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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 38 articles publiés dans cette catégorie
  • 324 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
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    [ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]

    Elephant Man

    15/06/2007 10:57

    Elephant Man


    Réalisé par David Lynch
    Avec John Hurt, Anthony Hopkins, Anne Bancroft 
    Film américain. Genre : Drame, Biopic
    Durée : 2h 5min. Année de production : 1980
    Titre original : The Elephant Man

    Resumé :

    Londres, 1884. Le chirurgien Frederick Treves découvre un homme complètement défiguré et difforme, devenu une attraction de foire. John Merrick, " le monstre ", doit son nom de Elephant Man au terrible accident que subit sa mère. Alors enceinte de quelques mois, elle est renversée par un éléphant. Impressionné par de telles difformités, le Dr. Treves achète Merrick, l'arrachant ainsi à la violence de son propriétaire, et à l'humiliation quotidienne d'être mis en spectacle. Le chirurgien pense alors que " le monstre " est un idiot congénital. Il découvre rapidement en Merrick un homme meurtri, intelligent et doté d'une grande sensibilité.

    Critiques spectateurs :

    borisgariod - le 19/05/2007
    a pleurer! ce film est a pleurer tant il montre l'horreur de la discrimination, la connerie humaine, et la souffrance de cet être si différent vu de l'extérieur mais si intelligent lorsque l'on apprend a le connaître. des rôles principaux (john hurt, anthony hopkins)aux rôles les plus minimes, toutes les interprétations sont sont justes. anthony hopkins signe sa plus grande interprétation a mon gout (même si il est geantissime dans le silence des agneaux). Bref ce mythe signé david lynch me touche a chaque fois que je le regarde, tant il émane a la fois de tristesse et de beauté. le scénario et parfait passant de moment de joie pour john merrick a des moments d'intense souffrance (lorsque les villageois pénétrent dans la chambre du malheureux ou lorsque merrick craque dans les toilettes publiques). bref un film a voir a condition d'avoir les tripes bien accrochées et de ne pas être dans une soirée entre potes ou reigne la joie et la bonne humeur, mais un film a voir au moins une fois dans sa vie.

    stanley - le 29/03/2007
    Ce deuxième film de David Lynch est un chef d'oeuvre et, avec Une histoire vraie, son film le plus réaliste car tiré également d'une véritable histoire. Le film est maîtrisé sur tous les aspects du cinéma (mise en scène, direction d'acteurs...). Très émouvant (un des films les plus tristes du cinéma), il n'en demeure pas moins un véritable film d'auteur. Il joue en fait sur plusieures contradictions. L'émotion et la compassion suscitées par cette tragique histoire ne peut faire oublier la terrible sensation de terreur comme diectement sortie du Londres de l'époque, parfaitement représenté à l'écran avec des personnages inquiétants, un suspens permanent, des scènes chocs (l'accident de la mère, la fuite du héros). Le réalisme de l'histoire ne doit pas faire oublier la vision des usines (souvent représentées) crachant la fumée ou les salles des machines qui donnent à beaucoup de scènes un certain surréalisme inquiétant. Lynch a effectué ici un important travail sur les sons (ronflement inquiétant dans l'hôpital), les contrastes dans l'image à partir d'une superbe photographie de Freddie Francis. Certaines scènes renvoient à Freaks telle l'une des plus touchantes lorsque les monstres de foire aident Merrick à s'évader de sa prison. La longue poursuite lors de son retour vers l'humanité est terrible. Enfin, Lynch montre une nouvelle fois sa capacité à conclure ses films lors de l'appel de la mère provenant des étoiles. L'immortalité, vue plus tard dans Mulholand drive et Inland Empire intéresse Lynch car ici Merrick vivra éternellement auprès de sa mère dans les étoiles. Dans Mulholand drive, ce sont les "stars" d'Hollywood, dans Inland Empire l'immortalité se traduira dans la lumière au fond de Laura Dern perçue par une homeless sur Hollywood Boulevard et dans Une histoire vraie, la relation fraternelle entre les deux personnages enfin retrouvés durera pour l'éternité. PS : clin d'oeil : dans From Hell, on retrouvera L'homme éléphant dans le film avec Johnny Depp. 

    Grolandais - le 24/02/2007
    “I am not an animal ! I am a human being ! I am a man !” Parenthèse réaliste et humaniste dans la filmographie du grand Lynch, Elephant man est un film tout simplement bouleversant… John Hurt réussit par son jeu à donner une dimension humaine et touchante à cet homme déchu à cause de sa physionomie monstrueuse. En outre, le réalisateur choisit de ne pas montrer physiquement John Merrick, le « monstre », avant que le spectateur n’ait découvert son âme. Choix judicieux qui permet ainsi de ne plus être effrayé par les apparences du monstre en le découvrant en homme, au bout d’une trentaine de minutes. Donner, en outre, une âme à quelqu'un sans utiliser son visage ou même sa voix prouve ainsi le génie de David Lynch. La beauté de ce chef d’oeuvre est magnifiée par le noir et blanc, donnant ainsi un aspect plus réaliste, quasi historique à l’œuvre, mais aussi plus poétique. Les images oniriques et cauchemardesques (ce qui n’est pas étonnant de la part de Lynch…), sont elles aussi tantôt superbes et tantôt inquiétantes. Le scénario permet à Lynch de faire plusieurs clins d’œil à la littérature (John Merrick est reclus comme Quasimodo) ou encore au cinéma (comme la scène où d’autres “monstres de foire” libèrent Merrick dans sa cage faisant ainsi allusion à Freaks, La Monstrueuse Parade, le grand classique de Tod Browning).
       

     
    Flav43 - le 21/02/2007
    "The Elephant Man» (USA, 1980) est le deuxième film de David Lynch. Produit par Mel Brooks, cette oeuvre se veut moins expérimentale que «Eraserhead» (USA, 1976). Or, certaines séquences se parent d' attributs abstraits. Tantôt un nuage de fumée vient figurer (et voiler) l'horreur du bébé difforme, tantôt des éléphants s'affichent en surimpression sur le visage d'une parturiente en détresse, etc... Bref, il reste dans «The Elephant Man» le désir de Lynch d'expérimenter l'image. Cependant, ce qui frappe le plus dans ce film, en plus de sa qualité visuelle et de sa photographie : «charbonneuse», c'est son histoire humaine. Plaidoyer émouvant pour le respect de la différence, ce film de Lynch n'a pourtant rien de manichéiste. Le croire simplet ce serait oublier la véracité des faits. Nulle exagération des comportements, il faut voir l'histoire comme un fait divers. Un fait divers exemplaire sur le comportement général de l'individu vers l'autre. Le tout étant parfois romancé, «The Elephant Man», en plus d'être une histoire troublante, est d'un lyrisme fou. Attention cependant, l'oeuvre n'est pas le drame larmoyant qu'on clame si fort. Si le tout est d'une tristesse affligeante envers la non-acceptation de l'autre, on est très loin d'une oeuvre tire-larmes. En conclusion, «The Elephant Man» (USA, 1980), et sa musique inoubliable tellement elle effraie, est assurément un chef d'oeuvre, une ode naturel au respect sans une once de naïveté. A mesure que le personnage d'Anthony Hopkins apprend le personnage de John Hurt, le spectateur se prend de folle affection pour ce «freaks». D'autant plus que Hopkins mais John Hurt davantage, nous offre les plus belles prestations du cinéma. La scène finale en dit très long des effets du monde sur l'individu... A méditer.
     
    RENGER - le 09/02/2007 
    S’il y a bien une chose auquel il ne faut absolument pas rater en matière de films, pour les amoureux du 7ème Art, c’est bien ce film là ! Elephant Man, en deux mots, on obtient ici, une œuvre majeur, splendide et grandiose pour ne pas trop en rajouter ! En seulement deux films, David Lynch s’impose, et nous prouve clairement qu’il n’est pas un petit joueur, qu’il n’est pas là simplement pour nous divertir, mais tout simplement pour nous faire rêver ! Nous faire voyager dans un autre monde, en nous faisant partager un conte, oui, c’est bien comme cela que l’on pourrait le qualifier, une œuvre remplie de tendresse au milieu de cet univers ignoble où la cruauté est omniprésente. D’une noirceur incroyable à la violence presque constante et tellement dérangeante. Loin du phénomène « bête de foire » que l’on pouvait retrouver chez Freaks (1932), il réalise avec brio et avec classe, une véritable ode à l’acceptation de l’autre, « Je ne suis pas une bête ! Je suis un être humain ! Je... suis... un homme ! ! » tel seront les paroles de ce pauvre homme simplement considéré comme un monstre par les autres. Un bout de chair humaine uniquement utile pour divertir les badauds et rien d’autre ! Une réalisation réussie à tout point de vue, des acteurs prodigieux, tels que le méconnaissable Anthony Hopkins et le remarquable John Hurt. Accompagnée tout au long par une B.O envoûtante, la mise en scène et la photographie en noir & blanc y sont pour beaucoup dans la réussite de ce chef d’œuvre. A la fois révoltant et émouvant, David Lynch nous livre ici une sublime biographie (puisqu’il s’agit d’une histoire vraie), un véritable hommage, un hymne à la tolérance et au droit à la différence.






    King Kong

    24/06/2007 17:08

    King Kong


    Réalisé par John Guillermin
    Avec Jessica Lange, Jeff Bridges, Charles Grodin  
    Film américain. Genre : Fantastique, Aventure
    Durée : 2h 14min. Année de production : 1976
    Remake de King Kong

    Résumé :

    Un employé d'une compagnie pétrolière, un zoologue et une jeune naufragée débarquent sur une île polynésienne. La jeune femme est enlevée par les indigènes et est livrée à un singe gigantesque : King Kong...

    Critiques spectateurs :

    davidverdier93 - le 29/08/2006
    1976.En pleine explosion du film catastrophe et un an après qu'un requin ai vidé nos plages,le singe géant revient hanter nos salles obscures...Si certains films d'action des 70's me font rire aujourd'hui,le King Kong de Guillermin semble,avec le temps,trouver la poésie dont il manquait à sa sortie.Je ne me permettrais pas de critiquer le trésor de 1933 mais avouons qu'il est assez gauche et presque comique,comparé à celui de 1976,qui,replacé dans la crise économique des 70's,a un scénario qui tient mieux la route...Avouons aussi que si il n'était pas un remake,ce film serait classé dans la catégorie chef-d'oeuvre!Sur l'île,les dinosaures ont disparu mais est-ce un mal?Dans la version de Jackson,je m'en serais bien passé,ayant l'impression de voir une énième ressucée de Jurassic Park!Et finalement,les décors en carton et les maquettes ont leur charme face à des effets spéciaux numériques soient-disant sophistiqués mais qui me donnent l'impression de regarder un Tex Avery...Cette gigantesque main articulée,dans laquelle Jessica Lange se niche,reste épatante,les personnages sont crédibles,la musique est maginfique et le final au World Trade Center a aujourd'hui un goût particulier...King Kong,version 1976 reste une réussite et a,pour beaucoup d'entre nous,effacé l'original!
      

     Ryoga54 - le 24/07/2006
    Petit bijou des années 70. Ayant vu le king kong original de 1933 et celui de Peter Jackson sorti récemment, je dois avouer la version de John Guillermin est ma préférée. Je trouve l'adaptation très bonne notamment la recherche de pétrole comme motif de l'exploration. Des décors parfaits, le king kong qui a une stature plus bipède n'est pas pour me déplaire. S'il parvient à nous effrayer, ce king kong reste attachant par la passion qu'il éprouve pour la très jolie Jessica Lange.

     
    willnot94 - le 03/05/2006
    Les années 70 était propice a un certain nombre de bons films catastrophes, et John Guillermin, le specialiste a eu la bonne idée de mettre ce genre avec un "monstre mythique" des années 30 : King Kong. Et le resultat, bien que souffrant de la comparaison avec la version de 2005 au niveau des effets speciaux, est plutôt de bonne facture. Avec une pointe écologique, un promotteur pétrolier cherchant des sources sur des îles perdues va croire trouver le filon avec la bête... Erreur, et comme dans l'original, une belle fera chavirer encore le coeur de la bête. Alors dans la partie se passant sur Skull island, le mur est impressionnant (plus que dans la version de Peter Jackson), mais parcontre l'action se déroulant derrière ce mur est moins plaisante. Pas de dinosaure, pas de réels dangers, à peine un serpent, partie vite écourtée. Mais le partie New Yorkaise est plutôt interressante avec une fin non plus sur l'Empire State Building mais sur des tours fraîchement construites (d'ailleurs superbe imagerie de montagnes de son île), les regrettées tours jumelles : les World Trade Center. Alors comme préciser avant, les effets speciaux font plutôt pâle figure datant de 30 ans, mais on pourra en trouver un charme et les acteurs, impeccables Jessica Lang et Jeff Bridges, achèvent le travail plus que correct de ce King Kong à l'ambiance très années 70.

     
    stramonium - le 04/12/2005
    J'avais 8 ans quand je suis allé voir ce film. M'en suis toujours pas remis! ILS ONT TUE KING KONG !! L'erotisme entre la belle et la grosse bete est troublant. Un couple mixte, précurseur pour son époque.
     
    criston - le 05/03/2007
    Ce film est une petite perle il est sans doute l'un des meilleurs film des annees 70.Il y'a de l'action un tres bon scenario une belle histoire une tres belle musique quelques beaux effets speciaux.Je trouve que la fin est un peu triste mais sa reste un tres bon film.
     






    La guerre des mondes

    24/06/2007 17:25

    La guerre des mondes


    Réalisé par Steven Spielberg
    Avec Tom Cruise, Dakota Fanning, Justin Chatwin  
    Film américain. Genre : Fantastique, Drame
    Durée : 1h 56min. Année de production : 2004
    Titre original : War of the Worlds
    Remake de La Guerre des mondes

    Résumé :

    Ray Ferrier est un docker divorcé et un père rien moins que parfait, qui n'entretient plus que des relations épisodiques avec son fils Robbie, 17 ans, et sa fille Rachel, 11 ans. Quelques minutes après que son ex-femme et l'époux de cette dernière lui ont confié la garde des enfants, un puissant orage éclate. Ray assiste alors à un spectacle qui bouleversera à jamais sa vie...

    Critiques spectateurs :

    bauer22 - le 12/05/2007
    Nous ne pouvons pas être en sécurité. Cela pourrait être la morale de "La Guerre des Mondes". Un vrai film rythmé et sans temps morts mais différent des autres car il met plus l'accent sur la psychologie des personnages que sur les effets spéciaux (qui sont très réussis). Un sentiment de peur et de folie plane constamment. Un film où les acteurs excellent (Tim Robbins, génial en parano, Dakota Fanning, qui est plutôt crédible et Tom Cruise qui est, quoi que l'on dise, un très bon acteur et il le prouve encore ici. Petits bémols qui ne gâchent en rien le film : le fils à Ray Ferrier qui veut aider sa patrie à lutter contre l'ennemi ainsi que le "happy end" qui aurait pu et du, au vu de la noirceur du reste du film, ne pas exister. Finalement on ne peut pas réellement définir le genre de ce film : thriller, drame, catastrophe, action, science-fiction...et c'est tant mieux: le film en a d'autant plus de niveaux de lecture. Pour conclure je dirais que c'est probablement, pour moi, le meilleur film catastrophe, bien loin d'"Independance Day" et du "Jour d'après" en terme d'efficacité et de traitement. Un grand Spielberg.
     
    S.K. - le 26/04/2007
    Plus de vingt ans après nous avoir fait craquer pour les gentils extra-terrestres avec Rencontres du 3ème type puis E.T., Steven Spielberg nous livre sa vision du côté obscur de ces êtres venus d'ailleurs, en adaptant le célèbre roman de H. G. Wells La Guerre des Mondes (1898), LA référence de toutes les histoires d'extra-terrestres et d'envahisseurs. Le cinéaste, considéré très justement par beaucoup comme le meilleur de notre temps, signe un film exceptionnel et impressionnant, évitant soigneusement tous les clichés du genre. Vous serez littéralement captivés pendant deux heures, scotchés à votre fauteuil les yeux grand ouverts et la bouche bée. Entre frissons, sursauts et émotions, cette Guerre des Mondes ne pourra pas vous laisser indifférents. Les fameux Tripodes, ces envahisseurs sortis tout droit des premiers grands films de science-fiction, s'intègrent parfaitement dans un univers très réaliste. L'histoire quant à elle, totalement surréaliste, est pourtant des plus crédibles. Elle captive le spectateur du début à la fin, sans qu'à aucun moment la tension ne retombe. Magistral. Spielberg réussi donc une prouesse technique, faisant preuve d'une grande inventivité et laissant judicieusement de côté les traditionnelles images d'un New York dévasté ou d'une Tour Eiffel écrasée. Il n'hésite pas non plus à introduire les touches d'humour nécessaires à la fluidité de son film. Il fait ainsi subtilement référence à cette Amérique post-11 septembre, ainsi qu'aux valeurs - que l'on sait très chères à ses yeux - de la famille et de la paternité. Mais attention, pas d'héroïsme ni de patriotisme exacerbé à la sauce Independance Day et autres Signes. Ici, le héros est un homme ordinaire, un père de famille qui cherche à se racheter aux yeux de ses enfants, et qui fuit devant une menace impitoyable, essayant à tout prix de sauver sa vie et celle de sa famille.

    Anamir - le 31/03/2007
    Spielberg frappe très fort dans le box-office international avec ce film ultraspectaculaire et engagé.Servi par une réalisation impeccable et une partition magnifique,cette adaptation réussie du roman d'H.G.Wells nous présente un Tom Cruise au sommet de sa forme dans un film profondément pacifiste et écologiste.Contrairement à certaines superproductions patriotiques nauséabondes tel qu'"Independance Day",ce film nous présente une armée américaine impuissante face à l'invasion et une espèce humaine en déroute.Spielberg tient à nous démontrer que l'homme, bien que se sentant supérieure aux autres espèces, n'est rien sans la nature qui l'entoure et qui le protège tandis que lui la pille et la détruit.Plutôt que de nous montrer la destruction toute entière de la planète, Spielberg préfère nous plonger dans l'action à travers les yeux d'une simple famille américaine tentant d'échapper au fléau alien,ce qui est typique de la vision qu'a Spielberg sur le monde.Grâce à ce film, il nous prouve que,contrairement à ce que prétendent certaines mauvaises langues, le blockbuster peut-être intelligent et peut amener à réfléchir et Spielberg capte toute l'intensité tragique et morale de ce film d'une grande beauté visuelle amené à devenir une référence du genre.

    darthelrohir - le 10/01/2007
    Ce film ne sert pas à montrer des aliens qui s'amusent avec des blasters, mais de montrer les réactions des hommes. L'essentiel du film n'est pas les tripodes qui butent tout le monde autour d'eux, mais les scènes comme celle de la voiture qui avance dans la ville, où tous ceux l'entourent en essayant de la voler, ou alors le type qui devient fou dans la cave, ou même Tom Cruise qui ferme les yeux de sa fille pour l'empêcher de voir la mort autour d'elle. Attention: on ne doit pas se dire : ce sont les aventures d'UNE famille, mais la famille que l'on suit représente TOUS les hommes sur toute la Terre (on ne se limite pas qu'aux américains!) Après, les scènes d'action sont nécéssaires: essaye de faire un film où l'on fuit quelque chose qui n'est jamais représenté car on ne va pas s'abaisser à tourner des scènes d'actions (peuh!)! Je reconnais que beaucoup de films ne servent qu'à montrer des scènes d'actions, sans rien derrière, ce qui a fait naître le préjugé: film d'action, gros blockbuster américain=film plat sans profondeur. Mais ce n'est pas applicable ici: ce film est plus grand que les préjugés de ceux qui ne l'aiment pas (c'est vous dire combien il est grand!). Certains ont également un préjugé en voyant l'acteur principal: Tom Cruise=film commercial, piège à gogo, etc... Excusez-moi, mais je n'ai pas vu beaucoup de films avec Tom Cruise, mais je trouve vraiment qu'il joue super bien. Il y a de la marge entre lui et Orlando Bloom! Ce n'est pas parce qu'il est connu qu'il a été choisi pour ça, et non pour son talent. Maintenant, j'aimerai que l'on m'explique quelque chose: comment peut-on qualifier de partiotique un film ou le héros pense à ses enfants, pas à son pays, désapprouve que ceux-ci s'engagent dans l'armée, où l'ennemi meurt de lui-même. Spielberg nous montre au contraire que la réaction naturelle des hommes est "je sauve ma peau" au lieu de ce qu'on voit dans les VRAIs films patriotiques ("je sauve mon pays: tous les americains sont frères!")


    alast - le 20/11/2006
    Ce film est tres bon, bien que la majorite des personnes ne comprennent pas autres chose que une simple invasion d'extraterestre.Il y a enormement de message dans ce film notemment la petite fille qui dit "ce sont des terroriste ? (le point d'interogation ! faut regarde en vo) cette petite lettre remet en cause bush et les gens officielement non terroriste.La scene ou la bagnole est pris dans la foule est absolument hallucinante, la scene ou la petite fille voit tout ces morts dans la riviere, puis tom cruse qui vient pose sa main sur ses yeux, signe que toute les horreur des adultes sont percu en permanence par nos enfants.Le fameux plan pour moi du film est le premier plan ou on peut voir le bateau , a droite de l'ecran il y a un gros panneau "stop" avec en ariere plan des soldats us.Et pour la scene dite ridicule ou le fils de tom cruse veut partir au front est effectivement ridicule, et c'est le message de spielberg : l'arme qui profite de la jeunesse et de son insouciance pour les recruter pour irak/afghanistan.En plus de tout cela c'est tres bien joue, tres bien realise etc... normal c'est du spielberg.Je met 4 etoiles mais je n'ai pas trop aprecie le retour du fils , a moins que je n'ai pas compris sa signification, mais ca ne nuit pas tant au film, et je veux faire contrepoid avec les gens qui ont l'esprit bien francais et qui comprenne pas le cinema et en particulier ce film et qui repete a longueur de temps "patriotique patriotique", je pense qu'ils confondent Emerich avec Spielberg alors qu'il y a un sacre cran au dessus .Un grand film ou on ne s'ennuit pas une seconde, et ou Tom Cruse a nous fait oublier qu'il fait partie de la scientologie ... du moins pour le temps du film.A voir et a revoir car il ne perd pas sa puissance.
     






    Sin City

    25/06/2007 23:48

    Sin City


    Réalisé par Robert Rodriguez, Frank Miller, Quentin Tarantino
    Avec Bruce Willis, Mickey Rourke, Jessica Alba  
    Film américain. Genre : Action, Policier, Fantastique
    Durée : 2h 3min. Année de production : 2005
    Interdit aux moins de 12 ans

    Résumé :

    Sin City est une ville infestée de criminels, de flics ripoux et de femmes fatales.
    Hartigan s'est juré de protéger Nancy, une strip-teaseuse qui l'a fait craquer.
    Marv, un marginal brutal mais philosophe, part en mission pour venger la mort de son unique véritable amour, Goldie.
    Dwight est l'amant secret de Shellie. Il passe ses nuits à protéger Gail et les filles des bas quartiers de Jackie Boy, un flic pourri, violent et incontrôlable.
    Certains ont soif de vengeance, d'autres recherchent leur salut. Bienvenue à Sin City, la ville du vice et du péché.

    Critiques spectateurs :

    vilyos - le 27/03/2007
    Sin City, ville sombre, très sombre. Une ville où le mal et le bien sont si mêlés qu'ils n'existent plus, où la police est corrompue, où l'Eglise est dirigée par un psychopathe froid et sans scrupules, où les prostituées font régner leur loi dans un quartier,...Cet univers si particulier, tiré de la BD éponyme, est sorti de l'imagination du génial Frank Miller, remet au goût du jour les films noirs et les thrillers sombres et cyniques. Le film est divisé en trois parties, suivant les destins différents de trois personnages de l'histoire, bien qu'ils se rencontrent selon les récits ( très bonne idée de mise en scène d'ailleurs) Le film se démarque des autres films par sa pellicule au noir et blanc très tranché, où certains éléments sont mis en relief de façon inhabituelle (silhouette totalement blanche sur fond entièrement noir, sang blanc (!), etc...) et où, à quelques moments, des taches de couleur rouges et jaunes viennent réhausser l'atmosphère du film, procurant à l'oeil un plaisir certain. Le film est également marqué par sa violence brute et stylisée à la fois, que certains puritains trouveront gratuite, mais qui fait partie intégrante de l'univers de Sin City. Tous les acteurs sont excellents (mention spéciale à Bruce Willis en flic injustement dénigré), de Clive Owen en antihéros romantique et discret à Mickey Rourke en marginal défiguré et (presque !) invincible, en passant par Elijah Wood, terriblement flippant, Jessica Alba, Benicio Del Toro (parfait en flic pourri et impitoyable), Rosario Dawson et tous les autres acteurs. La réalisation quand à elle est très maîtrisée, efficace et somptueuse, trash et discrète, une réalisation comme seuls deux réalisateurs (trois avec Tarantino) savent le faire. L'alchimie de tous ces facteurs plus la richesse de la galaxie Sin City condensés, nous obtenons un film noir extrêmement original, efficace, violent...ce que l'on appelle un Coup de Maître.
     

     
    sawhostelator83 - le 24/04/2007 
    Ce qui frappe aux premiers abords, c'est que tous les protagonistes sont importants au développement de l’histoire. On peut d’ailleurs noter l’excellente prestation d’Elijah Wood ("Le Seigneur des Anneaux") surprenant dans son rôle d’adolescent pervers et sadique et de Jessica Alba ("Dark Angel") une femme sensuelle et étonnante, entre autres… Le film regorge de personnages charismatiques qu’ils soient ‘gentils’ ou ‘méchant’ et on a presque l’impression que les rôles leur collent tous parfaitement à la peau. Le tout est traité d’une manière très originale : chaque histoire est racontée par le personnage principal ce qui rajoute une dimension psychologique très intéressante au film. Le film est tourné en noir et blanc et retransmet parfaitement l’ambiance de la bande dessinée de Frank Miller. A cela s’ajoutent des effets qui rendent les images du film esthétiques. Du rouge apparaît parfois pour mettre en valeur le sang ou pour enjoliver certaines scènes. C’est d’ailleurs cette couleur qui fait toute la force de certaines scènes. Quand l'action devient trop violente et que les effusions d’hémoglobine sont trop nombreuses, le sang est représenté par un blanc vif (cette même couleur sert aussi à mettre en valeur les nombreux pansements de Marv). Parfois, de légères teintes bleutées ou rouge apparaissent pour renforcer l’aspect dramatique/romantique d’une scène ou pour enluminer un visage. Le résultat est tout bonnement surprenant, bluffant et saisissant. Concernant l’univers du film, entre prostituées, violence et corruption, le vice est à son paroxysme. La violence est constante, il ne se passe pas cinq minutes sans que l’on assiste à une scène tombant dans l’excès. Entre combats en tout genre, décapitations, guns fight, doigts dans les yeux, passage à tabac, matraquage, sabre traversant diverses parties du corps pendaisons, gorges tranchées, etc… , aucun personnage n'est à l'abri. Tout s’enchaîne à une vitesse ahurissante : Un chef d'oeuvre !


     
    EnterToTheBlackArt - le 16/06/2007
    Excellente adpatation de la célèbre bande dessinée "Sin City". Robert Rodriguez a su, avec un talent remarquable, mettre en rappport les différentes "aventures" des protagonistes de "Sin City". Tout le style, la beauté et la violence de la bande dessinée sont retranscrits içi. On se prend d'affection pour chacun des personnages, comme dans le BD. Le casting est vraiment impressionnant. On se demande pour chaque personnage qui d'autre aurait pu jouer aussi bien ce rôle (Mickey Rourke dans le rôle de Marv, Bruce Willis dans le rôle d'Arthigan, Elijah Wood dans le rôle de Kevin...) C'est avec une attention et plaisir constants qu'on suit ce film, du début à la fin. On se surprend à rire, à pleurer; on vit avec les personnages, tellement ce film est fort. Une oeuvre grandiose, avec d'excellents acteurs, une beauté visuelle jusque-là innégalée, un style bien particulier qui vous tiendra agrippé à votre siège. Une merveille du cinéma de 21ème Siècle.
     

    sanson_batalla - le 24/03/2007 
    Quatre étoiles pour la plus grosse daube surestimée, de ces dernières années: un étalage d'effets visuels soûlants, de violence gratuite et de snobisme branchouille pour un scénario monolithique, qui -en comparaison- ferait passer Luc Besson pour un génie de maturité. Trois histoires répétitives: mêmes situations et stéréotypes, révélateurs des frustrations jamais vraiment soulagées d'un ado attardé: les putes (le gros fantasme du puceau séquestré par sa mère abusive) les idées vindicatives et l'ultra violence quasi-fascisante (qu'engendre cette frustration, c'est bien connu) corps mâles musclés (dont rêvent tous les laissés pour compte, à cet âge là) et enfin, corps féminins de rêve, forcément. Que de la jeunette et pas un seul boudin (?) dans cette cour des miracles very fashion... Bref: un film bien conformiste et putassier, laid dans sa forme comme dans le fond. Le succès de cette fausse-couche, me fait penser que les idées nauséabondes, sont de plus en plus acceptées dans le cinéma, par ces mêmes gens qui, il y a 20 ans faisaient un scandale pour un oui ou pour un non. Enfin, tout dépend de…QUI réalise, et avec quelles justifications. Ah oui...pardon, j'avais oublié: ce fameux 3è degré, bien sûr. 

    MrsBaggins - le 25/01/2007
    Sin City.....la ville du vice et du péché...Ce film est tout simplement génial. Et comme certain pourrait le croire c'est pas parce que Elijah Wood joue dedant que j'adore ce film. Elijah a fait plein de film que j'ai pas aimé du tout. Bon sinon j'ai commencé à lire la BD et j'ai été surprise de voir à quel point Rodriguez a été fidèle à la BD.D'ailleurs c'est pas pour rien que Frank Miller a lui aussi réalisé le film. Et la petite touche Tarantino est superbe (il a réalisé la scène où Dwight perd la boule et qu'il croit que le cadavre de Jackie lui parle).Déjà le fait que le film soit en noir et blanc et d'avoir quelques touches de couleurs par ci par là tien du génie ! Celà donne vraiment au film une ambiance morbide et on rentre tout de suite dans l'état d'esprit des personnages. La violence dans ce film est ommniprésente c'est vrai. Mais c'est fait d'une façon que j'avais jamais vu au cinéma. Le fait que le film soit en noir et blanc et que chaque decor soit fait par ordinateur cache en quelque sorte la violence. On a vraiment l'impression d'être dans un monde completement imaginaire car la violence qu'on y voit ne peut pas exister. Quant aux dialogues ils sont très clairs et plein d'humour noire. Et les acteurs y sont pour quelquechose. Le jeu de chaques acteurs est parfait et ils sont tous fait pour le rôle qu'ils incarnent. Je tire mon chapeau à Mickey Rourke car il est pour moi le meilleur dans ce film. Les jeunes acteurs comme Clive Owen ou encore Jessica Alba sont eux aussi exelent. Voilà je recommende ce film à tous car c'est le meilleur que j'ai vu cette année ! 






    Gremlins

    26/06/2007 10:34

    Gremlins


    Réalisé par Joe Dante
    Avec Zach Galligan, Phoebe Cates, Hoyt Axton  
    Film américain. Genre : Fantastique
    Durée : 1h 45min. Année de production : 1984

    Résumé :

    Rand Peltzer offre à son fils Billy un étrange animal : un mogwai. Son ancien propriétaire l'a bien mis en garde : il ne faut pas l'exposer à la lumiere, lui éviter tout contact avec l'eau, et surtout, surtout ne jamais le nourrir apres minuit... Sinon...

    Critiques spectateurs :

    cineseba - le 16/05/2007
    Le film "Gremlins" est sorti en Décembre 1984 en France. J'avais 10 ans. Après le choc cinématographique face au film "E.T.", je me souviens bien être attiré par l'affiche montrant les pattes d'un petit monstre sortir du colis blanc. Je me suis alors précipité pour aller acheter un album avec des étiquettes autocollantes. Maintenant, "Gremlins" est un des mythes du cinéma fantastique dans les années 80. Dans ce film, le père offre à son fils, un jeune homme, un cadeau de Noel : un mogwai, une creature adorable qui ressemble à un peluche avec de longues oreilles, en lui imposant des conditions : ne pas exposer de la lumière et de l'eau à cette creature et ne pas lui nourrir après minuit. Si ces conditions ne sont pas respectées, bonjour la naissances des monstres verts et hideux : les Gremlins ! Je revois le film "Gremlins" toujours avec grand plaisir. C'est très divertissant et drôle ! Des scènes mémorables comme celles de la vieille dame sur le siège, se faisant ejecter par la fenêtre, ou des Gremlins chantant la chanson de Noel ou des Gremlins excités au cinéma face à Blanche Neige ou de Gizmo conduisant la voiture de Barbie ! Hilarant ! La naissance des Gremlins est intriguante et angoissante ! Les effets spéciaux sont très réussis ! Ce film a une bonne ambiance "Pop Corn" ! Génial !
     
    necrid - le 04/03/2007
    Un très grand film de J.Dante qui laisse libre à un grand délire symbolisé par ces petites créatures tantôt mignonnes ( il est y pas mignon Gizmo ) tantôt méchantes et déchaînées. Après une première partie assez calme nous permettant de faire connaissance avec les Mogwaï ( j'adore à chaque fois que Gizmo parle ), on prend, ensuite, un malin plaisir à suivre les différentes frasques des Gremlins ( avec, en sus, des effets spéciaux de toute beauté ). On rigole pas mal, grâce à quelques scènes cultes, comme la tuerie auquelle s'adonne la mère dans la cuisine ou encore la scène dans le bar en compagnie des Gremlins, ainsi que ces derniers chantant une chanson de noël... J.Dante réussit un grand film de monstres qui fait partie des grands classiques du cinéma fantastique.
     


    Pauti - le 08/12/2006
    Le conte de Noël le plus déjanté qui soit. Une réussite d'un cinéma aux ambitions esthétiques (très) modestes (forcément, Spielberg et Columbus sont derrière, à la prod et au scénario), assez mal joué, à l'intrigue cheap et aux scènes de suspense et/ou d'émotion de la profondeur d'un dé à coudre. Mais le plus ahurissant, c'est que le film tient, et que les séquences avec les Gremlins proprement dits rivalisent de déconnade et de méchanceté bien gratuite. Le sapin, le tracteur, la chaise de la vieille, les "christmas carols" revisités, le bar à débauche, Blanche-Neige... Je ris au larmes à chaque fois, et c'est pas faute de le connaître par coeur. Un mini chef-d'oeuvre.

    nicoteyaya - le 30/11/2006
    Un des films qui ont bercé mon enfance : Gizmo est tout simplement adorable et je rêvais d'avoir le même à la maison ! Les Gremlins sont tout aussi réussis, avec leur nature délurée et sadique. Une comédie déjantée, un soupçon d'horreur sans jamais tomber dans le gore, voila un film indémodable qui mérite d'être vu et revu. La preuve, aujourd'hui j'ai 17 et même une dizaine d'années après l'avoir vu pour la premmière fois, il m'éclate toujours autant ! Sans compter que le petit Gizmo m'arrache (presque) les larmes à chaque fois tant il est attendrissant ! 


    Godziphil - le 13/07/2006
    Même maintenant que je met 4 étoiles à ce film, je me demande comment il a peut être rendu aussi connue et comment il a pu devenir un film culte. Les intellos qui s'amusent à déchiffrer les codes de tous les films jusqu'aux pop corn movies disent qu'il s'agirai là d'un acte maso de la part de Spielberg qui aurait produit ici un film qui le parodierait. Peut être, mais à mon avis "Gremlins" marche car c'est un délicieux film de monstre pour enfants ainsi qu'un film de Noël destroy. Aussi, ce film ressemble beaucoup à tous les autres films qui ont fait parti d'une période que j'appelle "80's Spielberg's hysteric production movement", et je ne vois pas pourquoi on devrait l'en démarquer. Et d'ailleurs, on peut facilement voir que Gyzmo, le papa des Furbies, est encore un pur produit de marketting, ce qui confirme mon opinion. Sinon, une autre option serait qu'un type se serait gouré en classant "Gremlins" comme film pour enfants, et ça aurait fait un film d'horreur pour bambins (je dit ça parce que, petit, le film m'a terrorisé), mais bon. A part ça on peut remarquer un scénariste encore inconnu, un certain Chris Colombus... En bref: un des meilleurs pop corn movies au monde, devenu film culte, dont les produits de marketting continue à marcher vingt deux ans après. 

     








    L'effet papillon

    27/06/2007 23:36

    L'effet papillon


    Réalisé par Eric Bress, J. Mackye Gruber
    Avec Ashton Kutcher, Amy Smart, Elden Henson 
    Film américain. Genre : Drame, Fantastique
    Durée : 1h 53min. Année de production : 2003
    Interdit aux moins de 12 ans
    Titre original : The Butterfly Effect

    Résumé :

    Une théorie prétend que si l'on pouvait retourner dans le passé et changer quelques détails de notre vie, tout ce qui en découle serait modifié. On appelle cela "l'effet papillon". Evan Treborn a cette faculté. Fasciné, il va d'abord mettre ce don au service de ceux dont les vies ont été brisées dans leur enfance. Il peut enfin repartir dans le passé et sauver la seule jeune fille qu'il n'a jamais aimée. Mais Evan va découvrir que ce pouvoir est aussi puissant qu'incontrôlable. Il va s'apercevoir que s'il change la moindre chose, il change tout. En intervenant sur le passé, il modifie le présent et se voit de plus en plus souvent obligé de réparer les effets indésirables de ses corrections...

    Critiques spectateurs :

    KID66 - le 28/03/2007
    Avant toute chose, je tiens à dire qu'il est scandaleux de mette 0 ou une étoile à ce film juste sous prétexte que le scénario n'est pas crédible. Ce n'est PAS un argument. Mais je ne suis pas là pour cracher sur les personnes qui ne savent pas donner un seul argument losrqu'ils font le blâme d'un film pourtant culte, je suis là pour critiquer un de mes films préferés. Un de mes films préferés parce que le scénario est est captivant et extrèmement bien ficelé, parce que le jeu des acteurs est extrèmement convaincant, parce que la musique est enchanteresse, parce que les personnages sont rendus très attachants. Chaque film a une fonction, les films d'épouvante, c'est de faire peur, les comédies, c'est de faire rire. L'Effet Papillon rempli excellement bien sa fonction : émouvoir. Les personnages sont attachants, mais ils sont maudits, enfermés dans la perspective que l'un d'entre eux aura un destin tragique. Les thèmes de l'amour et de l'amitié sont maîtres. On arrive ainsi à une merveille du cinéma. Et la cerise sur le gateau, le bouquet final : la fin. Une fin qui fait l'unanimité, une fin où l'émotion est poussé à son extrème, à tel point qu'il est humainement impossible de ne pas verser une larme.
     
    T.A.L. - le 26/02/2007
    Je dépose quatre étoiles sans hésiter car selon moi ce film l'a réellement mérité. Il n'a pas été très bien accueilli par les critiques, excépté TELERAMA qui a aimé!!!! (c'est incroyableuuuuh il va neiger demain) Comme je l'ai vu au cinéma presque par hasard car je n'avais rien d'autre à faire, j'ai été agréablement surprise de voir que ce film était vraiment intelligent. Il est attachant même: il est facile de s'inquiéter pour les personnages principaux, surtout pour la jeune héroïne, qui n'est pas épargnée par la vie... Le héros, pouvant réécrire l'histoire de son existence à l'infinie rien qu'en gommant et rédigeant des faits sur son journal intime, tente par tous les moyens de la sauver, et aussi de se sauver lui-même... C'est un exercice périlleux et torturé dans lequel nous nous retrouvons véritablement balloté de toutes parts, en nous demandant à chaque fois: et cette fois-ci, ça a marché? Je n'ai pu respirer qu'à la toute fin, qui me semble être la meilleure au monde, les deux scénaristes ayant tenu à demeurer justes et réalistes (pour une histoire qui ne l'est pas!) Le héros a trouvé le juste moyen d'arranger les choses sans provoquer le mortel "effet papillon", détruisant son monde. Un film comme ça, tout petit, très modeste, mais digne des plus grands. Scénario en béton pour des acteurs très pertinents. 

    gael_reloaded - le 07/01/2007 
    Encore un 4 étoile pour ce film, je l'ai vu, revu et rerererevu. L'histoire en elle même n'est pas vraiment nouvelle et rappelle étrangement les « back to the future » où on voit que changer le passer peut avoir des conséquences plus ou moins dramatiques sur le futur voir même de se créer un nouveau futur tout à fait parallèle. Néanmoins, l'idée directrice de ce film a été bien menée par les réalisateurs et on passe près de 2 heures à espérer que tout s'arrangera... Que dire de plus il y a deux fin, le director's cut est plutôt tourné vers l'espoir puisqu'on y voit l'acteur principal voyant la fille pour laquelle il a été amoureux "dans ces autres vies" et la deuxième est beaucoup moins intéressante et m'a beaucoup frustré car on y voit le bébé qui décide de nourrir dans le ventre de sa mère à réfléchir quant à cette décision puiqu’elle saborde l’idée du film et nous montre qu’il n’y a plus d’espoir de sauver qui que ce soit. Ce film je le conseille,il est à avoir dans sa DVD thèque c'est évident. N'oublions pas que le passé ne peut être changé et qu'il faut tout faire au présent pour rendre ceux qui nous entourent les plus heureux possible. 

    chamboul - le 02/08/2006
    En voyant l'affiche de ce film je m'attendait à un film plutôt moyen, les acteurs ne sont pas connus( a part peu etre Ashton Kutcher, qui commence à être connus après ses quelques rôles dans Piège fatal et In love). En plus de tout cela les critiques en général ne disait pas que du bien de ce film. J'ai quand même voulu voir ce film et j'ai été impressioné par la qualité de ce film, car certes si les acteurs ne sont pas connus ils jouent leurs rôles a la perfection (Ashton Kutcher, Amy Smart en particulier), tout cela accompagné d'une très bonne musique et évidement un scénario exceptionnel pendant plus de 1h30 on peut pas décrocher telement on est prit dedans, on se demande comment sa va finir, et à la fin on est quand même un peu surprit. Bref pur un film qui à la base devait être un simple divertissement à la limite du série B, il s'avère que c'est un excellent film, digne de devenir un film culte.

    Le_cinephile_du_35 - le 16/03/2006
    Un film plus qu'incroyable!!!! Un scénario (euh dur de parler de scénario enfin vous me comprenez lol) en béton! L'intérêt de ce film est surtout posé sur le fait qu'à chaque fois qu'il change quelque chose, cela à une conséquence (souvent négative d'ailleurs) sur une autre! Les acteurs sont vraiments excellents de ce film et honte à ceux qui lui ont collé 0 étoile (genre de personnes qui mettent 4 étoiles au film "Les Dalton"...) La Bande-Son est très très bien choisie! Un des meilleurs films de ces 4 dernières années! Un film à voir et à revoir!!!!








    Link

    21/11/2007 07:57

    Link


    Réalisé par Richard Franklin
    Avec Elisabeth Shue, Terence Stamp, Steven Pinner 
    Film américain, britannique. Genre : Fantastique
    Durée : 1h 55min. Année de production : 1985

    Résumé :

    Une étudiante en anthropologie obtient pour l’été un poste d’assistante auprès d’un de ses enseignants, installé dans une maison isolée en bord de mer qu’il occupe avec deux chimpanzés et un vieil orang-outan. Peu après son arrivée, elle apprend que le professeur a décidé de se débarrasser de deux de ses singes, de plus en plus agressifs.

    Critiques spectateurs :

    albinou26 - le 07/02/2007

    Je mets 4 etoiles pour compenser un peu la mauvaise note qui a été donnée car elle est tres severe. J'ai regardé ce film avec mon amie et nous avons vraiment apprécié. J'adore car cela commence comme une comédie et se termine en bain de sang... Les 1h45 du film passe a ma grande surprise tres vite. Le couple d'acteurs est tres convaincant, et les scenes avec les singes sont vraiment bien faites.Ces derniers sont assez impressionants et on comprend rapidement la puissance physique qu'ils peuvent dégager. Bref j'ai vraiment été tres agréablement surpris par cet excellent film que je conseille a tout le monde. 

    Le Marquis

    Petit classique des années 80, LINK retrouve les qualités si spécifiques au fantastique australien (rythme posé, montage tout particulièrement soigné, exploitation et mise en scène des grands espaces en opposition avec des situations ponctuelles de huis-clôs…). N’hésitant pas à prendre son temps pour agencer un suspense peu porté sur les séquences spectaculaires, Richard Franklin laisse à ses personnages le temps de prendre une réelle consistance.
    Dans le registre du film d’agression animale, LINK est plus qu’un film honorable, c’est une très belle réussite, détachée de l’esthétique branchée des films de l’époque (le film n’a pas pris une ride). Sa mise en scène efficace et l’intelligence de son traitement (situation réaliste, scènes d’agression brutales et très crues) valent très largement le détour. C’est, du reste, l’un des meilleurs films du cinéaste, par ailleurs réalisateur de films souvent très intéressants – PATRICK, grand prix à Avoriaz (Franklin a pourtant souvent fait mieux), un PSYCHOSE II sur lequel on a beaucoup craché (sacrilège !) mais qui était pourtant très respectable…


    Stéphane Pons

    Fable horrifique sur les rapports étranges que les hommes peuvent tisser avec les animaux et les chimpanzés en particuliers, « Link », malgré des moyens réduits, propose un huit-clos assez surprenant et intéressant. Prenons une demeure de bord de mer un rien austère et isolée, un anthropologue spécialiste des primates un brin dérangé, une étudiante pleine de dévotion pour son maître et en recherche d’un job d’été, 3 chimpanzés plutôt hors normes, touillez le tout durant une heure quarante et vous obtenez « Link », un bon thriller horrifique, mené tambour battant. Etrangement, si le suspense réside évidemment dans le fait de savoir s’il y aura des survivants ou pas au carnage, on découvre un petit bijou de l’horreur, et parfois du gore, jouant souvent sur les rapports de forces tissés entre le maître, son élève et les chimpanzés (entre eux y compris). La performance de Terence Stamp est une fois de plus à signaler et la mise en scène de Richard Franklin adopte même parfois quelques plans assez inédits pour l’époque. On soupçonne aussi ce « Link » d’avoir discrètement influencé pas mal de productions des années 1990-2000 agissant dans le même créneau. A noter, les performances d’acteurs des chimpanzés qui nécessitèrent sans doute quelques heures de dressages intensif. A ce propos, deux scènes avec le chimpanzé Link resteront dans les mémoires : celle de l’accueil de Jane dans la maison du prof vaut son pesant de cacahouètes ainsi que le dernier salut au-dessus du brasier finalement destiné à tous les révoltés de la planète (clin d’œil à Frankenstein ?) qui procure aussi pas mal d’émotions. Bref, c’est très surprenant et revigorant.

    Walter Paisley

    Excellent film que ce Link, malheureusement assez inconnu du public. Pourtant, aucun défaut majeur n'est à signaler dans cette série B désignée pour les soirées télé... Le ton, s'il ne verse pas non plus dans des gags faciles qui auraient pu être commis en rapport avec la présence d'un singe comme personnage principal, est avant tout basé sur l'humour. Etrange que de voir ce singe tyranniser à ce point les humains. Juste retour des choses, presque. Du reste, l'orang-outang se comporte presque entièrement comme un humain. Jusqu'à aller mater Elizabeth Shue sous la douche ! Et il possède même une certaine classe et un sang-froid naturel contrastant avec l'habituelle hystérie des singes bondissants que l'on nous montre au cinéma.
    Bref une sorte de boogeyman naturel aux fortes connotations comiques. Mais qui pourtant, à force de se comporter en humain, n'est pas sans mettre le spectateur et les protagonistes assez mal à l'aise... Sous ses dehors amicaux d'orang-outang (un animal qui inspire tout de suite la sympathie), Link cache quelque chose de violent, de radicalement opposé avec son apparente innocence. Il n'est donc pas non plus sans évoquer le Damien de La Malédiction.
    Mais pourtant, au-delà d'un film "de personnages", Link est aussi un modèle de réalisation. Limite hitchockien pourrait-on dire (d'ailleurs ce n'est pas un hasard si le réalisateur s'était trois ans auparavant rendu coupable du pas si mauvais Pyschose 2). Ni tout à fait comique ni tout à fait sérieux, avec un huis-clos dans une maison reculée. Comme si celle-ci était assiégée de l'intérieur, en fait ! Pas de sortie possible pour les protagonistes, avec un singe menaçant et jaloux pour seule compagnie...
    La lumière est également très belle, tributaire de la proximité de l'océan qui donne un charme très "Cornouailles" à l'ensemble. Du reste, Franklin, le réalisateur, ne se prive pas pour nous montrer l'environnement naturel de la maison. Un peu comme Hitchcock dans Les Oiseaux, quelque part. Si l'on ajoute que Link représente un singe (donc une représentation de l'homme du temps où celui-ci n'était pas encore le citadin qu'il est devenu) se rebellant vis-à-vis de ses maîtres, on peut dès lors dire que Link est un film nous montrant avec une certaine légèreté ironique la nature reprenant ses droits sur l'homme...

    Anonyme

    Link constitue l'un des films les plus originaux réalisés sur le thème de l'animalité. Entre la bête devenant plus humaine, et l'homme devenant bestial, la frontière est parfois mince. Et le réalisateur Richard Franklin parvient à exploiter parfaitement cette frontière changeante, dans un excellent film fantastique, classique du cinéma de genre des années 80. Une oeuvre dont la structure hitchcockienne fait largement écho au Psychose du maître Alfred Hitchcock, avec sa maison isolée, son propriétaire mystérieux et une jeune femme perdue. Et le tout contribue à créer une atmosphère oppressante et un suspense haletant, parsemé de touches d'humour noir salutaires.

    Natalys Raut-Sieuzac et Jean Thooris

    Une ou deux fois pas an, on repère le nom de Richard Franklin collé à la confection d'un téléfilm de troisième zone. S'en offusquer serait accorder trop d'importance à des cinéastes n'en méritant pas tant. Car il suffit de préciser que Richard Franklin débuta sa carrière en écrivant le script de Psychose 2 (purgatoire !) puis en réalisant l'avoriazé Patrick, un pompage de Carrie, pour se faire une idée de la jeunesse tourmentée du gaillard : on raconte qu'Hitchcock en personne lui changeait les couches ! Le vote du jury serait clos si, entre deux hommages maladroits au gros Alfred, Franklin n'avait réalisé Link, un coup de bol. Dans nos souvenirs, un sacré bon film, ce Link. Dix-huit ans après La Planète des singes (celui de Schaffner, hein !) et deux avant Incidents de parcours (l'un des meilleurs Romero), Richard Franklin reprend à son compte l'idée suivante : les singes, ça fait peur. Très conscient des règles du suspense, Link isole une charmante étudiante (Elisabeth Shue, déjà excellente) dans un manoir tenu par un savant spécialisé dans les guenons. Le savant disparu, un jeu de cache-cache entre la femme et le primate se met en place. Attention : ici, le singe n'est clairement pas identifié à un psycho-killer court sur pattes, et l'étudiante ne passera guère l'heure trente du film à repousser les attaques poilues du primate. Au contraire, une partie érotique, tout en non-dit et regards lourds d'envies renfrognées, unira la femme et le singe dans ce qui n'est, au fond, qu'une énième variation sur l'instinct et le désir. Celle-ci se révèle suffisamment originale pour être signalée...






    Frankenstein

    21/11/2007 08:34

    Frankenstein


    Réalisé par Kenneth Branagh
    Avec Robert De Niro, Kenneth Branagh, Tom Hulce  
    Film américain. Genre : Fantastique
    Durée : 2h 8min. Année de production : 1994
    Interdit aux moins de 12 ans
    Titre original : Mary Shelley's Frankenstein

    Résumé :

    Le jeune savant Victor Frankenstein est persuadé que la science peut venir à bout de tout et même créer la vie. Il s'attèle à cette tache avec ardeur et crée à partir de morceaux de cadavres un être humain qui sera acculé par sa différence à la méchanceté.

    Critiques spectateurs :

    ptitmayo - le 21/02/2007
    Ames sensible s'abstenir, ce film ne fait pas dans la dentelle. La scène de création de Frankenstein est un peu gore et la manipuation dela chair n'est pas quelque chose qui se regarde facilement. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce film nous remue, et on aime cà car, derrière la monstruosité de la créature(Danny de Vito exceptionnel) se cache un homme doté de sentiments. Ce film est donc finalement une réflexion sur les limites de la science: jusqu'où on doit aller?? quelle frontière il ne faut pas franchir??. Kenneth Branagh est épatant dans le rôle du créateur mais égalemnt en tant que réalisateur: son film baigne dans une atmosphère lugubre et froide, propice au sujet du film. Excellent film.
     
    pricks - le 12/05/2007
    Très bon film, grand jeu d'acteur. Par contre, dans les autres critiques, bien qu'on laisse croire, j'ai bien l'impression que (presque) personne ne connait le roman. C'est l'adaptation la plus proche qu'il n'y ai jamais eu du roman, mille fois plus que tous ces "retour, vengeance, femme de, etc..." de frankenstein. tout le monde pense trop que l'original est celui de 1931, fait par je ne sais plus quel cineaste, mais qui n'en reste pas moins un grand chef d'oeuvre cinematographique.
     
    tomsdiniro - le 07/10/2006
    Apres dracula, coppola recidive avec cet adaptation litteraire du mythe frankenstein mais laisse la reailsation au britannique kenneth branagh.Le resultat en est tout aussi magnifique. Le film repose sur le genie du realisateur mais surtout sur l'interpretation de Mr De Niro. Son jeu est sobre mais degage une grande humanité. Il parle doucement ,ne tombe jamais dans l'exces. une interpretation des plus memorables qui atteint la perfection.
     
    Catomano - le 20/03/2005
    Le sujet a été exploité au cinéma maintes fois mais j'ai trouvé ce film superbe et assurément le plus réussi de tous ceux réalisés sur ce même thème. Je n'ai pas compris la critique de la Presse qui semble s'être acharnée vis à vis de cette réalisation. La fin n'a rien à voir avec celle du roman mais elle a le mérite d'être originale et elle ne discrédite pas le film.


     
    oregann - le 02/03/2005
    Un film magnifique, avec un magnifique Kenneth Branagh, fringant et plein de panache, qui réalise ici une version gothico-romantique très humaine et pleine d'élan du roman de Mary Shelley. De Niro est à la fois touchant et effrayant, et le reste de la distribution nous livre une performance impeccable. La mise en scène est imposante et la musique est excellente. Un de mes films préférés.
     






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