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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 59 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    Coïncidence troublante par Lestat1975

    20/06/2007 00:47

    Coïncidence troublante par Lestat1975


    Je vous parler il y à quelques temps de coïncidence et de l'anniversaire de mon petit frère et de son cadeau, le livre "Amityville, la maison du diable" .

    Cela m'à rapeller après coup d'une concïdence qui celle la n'à rien a voir avec ce livre mais qui est beaucoup plus étonnante.
    Cela ce passer pendant l'été 1986, j'allais avoir 11 ans, je devais partir en Belgique, à Bruxelles pour être plus précis, avec mon oncle et ma tante qui vivaient là-bas depuis longtemps. Ils devaient descendrent dans le sud de la France (Gard) pour voir de la famille, notamment ma mère (la soeur de mon oncle), ainsi qu'une partie de la famille de ma tante et en profiter pour me ramener avec eux a leur retour en Belgique. J'était heureux de partir là-bas retrouver mes cousins, que je n'avais malheureusement pas souvent l'occasion de voir. Mais avant d'aller à Bruxelles nous devions nous arreter quelques jours chez des amis à eux aux alentours de Paris. Ces personnes étaient très gentilles et ils avaient en plus des enfants, donc je pouvais m'amuser, c'était cool (D'ailleurs je m'en souvient très bien malgré les vingt années qui se sont écoulées). Un jour, alors que j'étais en train de jouer avec les deux enfants (un garçon et une fille), la fillette ouvrit le tiroir de la table qui était dans sa chambre pour me montrer je ne sais plus trop quoi, et là je tombe sur une photo d'une personne que je connaissais très bien...j'en rester bouche bée comme on dit...troublé et exité je lui dit "je le connais !! c'est CHABERT !!" (Chabert était son nom de famille, les enfants s'appellent souvent par leurs noms de famille, avez-vous remarquez ?) Chabert était un de mes camarades de classe de l'école ou j'ai effectué une partie de ma scolarité dans les années 80, dans un petit village des Cévennes. La fillette était aussi surprise que moi...elle avais l'air de me croire ce qui est assez rassurant. Elle descendit les escaliers en courant pour le dire à sa mère. Celle-ci aussi parut très surprise, elle n'avais plus de contacts avec les parents de Chabert et leurs enfants depuis très longtemps. A notre départ la mère me confis une lettre à remettre au fils Chabert pour ses parents à mon retour de Belgique.

    Cette histoire est assez incroyable je trouve...comment est-ce possible, d'aller dans un endroit inconnu, à des milliers de Kilomètres de chez moi et de trouver dans un tiroir une photo d'une personne que je vois presque tout les jours ??!! Coïncidence ? Ce qui est encore plus bizarre c'est que les parisiens ne connaissaient pas du tout la région ou j'abiter, ni que la famille Chabert vivait là-bas. Et comment connaissaient-ils les Chabert ? Peut-être que les Chabert vivaient près de Paris avant de venir ici, surement car il n'avais pas du tout l'accent cévenol. Enfin bon, cela ne change absolument rien au côté bizaroïde de cette histoire. Et puis je n'est pas penser à leur demander plus de détails sur leur rencontre. (surement que mon côté Agent Mulder n'étais pas encore très développé... LOL) J'ai bien essayer de chercher une explication mais je n'en est jamais trouver.
     






    Les hommes qui virent l'abominable homme des neiges

    21/06/2007 00:45

    Les hommes qui virent l'abominable homme des neiges


    Au cours de la décennie qui suivit la Seconde Guerre mondiale, Slavomir Rawicz, un réfugié polonais vivant en Angleterre, raconta ses aventures dans "La longue marche". Dans son livre, il prétend qu'avec six camarades il s'est échappé d'un camp de prisonniers en Sibérie et a parcouru à pied 3000 Kilomètres pour retrouver la liberté. Pendant cette marche épuisante vers l'Inde ils traversèrent l'Himalaya. C'est là qu'un jour de mai 1942, ils virent, dit-il, deux Yétis massifs.

    "Ils mesuraient presque 2,40 mètres et se tenaient debout, écrivait Rawicz. Leur tête était carrée, les épaules tombant franchement sur une large poitrine et de longs bras dont les poignets arrivaient aux genoux." L'un était légèrement plus grand que l'autre ; Rawicz et ses camarades en déduisirent qu'il y avait un mâle et une femelle. Les créatures inconnues regardèrent les hommes mais parurent complètement indifférentes. Malheureusement pour les rescapés, ils étaient au milieu du chemin le plus naturel pour continuer la descente et les hommes répugnaient à s'approcher beaucoup plus près en dépit du manque apparent d'intérêt des yétis. Finalement les rescapés partirent dans une autre direction.

    Derrière eux, les yétis observèrent leur retraite avec un désintérêt évident puis se détournèrent pour regarder le magnifique paysage.






    Sanju Bhagat et son frère jumeau

    24/06/2007 15:48

    Sanju Bhagat et son frère jumeau


    Nous sommes au mois de juin 1999. Sanju Bhagat depuis tout petit est gêner à cause de son ventre qui a toujours été assez gros. Mais par cette nuit de juin sa vie va basculer...
    Son ventre avait atteint de telle proportion qu’il dut être emmené à l’hôpital étant donné que les douleurs l’empêchaient de respirer. A première vue les médecins ont tout de suite pensé à une tumeur. Tout de suite au vue de la taille ils pensaient déjà aux différents problèmes et difficulté pour l’extraire.L’opération commença rapidement et après avoir enlever une quantité impressionnante de liquide ils tombèrent sur quelque chose de terrifiant.Rapidement le médecin tomba sur ce qui semblait être une main, il fut presque horrifié. En continuant il mit la main sur des os, des morceaux de membres, ce qui était à l’intérieur de son corps avait des mains des pieds et des ongles déjà bien formé.En fait à l’intérieur de cet homme s’était développé le fœtus de son frère jumeau. Même si le cas est très rare il a continué à se développer dans le ventre de son frère s’étant accroché aux organes et s’était mis à se nourrir en parasitant l’intérieur de cet homme de trente six ans. Il atteignit finalement un stade trop gros et commença à nuire à son hôte.D’après la médecine moins de quatre vingt dix cas de ce genre ont été enregistrer dans la littérature médicale...

      






    Le lama de Bouriatie retrouver intact 77 ans après sa mort

    24/06/2007 16:21

    Le lama de Bouriatie retrouver intact 77 ans après sa mort


    La science se penche sur le corps intact d'un lama mort en 1927 
     
    MOSCOU (AFP) - Ni déshydraté, ni momifié, le corps d'un grand lama bouriate mort en 1927.
    Des recherches scientifiques poussées ont commencé en Russie sur le corps d'un lama de Bouriatie (Sibérie), qui reste parfaitement intact 77 ans après sa mort, a annoncé mardi à Moscou un médecin légiste...
    Le corps de l'ancien dirigeant des bouddhistes russes, a été exhumé en 2002 - conformément à son testament, où il affirmait son immortalité -, mais les recherches, autorisées par les dirigeants religieux, n'ont commencé qu'en novembre 2004, a déclaré Viktor Zviaguine, chef du département d'identité judiciaire au Centre des expertises médico-légales de Moscou, au cours d'une conférence de presse. Assis en position de lotus, vêtu de ses habits sacerdotaux, le lama se trouve dans un monastère de Bouriatie, dans la région du lac Baïkal. "Il s'agit d'un phénomène pour lequel la science actuelle n'a pas de nom", a ajouté l'expert. Le corps, qui a passé 75 ans dans un cercueil, ressemble toujours à celui d'une personne morte 36 heures plus tôt, selon lui. Son cas n'est pas absolument inédit, a reconnu M. Zviaguine. Des corps trouvés récemment dans le Caucase de Nord, datés d'abord d'il y a quelques années, ont finalement été identifiés comme des morts du XVIIIe siècle. Mais ces dépouilles, comme d'autres, découvertes dans les Alpes (le célèbre "Iceman"), au Danemark et en Chine, sont plutôt des exemples de momification sous l'effet de l'environnement (la tourbe ou la glace, notamment). Dans le cas du lama bouriate, il ne s'agit ni de changement dans la composition chimique du corps ni de déshydratation. Le chef actuel des bouddhistes russes, le lama Aïouchéïev, a autorisé une analyse de fragments de tissus du corps qui doit permettre, avec des méthodes scientifiques modernes, d'essayer de comprendre ce phénomène. Maintenant, a indiqué M. Zviaguine, on attend la permission de faire la tomographie du corps, pour définitivement déterminer s'il est mort ou vivant. Pour le peuple bouddhiste bouriate, le lama n'est pas mort, mais se trouve en état de nirvana, et il revient conformément à sa promesse, à un moment où le bouddhisme est en train de renaître en Russie, a déclaré Mme Ianjima Vassilieva, directrice de l'Institut Lama Itiguelov, récemment créé à Oulan-Oudé, la capitale bouriate. Le dalaï lama, leader mondial des bouddhistes, estime d'ores et déjà que le lama Itiguélov se trouve encore en état de méditation, en voie vers le nirvana. Pour les chefs bouddhistes russes, il est déjà un saint, un Bouddha réincarné. Le lama Dacha-Dorjo Itiguélov, dont le nom peut être traduit par "le soleil et le diamant de la foi", est né en Bouriatie en 1852. Pour les bouddhistes, il était une réincarnation de leur premier khamba-lama (chef de l'église bouddhiste locale), mort au XVIIe siècle. Proclamé khamba-lama XII en 1911, Itiguélov jouissait du respect du tsar Nicolas II. Après la Révolution d'octobre 1917, il s'est trouvé isolé dans un monastère en Bouriatie. Juste avant sa mort en 1927, le khamba lama a prédit une terrible persécution des bouddhistes par les Soviétiques, et a demandé à ses fidèles de retrouver son corps, mis dans un cercueil de bois en position de lotus, 30 ans plus tard. Exhumé pour la première fois en 1955, puis à nouveau en 1973, le corps du lama a été placé de façon permanente dans un temple en 2002, l'année où il avait promis de revenir vers ses élèves.

    Source:  La Grande Époque

     








    Quelques dates d'apparition de Nessie

    Le Loch Ness

    1880

    Un plongeur nommé Duncan McDonald tomba sur la bête alors qu'il essayait de récupérer un bateau endommagé sur le Loch Ness. "Je travaillais sous l'eau, dit-il, quand tout à coup le monstre nagea près de moi aussi détendu et calme qu'on pouvait le souhaiter. Il ne fit pas attention à moi, mais j'aperçus l'un de ses yeux quand il me dépassa. Il était petit, gris et sinistre. Je n'aurais pas aimé lui déplaire, ni le mettre en colère par quoi que ce fût." A cette époque, l'opinion générale était que Nessie, bien que d'aspect affreux et de mauvaise humeur quand elle était irritée, n'avait pas coutume de déranger ni d'effayer les gens.

    le 22 juillet 1933

    Il était quatre heures de l'après-midi le 22 juillet 1933 ; Mr. et Mrs. George Spicer rentraient à Londres en voiture après un circuit dans les Highlands, en Ecosse. Ils étaient à mi-chemin entre les villages de Dores et de Foyers sur la rive sur du Loch Ness quand Mrs. Spicer remarqua soudain quelque chose qui sortait des hautes fougères à flanc de colline.
    Elle poussa un cri et ils virent avec horreur un long cou onduleux, suivi d'un corps pesant, se traîner hors des fougères, sur la route. Il était gris foncé comme un éléphant. Mr. Spicer déclara qu'il ressemblait à un énorme escargot surmonté d'un long cou. Il avait une tête minuscule pour son énorme taille - 7 à 9 mètres de long - et tenait dans sa gueule ce qui ressemblait à un agneau. Il semblait se dandiner sur des nageoires pendant que les Spicer, qui n'en croyaient pas leurs yeux, le contemplaient. Il ne fit attention à eux bien que Mr. Spicer eût freiné brutalement et bondi sur la route. Il descendit la berge vers le lac et disparut dans les eaux jusque-là calmes et tranquilles au milieu d'un éclaboussement. L'incroyable créature ne laissa aucune trace sur la route - simplement un homme et une femme qui se regardaient étonnés, sans voix et très éffrayés.


    Le 22 mai 1933

    L'hôtelier John Mackay aperçut le serpent lacuste le 22 mai 1933. Il déclara qu'il vit la bête lacuste faire "bouillonner et écumer" l'eau en dressant de façon grotesque sa petite tête. Bien que Mackay ait devancé les Spicer de deux mois pour rencontrer Nessie, ce fut l'histoire de George Spicer qui fut la plus écoutée et la plus crue dans les milieux profanes.

    Le 12 novembre 1933

    Ce fut ce jour là Que Mr. Hugh Gray prit une photo devenu célèbre depuis. Elle fut tout d'abord publiée dans le journal écossais Daily Record, puis reproduite dans le monde entier. C'était la confirmation complète dont avaient besoin les admirateurs de Nessie. Selon les déclarations de Gray, il marchait sur le rivage du Loch Ness près de Foyers, appareil photographique en main, quand, de son observatoire, une falaise de 10 mètres de haut, il vit l'eau calme à ses pieds "exploser dans une grande agitation". Une énorme forme émergea en face de lui et un long cou se dressa. Durant les quelques secondes que le monstre fit surface, Mr. Gray prit rapidement cinq clichés. En raison des embruns qu'il avait projetés, on ne distinguait pas nettement cet "objet de grandes dimensions". Par la suite, quatre des cinq négatifs se révélèrent vierges. Le bon négatif fut montré à des experts de la société Kodak qui certifièrent qu'il n'avait été en aucune manière retouché - et, une fois de plus, seuls les zoologistes de métier restèrent insatisfaits. Mrs. J.R. Norman, du British Museum, déclara : "Les possiblités se réduisent à ce que cet objet soit un Hyperoodon, un requin de la plus grande espèce, ou une simple épave." Le professeur Graham Kerr, de l'université de Glasgow, considérait que la photographie n'était pas "convaincante de l'existence d'une créature vivante".

    1934

    Un huissier du coin, Alexander Campbell, retint l'attention en 1934 quand il raconta son histoire de Nessie. Selon ses dires, il était parti pêcher dans un bateau à rames avec deux amis quand "une masse gris sombre en forme de rocher" s'éleva de l'eau, y resta un moment, puis plongea sans produire autre chose que quelques rides (Campbell fut tenace sinon logique. En 1958, il dit que Nessie lui était encore apparue, mais cette fois elle provoqua un "petit raz de marée" qui l'envoya faire une culbute dans le lac).

    Avril 1934

    Puis en avril 1934 arriva la fameuse "photo du chirurgien" prise par un chirurgien londonien nommé Kenneth Wilson. Il avait monté un téléobjectif sur son appareil photo car son passe-temps était de photographier les trains. Tandis qu'il se dirigeait en voiture vers le sud après les vacances dans le nord de l'Ecosse, il s'arrêta à 7h30 du matin et descendit se dégourdir les jambes. Il se trouvait sur une pente à environ 60 mètres au-dessus de la surface du Loch Ness, quand soudain il vit l'eau commencer à tourbillonner et remarqua que "la tête de quelque étrange animal se dressait". Il courut vers sa voiture et revint avec son appareil photo de format trois quarts et pris rapidement quatre photos. Sur deux d'entre elles, il n'y avait rien, mais l'une montrait le long cou arqué du monstre et la dernière révélait sa petite tête disproportionnée sur le point de disparaître dans l'eau. Les photos de la tête et du cou parurent dans le Daly Mail à Londres. Comme souvent dans le passé le public manifesta de l'intérêt, mais les autorités restèrent sceptiques.

    été 1934

    Un scieur de Glendoe vit Nessie à 9 heures du matin cet été-là. Il signala 12 bosses, "chacune de 30 cm, hors de l'eau". Il disait dans un article du Scotsman, daté du 6 juillet 1934 : "Le jour était si clair que je pouvais distinguer les gouttes d'eau qui retombaient quand le monstre s'ébrouait. Il atteignit Glendoe Pier et sortit son cou hors de l'eau à l'endroit ou un torrent se jette dans le Loch. En fait, il ne vint pas à terre, mais semblait chasser près du bord, et je ne peux pas comprendre comment il pouvait se déplacer sans l'aide de nageoires ou de pieds."

    Le 4 février 1954

    Le témoin, Mr. David Slorach, racontait ce qui lui était arrivé en conduisant pour se rendre à un rendez-vous d'affaires à Inverness dans la matiné du 4 février. En regardant à droite pour admirer la vue sur le Loch Ness, il vit quelque chose d'inhabituel dans l'eau. Sa forme lui rappelait "un bibelot amusant, populaire à une certaine époque : un chat de porcelaine au long cou". "La chose" qu'il avait en face de lui y ressemblait tout à fait en ce qui concernait le cou et la tête. "Une oreille flasque recouvrait la place présumée de l'oeil et quatre panaches noirs pendaient dans le cou...La chose fendait l'eau à vive allure, laissant un énorme sillage derrière elle. Je ralentis à 60 Kilomètres/heure environ,  mais la chose fonçait en avant et le perdis bientôt de vue derrière un bouquet d'arbres."

    août 1962

    L'écrivain et journaliste F.W.Holiday était passionné par l'énigme de la bête ou du monstre du Loch Ness depuis 1933 quand il avait 12 ans. Un matin, vingt-neuf ans plus tard, en août 1962, il s'installa sur le flanc d'une colline près de Foyers et armé de jumelles il attendit l'apparition du monstre. Il décrivit la suite dans son livre "La grande bête du Loch Ness". $
    "A une douzaine de mètres environ dans le Loch, en face du bief, un objet fit une apparition soudaine. Il était noir, brillant et rond, et dépassait la surface d'environ un mètre. Il plongea aussitôt de nouveau avec violence et produisit une énorme lame de fond. Une immense vague circulaire se propagea vers moi comme si un hippopotame avait plongé...juste en dessous de la surface, je discernais une forme. Elle était épaisse au centre et mince aux extrémités ; sa couleur, une sorte de gris noirâtre...Quand un souffle d'air fortuit toucha la surface, elle disparut au milieu d'une myriade de rides ; mais quand l'eau se calma, elle était toujours là. A en juger par la largeur du bief, elle mesurait de 12 à 14 mètres de long."

    Le Monstre du Loch Ness ressemblerait à ceux-ci

    Le 19 octobre 1962

    Mr.James, fondateur de l'Office d'enquête sur les phénomènes du Loch Ness, déclara aux spectateurs lors d'une émission télévisé,  que sa veille avait été fructueuse. Il dit :
    "Le 19 octobre 1962, au milieu de l'après-midi, nous avions sept personnes à Temple Pier et soudain chacun fut alerté par une grande activité des saumons. Au bout de quelques minutes, les saumons commencèrent à paniquer, zigzaguant au milieu du Loch - et immédiatement nous constatâmes qu'un objet suivait les saumons ; chacun d'entre nous put le voir pendant pratiquement trois ou quatre minutes."

    Le 28 août 1968

    Une équipe du Département d'électronique appliquée de l'université de Birmingham installa un sonar sur le Loch à l'extrèmité de l'un des appontements. L'antenne était pointée sur le coin sud-ouest et selon l'écrivain Holiday les savants obtinrent un "sensationnel succès". Une caméra photographiait l'écran du tube cathodique toutes les dix secondes, mais pendant quelques jours on ne vit rien d'intéressant. Puis à 4h30, dans l'après-midi du 28 août se produisit une séquence remarquable de 13 minutes. " Un gros objet s'éleva rapidement du fond du lac à une distance de 800 mètres, sa vitesse ascensionnelle étant de près de 30 mètres par minutes, écrivit Holiday. Il s'élevait en oblique par rapport au sonar avec une vitesse d'environ 6,5 noeuds et fut bientôt à 1 Kilomètre de distance. Cet objet changea alors de direction pour se rapprocher de l'appontement à 9 noeuds en gardant la même immersion.

     

    Finalement, il plongea vers le fond à environ 30 mètres par minutes avant de remonter de nouveau à une distance de 600 mètres quand il sortit, apparemment, du faisceau du sonar et fut perdu pour l'enregistrement. Pendant ce temps, un second gros objet avait été détecté à 500 mètres de l'appontement qui plongea finalement à la vitesse fantastique de 135 mètres à la minute. Les deux objets restèrent en immersion à plusieurs mètres de profondeur."
    L'un des chefs de cette équipe, le Dr H. Braithwaite, écrivit plus tard un article sur cette recherche au sonar ou il déclarait : "Les taux élevés de descente et de montée rendent très improbable que les objets aperçus aient été des bancs de poissons, et des spécialistes de la pêche que nous avons consultés ne peuvent pas indiquer de quels poissons il pourrait s'agir. Il est tentant de supposer qu'il s'agissait peut-être des fabuleux monstres du loch Ness observés aujourd'hui pour la première fois dans leurs ébats sous-marins."








    La mangouste qui parlait

    02/07/2007 00:01

    La mangouste qui parlait


    Le cas le plus étrange qui le consacre (Harry Price chasseur de fantômes) au comble du ridicule porte sur un animal baptisé Gef, une mangouste soi-disant dotée du don de la parole ! L’affaire commence en 1931 dans une ferme de montagne sur Isle of Man, une île située au large de la côte de Lancashire, au Nord-Ouest de l’Angleterre. D’après la famille Irving qui vit à Crashen’s Gap, cette espèce de belette se nourrit de lapins et parle plusieurs langues, imitant même d’autres animaux ou racontant des contes aux enfants. Price part enquêter sur cette légende en compagnie de R.S. Lambert, l’auteur d’une célèbre émission de radio de l’époque, The Listener, mais l’animal refuse de communiquer. Price fait néanmoins le lien avec Voirey Irving, une jeune fille de 13 ans dont la présence semble contribuer aux manifestations de la mangouste parlante. Le détective de l’étrange ne parviendra pas à détecter la moindre trace de supercherie. Et l’implication de Lambert dans cet échec lui vaudra son licenciement par la BBC. Un autre enquêteur du nom de Nandor Fodor se risque à interroger de nombreux témoins sur le phénomène, sans plus de succès. Il en conclura que la mangouste pourrait très bien avoir appris à parler comme un perroquet ! Quoi qu’il en soit, le cadavre d’un animal ressemblant étrangement à Gef est aperçu quelques années plus tard. Encore aujourd’hui, son fantôme continue de nourrir les superstitions locales.






    Une mutation : devenir loup

    02/07/2007 15:41

    Une mutation : devenir loup


    Un indien d'Amérique et ses trois enfants vivaient seuls dans la forêt à l'écart de leur tribu. Sur le point de mourir, l'homme fit promettre à son fils aîné et sa fille de veiller sur leur frère cadet.

    Mais très vite le frère aîné commença à avoir la nostalgie de la tribu. Il le dit à sa soeur qui reconnut qu'elle aussi se sentait bien seule. "Mais souviens-toi de ce qu'a demandé notre père, dit-elle. Allons-nous abandonner le petit ?" Malgré ce rappel, le garçon partit. Lassée de faire son devoir, la fille elle aussi abandonna son petit frère et se mit en route pour leur ancienne demeure.

    Elle trouva son frère aîné marié et heureux et décida bientôt de rester au village avec lui. Le petit frère attendit en vain son retour. Il eut faim et froid. Il ne sortait en rampant que la nuit pour manger ce que les loups lui avaient laissé. Bientôt, n'ayant pas d'autres amis, il rechercha leur compagnie et ils furent bons pour lui.

    Un jour, le frère aîné pêchait sur le lac dans son canot. Il entendit la voix d'un enfant qui chantait : "Frère, frère ! Je suis en train de devenir un loup !" Il bondit sur le rivage et courut après son frère. Mais le cadet, déjà à moitié loup, s'enfuit pour rejoindre dans la profondeur de la forêt ses nouveaux frères, les loups.








    Les sirenes existent-elles ?

    Pendant tout le Moyen Age, des sculptures et des statues des statues de sirènes de pierre et de bois ornaient les églises et les cathédrales presque partout en Europe. Cependant, vers le milieu du plus scientifique XIXé siècle la croyance aux sirènes diminua. Comme la navigation à vapeur remplaçait la navigation à voile, la duré des voyages raccourcissait et les marins prétendaient de moins en moins qu'ils avaient été séduits, tentés ou joués par les fatales sirènes.

    En dépit de cela, la sirène n'avait pas entièrement disparu. Alexandre Gunn, un proprétaire foncier de l'extrème nord de l'Ecosse, en vit encore une en 1900. Tandis qu'avec son chien il sauvait un mouton qui était tombé dans un ravin, il leva la tête et son regard s'arrêta sur une sirène qui se reposait sur une corniche proche. Elle était terriblement belle avec sa chevelure ondoyante roux vénitien, ses yeux bleus et ses sourcils arqués. Elle avait aussi la taille d'une femme. Il est difficile de dire quel fut le plus étonné - elle, Gunn ou son chien. Cependant, ce fut le chien qui le premier, avec un grognement de terreur, donna libre cours à ses sentiments. Il s'enfuit la queue entre les pattes, suivi de près par le propriétaire qui avait vu autant de colère que de crainte dans le regard de la sirène. "Ce que j'ai vu était bien réel, dit-il plus tard à un ami, j'ai vraiment rencontré une sirène."

    Plus de cinquante ans plus tard, deux jeunes filles qui flânaient sur le même rivage tombèrent par hasard sur une sirène rejetée par la marée. Leur description coïncidait avec celle de Gunn. Peut après, mais dans une partie du monde complètement différente, l'aventurier Eric de Bisschop ajouta un témoignage aux récits de sirènes relativement rares au XXé siècle. Cela se produisit le 3 juin 1957, peu après minuit, lorsqu'il naviguait entre Tahiti et le Chili sur une reconstitution d'ancien radeau polynésien. Dans son livre "Tahiti-Nui" , publié deux plus tard, il racontait comment l'un des marins de quart avait brusquement commencé à réagir comme s'il était devenu fou. L'homme prétendait qu'il avait vu une étrange créature bondir hors de l'eau sur le pont. L'être, qui avait une chevelure comme des algues extrèmement fines, se tenait debout sur sa queue. Le marin s'approcha et toucha le visiteur, qui le renversa aussitôt d'un coup puis sauta dans la mer. Ce furent les écailles de poisson brillantes sur le bras du marin qui convainquirent  Bisschop qu'il disait la vérité et qu'il avait bien été en rapport avec une sirène.








    Coup d'oeil sur l'avenir

    02/07/2007 15:49

    Coup d'oeil sur l'avenir


    A vingt-deux ans, Goethe allait revenir chez lui après avoir terminé ses études à Strasbourg. Dans cette ville, il était tombé amoureux de la fille d'un pasteur. Il l'aimait, mais ne désirait pas être engagé par les liens du mariage.

    Avant de quitter Strasbourg, il fit une dernière visite à Frederika : "J'étais déjà à cheval et lui serrai la main ; elle avait les yeux pleins de larmes et mon coeur saignait" , écrit-il dans son autobiographie. Il partit, et sur la route, eut une étrange vision. "Je vis, non avec les yeux du corps mais avec ceux de l'esprit, mon double venant à cheval vers moi, sur la même route, vêtu d'un habit que je n'avais jamais porté - gris perle avec des parements dorés. Je me secouai pour sortir de ce rêve, et la vision disparut...

    Huit années plus tard, je me retrouvai sur cette même route allant revoir Frederika, habillé comme mon double d'autrefois." Bien que le phénomène consistant à voir son double soit considéré, d'après la tradition, comme un présage de mort, Goethe ne l'interpréta pas ainsi. "Quoi qu'il en soit en général de ce genre de choses, cette étrange vision me rendit le calme que j'avais perdu à mon départ."








    Mon père, un vampire ?

    02/07/2007 15:51

    Mon père, un vampire ?


    Circule-t-il encore des vampires en Roumanie ? En 1974, une bohémienne a raconté la mort de son père lorsqu'elle était une adolescente. Selon la coutume, a-t-elle dit, le corps gisait dans la maison en attendant que la famille procède à la cérémonie d'habillement.

    Quand la famille souleva les jambes du père pour les introuduire dans ses vêtements funéraires, elles n'étaient pas encore raides. Pas plus que les bras et le reste du corps. La raideur cadavérique ne s'était pas  installée. La famille saisie d'horreur contempla le mort avec de grands yeux.

    L'histoire se répandit dans le village ; des gens se rappelèrent, ou crurent se rappeler, les vampires qui avaient l'abitude de rôder çà et là dans l'obscurité de la nuit. Un corps préservé de la décomposition, conservant l'apparence de la vie grâce à l'absorption du sang des vivants, dénonce le vampire sans erreur possible. La peur s'empara du village et les habitants se précipitèrent vers la maison, armés d'un épieu en bois.

    La famille, accablée de douleur, laissa faire. Des hommes arrachèrent le drap recouvrant le cadavre et, de la manière traditionnelle, plongèrent l'épieu dans le coeur du mort. Le vampire - si c'en était un - était réduit à l'impuissance.






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