui vécut à Raynham Hall. Son père refusa qu'elle se marie avec le Second Viscount Townshend, son premier amour.
    Plus tard, à la mort de la première femme de Townshend, Lord Townsend épousa Dorothy. Cependant, dans le même temps, Dorothy était devenue la maîtresse de Lord Wharton. En apprenant la conduite passée de sa nouvelle femme, il ordonna qu'elle soit enfermée dans ses appartements à Raynham Hall. Elle mourut à l'âge de 40 ans, le 29 mars 1726. Sa mort fut officiellement causée par la variole, mais nombreux pensent qu'elle mourut lorsqu'on lui brisa le coeur ou la nuque, après l'avoir poussée en bas du grand escalier. On pense que son fantôme parcourt toujours les escaliers à la recherche de ses cinq enfants qui lui furent aussi retirés par son mari après qu'il apprit son histoire. La "Brown Lady" n'a pas été revue depuis 1936. Sa photo sera reprise par de nombreux autres magazines et ouvrages divers. Elle est aujourd'hui considérée comme la photographie de fantôme la plus fiable dans le monde.

    La photo

    Le 19 septembre 1936 vers 16 h, deux photographes de grande réputation, Captain Provand et son assistant Indre Shira, sont en train de prendre des clichés du vieux hall historique de Raynham pour le magazine Country Life. Ils viennent de prendre un cliché.
    Tout à coup, Shira voit une forme brumeuse sur les escaliers, et lui demande s'il est prêt à prendre une photo. Provand répond "Oui" et enlève le cache de l'objectif, tandis que Shira presse le déclencheur pour le flash. La forme disparaît quelques secondes après. Provand ressort de dessous le tissu protecteur et demande la raison de tout ce tintouin. Shira explique qu'il a vu une forme d'ombre transparente sur les escaliers. Avant  de développer le négatif, Shira insiste pour qu'un observateur indépendant soit là pour vérifier l'évènement. Il court chercher un chimiste nommé Benjamin Jones, qui gère les locaux situés au-dessus du studio de développement. Trois témoins assistent donc au développement, qui révèle la fameuse image (ci-contre). Le 26 décembre suivant, la photo est publiée dans Country Life, avec le récit détaillé de ses circonstances.
    Par la suite, le négatif est examiné par des experts dans les locaux du Country Life. Ceux-ci concluent qu'il n'a été ni altéré, ni modifié.








    Le caveau hanté de la famille Chase

    27/04/2007 00:19

    Le caveau hanté de la famille Chase


    Pour plusieurs amateurs d'ésotérisme et de phénomènes paranormaux, La Barbade est le lieu « où les cercueils dansent ». Cette histoire des plus insolites prend ses racines sur la côte sud de l'île, là où se trouve le cimetière Christ Church. Ce cimetière contient le mystérieux tombeau de la famille Chase. Si, depuis près de 200 ans aucun humain n'y a été enterré, c'est pour une bien étrange raison. Entre 1811 et 1820, des phénomènes inexplicables ont laissé la population de cette île stupéfaite. Cette histoire provient d'une crypte très mystérieuse qui a marqué de façon définitive le folklore de La Barbade à tout jamais.

    Cette fameuse crypte mesure un peu plus de 12 pieds sur 6 (3,60 m x 1,80 m environ). La seule et unique entrée de la crypte était une énorme pierre de marbre bleu qui pesait environ 450 kg. Une fois fermée, la tombe était pratiquement impénétrable. L'histoire commence au XVIIIe siècle lorsqu'une riche famille de planteurs, les Walronds, font tailler dans le roc corallien du cimetière un caveau pour leur famille. Une dame du nom de Thomasina Goddard, morte en 1807, y fut enterrée. L'année suivante cependant, ils cédèrent le tombeau à une autre famille de planteurs, la famille Chase. Cette année là, la jeune Mary Ann Chase, âgée de deux ans, était morte d'une des maladies infantiles si fréquentes à l'époque. Pendant les quatre années suivantes, le tombeau resta scellé. C'est le 6 juillet 1812 que la crypte fût ouverte de nouveau pour y placer le cercueil de la petite Dorcas Chase, la soeur aînée de Mary Ann. La population murmurait que la jeune enfant s'était laissée mourir de faim pour échapper à la tyrannie de son père, l'honorable Thomas Chase qui, semble t-il, ne méritait pas du tout son titre honorifique. À peine un mois plus tard, ce dernier suivait sa fille dans la tombe.

    Le jour de son enterrement, après avoir enlevé l'énorme dalle qui protégeait l'entrée du tombeau, les esclaves qui faisaient office de fossoyeurs descendirent dans la crypte pour y placer le cercueil de Thomas Chase. Cependant, ils ressortirent en toute hâte. Ils refusèrent obstinément de redescendre à l'intérieur, ce qui troubla la cérémonie. Le pasteur de Christ Church, le révérend Thomas Orderson, entra dans la chambre funéraire pour voir ce qui avait bien pu terroriser les esclaves pour que ces derniers préfèrent être punis plutôt que de redescendre faire leur devoir. Le révérend fut lui aussi saisi d'une peur panique. Les deux imposants cercueils de plomb des fillettes Chase avaient été déplacés. Ils avaient été mis debout, la tête en bas. Celui de Mrs. Goddard avait été posé sur le coté contre une des parois. On crut à une violation de sépulture de la part des esclaves qui étaient agités depuis quelques temps. On remit donc les cercueils à leur place et plaça celui de Thomas Chase, un cercueil de plomb énorme qui demandait 8 hommes pour le déplacer, dans la crypte. Ils replacèrent par la suite le lourd bloc de marbre qui scellait la tombe.

    Quatre années passèrent avant qu'un nouveau décès, celui du jeune Samuel Brewster Ames, permit d'ouvrir la mystérieuse tombe de nouveau. C'était le 25 septembre 1816. Cette fois encore, on souleva l'énorme dalle de marbre pour ouvrir l'entrée et le révérend fût le premier à y descendre. Une fois encore, quelqu'un ou quelque chose avait changé les cercueils de place. Cependant, personne n'avait tenté d'ouvrir les cercueils: le vol n'était donc pas la cause de la violation de sépulture. Le très lourd cercueil de Thomas Chase était dans le coin de la sépulture opposé à celui où il avait été placé quatre années auparavant. Les autres avaient aussi été déplacés. C'était le désordre le plus total. Après que les esclaves aient tout replacé, le pasteur et le secrétaire du gouverneur de l'île, le major Finch, examinèrent le caveau et n'y remarquèrent rien d'insolite. Le mystère restait entier. Le corps du jeune Ames fut donc placé auprès des autres et ils refermèrent le tombeau une fois de plus, le scellant de nouveau avec la lourde pierre de marbre. Ils démontèrent ensuite le chevalet qui servait à déplacer la dalle et, à titre d'expérience, huit hommes de solides constitution tentèrent en vain de déplacer la dalle. Elle ne bougea d'un poil. La famille rentra donc à la maison...

    Huit semaines plus tard, l'occasion se présenta à nouveau d'ouvrir le tombeau. Le père de Samuel, avait été tué par des esclaves durant une révolte. Le grand chevalet fut donc mis en place et, après d'énormes efforts d'une douzaine d'esclaves, l'entrée fût de nouveau ouverte. Les phénomènes étranges qui s'étaient produit avaient beaucoup fait parler, donc il ne fallait pas se surprendre qu'un nombre important de curieux s'étaient rassemblés pour voir si l'événement insolite s'était répété. Ils ne furent pas déçus. Le révérend descendit en premier, accompagné du gouverneur de l'île et d'un magistrat. Avant même que leurs yeux se soient habitués à la noirceur de la crypte, ils avaient déjà l'impression que quelque chose d'inusité s'était produit. Effectivement, 4 des 5 cercueils avaient été déplacés. Seul celui de Mrs. Goddard, un léger cercueil de bois en piètre état, n'avait pas changé de place. Les autres, qui étaient tous en plomb (par le fait même très lourds) étaient dans le plus grand des désordres.

    Le lendemain, les cercueils furent tous sortis de la crypte et des experts de l'époque inspectaient minutieusement la tombe. Ils vérifièrent et revérifièrent chaque centimètres de la sépulture en espérant trouver une trace d'infraction ou une entrée. Mais ils constatèrent qu'il n'existait vraiment aucun moyen d'accès autre que la porte principale. Pour accéder au caveau, il aurait donc fallu ériger un chevalet, tentative qui ne serait pas passée inaperçue. Il n'y avait aucune infiltration d'eau et il n'y avait eu aucune secousse sismique depuis la dernière ouverture du tombeau. Bref, ils ne découvrirent rien qui pouvait laisser croire que quelqu'un avait pénétré clandestinement la tombe. Ils replacèrent donc les cercueils à leurs emplacements originaux et cette fois, en plus de replacer l'imposante dalle, ils firent sceller cette dernière avec du ciment.

    L'histoire devint de plus en plus populaire. Elle fit non seulement le tour de la Barbade, mais elle se répandit dans toute les Antilles, et même jusqu'en Floride et aux Bahamas. Des curieux affluèrent à la Barbade pour voir l'énigmatique caveau des Chase. Des bateaux faisaient même des détours pour que leurs passagers puissent visiter le fameux cimetière. Les habitants de l'île, eux, attendaient le prochain enterrement avec impatience.

    Le 7 juillet 1819, c'était le tour de Thomasina Clarke, une amie de la famille, à y être la nouvelle occupante. Des représentants officiels du gouvernement examinèrent avec soin le ciment qui avait servi à sceller la dalle. Tout était en ordre. Cependant, les esclaves furent incapables d'enlever la dalle à leur premier essai. Des vérifications furent faite pour s'assurer que tout le ciment avait été correctement enlevé, mais ils durent enfoncer des coins de bois à coup de marteau pour bouger la dalle qui refusait de coopérer. Finalement, les esclaves réussirent à la soulever. Les témoins comprirent rapidement pourquoi la dalle était si difficile à déplacer; le cercueil de Thomas Chase avait été coincé contre cette dernière. Encore cette fois, les cercueils étaient sens dessus dessous. Une fois encore, ils furent sortis de la sépulture, laquelle fut encore totalement inspectée. Encore cette fois, aucune trace d'infraction nulle part, aucun indice... absolument rien qui pouvait expliquer les phénomènes insolites entourant la tombe. Tout fut remis à sa place et la tombe fut de nouveau scellée. Cette fois par contre, on scella le tombeau avec toutes les précautions scientifiques possible. Du sable blanc très fin fut placé sur la surface de la crypte et des sceaux de certains officiels furent imprimés dans le ciment qui scellait la tombe. Il était donc impossible d'ouvrir ce dernier sans endommager les marques. On prit note de chaque détail; de la position exacte des cercueils jusqu'à l'épaisseur du sable. On chargea même un membre de la police de venir vérifier l'état de la sépulture et de la dalle à chaque jour. Inutile de dire que la popularité du caveau des Chases augmenta considérablement après cet incident. De partout, des gens venaient pour voir cet insolite cimetière. C'était devenu l'objet de toutes les conversations et tout le monde était curieux de savoir quand le caveau serait ouvert la prochaine fois... et dans quel état il serait.

    Les mois passèrent et finalement, les autorités de la Barbade succombèrent à la tentation après que des témoins aient rapporté des bruits insolites provenant de la sépulture. C'est le 20 avril 1820 que le gouverneur de la Barbade, Mr. Combermere et plusieurs membres de son entourage ainsi que des différents professionnels inspectèrent religieusement le caveau avant de l'ouvrir. Aucune marque étrange ou irrégulière n'était visible. Cette fois cependant, ce sont les cercueils des enfants qui bloquaient le passage. Les officiels durent passer par-dessus pour inspecter le reste de la sépulture. Les lourds cercueils de plomb semblaient avoir été projetés dans tous les sens. Seul celui de Mrs. Goddard n'avait pas bougé. Le sable blanc était parfaitement intact. Le tombeau fut de nouveau totalement inspecté. Cette fois, on enfonça même des barres de fer dans la couche rocheuse afin d'y déceler d'éventuels tunnels...

    Absolument rien, encore une fois. Fatigué de toute cette histoire, le gouverneur fit enlever les cercueils du caveau Chase et les fit inhumer ailleurs. Ce dernier a été laissé ouvert et n'a jamais plus servi à aucune inhumation depuis lors.

    De nombreuses théories ont été avancées sur le sujet, mais le mystère reste entier. Semble t-il qu'il ait été impossible que ces très lourds cercueils de plomb aient été déplacés de façon naturelle. Sir Arthur Conan Doyle, le créateur du personnage de Sherlock Holmes, émit une hypothèse selon laquelle des forces surnaturelles déplaçaient les cercueils parce qu'ils étaient fait de plomb; ce métal empêchait la décomposition rapide des corps. Peut-être aussi que l'esprit de la jeune fille qui s'était suicidée ne voulait pas reposer éternellement à coté de son cruel père qui l'avait tant fait souffrir... Qui sait ? Une chose est sûre cependant, ils n'ont pas reposé en paix…








    Les fantômes d'animaux

    29/04/2007 22:35



    Source: http://www.dark-stories.com/animal_fantome.htm

    - LES FANTÔMES D'ANIMAUX -


    L’adieu de Bonika

    La sœur de Mlle Wera Krijanowski, Mlle Lubow Krijanowski, nous raconte le fait suivant, qui lui est arrivé, et qui se rapporte à la question si débattue de l’âme des animaux.

    Il s’agit d’un petit chien, qui était notre favori à tous. C’est d’ailleurs un peu à cause de cette affection et des gâteries exagérées qui en était la conséquence. L’animal tomba malade. Il souffrait de suffocation et toussait; le médecin-vétérinaire qui le soignait estimait que la maladie n’était pas dangereuse. Néanmoins, Wera s’inquiétait beaucoup; elle se levait la nuit pour lui faire des frictions et lui donner sa médecine; mais personne ne pensait qu’il pût mourir.

    Une nuit, l’état de Bonika ( c’était le nom du petit chien ) empira tout à coup; nous eûmes de l’appréhension et on résolut que, dès le matin, on irait chez le vétérinaire, car si l’on s’était contenté de le faire appeler, il ne serait pas venu nous voir.

    Donc, au matin, Wera et notre mère partirent avec le petit malade, moi je restai et me mis à écrire. J’étais si absorbée que j’oubliai le départ des miens, quand, tout à coup, j’entendis le chien tousser dans la chambre voisine. C’était là que se trouvait sa corbeille ( le petit lit du chien ) et, depuis qu’il était malade, à peine commençait-il à tousser ou à gémir que quelqu’un de nous allait voir ce dont il avait besoin, lui donnait à boire et lui présentait sa médecine, ou lui ajustait le bandage qu’il portait au cou.

    Poussée par l’habitude, je me levai et m’approchai de la corbeille; en le voyant vide, je me rappelai que maman et Wera étaient parties avec Bonika, et je restais perplexe, car la toux avait été si bruyante et si distincte qu’il fallait rejeter toute idée d’erreur.

    J’étais encore pensive devant la corbeille vide, quand, près de moi, se fit entendre un de ces gémissements dont Bonika nous saluait quand nous rentrions; puis un second qui semblait venir de la chambre voisine; enfin, une troisième plainte qui semblait se perdre dans le lointain. J’avoue que je restai saisie et prise d’un frémissement pénible; puis l’idée me vint que le chien avait expiré. Je regardai la pendule, il était midi moins cinq.

    Inquiète et agitée, je me mis à la fenêtre et j’attendis les miens avec impatience. En voyant Wera revenir seule, je courus vers elle et lui dit à brûle-pourpoint : « Bonika est mort. » « Comment le sais-tu ? » dit-elle, stupéfaite. Avant de répondre, je lui demandai si elle savait à quelle heure précise il avait expiré. « Cinq minute avant midi », me répondit-elle, et elle me raconta ce qui suit :

    Quand elles étaient arrivées chez le vétérinaire, vers onze heures, celui-ci était déjà sorti; mais le domestique pria instamment ces dames de vouloir bien attendre, vu que vers midi son maître devait rentrer, car c’était l’heure qu’il avait coutume de recevoir. Elle restèrent donc, mais comme le chien se montrait toujours agité, Wera tantôt le posait sur le divan, tantôt le mettait à terre et consultait le pendule avec impatience. A sa grande joie, elle venait de constater qu’il n’y avait plus que quelques minutes avant midi, lorsque le chien fut repris d’une suffocation. Wera voulut remettre le chien sur le divan; mais comme elle le soulevait, elle vit tout à coup l’animal ainsi que ses mains s’inonder d’une lumière pourpre si intense et si éclatante que, ne comprenant rien à ce qui arrivait, elle cria « Au feu !» Maman ne vit rien; mais comme elle tournait le dos à la cheminée, elle pensait que le feu s’était pris dans sa robe, et elle se retourna, effrayée : elle reconnut alors qu’il n’y avait pas de feu dans la cheminée, mais aussitôt après, on constata que le chien venait d’expirer, ce qui fit que maman ne pensa plus à gronder Wera pour son cri intempestif et la peur qu’elle lui avait faite.

    Article parut dans le volume VIII, p. 45, des Annales des sciences psychiques, reproduit d’un texte de la Revue Italienne Il Vessillo Spiritista.


    Un cochon d'Inde fantôme

    C'est par une belle journée du mois d'Août 1925 que le Major Wilmot Allistone décide de prendre quelques photographies de sa femme et de ses enfants.

    La photo de droite fut une des images que le major Allistone prit ce jour-là. Il eut la surprise de découvrir, à la place de l'ours en peluche que son garçon tenait à la main, le défunt cochon d'Inde de ce dernier. L'animal s'était fait dévoré par un chien quelques jours auparavant et personne ne semble en mesure d'expliquer sa présence sur cette photographie.

    Fantôme d'animal - Un cohon d'inde fantôme

    Bien que cette photo soulève la contreverse et que les opinions diverges quant à la claireté de l'animal fantôme et des possibilités de trucage. D'après les experts ayant analysés la photo, la thèse d'un trucage est peu plausible.

    Cette photographie d'un animal fantôme est l'une des plus populaire distribuées sur le net. Cependant, plusieurs autres images, plus ou moins éloquantes, ont également été présentées, mais pratiquement aucune d'entre elles n'excluaient les doutes de trucage.

     
     

     

    Apparition visuelle d’un chien fantôme

    Une seule fois, il m’est arrivé quelque chose de pareil à une preuve personnelle de la présence en esprit d’un animal que j’avais fort bien connu dans ma vie. Il s’agissait d’un petit terrier, grand favori de ma famille, qui, par la suite du départ de son maître, avait été donné à un de ses admirateurs, habitant à une centaine de milles de chez nous.

    Un an après, comme j’entrais un matin dans la salle à manger, je vis, à mon grand étonnement, la petite Morna qui courait en sautillant autour de la chambre et paraissait être en proie à une frénésie de joie; elle tournait, tournait tantôt en se fourrant sous la table, tantôt en faufilant sous les chaises, ainsi qu’elle était habituée à faire dans ses moments d’excitation et de joie, après une absence plus ou moins longue de la maison. J’en conclus naturellement que le nouveau maître de Morna l’avait conduite chez nous, ou que, tout au moins, la petite chienne était parvenue à retrouvée toute seule le chemin de son ancienne demeure. J’allai aussitôt questionner à ce sujet les autres membres de la famille, mais personne n’en savait rien; d’ailleurs, on eut beau la chercher partout et l’appeler par son nom, Morna ne se fit plus voir. On me dit donc que je devais avoir rêvé, ou, pour le moins, je devais avoir été victime d’une hallucination; après quoi, l’incident fut vite oublié.

    Plusieurs mois, un an peut-être se passa, avant qu’il nous arrivât de rencontrer le nouveau propriétaire de Morna. Nous lui en demandâmes aussitôt des nouvelles. Il nous dit que Morna était morte à la suite de blessures qu’elle avait reçues au cours d’une lutte avec un gros chien. Or, à ce que j’ai pu constater, le combat s’était passé à la même date, ou bien peu de temps avant le jour où je l’avais vu (en esprit) courir, sautiller, tourner autour de la salle de son ancienne demeure.

    Auteure : Mme E. d’Espérance
    Article publié par Light, le 22 octobre 1904, p. 511

     

    Le fantôme d’un Saint-Bernard qui peut ouvrir une porte

    Me permettez-vous de vous relater un petit fait qui touche aux manifestations parapsychologique. Il ne s’agit pas d’une personne, mais d’une bête… Un peu solitaire, aimant l’étude et non le monde, je n’ai pas d’amis; mais j’en ai eu un : c’était un chien. Ce chien était intelligent plus que bien des hommes. C’était mon gardien, lorsque la nuit je restais seul à contempler le ciel, il était fidèlement couché à mes pieds, son épaisse fourrure (c’était un Saint-Bernard) me couvrait les jambes, il m’était difficile de bouger lorsqu’il fallait suivre la marche d’une étoile. Si j’étais dans ma chambre et lisais, il restait assis me regardant, et je dirai même me comprenant. Je sentais qu’il aimait autant la solitude que moi, c’est pour cela que nous ne nous quittions pas.

    Je vous fais cet exposé pour que vous puissiez comprendre mon affection pour lui, et pourquoi je le considérais comme un ami. Voilà donc mon récit :

    C’était en décembre 1910, le 14 exactement, que ma mère emmena mon Boby avec elle. Je dois noter avant tout qu’il avait la désagréable habitude, lorsque que quelqu’un approchait, de se porter vers lui un peu trop bruyamment; en second lieu, que, lorsque je discutait avec mon père, il se mettait de la partie et tenait sérieusement de mon coté.

    Après avoir reçu une plainte, mes parents résolurent de le faire abattre, et ce, sans me prévenir.

    C’était un soir, à 19h30. J’étais dans ma chambre et j’entendis la porte s’ouvrir (il l’ouvrait seul, étant aussi grand que moi, il mesurait 1m80). Donc, j’entendis la porte s’ouvrir et vis apparaître mon Boby. Il resta, l’air souffrant, sur le seuil. Je disais : « Vient Boby! » mais il n’obéit pas. Je répétais alors mon ordre, il arriva. Il me frôla les jambes et se coucha sur le parquet; je voulus le caresser, mais… rien, il n’était plus là !

    Je me précipitai hors de ma chambre; la porte était restée ouverte; je téléphonai à Lausanne (2 km); je demandai le Clos d’Équarrissage, et voici textuellement quel a été notre dialogue :

    - Bonjour, Clos d’Équarrissage.
    - Avez-vous vu une dame habillée en noir avec un chien Saint-Bernard?
    - On vient d’en abattre un, il y a deux minutes à peine; il est couché et la dame est là!
    À ces mots, je tombai à la renverse et je m’évanouis. Lorsque je revins à mon état naturel, je demandai mon chien : il n’était pas là, il était mort.

    Telle est l’histoire de mon Boby; il est à remarquer qu’à la minute où il mourrait, je l’ai vu de mes propres yeux et, ce qui enlève tout le doute d’hallucination, c’est que la porte s’est ouverte d’elle-même.

    Auteur : M.G. Graeser
    Article publié dans les Annales des sciences psychiques (1912, p. 279)

     

    Une vision collective – Une dame blanche et son chien

    En ces derniers cinq mois, nous avons assisté aux manifestations spontanées les plus extraordinaires. Nous avons tous, dernièrement, écouté une voix qui nous appelait par notre nom en plein jour, et avons assisté aux apparitions répétées d’une dame blanche, un  fantôme féminin de haute taille, habillé de blanc, et que tous les membres de la famille purent voir, sauf moi, qui ai pu, par contre, en entendre la voix résonner, merveilleusement distincte, en présence de toute ma famille. L’apparition a été vue plusieurs fois collectivement par diverses personnes, presque toujours en bonne lumière, et quelques fois en plein jour. Deux fois, le fantôme a dialogué avec les témoins.

    Il y a une quinzaine de jours, ces merveilleuses manifestations ont atteint leur apogée par l’apparition en plein jour du fantôme vêtu de blanc, accompagné d’un chien. Un après-midi, ils ont été vus ensemble à deux reprises par deux différentes personnes successivement. Le même jour, le chien a été vu trois fois tout seul; une fois, quatre personnes l’ont vu collectivement; parmi elles, il y avait une fillette de deux ans, qui a couru derrière le chien-fantôme jusqu’au-dessous du lit, où il avait disparu. Tout cela se passait en pleine clarté du jour et ce fantôme de chien a été revu plusieurs fois depuis.

    Tout ceux qui l’ont vu sont d’accord pour décrire un chien terrier haut, blanc, avec une grosse tache noire irrégulière sur le dos, oreilles droites et courtes, queue droite. On remarqua, en outre, qu’il semblait secoué par un fort tremblement de tout le corps et que le poil de sa robe était plus court et plus luisant qu’il devrait l’être. Or, cette description correspond exactement à celle d’un chien qui m’appartenait et qui est mort il y a douze ans environ; j’en avais presque oublié l’existence. Aucune des personnes qui l’ont décrit ne l’avaient connu de son vivant et n’avaient même su qu’il eût existé. Ma tante ( puisque c’est son fantôme qui se manifeste ) est morte il y a six ans; elle avait beaucoup aimé le chien qui l’accompagne. Il est à remarquer que, mon chien était caractérisé par une exubérante vitalité, qui se manifestait par un violent tremblement qui secouait son corps chaque fois qu’on éveillait son attention. N’oublions pas que tous ces détails véridiques étaient absolument ignorés de ceux qui virent et décrirent le fantôme de l’animal.

    Je rappellerai aussi qu’avant sa manifestation, on avait entendu des aboiements et grattements caractéristiques, qui se produisaient en même temps que la dame blanche apparaissait; mais comme aucun de nous n’avait vu encore des fantômes animaux, ces manifestations auditives furent pour nous inexplicables, jusqu’au jour où l’apparition du chien vint éclaircir ce mystère.

    La signification théorique de ce mémorable évènement ressort d’une manière fort nette; c'est-à-dire qu’il tend à prouver ce que logiquement on devrait présumer, que l’esprit d’un chien, comme celui de sa maîtresse, peut survivre à la mort du corps.

    Auteure : Révérand Charles L. Tweedale
    Article publié par Light London, 1911, p. 101

    Le chien fantôme et son maître

    Surprenante photo d'un chien fantôme

    La photo à été prise par une photographe amateure, Madame Filson. Présentes sur la photographie, Lady Hehir et sa chienne Tara. Cependant, nous pouvons très facilement distinguer la présence d'un autre chien, donc la tête se retrouve près du postérieur de Tara.

    Madame Filson et Lady Hehir ont immédiatement reconnu la chienne terrier Kathal, qui était la compagne de jeux favorite de Tara. Kathal était morte quelques semaines avant la prise de la photographie, et son apparition est du moins, inexplicable. Nous ne pouvons distinguer qu'une tête de chien, très nette qui semble se tenir devant l'objectif.

    Le négatif d’une photo à été soumise au British College of Psychic Science en 1927, comme la photo du cochon d'Inde fantôme de la famille Allistone, aucun trucage n'a pu être découvert.
     

     Auteur: Ernest Bozzano
    Extrait: Les apparitions, les pouvoirs inconnus de l'homme, p. 30-37, Édition Tchou 1978








    3:27

    16/05/2007 23:23

    3:27


      Par Yves Baril

    Une personne dont je dois taire le nom et qui a appris que je m'intéressais au merveilleux monde de l'Ine-X-pliqué a daigné me raconter cette histoire qui serait digne de "PSI Factor"!
    Par un bel après-midi d'été en 1988, l'individu en question s'affaire à laver l'intérieur de son auto. Il est 3:00 p.m. pile lorsque celui-ci regarde l'horloge encastrée à l'intérieur du véhicule. Quelques minutes plus tard, vers 3:15 p.m., il sort de l'auto et entreprend de laver l'extérieur. Rien d'anormal pendant plusieurs minutes et puis, soudainement, une douleur l'assaille au ventre et le contraint à s'allonger sur la pelouse afin de laisser passer de violents spasmes douloureux.
    Voyant alors que la douleur tarde à passer, il se relève péniblement afin d'aller s'allonger à l'intérieur de sa maison. Il remarque alors l'heure sur l'horloge de l'auto et celle-ci indique 3:27 p.m. Une fois allongé sur le divan, il put enfin contrôler la douleur et il sombra alors dans un léger sommeil pendant une bonne vingtaine de minute. A son réveil, il se leva en ressentant une certaine fatigue mais il avait tout de même assez d'énergie pour compléter sa besogne de nettoyage. Rendu à l'extérieur, quelle ne fut pas alors sa surprise de constater des choses pour le moins bizarres...
    Lorsqu'il fut assailli par ses douleurs au ventre, il n'avait pas encore complété la partie de gauche de l'auto. Aussi, celui-ci se souvient très bien ne pas avoir eu le temps d'enlever une importante tache de boue vers l'arrière de la voiture. Lorsqu'il se pencha pour ramasser le seau d'eau qu'il avait laissé aux trois quarts plein, il s'aperçut que celui-ci était maintenant vide. Puis, en levant la tête, il remarqua que la partie gauche de l'auto était maintenant d'une propreté sans faille. Aucune trace de boue. Quelqu'un d'autre avait terminé le nettoyage et il se questionnait alors sérieusement sur l'identité du bon samaritain, car celui-ci habitait seul dans une région rurale où son plus proche voisin se trouvait à un kilomètre et demi de sa maison.
    Abasourdi et songeur, il revint alors à l'intérieur de la maison et le téléphone se mit à sonner. Sa mère était au bout du fil et elle lui annonça alors le décès de son oncle favori. Atterré par la nouvelle, il se mit à pleurer à chaudes larmes. Quelques heures plus tard, il se décide à aller rendre visite à sa mère. Il se dirige donc vers son auto et lorsqu'il entre dans celle-ci, il remarque immédiatement l'horloge qui indique 3:27 p.m. Probablement une défaillance de l'horloge se dit-il.
    Il n'accorde pas plus d'importance à l'horloge jusqu'à ce qu'il arrive chez sa mère et que celle-ci lui apprenne que son oncle est décédé à 3:27 p.m. d'une crise d'appendicite aiguë que les médecins n'ont pas pu diagnostiquer.
    Autre fait à noter, son oncle avait l'habitude de le visiter régulièrement et tous les deux passaient souvent l'après-midi ensemble à laver leur auto...
    Étrange, étrange...





    Le Fantôme du père

    16/05/2007 23:47

    Le Fantôme du père


     Par Yves Baril


    Une amie m’a raconté ses premières expériences avec le paranormal. Pour faciliter la rédaction, présumons que cette amie se prénomme Catherine. Assoyez-vous bien car ce qui suit vous donnera la chair de poule...et vous fera peut-être verser quelques larmes...Lorsque j’ai discuté avec elle de cette manifestation, elle se mit à pleurer à chaudes larmes pendant plusieurs minutes car l'événement en question s’est déroulé il y a de cela quelques mois seulement.Un soir, Catherine était paisiblement assoupie sur son canapé lorsqu’une détonation la réveilla brusquement. Elle se leva d’aplomb, alluma la lampe du salon et regarda rapidement autour d’elle sans rien n’apercevoir d’anormal. Sur le coup, elle crut qu’elle avait rêvé et elle retourna donc s’allonger. Elle éteignit la lumière et referma nerveusement les yeux.


    Soudainement, un craquement de portes ou de plancher attira son attention et ce qu’elle aperçut la pétrifia: elle vit la silhouette vaporeuse de son père flottant à deux pieds du sol passer à travers la porte de sa chambre à coucher. Celui-ci portait un habit et une cravate et il avait le côté droit de la tête ensanglantée. Prise de peur, Catherine recula instinctivement mais celui-ci s’avança lentement vers elle en lui souriant tendrement. Arrivé à quelques trois pieds d’elle et lorsqu’il vit que Catherine était sur le point de s’évanouir, il se dissipa lentement et Catherine perdit alors conscience sous l’intensité des émotions.Deux heures plus tard, la sonnerie du téléphone la sortit de son inconscience. C’était sa tante qui lui téléphonait afin de lui annoncer que son père s’était suicidé. Celui-ci s’était tiré une balle dans la tête et il avait été retrouvé au bureau par le concierge. Après quelques instants de lourd silence, Catherine rassembla le courage de demander à sa tante comment il avait exécuté son geste fatidique. Celle-ci lui expliqua les événements et en particulier que la balle avait défoncé sa tempe droite et que l'événement s’était produit il y avait de cela deux heures...Catherine pleura tout le restant de la nuit en suppliant alors son père de revenir la voir mais celui-ci ignora... temporairement... ses tourments.

    En effet, quelques jours après les funérailles soit à l’anniversaire de son père, Catherine se rendit déposer des fleurs sur sa pierre tombale. Quelle ne fut pas alors sa surprise, après quelques minutes de pleurs, de voir se rassembler devant elle la silhouette de son père et DE SA MERE décédée 2 ans plus tôt dans un tragique accident d’auto...... Les deux étaient admirablement vêtus de leurs vêtements de noces portés lors de leur mariage 30 années auparavant.... En effet, ils étaient en tout point identique à la photo que Catherine avait accrochée au mur en souvenir du 25ième anniversaire de mariage de ses parents. Ils arboraient tous les deux un immense sourire de bonheur. À ce moment, ses parents se tenaient à quelques pieds d’elle et les deux lui envoyèrent alors la main en lui signifiant leurs adieux. Avec un dernier sourire envers Catherine, les deux se prirent la main et s’évaporèrent doucement dans la nuit....

    C’était il y a 6 mois....

    Depuis ce temps, Catherine n’a pas revu ses parents sauf en rêves et dans les souvenirs qu’elle chérit dans son coeur. Cette expérience lui a aussi permis de comprendre pourquoi son père buvait autant tout en pleurait secrètement dans sa chambre. Le départ de son épouse l’avait profondément touché. Elle a compris que ce geste de désespoir était en fait un immense geste d’amour aussi tragique qu’il puisse paraître. Le seul regret de Catherine aura été de n’avoir jamais pu consoler son père dans ses dernières heures de désespoir mais la vie l’a voulu ainsi. Autant Catherine a eu de la difficulté à me raconter cet événement, autant j’ai eu de la difficulté à l’écrire. J’ai eu l’impression de vivre ses émotions au fil de chaque mot que j’écrivais.








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