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Lu en 2007
28/04/2007 14:05
Quinn vit dans le domaine Blackwood, une ancienne demeure coloniale comme semble les affectionner Anne Rice. Cette maison, beaucoup trop vaste pour le nombre de personnes qui y vivent désormais, fut en son temps absolument somptueuse – et elle a de très beaux restes. Depuis son enfance, le jeune homme partage son temps et ses jeux avec une sorte de double, Gobelin. D'aucun diraient que c'était un enfant solitaire, et que Gobelin n'est qu'un ami imaginaire, mais nous savons – et Quinn aussi – qu'il n'en est rien. D'où vient Gobelin, nous l'ignorons, mais il s'est toujours montré affectueux envers son double humain. En grandissant, Quinn s'aperçoit que divers fantômes hantent la maison, plus ou moins sympathiques et plus ou moins palpables. Ils n'effraient guère le jeune homme, pas davantage que sa tante Reine, une exquise vieille dame qui ne vit que pour sa passion des camées. Alors que Quinn vient de rencontrer une charmante jeune fille du nom de Mona Mayfair (que ceux qui ont lu la trilogie des Sorcières commencent à connaître intimement), dont il tombe éperdument amoureux, une autre présence se met à hanter le marais, et ce n'est pas un fantôme: c'est un vampire. Transformé contre son gré, Quinn s'aperçoit avec horreur que son double n'est plus du tout affectueux ; Gobelin est devenu assoifé du sang qui nourrit son frère, et extrêmement dangereux. A court d'options, Quinn s'adresse à la seule personne qu'il pense pouvoir l'aider. Et oui, vous l'avez deviné, notre ami Lestat en personne, dont il a appris l'existence par ses livres.
Genial !!!
J'ai lu quelques critiques il y a quelques minutes et apparament beaucoup de lecteur ne l'on pas aimer (ce n'est pas mon cas) je l'est trouver passionnant rien à voir avec Memmock le démon ou Merrick ...et j'en redemande !!!
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L'OVNI de Trans-en -provence
28/04/2007 14:43
En haut : Croquis des lieux ou l'objet s'est posé
En bas à gauche : Croquis du témoin de Trans en Provence. L’engin est de couleur grise comme du zinc, n’émet ni flamme ni fumée et a une dimension d’environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L’ensemble de l’observation a duré de 30 à 40 s.
En bas à droite : Traces laisser par l'engin
TRANS EN PROVENCE 1981 Le 8 janvier, un homme travaille sur une terrasse de sa propriété lorsque son attention est attirée par un sifflement qui provient d'un engin en train de descendre vers le sol. L'engin se pose en contrebas de la terrasse entre 30 et 70 m de lui avec un bruit sourd et repart très rapidement après quelques secondes selon une trajectoire verticale qui s'incline légèrement avant de disparaitre à grande vitese aux yeux du témoin. Sous l'engin, le témoin aperçoit des formes circulaires prohéminentes comme des pieds. L'engin de couleur grise comme du zinc, n'émettait ni flamme ni fumée et avait une dimension d'environ 2,5 m sur 1,70 de hauteur, il était circulaire, avec sur son diamètre une bande plus épaisse. L'ensemble de l'observation a duré de 30 à 40 secondes. Lorsque le témoin s'approche du lieu d'atterrissage il constate une trace d'environ 2 mètres de diamètre sur le sol. La gendarmerie intervient le 9 janvier, auditionne le témoin, constate la trace sur le sol, les photographie, et procède a des prélèvements d'échantillons de terre et de luzerne sauvage prélevés de façon progressive sur la trace et autour de celle-ci. Les analyses de sol ont été confiées par le GEPAN à quatre laboratoires différents qui ont effectué des analyses selon des techniques différentes et apporté chacun un point de vue complémentaire. La synthèse de ces analyses permet de confirmer un tassement significatif du sol montrant la présence d'un corps pesant ayant laissé un léger dépôt de fer, d'oxyde fer, de phosphates et de zinc. Un échauffement significatif inférieur à 600° a également été détecté. Les analyses biochimiques des échantillons de luzerne ont montré des dégradations multiples des plantes corrèlées avec leur distance à la trace. Les causes de ces dégradations n'ont pas été déterminées mais l'hypothèse d'un champ électrique intense peut être envisagée. Nul doute qu'un phénomène de grande ampleur s'est produit ce jour là, et que la matérialité de l'observation est hautement probable.
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Rencontre du troisiéme type à Cussac
28/04/2007 15:40
CUSSAC 1967
Le cas de Cussac intervenu 11 ans avant la création du GEPAN, a été sélectionné comme représentatif d'une rencontre rapprochée du 3ème type (RR3). Ce n'est donc qu'en 1978 que le GEPAN décide de réaliser une enquête sur ce cas qui reste l'un des plus étonnants observés en France. Le 29 août 1967, un garçon de 13 ans et sa soeur de 9 ans gardent le troupeau de vaches familial à proximité du village. Le garçon aperçoit soudain à 80 mètres de lui environ dans un pré voisin quatre petits êtres noirs d'environ 1m20 qu'il prend d'abord pour des enfants. Ces êtres sont à proximité d'une sphère posée sur l'herbe. Le garçon appelle sa soeur "Oh il y a des enfants noirs !". Les deux enfants regardent les êtres insolites qui s'agitent et s'élevent dans les airs pour rentrer dans la sphère par le haut et la tête la première. Simultanément, la shère commence à s'élever dans les airs et le dernier être, qui était revenu prendre quelque chose au sol, rejoint la sphère alors que celle-ci a déjà largement dépassé la cime des arbres. La sphère monte d'abord silencieusement en spirale sur 4 à 6 tours de diamètre croissant avant de disparaître rapidement avec un sifflement. Pendant l'ascension, la sphère devient de plus en plus brillante jusqu'à devenir aveuglante et une forte odeur de soufre subsite après le départ. Les enfants, très effrayés rentrent en pleurs à la ferme avec les animaux. Le père contacte immédiatement la gendarmerie. Sur les lieux, les gendarmes constatent l'odeur de soufre et le dessèchement de l'herbe à l'endroit présumé de l'atterrrissage de la sphère. Le garde champètre, qui n'a pas été témoin de l'observation, a également entendu le sifflement et a constaté la forte odeur de soufre qui a persisté jusqu'au soir. L'enquête menée par le GEPAN onze ans plus tard a montré que les descriptions faites sont en parfaite cohérence avec celles faites en 1967, les mesures au théodolite permettront d'évaluer à 5 m environ le diamètre de la sphère. La durée du sifflement évaluée séparément par les 3 témoins qui l'ont entendu est cohérente et ceux-ci ont reconnu, parmi un échantillonnage de plusieurs odeurs, celle qui avait accompagné le départ de la sphère.. Aucune explication rationnelle n'a été donnée à ce jour de cette rencontre exceptionnelle entre des enfants et des êtres insolites dont il est impossible de nier le comportement intelligent et semblant disposer d'une technologie qui nous est inconnue.
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Alien, le retour
28/04/2007 16:12
Réalisé par James Cameron Avec Sigourney Weaver, Michael Biehn, Lance Henriksen Film britannique, américain. Genre : Fantastique, Action, Science Fiction, Epouvante-horreur Durée : 2h 17min. Année de production : 1986 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : Aliens
Resumé :
L'officier Ellen Ripley après cinquante ans de dérive dans la stratosphere part de nouveau en mission sur la planete Acheron. Ce n'est plus un Alien qui l'attend mais ses nombreux enfants terribles gouvernés par une reine-mère possessive.
Critiques spectateurs :
Santo_eo - le 22/04/2007 Ce film est un chef d'oeuvre! Un film culte qui mérite bien plus que quatres étoiles. Le style visuel est merveilleusement bien fait! Merci, monsieur Cameron, pour ce chef d'oeuvre exquis!
MovieWolfie - le 15/04/2007 Une suite bien ficelée, mais encore plus époustouflant que le premier.
Denzelplus - le 09/04/2007 Une suite toujours impressionnante et des scènes vraiment spectaculaire. Avec un scénario qui est une fois de plus excellent et une Sigourney Weaver qui joue toujours avec brio Ellen Ripley. Les seconds rôles sont tous excellents, et notamment la " petite Duke ". La scène finale avec la reine est d'anthologie. Une suite réussit. Une saga qui continue à merveille.
ClashDoherty - le 05/04/2007 Un des plus grands films d'action jamais faits ! A voir absolument dans sa version longue. James Cameron n'a jamais été aussi bon que dans les films burnés, snas prise de tête, à l'image de "Terminator 2" ou "True Lies". Ce "Aliens" (dont le titre montre bien qu'il n'y à plus un seul Alien, mais plusieurs Aliens !) est monumental, un pur moment de cinoche jouissif bien viril, bien au niveau du pantalon. Laissez votre cerveau au vestiaire, ça vaudra mieux !!!
Mr.Sheik - le 22/03/2007 2ieme film d'une grande saga;là c'est le combat,la violence...l'horreur quoi.Rien à voir avec le 1er et c'est tant mieu,en voila un qui a compris qu'il est bon de consserver la trame principale mais de lui faire changer de registre mais surtout de rythme!Un régal.
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L'observation du vol AF 3532
28/04/2007 16:55
En photo :
En haut L'Airbus A320-111 F-GFKG
En bas le commandant Jean-Charles Duboc
Le vendredi 28 janvier 1994 les 24 passagers de l'Airbus A320-111 piloté par le commandant Jean-Charles Duboc s'envolent de Nice à destination de Londres.Observation Il est 13 h 13. Duboc raconte :
Nous sommes en vol de croisière vers Coulommiers 1, à 11 700 m d'altitude, par d'excellentes conditions métérologiques, avec une visibilité de 200 à 300 km 2 et une couverture nuageuse d'alto cumulus recouvrant la région parisienne. Un stewart se trouve dans le poste de pilotage à cet instant. C'est lui qui voit le 1er un objet dans le ciel. Il s'exclame : Un ballon météo ! Ma copilote Valérie CXXXXXX l'identifie elle-aussi, dans un 1er temps, comme un ballon météo. Je suis le 3ème et le dernier à le voir. Par contre, je l'identifie comme étant un avion en virage à 45 ° d'inclinaison, en fait avant qu'il n'ait les ailes à l'horizontale... L'excellente visibilité me permet ensuite d'estimer que cet objet plutôt étrange est à une distance de 46 km 3, à une altitude d'environ 10 500 m 4 dans nos 10 h, c'est-à-dire au nord-ouest, pratiquement à la verticale de Paris. Comme nous poursuivons notre route et que nous maintenons notre cap, nous l'avons alors dépassé et je peux remarquer sa couleur rouge brunâtre, avec des bords légèrements flous, et surtout une taille immense que j'estime à près de 1000 m de diamètre 5 pour une épaisseur de 100 m ! En effet, à une telle distance, un avion de ligne n'est qu'un point minuscule ! Cet objet semble être un gigantesque disque, sans détails apparents, ni aile, ni gouvernes ou moteurs, que nous pouvons voir sous plusieurs angles pendant près de 1 mn.
La copilote, elle, voit la lentille se flouter puis évoluer vers une forme de "chevron". Alors que Duboc considère que l'objet était quasi-immobile et que son avion l'a dépassé (sans mentionner de changement de taille, toutefois), elle considère qu'il se déplaçait à la vitesse de l'avion, restant toujours à peu près à la même position à gauche de l'avion.
L'objet passe non loin de l'avion, en-dessous de lui.
Lorsque nous le laissons sur l'arrière gauche de notre appareil, je le vois soudain devenir transparent et disparaître sans bouger. Nous contactons immédiatement le centre régional de contrôle de Reims pour savoir s'il dispose d'informations radar sur ce que nous avons vu.
Le contrôle aérien, qui a été en relation radio avec l'avion, leur demande de faire un rapport circonstancié sur cette affaire, mais ils ne le feront pas :
Comme il me semblait difficile de témoigner sur un tel phénomène mystérieux et inexpliqué, j'ai refusé, dans un premier temps, d'écrire un rapport sur cette étrange rencontre.
L'avion arrive à Londres 1 h plus tard.
Le Centre régional de la navigation aérienne (CRNA) Nord instruit le cas du vol AF 3532 (il n'en aura traité que 3 depuis 1992, bien que traitant 3000 mouvements par jour). Le CODA fait transmettre au pilote l'obligation de déposer un compte-rendu à la gendarmerie, mais Duboc ne le fait pas.
Enquêtes SEPRA
Acte 1
Jean-Jacques Vélasco, qui n'a pas entendu parler de l'affaire, se rend un jour au CCOA au sujet d'une autre affaire. Le capitaine chargé de cette dernière lui communique le dossier en question et lui demande : Est-ce que vous êtes au courant de l'affaire du 28 janvier 1994 ? Vélasco n'a pas été informé de cette affaire. Il la classe d'abord comme PAN C : pas assez d'informations.
Paris-Match (1997)
Jean-Pierre Biot, journaliste et ancien pilote de l'armée de l'air, demande et obtient plus d'informations. Le 13 février, il parle de l'affaire dans Paris-Match. A l'occasion, Duboc apprend que le CCOA a enregistré au même moment une piste radar initiée par le centre de contrôle de Cinq-Mars-la-Pile correspondant au lieu et à l'heure au phénomène observé. Selon l'article, la piste radar croiserait bien la trajectoire du vol AF 3532 et ne correspondrait à aucun plan de vol déposé :
C'est un article paru 3 ans après cet incident, le 13 février 1997, dans la revue Paris-Match, qui m'obligera à sortir de mon mutisme et à rédiger un rapport, 8 jours plus tard, à l'intention de ma hiérarchie et des autorités du SEPRA au CNES de Toulouse, pour corriger quelques erreurs et apporter des précisions sur cette rencontre. Cet article m'a aussi appris que cet immense objet dans le ciel parisien a laissé une signature radar enregistrée par les installations militaires de Taverny.
Duboc s'estime relevé de son devoir de réserve et écrit à Vélasco, le 27 février.
Enquêtes SEPRA
Acte 2
Pistes GA et AJ 653 d'après les enregistrements radar du CCA de Cinq-Mars-la-Pile (Reims) [3] En 1999 débute l'enquête officielle du SEPRA. Hormis le stewart, 3ème témoin, qui n'est pas retrouvé (la composition des équipages d'Air France n'est conservée que 3 ans), Duboc et la copilote, Valérie XXXXXXXX, sont rencontrés et interrogés par téléphone à plusieurs reprises, jusqu'au 14 juin 2000. Au cours de cette période et au fil des calculs, les données relatives à la taille, distance vont évoluer.
D'abord la position, déclarée par Duboc à 10 h (30 ° devant) au début et 8 h (30 ° en arrière) à la fin de l'observation, implique que les 2 positions de l'avion au début et à la fin de l'observation forment avec l'objet un triangle aux angles de 60 °. L'avion de Duboc ayant parcouru 11 miles nautiques pendant l'observation (2 mn maximum, à à 330 noeuds), le triangle équilatéral ainsi formé devrait impliquer aussi une distance de 11 miles nautiques avec l'objet, et non 25. Ceci amène à corriger le témoignage en envisageant que 1) l'angle de vision de début et de fin de l'observation était plus faible ou 2) l'objet n'était pas immobile mais en mouvement, à une vitesse de 420 noeuds (ce qui ne colle pas avec la trace radar non identifiée à 180 km/h). Quoi qu'il en soit, ces éléments donnent un poids supplémentaire au témoignage de la copilote, qui a vu l'objet constamment vers 9 h, et donc en mouvement dans la direction opposée.
L'extrapolation de taille faite à partir de la dimension apparente donnée par Duboc est également revue à la baisse. Indépendamment de la 1ère estimation de 1000 m donnée par Duboc, l'analyse de la dimension apparente donnée (la moitié du diamètre de la Lune, soit 15 mn d'arc) indique un rapport de 0,004 entre taille et distance, soit 200 m si l'objet était bien à 25 miles nautiques, près de 90 m s'il était à 11 miles nautiques, 40 cm s'il était à 100 m, etc.
Dans le même temps Velasco se rend au CCOA de Taverny pour superposer le témoignage avec des données radar. Les pistes de l'avion et de l'écho non identifié sont examinées. Ce dernier a été détecté par le radar d'azimut, mais pas celui d'altitude. Alors que l'avion évoluait à 330 noeuds (200 km/h, puis à 150 km/h puis à 0 km/h), et d'une taille estimée entre 200 et 300 m (inférieure donc aux estimations de l'équipage). Seule l'altitude ne peut être confirmée (non détectée) par le radar, qui a également détecté la "disparition" de l'objet (non détecté au "tour" de 10 s suivant) au bout de 50 s. D'après Vélasco, les investigations menées au CCOA permettent d'exclure l'hypothèse du ballon météorologique.
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Rencontres du Troisiéme type
28/04/2007 17:18
Réalisé par Steven Spielberg Avec Richard Dreyfuss, François Truffaut, Teri Garr Film américain. Genre : Science fiction Durée : 2h 15min. Année de production : 1977 Titre original : Close Encounters of the Third Kind
Resumé:
Des faits étranges se produisent un peu partout dans le monde : des avions qui avaient disparu durant la Seconde Guerre mondiale sont retrouvés au Mexique en parfait état de marche, un cargo est découvert échoué au beau milieu du désert de Gobi. Dans l'Indiana, pendant qu'une coupure d'électricité paralyse la banlieue, Roy Neary, un réparateur de câbles, voit une "soucoupe volante" passer au-dessus de sa voiture. D'autres personnes sont également témoins de ce type de phénomène : Barry Guiler, un petit garçon de quatre ans, est réveillé par le bruit de ses jouets qui se mettent en route. Cherchant à savoir d'où proviennent ces ovnis, Roy Neary se heurte aux rigoureuses consignes de silence imposées par le gouvernement fédéral. Obsédé par ce qu'il a vu et hanté par une image de montagne qu'il essaie désespérément de reconstituer, il est abandonné par sa femme Ronnie et ses enfants. Il n'y a que Jillian, la mère de Barry, qui le comprenne. Parallèlement à ces événements, une commission internationale conduite par le savant français Claude Lacombe s'efforce d'en percer le mystère. Une évidence s'impose bientôt à eux : une forme d'intelligence extraterrestre tente d'établir un contact avec les Terriens.
Critiques spectateurs:
Mafia76 - le 23/04/2007 Rencontre du troisième type est le premier film de Steven Spielberg sur les extra-terrestres. L’ambiance du film est unique, l’intrigue est saisissante et le paranormal omniprésent. Un véritable spectacle en son et lumière. Spielberg repousse toutes les limites de ce que nous aurions pu imaginer !!! Grandiose.
fan-de-kubrick - le 06/04/2007 Aventure et magie se rejoignent dans ce film de science-fiction, signé Steven Spielberg, cinéaste alors encore très jeune, qui réalise ici un pur chef d'oeuvre. La quête de l'inconnu est euphorisante et certaines scènes sont tous simplement remarquables. De la folie qui atteint Richard Dreyfuss au dérèglement familial (thème très récurrent par la suite chez Spielberg), en passant par une critique de la science et des médias, Rencontres du 3e type est une grande réussite, une merveille du genre.
hartman - le 04/04/2007 Je comprends qu'on puisse ne pas aimer mais ça reste un chef-d'oeuvre. Les effets spéciaux ont 30 ans mais paradoxalement cela leur donne un charme nouveau. Une poésie aujourd'hui disparue. Le rythme est lent? Et oui! C'est pas Godzilla! Le jeu de Truffaut est à pleurer de rire ? Et bien je pleure de rire à chaque fois! Richard Dreyfus est très bon surtout dans les scènes de familles. Son petage de plombs est toujours aussi délirant! Je trouve l'idée de la communication universelle par la musique et les couleurs très intéressante et esthétique. Je ne comprends pas pourquoi beaucoup cherche un message particulier dans le film. Son coté mystérieux et mystique me suffit amplement.
39700 - le 05/02/2007 Spielberg nous offre là un très beau spectacle, avec un film de science-fiction d'une rare beauté et d'une rare intelligence. On est bien loin du genre "Alien" dans cette rencontre "magique" entre les hommes et les extraterrestres. Beaucoup d'émotion se dégage de ce film merveilleux. A noter les quelques notes de musiques permettant de communiquer avec les extraterrestres, qui sont inoubliables.
woodywaters - le 13/11/2006 Dans le genre, un des seuls films qui se rapproche de 2001: l'odyssée de l'espace. Vraiment, on s'attend à de la science-fiction, mais c'est aussi un beau panorama de la vie d'un homme ordinaire qui chamboule à cause de la visite de vaisseaux spatiaux. Visuellement, c'est une totale réussite, c'est tout simplement magnifiquement beau. La musique et les silences appuient le film du début à la fin et on n'est que ravi par la présence de François Truffaut. Du Spielberg à son meilleur.
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Le cas dit des amarantes
28/04/2007 17:41
En photo :
En haut : Trajectoire de l'objet (Arrivée & Départ)
En bas : Croquis de l'appareil et reconstitution
Le cas dit des amarantes (1) est un événement exceptionnel survenu en France. Il est remarquable pour deux raisons. D’abord à cause de la condition sociale du témoin, ou plus précisément de sa fonction : il est en effet chercheur en biologie cellulaire. Ensuite pour la durée et la précision de l’observation.
Le 21 novembre 1981 à midi, au centre de la petite ville de Laxou (2) (proche de Nancy), Marc V., trente ans, entretient avec soin -selon son habitude- son minuscule jardin d’agrément. Le ciel bleu est libre de tout nuage. A midi 35, il aperçoit, brillant dans le soleil, un objet volant qui descend tout à coup en direction de son pavillon. L’objet stoppe sa course au milieu du jardin, à un mètre du sol et à faible distance du témoin (celui-ci, sous l’effet de la surprise, a fait quelques pas en arrière). Cette sustentation va se maintenir de longues minutes. Dès qu’il est remis de sa surprise, Marc V. s’approche de l’engin inconnu qu’il examine avec attention. L’une des spécificités de son métier étant l’observation, il va en donner une description exceptionnellement précise. L’objet est circulaire et d’apparence métallique. Son diamètre est d’environ 1 mètre cinquante, son épaisseur de 80 centimètres. Dans ce jardin grand de dix mètres carrés, il parait presque énorme. Faute de pouvoir lui trouver une ressemblance quelconque avec un objet familier, il sera comparé à deux couvercles de lessiveuse plaqués l’un contre l’autre. Sa partie inférieure comporte un méplat et offre un aspect métallisé rappelant le béryllium aux yeux du témoin. La partie supérieure, également bombée, est de couleur «bleu-vert lagon». La jonction des deux parties est d’un usinage si parfait qu’elles semblent ne former qu’une seule pièce. L’objet parait pesant (dans le rapport de gendarmerie on trouve la phrase «la masse volumétrique me paraissait très lourde»). Un enquêteur du GEPA a tenu à préciser : «On peut signaler que plus le phénomène se rapproche, plus la description et l’évaluation de sa forme est précise, mais également aussi que le discours évolue du familier vers l’inconnu». Après quelques minutes d’hésitation, Marc V. quitte le jardin pour se saisir d’un appareil photo qu’il sait pourvu d’un film couleur. A son retour, l’objet n’a pas bougé. Mais il essaiera sans succès de prendre une photo, son appareil n’étant pas très fiable. La sustentation immobile de cette apparition insolite dure 20 minutes. Le témoin a le temps de l’observer sous plusieurs angles et de s’en approcher doucement jusqu’à une cinquantaine de centimètres. Il se penche alors pour regarder le dessous et découvre le méplat qui évoque un peu une base d’appui. L’objet, parfaitement silencieux, ne dégage ni chaleur ni froid. Monsieur Marc V. ajoutera une autre information qui a paru curieuse à certains. Il a déclaré en effet que l’objet ne dégageait ni magnétisme, ni électromagnétisme : précision un peu surprenante compte tenu des conditions de l’observation. Mais cette précision n’était en fait qu’une réponse à la question posée par un gendarme : «Vous êtes-vous senti attiré par une sorte de magnétisme (3)?
Après vingt longues minutes d’immobilité (4), l’objet s’envole brusquement à la verticale, sans aucun bruit ni sifflement dus à la friction de l’air. Les roses trémières les plus proches, que leur longues tiges rend particulièrement sensibles aux mouvements de l’air, n’ont pas bougé. La vitesse ascensionnelle de l’objet -qui semble «aspiré»- est considérable : «Cet appareil est reparti à une vitesse qui ne correspondait pas à une vitesse... ça ne se mesure pas, c’est l’oeil qui voit ça...» Au moment du départ, l’herbe qui se trouvait sous l’objet s’est dressée pour retrouver aussitôt après son état normal. A son retour de la gendarmerie, le soir-même, Monsieur V. constatera que les plants d’amarante qui s’étaient trouvés au voisinage de l’objet avaient subi une déshydratation importante. Les analyses qui en ont été faites n’ont pas permis d’expliquer la cause des dommages constatés, mais les conditions de prélèvement et de conservation ne furent de toute façon pas propices à une étude fiable.
Revenons à la description de l’objet :
Le Béryllium est un métal gris, léger et rare. Sa production est si délicate qu’elle n’est assurées que par trois pays au monde. Cet élément en marge des classification et qui par certaines caractéristiques n’est pas vraiment un métal, est utilisé dans l’astronautique. Ce n’est pas un hasard si le témoin site son nom : il veut donner l’idée d’un matériau rare, beau, et malaisé à décrire. La couleur «bleu-vert lagon» -Monsieur V. dira aussi : «bleu des mers pacifiques»- peut-être traduite par bleu turquoise (5), mais ce n’est pas si simple car les gendarmes ont noté que le témoin semblait subjugué par la partie supérieure de l’objet qu’il appelle la coque : «Ce n’était pas lumineux, ce n’était pas une vapeur... Est-ce que c’était du plexiglas ?.. Cette moitié supérieure était de couleur bleu-vert lagon dans son remplissage interne... Ce n’était pas une boue, pas un gel, ça n’était pas un liquide... La couleur n’était pas homogène... C’était un volume translucide... Ça donnait l’impression que quelque chose allait sortir de là-dedans... quelque chose qui n’était pas vivant, mais...». Le témoin insista sur le fait que l’objet ne comportait aucune trace d’usinage visible et que ses teintes ne correspondaient pas à des couleurs habituelles. Il ajouta qu’il n’était pas vraiment inquiétant car il dégageait une impression de «neutralité absolue».
On aurait tort de considérer -comme cela a été le cas- que cette description est maladroite et contradictoire. Elle est surtout difficile : Marc V. cherche à dépeindre une chose indéfinissable car trop inhabituelle. Cette description est à mes yeux plus précise et plus réussie qu’elle ne paraît, et nous devons nous garder d’essayer de la traduire par d’autres mots. Il est possible de se rapprocher de la réalité dont elle tente de rendre compte en la relisant plusieurs fois à la suite : la fusion des mots qui la composent -sans oublier l’expression neutralité absolue- peut alors aboutir à un concept. Bien qu’il ne se soit jamais intéressé au phénomène ovni (il n’y avait à l’époque aucun livre sur le sujet chez lui) le témoin n’a pas pu s’empêcher de s’adresser à l’objet pour lui dire «bonjour» en plusieurs langues. Comparé aux récits imaginaires issus de mon étude X, ce témoignage dégage une très nette impression d’authenticité. Je ne connais -et de loin- pas de description plus précise d’un objet volant non-identifié. Je suis par ailleurs convaincu que cet objet insolite n’avait d’autre fonction que de se montrer.
(1) L’amarante, dont les fleurs forment des grappes d’un rouge subtil, était consommée régulièrement dans plusieurs pays de l’Amérique précolombienne (il l’est à vrai dire encore aujourd’hui). Elle est aussi connue sous les noms de queue-de-renard ou passe-velours (love-lies-bleeding).
(2) C’est, je crois, la première fois que le nom de la ville est cité. Tenant compte de cette précision et du fait que le témoin ne tient pas à revenir sur cet épisode particulier de sa vie, son prénom et l’initiale de son patronyme sont fictifs (ils sont également fictifs dans les documents présentés sur le Site UFOCOM).
(3) Ce genre de question orientée peut cacher un piège destiné à tester la sincérité du témoin. Ce n’était pas le cas ici.
(4) Cette précision s’explique par le fait que le témoin à l’habitude de mesurer la durée des expériences qu’il mène professionnellement.
(5) Entre les bleus 320 et 327 sur l’échelle Pantonne. Ce qui est évidemment très imprécis.
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Phantom of the paradise
28/04/2007 17:56
Réalisé par Brian De Palma Avec William Finley, Jessica Harper, George Memmoli Film américain. Genre : Comédie musicale, Comédie Durée : 1h 32min. Année de production : 1974
Resumé :
Winslow Leach, jeune compositeur de talent, se fait voler sa cantate intitulée "Faust" par un certain Swan, star planétaire. Décidé à demander des comptes, Leach s'introduit dans la maison de production "Death Records". Poursuivi par les gardiens, il est jeté en prison. S'évadant, il se coince accidentellement la tête dans une presse à disques. Défiguré, celui-ci hante le nouveau temple du rock n'roll : le Paradise.
Critiques spectateurs :
Kev_Tarantino - le 24/04/2007 Un vrai bijou !!! Sûrement l'un des meilleurs films de Brian De Palma (dans toute sa carrière). Une véritable palette de couleurs flamboyantes servies par un Brian De Palma plus qu'en forme. Accompagné par l'une des meilleures bandes originales de toute l'histoire du cinéma signée Paul Williams, "Phantom Of The Paradise" nous entraîne dans un monde Rock'N'Roll pendant 1h30 et dès que le film se termine, on ne pense qu'à une seule chose : LE REVOIR LE PLUS VITE POSSIBLE !!! Je l'ai enchaîné 3 fois d'affilé tellement le film m'a plu. Tout est magnifique. Du montage de Paul Hirsch (sûrement son meilleur montage) aux magnifiques décors nous mettant vraiment bien dans l'ambiance du Paradise, en passant par la musique rayonnante de Paul Williams et l'image magnifique mêlant toutes les couleurs chaudes ensemble et toutes les couleurs froides ensemble aussi. L'image de Larry Pizer est tout bonnement magnifique et éblouissante, tout comme les costumes de Rosanna Norton. Tout va pour le mieux pour le film de Brian De Palma. Sans oublier la réalisation du film, totalement géniale. Les plans de De Palma sont excellents, super bien choisis pour combler le spectateur et l'émouvoir comme jamais il n'a été ému. Mais que serait un magnifique film sans ses excellents acteurs ? William Finley est épatant en tant que Winslow Leach mais encore plus convaincant en jouant The Phantom. Jessica Harper est éblouissante en jouant la splendide Phoenix. Gerrit Graham joue à la perfection son rôle de Beef et Paul Williams est tout simplement surprenant en interprétant le diabolique Swan. Et puis, ce sublime générique de fin avec cette magnifique chanson "The Hell Of It", on en pleure ! Magnifiquement bien créé, ce "Fantôme De L'Opéra" version 70's et Rock'N'Roll par Brian De Palma est incontestablement, l'un des plus grands chefs-d'oeuvre du cinéma. Bravo à toute l'équipe et surtout à Brian De Palma qui signe l'un de ses plus grands films cultes. MAGNIFIQUE ET INCONTOURNABLE !!!!!
dabeule_iou - le 07/04/2007 Un film aussi barré que Phantom of the Paradise ne peut qu’engendrer des réactions opposées : de la fascination absolue à la détestation totale. C’est qu’il s’agit d’un film hybride, un curieux et inattendu mélange de genres : des scènes hilarantes succèdent à d’autres plus émouvantes, ou plus cruelles. De Palma nourrit son oeuvre de nombreuses références cinématographiques (Alfred Hitchcock entre autres) et littéraires (croisement entre Goethe, Oscar Wilde et Gaston Leroux) et leur entremêlement font de Phantom of the Paradise un film hors norme, étrange et complètement décalé. C’est cette diversité qui donne finalement toute la personnalité de ce film, cet univers unique, baroque et gothique. Ce Phantom semble intemporel, à la fois moderne et très kitsch. Les séquences musicales sont géniales, offrant aussi bien des moments émouvants comme des totalement endiablés et irrésistibles (Beef et les Juicy Fruits sur scène). On pourrait trouver ce joyeux bordel un peu indigeste s’il ne servait pas un scénario si bien construit de bout en bout (De Palma laisse de nombreux indices sur la vraie personnalité de Swan). Derrière cet opéra rock survolté se lit clairement une critique féroce du capitalisme : la manipulation, l’avidité, le chantage… De Palma adresse une critique générale aux producteurs, qui ne cherchent que la rentabilité en dépit de la vraie création artistique (Swan a sans arrêt recours au sensationnalisme, « pour plaire »). En résumé, un film qui a laissé son empreinte dans l’histoire pour son originalité et son décalage. Dans cet opéra rock cruel et endiablé, De Palma fait preuve d’un humour noir piquant, dénonçant de manière sous-jacente les dérives du capitalisme. Fou, entraînant, drôle et provocateur. Culte!
Oz-21 - le 22/03/2007 Une bande son hallucinante au service d'un étrange, certes, mais passionnant thriller fantastique. Une sorte de "Fantôme de l'opéra" modernisé, version rock, bercé par la légende de Faust, le tout enrobé d'ennivrantes couleurs chaudes. Le film de De Palma sera tour à tour comique, jubilatoire, haletant et poignant. Le génial, le Grand réalisateur de "Dressed to kill" dresse un portrait très critique de l'univers du show-business, et s'en sert de toile de fond pour faire évoluer son personnage aux faux airs de justicier masqué! Les performances exceptionnelles du trio de tête (les interprètes des rôles de Leach, Phoenix et Swan)donnent une profondeur à la bobine, rarement égalée au cinéma. Des répliques cultes (on pense bien évidemment et principalement au flic qui vient réveiller Winslow dans la rue en lui demandant "Mais qu'est-ce que tu fous du côté de chez Swan ???") et une mise en scène imparable au profit d'un chef d'oeuvre qui malgré ses 33 ans au moment où j'écris cette critique, n'a toujours pas pris une ride ! Sans jamais tomber dans le piège du gore, alliant comédie musicale et surnaturel, De Palma nous livre ici un de ses plus grand mythe, qui le classe définitivement en 2eme position au classement des meilleurs réalisateurs de thriller, la pôle position étant toujours tenue par l'indétrônable Hitchcock ! En bref, "Phantom of the paradise" n'a pas à se justifier du Grand Prix perçu lors du festival fantastique d'Avoriaz (qui a pris aujourd'hui le nom de Fantastic'arts de Gerardmer et qui a perdu beaucoup de son prestige lorsqu'on voit les films qui y concourrent aujourd'hui !) en 1975, succès qui se renouvelera 2 ans plus tard pour le même De Palma avec la présentation et la victoire de son "Carrie" au même concours !
scorsesejunior54 - le 19/03/2007 Absolument jubilatoire d'un bout à l'autre, "Phantom Of The Paradise" qu'a réalisé Brian De Palma en 1974 n'a pas volé son statut d'oeuvre culte d'un nouvel Hollywood malheureusement révolu. Comme d'habitude chez le cinéaste, il s'agit d'une réadaptation de classiques connus et reconnus exposés sous une autre forme, cette fois-ci complètement déjantée et parfois à la limite de la parodie. Du "Faust" de Goethe au "Fantôme de l'Opéra" de Gaston Leroux en passant par l'inévitable Alfred Hitchcock (magnifique séquence de la douche tournée en dérision, au même titre que le final de "L'Homme qui en Savait Trop"), les références abondent avant de se voir atomisées au cours d'un jeu de massacre imprévisible et totalement délirant. Paradoxalement, le portrait féminin se voit idéalisé par l'intermédiaire de Jessica Harper et sa représentation visuelle. Le voyeurisme s'inscrit également dans la thématique de l'oeuvre tout comme l'illusion, ces sujets témoignant d'un film parfaitement ancré dans l'univers de son auteur malgré l'apparence première quelque peu différente. La musique se voit joyeusement ajoutée à des images très colorées, volontairement kitsch mais inspirées avant tout. L'interprétation outrancière soutient un ensemble franchement barge, la mise en scène à proprement parler n'occupant pas forcément le devant de la scène. Elle n'en est pas moins virtuose et d'une efficacité implacable tout en restant franchement inventive. Le rythme ne faiblit à aucun instant, le scénario s'avérant assez riche pour pallier une quelconque faiblesse susceptible d'intervenir. Les personnages très théâtraux sont essentiellement ceux d'un opéra décalé, celui d'un spectacle à l'intérieur de la représentation directe. Aspect labyrinthique pour une psychologie toute en symboles assistée d'un état d'esprit trash. Pas de violence sanglante et une évocation gentillette de la sexualité pour un De Palma aussi antagoniste que logique vis-à-vis de la progression de la carrière du maître.
Dark_clem - le 19/03/2007 Véritable melting-pot cinématographique, entrecroisement entre classiques de la littérature actualisés, porté par une superbe bande originale rock de Paul Williams. Au mélange des genres fantastique horreur et comédie musicale, harmonieux, s’ajoute une ambiance jubilatoire à des costumes complètement fantasques et déjantés, des procédés narratifs exploités à la perfection, et pour conclure une réalisation impeccable signée De Palma. Tout ça donne « Phantom of The Paradise », un film culte en puissance, qu’on aura beau se ressasser deux mille millions de milliards de fois, sans jamais s’en lasser. IN-CON-TOUR-NAABLE !
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Dead zone
28/04/2007 18:05
Réalisé par David Cronenberg Avec Christopher Walken, Herbert Lom, Brooke Adams Film américain. Genre : Fantastique Durée : 1h 45min. Année de production : 1983 Titre original : Dead Zone
Resumé :
Johnny Smith, jeune professeur dans une petite ville de province, est victime d'un accident de la route, peu de temps après avoir raccompagné sa fiancée, Sarah. Il ne revient à lui qu'au bout de cinq années de coma. Sarah est à présent mariée. Il s'aperçoit que passé, présent et futur se confondent dans son esprit. C'est ainsi qu'il réussit à sauver d'un incendie l'enfant de son infirmière et qu'il révèle à son médecin que sa mère, qu'il croyait morte en déportation, est en fait toujours vivante.
Critiques spectateurs :
Darkplagueis - le 08/03/2007 Le premier roman de Stephen King que j'ai lu et le seul que j'ai vraiment aimé. Je me suis dis, le film ne doit pas être mal non plus. Je le loue et là, quelle suprise !!! Ce film est une véritable merveille. Le jeu d'acteur est extraordinaire, le suspense habilement entretenu, les effets de caméra parfaits. C'est le genre de film qui brasse beaucoup de genres en même temps tout en réussissant à être compréhensible et bien embriqué. Une sacrée réussite
Shirak - le 02/03/2007 Ce film est porté tout le long par une atmosphère doucement angoissante. Tout le mystère de ces visions est rendu bien vivant par l'interprétation du très bon Christopher Walken. La dernière partie du film est plus que réussie. Bien sûr, le film a vieilli et fait ses 23 ans, mais on ne peut pas le reprocher à Cronenberg. Les films d'aujourd'hui nous paraîtrons vieillis aussi dans 20 ans ;-)
sehr_neu! - le 24/01/2007 Excellent film de Cronenberg ! Christopher Walken est irréprochable ! NewWyatt - le 21/09/2006 Tres bon film, je n'ai pas lu le bouquin qui en est à l'origine, mais certainement qu'il est plus étoffé... En effet je suis un peu déçu que le scénario n'aille pas un peu plus loin, et ne propose pas vraiment de tentative d'explication. Mais bon, le film n'en perd pas pour autant son intérêt même si c'est un scénario fantastique assez connu (Presque la ligne verte du même auteur d'ailleurs...) Ce qui me fait mettre 4 étoiles, c'est surtout le jeu des acteurs, Christopher Walken bien en tête. C'est simple, c'est un des acteurs qui par son talent peut sauver des films même très moyen et me les faire aimer... Et Dead Zone est très loin d'être un film moyen ! Par contre, vraiment je n'ai pas retrouvé grand chose de la "patte" de Cronenberg dans ce film, mais bon..
cinephile74 - le 20/09/2006 Surement le film le plus accessible de Cronenberg (et un des plus commercial aussi au sens propre du terme),dans lequel la patte du réalisateur se fait discrète.Cependant le film n'en est pas mauvais pour autant;c'est au contraite est dans plus brillante adaptation de S.King (à 100 lieues du téléfilm bidon de M6 ).Le film est à voir pour Christopher Walken ,déjà,qui fait parti des meilleurs acteurs de ces 30 dernières années.Du reste,on a plaisir à retrouver Martin Sheen et Tom skerritt au générique.On assiste à une succession de petits intriges (le tueur en série,le gosse,le sénateur,...),filon qui a du etre utilisé par la série (que je n'ai jamais regardé).Un film intelligent donc.
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Le cas de Téhéran en 1976
28/04/2007 21:18
Le cas de Téhéran en 1976: LES INTERCEPTEURS DESARMES PAR UN OVNI: A Téhéran, Iran, le 19 septembre 1976, eut lieu un cas historique: après minuit, au dessus de la capitale de l'Iran, eurent lieu deux tentatives successives d'intercepter un ovni détecté par les radars au sol et largement signalé par des civils qui le voyaient au-dessus de la ville. A chaque tentative, un contact visuel eut lieu, et les pilotes tentèrent d'armer leur missile et de le lancer, mais à chaque fois les systèmes d'armes furent immédiatement désactivés. L'incident a été mis la première fois en évidence par la fuite d'un rapport d'évaluation de l'agence de renseignement de la défense US (DIA) vers le NICAP en 1976. Un rapport de trois pages du Département de la Défense (DOD) sous forme de télétype sur le cas a été obtenu par Charles Huffer en 1977 sous la Loi de Liberté de l'Information (FOIA). Une copie du rapport d'évaluation de la DIA était attachée au message. Les caractéristiques principales du message sont reprises ici, avec les extraits cités.
A environ 12:30 du matin l'Air Force Command Post recoit les appels de civils au sujet d'un objet rougeoyant dans le ciel. L'observation effective de cet objet rougeoyant lumineux les a menés à envoyer un chasseur à réaction F-4 "Phantom" de Shahrokhi AFB pour l'étudier. Le F-4 décolla à 01:30 du matin et vola vers un point à 40 milles marins au Nord de Téhéran. Alors que le F-4 arrivait sur l'objet, toute son instrumentation et ses moyens de communications (fréquence ultra-haute et intercom) ont été perdues. Le pilote a interrompu l'interception et s'est dirigé de nouveau vers sa base.
"Quand le F-4 s'est éloigné de l'objet et n'était apparemment plus une menace pour lui, l'avion a regagné toute son instrumentation et sa capacité de communications." Un deuxième F-4 a été envoyé à 1:40 du matin et l'officier de l'électronique a acquis au radar l'objet à 27 miles marins, 12 heures de position élevée avec une vitesse d'approche de 150 noeuds. "Alors que la distance entre l'objet et l'avion diminuait à 25 milles marins l'objet s'est écarté à une vitesse qui était évidente sur le radar et est resté constamment éloigné de 25 milles nautiques."
Le message de DOD a indiqué que la taille mesurée par le radar était comparable à celle d'un avion de transport Boeing 707, bien qu'il ait été difficile discerner sa taille visuelle en raison de son éclat lumineux intense. Les lumières clignotantes comme un stroboscope furent observées par les témoins visuels au sol, elles étaient arrangées dans un pattern alternant les bleus, verts, rouges, et une lumière orange, formant un rectangle. La séquence de clignotement des lumières était tellement rapidement que toutes les couleurs pouvaient être vues en même temps.
Pendant que la poursuite continuait, un autre objet brillamment lumineux a émergé du premier objet et se dirigea directement vers le F-4 comme un missile, à vitesse élevée. Le pilote a essayé de mettre le feu à un missile AIM-9 dirigé vers l'OVNI, "mais à ce moment son pupitre de commande d'armes s'est instantanément bloqué et il a perdu toutes les communications (fréquence ultra-haute et interphone). A ce moment le pilote fit une manoeuvre tournante et un piqué en G négatif pour fuiir. Pendant qu'il tournait l'objet a prise sa suite à ce qui a semblé être environ 3-4 milles marins. Pendant qu'il continuait de s'éloigner loin de l'objet primaire le deuxième objet est allé à l'intérieur de son virage puis est retourné à l'objet primaire qu'il a rejoint dans une trajectoire parfaite."
Peu de temps après le rendez-vous et le fusionnement des deux objets, un autre objet a émergé de l'autre côté de l'objet primaire et a filé droit vers le sol. L'équipage F-4 l'a observé approcher la terre en comptant voir une explosion, mais à la place il a semblé ralentir et atterrir doucement, illuminant le terrain. Le pilote est descendu à environ 15.000 pieds et a continué à observer et marquer la position de l'objet atterri, avant de revenir sa base. Sur le vol de retour ils ont éprouvé quelques problèmes de vision de nuit qui ont rendu leur atterrissage difficile.
Au lever du jour l'équipage du F-4 a été conduit à l'emplacement d'atterrissage (un asséché d'un lac) en hélicoptère, mais rien ne put être trouvé. Pendant qu'ils tournaient autour de l'Ouest des lieux ils ont reçu un appel d'un beepeur. Voyant une petite maison au point où le signal était le plus fort, ils ont débarqué et ont interrogé les habitants des environ pour savoir s' ils avaient noté quelque chose d'inhabituel la nuit d'avant. Les gens ont mentionné un bruit fort et un flash lumineux puissant.
L'évaluation par la DIA dit qu'il s'agit d'un "rapport exceptionnel. Ce cas est un classique qui répond à tous les critères nécessaires pour une étude valide du phénomène OVNI." L'analyse précise que les performances de l'OVNI sont "époustouflantes," notant que l'objet volant à montré une de "capacité de manoeuvre extraordinaire." En 1997, Richard Hall a dépisté l'auteur du rapport de la DIA et l'a interviewé par téléphone. A ce moment-là, l'auteur a exprimé sa bonne volonté pour témoigner en public de ce qu'il sait sur ce cas.
C'est un cas capital, reconnu par une agence de renseignement des USA, où un OVNI a rencontré un avion militaire, et a réagi d'une façon intelligente et supérieure à la tentative d'interception de l'avion en arrêtant temporairement les systèmes d'armes de l'avion.
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