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Incident sur la base D'ICBM de Malmstrom ,Montana (USA)
28/04/2007 21:56
Source : http://www.ufocom.org/UfocomS/malm67.htm
En photo : Salle de surveillance de la base
RECIT DE ROBERT L. SALAS
"Entre 1966 et 1969, j'étais un officier de l'US Air Force stationné à Malmstrom AFB (Air Force Base), dans le Montana, et ma fonction était celle d'officier d'officier de tir de missile (ICBM's Minuteman).
Le 16 mars 1967, j'étais en fonction à l'un de nos centres de lancement (LCF - Launch Control Facilities) et je surveillais le statut de 10 missiles nucléaires.Tôt ce matin là, j'ai reçu un appel de mon garde de la sécurité qui était passablement effrayé alors qu'il rapportait qu'un OVNI "planait" juste au-dessus du poste de garde de l'entrée principale. L'objet était entouré d'un halo de lumière rouge. Le garde (chef poste) m'informa que ses hommes étaient prêts à ouvrir le feu. Pendant notre conversation, l'un des soldats fut blessé et mon interlocuteur mit fin à l'appel.

© Boeing
Alors que j'étais en train d'informer mon commandant de cette conversation, la plupart de nos missiles furent désactivés. Quand nous avons rapporté cet événement au poste de commandement, ils nous ont informés qu'un incident semblable s'était produit au même moment sur un autre site de lancement et que tous les missiles avaient été désactivés pendant que des OVNI étaient observés directement au dessus des sites de lancements.
Cependant, l'Air Force a mené une enquête mais aucune cause n'a jamais été déterminée en ce qui concerne la mise "hors service" des missiles.
J'ai pu acquérir certains documents officiels, relatifs ces événements, de l'Air Force grâce à une loi américaine spéciale appelée FOIA (Freedom Of Information Act). L'incident fut déclassifié récemment, suite à l'obtention de ces documents.
J'ai pu obtenir le témoignage d'anciens militaires qui valident mon récit."
QUESTIONS - REPONSES
Après avoir pris connaissance du récit de M. Salas, je lui posai quelques questions afin d'éclaircir certains points.
Quel était votre grade à cette époque?
- J'étais alors premier lieutenant.
Pouvez-vous vous souvenir du nom du garde qui vous a appelé?
- Non, malheureusement.
Combien de gardes y avait-il à l'entrée du site? Ont-ils ouvert le feu sur l'objet?
- Quatre des cinq gardes ont vu l'OVNI. Ils se sont mis en position, l'arme prête, mais ils n'ont pas tiré sur l'engin.
Quel genre de blessure a reçu l'un d'eux? Qui est cet homme? Un rapport médical a-t-il été dressé?
- Je me rappelle que la blessure était légère, soit une brûlure ou une coupure reçue alors qu'il approchait ou s'éloignait de l'engin. Mais ceci n'a pas été le résultat d'aucune attaque de l'objet. Cet homme fut évacué du site avant que nous soyions relevés par l'équipe suivante. Cependant, nous avons demandé les documents en rapport à cette blessure. Mais nous n'avons pas eu l'accord de recevoir ce rapport médical.
Avez-vous, ou quelqu'un d'autre, demandé une assistence aérienne?
- Nous avons appris d'autres sources qu'un F-106 fut envoyé en interception de l'un des objets, mais nous ne possédons aucune trace écrite du résultat de cette intervention. Nous, dans le LCC (Centre de Contrôle de Lancement), nous n'avons pas demandé de support aérien à cause de la suite des événements : l'OVNI quitta le site durant les quelques minutes de notre rapport et son comportement n'était pas hostile.
Quelle fut la réaction de la sécurité?
- Des équipes de sécurité furent envoyées afin d'enquêter sur place. L'une d'elles rapporte avoir vu un OVNI au-dessus de l'un des sites de lancement mais celui-ci partit très rapidement.
L'incident a-t-il été mentionné dans le cahier du chef poste?
- Oui, l'événement fut aussi bien mentionné dans le journal du chef de la sécurité que dans le mien (équipe du site November) et celui de l'équipe de l'autre site (Echo).
Quel était le nom et le grade de votre commandant?
- Mon commandant direct était le capitaine Frederick C. Meiwald. Il termina sa carrière militaire sous le grade de colonel.
Parlez-nous de l'autre site qui fut également visité. Est-ce arrivé au même moment?
- L'autre LCC était nommé Echo. Nous, nous étions à November. Ces sites sont distants l'un de l'autre d'environ 35 à 45 miles (56 à 72 km). Leur incident se produisit la même matinée.
Ces observations (et aussi la blessure du garde) apparaissent-elles dans les documents récemment déclassifiés ou mentionnent-ils seulement le problème des missiles?
- L'un des documents que nous avons obtenus est l'historique du 341ème Wing de Missiles Stratégiques pour la période janvier - mars 1967. Ce texte rapporte de manière très détaillée l'incident du site Echo mais ne mentionne pas les événements de November si ce n'est qu'il précise que les membres des équipes de sécurité November ont été questionnés. Ce rapport ne parle d'OVNI qu'une seule fois et c'est en ces termes : "Des rumeurs faisant état d'OVNI ont été réfutées". Je peux certainement montrer que cette déclaration est fausse si l'on considère mon témoignage, celui de mon commandant (situé dans le même local) et de l'autre équipe. Ce document ne rapporte pas la blessure de notre garde.
Avez-vous reçu l'ordre de ne pas parler de cet incident?
- Oui. Une fois de retour à la base, nous avons été en débriefing (rapport oral de fin de garde ou de mission) avec notre Commandant de Wing (unité de la Force aérienne), George W. Eldridge. Un membre de l'AFOSI (Air Force Office of Special Investigations - le service de renseignement de l'USAF) assista à cette entrevue. Lorsque le briefing fut terminé, ils nous ont dit que l'incident était désormais classifié (top-secret) et que nous ne pouvions en parler à personne. J'ai suivi ces ordres même dans la vie civile. J'ai démissionné en 1971. Ce n'est qu'après avoir lu un résumé de l'incident "Echo" dans un livre que j'ai décidé d'envoyer une requête d'information, sous le sceau du FOIA (Freedom Of Information Act), demandant la déclassification des documents relatifs à cet événement. A ce moment là, je pensais que j'étais au "flight" Echo car je ne me rappelais plus de ma position. Plus tard, j'ai appris qu'en fait j'étais au flight November. Si je rends cette affaire publique, c'est à cause de la déclassification de l'incident "Echo".
LES DOCUMENTS DECLASSIFIES
Vous pourrez trouver ces documents déclassifiés, grâce à la loi américaine du FOIA (liberté d'accès à l'information), sur le site du CUFON (Computer UFO Network) dont le sysop de est M. Jim Klotz. Ce dernier mena également une enquête sur cette affaire. L'adresse de cette page sur le web est : http://www.tcet.unt.edu/~chrisl/cufon/malmstrom/malm1.htm. Bien entendu, les documents sont rédigés en anglais. Vous y trouverez de nombreuses illustrations afin de visualiser davantage les événements décrits par M. Robert Salas.
CONCLUSIONS
La conclusion à toute cette affaire, pour nous européens, est … qu'il est impossible de conclure. Ce cas de la base de Malmstrom dans le Montana semble être intéressant car les témoins principaux sont des officiers de l'armée américaine triés sur le volet. On ne confie pas le lancement de missiles nucléaires stratégiques au premier bidasse venu.
De plus, il semblerait que la base de Malmstrom, faisant actuellement partie de l'Air Force Space Command, ait connu le même genre de problèmes, le 7 novembre 1975

Le missile Minuteman I construit par Boeing
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Un Boeing 747 Japan Airlines croise des ovnis en Alaska (1986)
28/04/2007 22:36
Un Boeing 747 Japan Airlines croise des ovnis en Alaska, 1986:
Le vol 1628 de de Japan Airlines était près de l'extrémité de la jambe d'Iceland-to-Anchorage en son vol de Paris vers Tokyo avec une cargaison de vin, quand son équipage a vu et a détecté trois objets non identifiés. Cette nuit du 17 novembre 1986, l'observation de l'un au moins de ces ovnis a été officiellement confirmé par les radars militaires de la FAA et des États-Unis.
LE CAS:
Selon capitaine Kenju Terauchi, le co-pilote Takanori Tamefuji et l'ingénieur de vol Yoshio Tsukuda, deux petites lumières et un objet lumineux énorme étaient visibles sur leur radar pendant plus d'une demi-heure. Ils l'ont aussi observé visuellement pendant qu'ils pilotaient sur 350 miles (550 kilomètres) vers le Sud à travers l'Alaska du Yukon vers Anchorage.
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Dessins par le capitaine Terauchi et l'équipage du vol JAL 1628 représentant ce qu'ils ont vu au dessus de l'Alaska en novembre 1986. Source FAA. |
Le capitaine Terauchi, un vétéran ayant volé 29 ans, raconte "C'était très gros, une ou deux fois plus gros qu'un porte-avions." Il a changé l'altitude et a fait des virages, avec la permission de FAA, dans le but d'identifier les objets qui ont continué à le suivre. Il a dit que les objets se déplaçaient rapidement et s'arrêtaient soudainement. En même temps, la lumière du grand objet était si intense qu'elle illuminait l'habitacle de l'avion et Terauchi a déclaré qu'il pouvait sentir la chaleur émanant de cette lumière sur son visage. Il a ajouté qu'il avait observé l'ovni pendant six minutes avant d'informer quiconque au sol, on en déduit que l'observation visuelle avait commencé à 18:13.
La FAA a d'abord confirmé les affirmations de plusieurs de ses contrôleurs du trafic par radar qui ont détecté le 747 et le grand objet, qui fut aussi confirmé par le radar de l'Armée de l'Air des États-Unis. Les rapports officiels qui suivirent ont essayé de s'en dédire, en attribuant les échos radars à des effets météorologiques. Finalement, cependant, un porte-parole de la FAA a fini par admettre: "nous acceptons les descriptions de l'équipage, mais ne pouvons pas accepter ce qu'ils ont vu. "
LE RAPPORT:
Le résumé des communications entre le capitaine Terauchi et les contrôleurs aériens a été édité par l'administration fédérale de l'aviation:
6:19 PM heure locale: Le pilot de JL1628 demande des informations au contrôleur de la ZAN sur un trafic dans le secteur 15. (FAA Air Route Traffic Control Center, Anchorage)
6:26 PM: La ZAN contacte le centre opérationnel de la Région Militaire (ROCC), et demande s'ils ont des échos radars près de la position de JL1628. Le ROCC répond qu'ils reçoivent un écho radar incontestable à 8 miles (13km) à 10:00 sur l'avant à gauche de la position de JL1628.
6:27 PM: Le ROCC entre en contact avec le ZAN pour leur indiquer qu'ils ne reçoivent plus aucun écho radar à proximité de JL1628.
6:31 PM: JL1628 informe que "l'avion" est "très grand" et en réponse le contrôleur de la ZAN approuve toutes déviations de route qui serait requise pour éviter une collision.
6:32 PM: JL1628 a demandé et a reçu l'autorisation de descendre de FL350 à FL310 (niveau 350 et 310 de vol, signifiant l'altitude de 35.000 et 31.000 pieds, soit 10.500 m. et 9.500 m). Interrogé pour savoir si l'objet était également descendu, le pilote a énoncé qu'il était descendu 'en formation.'
6:35 PM: JL1628 demande et reçoit l'autorisation de changer de cap à deux un zéro (210 degrés, ou Sud-Ouest). L'avion était maintenant à proximité de Fairbanks et la ZAN est entrée en contact avec le contrôle aérien de l'aéroport de Fairbanks pour savoir s'ils avaient quelque écho radar près de la position de JL1628. Le contrôleur de Fairbanks répondit par la négative.
6:36 PM: JL1628 a effectué un tour de 360 degrés et fut invité a informer la ZAN si le trafic était toujours avec eux, la réponse fut affirmative.
6:38 PM: Le ROCC a appelé la ZAN pour es informer qu'ils avaient confirmation d'un 'deuxième écho radar' près de la position de JL1628. Ils leur ont dit qu'ils surveillaient "cela" avec un "autre" équipement radar, et qu'un seul des deux échos était identifié.
6:39 PM: JL1628 informe la ZAN qu'ils n'ont plus l'objet en vue.
6:42 PM: Le ROCC informe qu'il semble que l'objet était parti en arrière et à la droite de JL1628, cependant, ils ne le détectaient plus.
6:44 PM: JL1628 annonce que l'objet est maintenant à 9 heures (à gauche).
6:45 PM: La ZAN demande a un vol de la Northern United Flight de changer son cap de 10 degrés avec l'accord du pilote, afin d'essayer de confirmer l'observation de l'objet.
6:48 PM: JL1628 annonce à la ZAN que l'objet est maintenant à 7 heures (arrière gauche), 8 miles [13 kilomètres].
6:50 PM: Le vol de la Northern United informe qu'il est en vue du vol de la Japan Airlines, sur fond clair, et qu'ils ne peuvent voir aucun autre objet volant.
6:53 PM: JL1628 annonce qu'il n'a plus de contact visuel avec l'objet.
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Les rapports officiels sont devenus de plus en plus négatifs au fur et à mesure que les jours passaient, émettant des doutes sur la confirmation par radar des observations visuelles. Mais à une conférence de presse de la par le FAA qui s'est tenu le 5 Mars, le porte-parole Paul Steucke a fini par indiquer: "d'après ce que nous savons, l'intégralité de l'équipage est constitué de gens intègres qui ont rapporté exactement ce qu'ils on vu."
ETUDES:
Le cas de la JAL a été analysé par le docteur en optique et physicien Bruce Maccabee, qui l'a divisé en quatre phases. Dans la première phase, le capitaine Terauchi a vu quelques lumières éloignées au-dessous et vers sa gauche, qui a semblaient suivre le 747. Terauchi a d'abord pensé qu'elles provenaient d'un avion militaire, mais le contrôle aérien a indiqué qu'il n'y avait aucun trafic dans le secteur. La deuxième phase fut l'observation par de multiples témoins visuels, l'équipage en entier, des lumières qui se sont déplacées brutalement vers l'avant de l'avion.
Maccabee écrit:
L'observation visuelle par des témoins multiples de l'ensemble de lumières semble inexplicable. L'observation ne peut être une hallucination de l'équipage tout entier. Les lumières ne peuvent pas avoir été des étoiles ou des planètes. Les étoiles et planètes étaient visibles et évidentes avant l'apparition des 'vaisseaux' apparus devant l'avion et étaient encore évidentes après que les 'vaisseaux' se soient écartés. Il n'y a aucun phénomène normal qui peut expliquer l'arrangement rectangulaire des lumières en rangées horizontales, avec des clignotements occasionnels, et avec l'espacement sombre rectangulaire vertical entre les rangées de lumières, la réorientation des paires de rangées lumineuses l'une au-dessus de l'autre puis l'une près de l'autre, la chaleur que le capitaine a ressenti sur son visage, et ainsi de suite.
La troisième phase s'est produite pendant que les "vaisseaux" reculaient et ne pouvaient plus qu'être vus comme "deux lumières faibles, pâles et blanches," mais un écho a été détecté par le radar à bord d'avion. Tandis que Maccabee concède que l'écho pourrait avoir été provoqué par "une panne temporaire du radar (à réparation automatique, 'fail over')" comme suggéré par la FAA, il a ajouté "il semble beaucoup plus probable qu'il y ait eu un certain objet là dehors."
La dernière phase est peut-être la plus controversée, car le capitaine Terauchi était le seul témoin du prétendu vaisseau spatial géant "deux fois plus grand qu'un porte-avions."
Maccabee concède:
Il semble au moins plausible qu'il a pu y avoir des nuages curieusement éclairés ou mal interprétés que l'équipage a dit avoir vu au-dessous de l'avion. Bien que les multiples détections des radars au sol sous le jet soient intrigants, l'incapacité des radars a montrer une trajectoire vraiment continue de l'écho inconnu rend la confirmation de radar au mieux ambiguë. Par conséquent il semble que, pour le moins, la dernière partie de l'observation ne convainc pas tant que cela. "Mais même si on ignore arbitrairement la dernière partie du "vol fantastique JAL1628" on est tout de même intrigué par l'observation visuelle multiple des deux "vaisseaux" qui ont dépassé l'avion. Il semble donc que JAL1628 a été accompagné pendant une partie de son vol au moins par deux TRUFOS (UFOs véritables).
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Dracula
29/04/2007 15:40
Réalisé par Francis Ford Coppola Avec Gary Oldman, Winona Ryder, Keanu Reeves Film américain. Genre : Fantastique, Epouvante-horreur, Drame Durée : 2h 10min. Année de production : 1992 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : Bram Stoker's Dracula
Resumé :
En 1492, le prince Vlad Dracul, revenant de combattre les armées turques, trouve sa fiancée suicidée. Fou de douleur, il défie Dieu, et devient le comte Dracula, vampire de son état. Quatre cents ans plus tard, désireux de quitter la Transylvanie pour s'établir en Angleterre, il fait appel à Jonathan Harker, clerc de notaire et fiancé de la jolie Mina Murray. La jeune fille est le sosie d'Elisabeta, l'amour ancestral du comte...
Critiques spectateurs :
jeremie747 - le 07/02/2007 Une adaptation extraordinaire du roman de Bram Stoker. Elle s'appuie sur une beauté visuelle à couper le souffle dont Coppola est assez coutumier. Le sous-titre "l'amour est éternel" illustre bien le parti pris par Coppola : Dracula n'est pas un monstre sanguinaire mais un être fou d'amour, qui vit son immortalité comme un fardeau. La mise en scène, d'une extrême sensualité, regorge de symboles associés au vampire (par exemple, la morsure qui représente la perte de la virginité). C'est également un film sur l'opposition entre deux mondes incompatibles : le monde oriental de Dracula (les vampires, le passé, la violence, la bête, la sexualité) opposé au monde occidental de Jonathan Harker (les hommes, la modernité, la civilisation, la pudibonderie). Au centre de ces deux mondes on retrouve deux personnages ambigus dont les noms à consonnance germanique évoquent leurs affinités avec le monde de Dracula : Van Helsing et Mina (Whilhelmina est son vrai nom). Ce ne sont que quelques clefs pour décrypter cet immense chef d'oeuvre porté par un Gary Oldman au sommet de son art en monstre assoiffé d'amour, tantôt terrifiant, tantôt charmeur.
Camusduverseau - le 28/01/2007 C'est peut-être la plus fidèle des adaptation du roman de Bram Stoker. Dracula n'est plus considéré comme un être "méchant", mais comme un être "malade d'amour" ! C'est beau, c'est gothique, c'est extraordinaire ! Les acteurs sont tous bons !
gimliamideselfes - le 17/01/2007 Une version de Dracula qui semble fantasmée par son réalisateur, entre le rêve et la folie. Un film sur le célèbre vampire qui ne ressemble pas vraiment à un film de vampire, on ne sait pas qui est le bien ou le mal, pas de gentil, pas vraiment de méchant juste la folie de l'amour. La folie est omnis présente, du grand art.
XANDER_1111 - le 07/01/2007 Un film grandiose et très séduisant!On peut presque assimiler la mise en scène à celle que l'on peut voir au théâtre ou encore à l'opéra car cette oeuvre est, au bout du compte,d'un style très classique.L'atmosphère est troublante et toutes les scènes sont vraiment très belles à regarder,elles ont une élégance qui peut paraître étonnante pour ce genre de film.C'est pourquoi le titre n'a ,selon moi,rien à voir avec le film en lui-même qui est très beau.Gary Oldman et Anthony Hopkins sont vraiment très bon.
Oz-21 - le 18/12/2006 Coppola revisite le sujet à dents longues pour signer ici certainement un des plus grands chef d'oeuvres du Fantastique. Contenant son lot de frayeurs et de visions cauchemardesques, rythmé par une mise en scène plus qu'impeccable et originale, au scénario creusé (si on compare avec le "Dracula" originel), au casting détonnant et parfait (Oldman en Lord Drakul, Wynona en charmante petite femme du début du siecle, et Keanu Reeves en héros malgré lui, avec si mes souvenirs sont bons, un Hopkins parfait en Van Helsing). Le "dracula" du génie Coppola est... à la hauteur de son génie, et meme si Francis Ford s'est permis quelques libertés avec l'histoire originale de Stocker, ce n'est que pour en faire un film intelligent, sans ennuie et à la photographie hallucinante.
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Le dernier combat
29/04/2007 15:53
Réalisé par Luc Besson Avec Pierre Jolivet, Jean Reno, Jean Bouise Film français. Genre : Fantastique Durée : 1h 35min. Année de production : 1982
Resumé:
A la suite d'une catastrophe mondiale, la lutte pour la survie s'organise. Certains pronent la violence, d'autres veulent construire une nouvelle société.
Critiques spectateurs :
bobmorane63 - le 06/08/2006 Ce film là, je l'ai decouvert par hasard en zappant sur les chaines de television, c'est le premier film de Luc Besson, sur un futur chaotique ou les hommes ne peuvent pas parler, ou le monde est tombé dans la misere et le desaroit, se nourrissant de poisson tombé du ciel comme la pluie (rire). Sur une musique envoutante d'Eric Serra et co-ecrit et interpreté par Pierre Jolivet, Luc Besson marque sa patte et son genie du visuel avec ce moyen metrage. A noter aussi de remarquables acteurs qui feront du chemin avec le réalisateur, Jean Bouise ( oncle Louis dans "Le grand bleu", c'est lui) et Jean Reno. Un film a voir
faeriebandmetal - le 02/08/2006 Un film froid, glaçant nos veines, sans pitié. Luc Besson filme l'apocalypse d'une façon sincère (au vu des moyens) et assez original. Les acteurs jouent bien leur rôle malgré l'absence de dialogue. Le noir&blanc renforce le film malgré sa musique qui pour moi ne colle pas vraiment, elle semble même ironique. On sent les influences du style Mad Max au vu des costumes très semblables. En bref Luc Besson frappe fort avec ce film, qui a bien sûr vieilli mais qui garde une certaine force et demeure toujours aussi interessant.
BigFish - le 06/02/2005 Un grand coup de chapeau à Luc Besson ! Avec peu de moyen, il a réalisé un film superbe en tout point ! Un premier long-métrage très bon où il est assez drôle de voir Luc Besson lui-même, les débuts de Jean Reno, et de Jean Bouise, le même trio que Subway ou le Grand Bleu. Bravo !
Koumen - le 19/02/2007 Dans un monde post-apocalyptique crédibilisé par un noir et blanc judicieux et l'absence de dialogues, ce premier film de Luc Besson est une expérience à part entière, originale, un peu confuse parfois, mais à vivre.
etreinhumain - le 31/05/2006 le moins connu de Besson et pourtant...Jean Reno est déja impressionnant et l'ambiance du film ( avec le noir et blanc et la quasi absence de dialogue) vaut le détour. Un film d'anticipation ?
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Les dents de la mer
29/04/2007 16:09
Réalisé par Steven Spielberg Avec Roy Scheider, Robert Shaw, Richard Dreyfuss Film américain. Genre : Action, Epouvante-horreur, Thriller Durée : 2h 4min. Année de production : 1975 Titre original : Jaws
Resumé :
A quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d'Amity sont mis en émoi par la découverte sur le littoral du corps atrocement mutilé d'une jeune vacancière. Pour Martin Brody, le chef de la police, il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d'un requin. Il décide alors d'interdire l'accès des plages mais se heurte à l'hostilité du maire uniquement intéressé par l'afflux des touristes. Pendant ce temps, le requin continue à semer la terreur le long des côtes et à dévorer les baigneurs...
Critiques spectateurs :
delou50 - le 20/04/2007 "Les dents de la mer" est un super film, on ne se lasse pas de le regarder. Ce qui est bien c'est qu'il n'y a pas que des requins en carton pates, la scene de la cage est un vrai requin dans tout ca splendeur... magnifique!
Olive_13 - le 16/04/2007 Un chef-d'oeuvre du cinéma. Film intemporel, melangeant agréablement l'horreur aux vacances, la mer à l'homme, le tout soupoudré d'un petit parfum seventie's bien senti, Les Dents de la Mer arrive, même 30 ans plus tard, à nous impressionner et nous terrifier , et vraiment peu de films ont ce mérite.
bond123 - le 10/04/2007 Les dents de la Mer est le premier grand chef d'oeuvre de Steven Spielberg. Celui-ci nous offre de très grandes scènes de térreur, de frisson et d'engoisse, servit par un casting talentueux. Steven Spielberg réalise avec Les Dents de la Mer une des perles rare du cinéma américain!!! Cultissime.
jegsaw83 - le 07/04/2007 Chef D'oeuvre du cinéma de prédateur !
Black_Drizzt - le 06/04/2007 Le meilleur des dents de la mer car réalisé par Steven Spealberg ! Le seul des dents de la mer qui m'a réellement donné des frissons. La première partie où l'on ne voit pas le requin est vraiment terrible ! Celle d'après l'est également. On se souvient de ce film. Attention, vous ne voudrez plus jamais aller en vacance à la mer ...
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L'armée des 12 singes
29/04/2007 16:24
Réalisé par Terry Gilliam Avec Bruce Willis, Madeleine Stowe, Brad Pitt Film américain. Genre : Drame, Thriller, Science Fiction Durée : 2h 10min. Année de production : 1995 Titre original : 12 Monkeys
Resumé :
Nous sommes en l'an 2035. Les quelques milliers d'habitants qui restent sur notre planète sont contraints de vivre sous terre. La surface du globe est devenue inhabitable à la suite d'un virus ayant décimé 99% de la population. Les survivants mettent tous leurs espoirs dans un voyage à travers le temps pour découvrir les causes de la catastrophe et la prévenir. C'est James Cole, hanté depuis des années par une image incompréhensible, qui est désigné pour cette mission.
Critiques spectateurs :
Gwoemul - le 11/04/2007 En 2035, un virus surgit de nul part à dévaster 99% de la population humaine. Le reste de la population est condamné à vivre sous Terre, où des voyages dans le temps sont expérimentés pour connaître les mystérieuses origines de cette épidémie déstructrice... Un des meilleurs films de science fiction de ses trente dernières années dont le budget est plus investi dans le scénario, les décors et les acteurs que dans les effets spéciaux. "L'armée des 12 singes" est un film malade qui choque, brusque, déprime, houtre. Une vraie camisole de force cinématographique qui nous guérit complètement de toutes les folies Hollywoodiennes. Oui, car si le film dénonce un système en péril de façon à la fois écolo et révolutionnaire, il dénonce aussi un genre qui a trop tendance à virer dans le spectaculaire et le facile (Gilliam montre d'ailleurs ce retour aux sources par un gros clin d'oeil à Hitchcok)... Côté dénonciation le film est pessimiste autant pour le présent que pour le passé et le futur: la catastrophe ne peut être arrêter, même par des voyages incessants dans le temps. Et l'esthétique, une Amérique bidonville salit jusqu'à la moëlle, à de quoi étonner par un film made in universal. Bref, un film guérilla qui révolutionne violemment le cinéma Américain, dans le bon sens comme dans le mauvais, car si "l'armée des douze singes" a permis à un acteur de sortir un peut du cinéma commercial, il a permis à un autre d'y entrer. Très belle preuve du cercle vicieux que décrit ironiquement le film...
Sergio_Leone_is_great - le 10/04/2007 Une très grande oeuvre fantastique dans laquelle Terry Gilliam arrive à imposer son style déroutant et particulier dans un genre totalement nouveau pour lui. C'est une totale réussite et on est aussi perturbé que Bruce willis excellent dans son rôle tout autant que Brad Pitt qui n'en finit pas de démontrer qu'il est bien plus qu'un playboy. L'univers noir et le déséquilibre des personnages (willis/pitt) se ressent jusque dans la réalisation sombre et oblique. L'histoire est incroyablement alambiquée et le scénario redoutable. Une oeuvre maîtresse et le meilleur film post Monty Pythons de Terry Gilliam.
SpiderBaby - le 09/04/2007 Lointaine adaptation de "la jetée" de C. Marker, "12 monkeys" est une oeuvre de s.f. en bêton armé. Sens du décor sans débauche d'effets, scénario malin et cruel qui retombe sur ses pattes comme un félin, rôles de composition inoubliables pour Bruce Willis et Brad Pitt, fausses pistes surprenantes (dont celle du titre même), bref un excellent Gilliam. En plus il fait parti de ces films qu'on trouve de façon inexpliquable à 1.50 euros en Dvd, que demander de plus?
SerialFucka - le 03/04/2007 Surement l'un des meilleurs Terry Gilliam (ils le sont tous) - L'univers apocalyptique présenté est une justesse rare et qui sait ce que l'arme biologique va faire au monde ?? Tout simplement génial. Un chef d'oeuvre. 19/20
Grolandais - le 24/03/2007 "I found my thrill on blueberry hill..." Un Choc ! J’ai fait jadis la connaissance du Maître T-G : ce fut, pour moi, la Révélation ! Twelve monkeys est la preuve par excellence que l’on peut réaliser un film de science-fiction, considéré comme un véritable classique, sans avoir recours à une débauche d’effets spéciaux arrogants, aux scènes d’actions minables, au ton optimiste insouciant, à la saturation d’explications crétinisantes, à la vacuité. Certes, il n’est pas donné à tous les réalisateurs d’avoir le talent de ce bougre de T-G… C’est pourtant si simple de mettre en scène une œuvre inoubliable… Vous, réalisateur : vous prenez un excellent scénario, qui, débutant sur des bases classiques (adaption américaine, et non hollywoodienne, de La Jetée, chef d’œuvre de Chris Marker), révèle en vérité une profondeur et une complexité insondables ; vous choisissez des acteurs talentueux qui veulent à tout prix faire leur preuve ailleurs que dans des blockbusters (Willis, Stowe, Pitt – le tiercé gagnant !) ; vous choisissez une mise en scène très personnelle, votre style particulier, car vous êtes un individu unique, vous devez imposer VOTRE vision pour le film, loin des rengaines convenues. Veuillez supporter le poids de votre Liberté, si un jour vous voulez être responsable. Vous mélangez finalement le tout et vous obtenez un film d’auteur au casting solide et à la teneur irréprochable… Avec de la chance, vous exploserez le box-office ! Terry l’a fait et a réalisé un film d’une richesse inouïe, haletant, drôle, voir délirant, déroutant et émouvant, d’un pessimisme absolu, qui renfermerait une note d’espoir ?... Pas sûr ! Qui serait en mesure de déchiffrer tout le sens de ce chef-d’œuvre ? Pas même son réalisateur… C’est pour dire ! L’important, c’est ce que nous ressentons en le regardant… Un certain malaise : ce n’est pas se prendre pour Cassandre de prévoir le pire concernant l’avenir de notre belle planète putride : "And I think to myself - What a wonderful World"
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Les griffes de la nuit
29/04/2007 17:14
Réalisé par Wes Craven Avec Robert Englund, John Saxon, Heather Langenkamp Film américain. Genre : Epouvante-horreur, Thriller Durée : 1h 31min. Année de production : 1984 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : A Nightmare on Elm Street
Resumé:
Nancy est une jeune adolescente qui fait régulièrement des cauchemars sur un homme au visage brûlé, avec un vieux pull déchiré et cinq lames tranchantes à la place des doigts. Elle constate d'ailleurs que parmi ses amis, elle n'est pas la seule à faire ces mauvais rêves. Mais bientôt, l'un d'entre eux est sauvagement assassiné pendant son sommeil. C'est ainsi que le groupe fait la connaissance de l'ignoble Freddy Krueger, qui se sert des cauchemars pour assassiner les gens qui rêvent de lui. Nancy comprend qu'elle n'a plus qu'une seule solution : si elle veut rester en vie, elle doit rester éveillé...
Critiques spectateurs :
pitt_geller - le 25/03/2007 Même si aujourd’hui il relève d’avantage de l’exercice de style que du chef d’œuvre, LES GRIFFES DE LA NUIT demeure néanmoins un excellent classique du film d’horreur fantastique, et un des grands films qui ont forgé le talent et le style de Wes Craven, qui a ici exorcisé ses peurs d'enfance. De l'originalité à revendre et des séquences cauchemardesques et terrifiants. Bienvenue sur Elm Street...
TESS14 - le 23/03/2007 J'adoré ce film!!!! Le personnage de Freddy Gruger est à la fois terrifiant et envoutant !! Il y a de l'action avec des moments d'angoisse et de peur !! Les trucages sont excelents et l'histoire bien ficelée.Un des meilleurs de la série.
spidermanao - le 19/03/2007 c'est un de mes films d'horreur préferés, original, très angoissant et que dire du personnage de freddy, n1 au box office des affreux, quand on pense que wes craven a commencé par le navrant "dernière maison sur la gauche " avec son côté gratuitement malsain et ses deux flics grotesques ! que de chemin parcouru entre ce film (si on peut appeler ça comme ça ) et ce chef d'oeuvre qu'est "les griffes de la nuit " .
albertdupontel - le 08/03/2007 Rien à dire se film est parfait,les effets spéciaux sont impeccables,Craven nous prouve que c'est un tres grand réalisateur qui au file de sa carriére a su crée une oeuvre personnel et original.Ce qui est intéressant c'est le coté dramatique du film,en effet les personnages démarrent sur des bases saines,d'amour et de solidarité,puis dégénérent dans la haine et le déchirement face à un probléme intérieur:freddy krueger.
The_Fly - le 06/03/2007 Super et flippant a souais !! Sans conteste l'un des meilleurs films d'horreur qui existe au monde. Tout est présent : le personnage cauchemardesque (c'est le cas de le dire), les ados impuissants et morts de peur et des crimes tout aussi immaginatifs et sadiques les uns que les autres. Les méandres de l'esprit noire de Wes Craven sont présenté dans toutes leurs splendeur, et il a également réussi à faire entrer le personnage de Freddy Krueger au panthéon des tuers psychopates d'Hollywood. Un exellent film d'horreur, pour tout les amateurs du genre et qui ne recherche pas un film trop bas de gamme. Bonne nuit... !
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La malediction du diamant de l'espoir
29/04/2007 22:20
Source: Extrait de « Les Phénomènes étranges du monde » de Charles Berlitz
- LA MALÉDICTION DU DIAMANT DE L'ESPOIR-
Découvrez la troublante histoire d'un diamant qui porta malheur à tous ses possesseurs.

Si l’on en croit la légende, le fabuleux diamant connu sous le nom de diamant de l’Espoir, qui ornait jadis une idole indienne, aurait été dérobé par un prêtre hindou. On raconte que le pauvre prêtre aurait été torturé et mis à mort pour son crime.
La pierre précieuse, censée porter malheur, réapparut en Europe en 1642 entre les mains d’un contrebandier français du nom de Jean-Baptiste Tefernier. Il la vendit avec d’énormes bénéfices mais laissa son fils prodigue dépenser le plus gros de sa fortune. Il devait finir déchiqueté par des chiens enragés aux Indes, où il était parti reconstituer sa fortune.
La pierre entra ensuite en possession de Louis XIV qui la fit tailler à nouveau, la ramenant ainsi de 112,5 carats à 67,5 carats. Cette réduction ne lui ôta pas son sort maléfique. Nicolas Fouquet, qui l’avait emprunté pour un dîner officiel, fut reconnu coupable de détournement de fonds et emprisonné à vie. Il mourut dans sa prison. La princesse de Lamballe, qui portait souvent le diamant, tomba plus tard sous les coups d’une foule parisienne enragée. Le roi lui-même mourut ruiné et politiquement affaibli, son royaume épuisé. Louis XVI et Marie-Antoinette qui héritèrent ensuite du diamant finirent leurs jours sous le couperet de la guillotine.
En 1830, le bijou, désormais historique, fut acheté par un banquier londonien du nom de Henry Thomas Hope, qui le paya 150 000 dollars. Il connut rapidement des revers de fortune et l’un de ses petits-fils devait mourir ruiné. Un de ses derniers héritiers se débarrassa enfin du bijou en le vendant. Dès lors, pendant seize ans, la pierre passa de main en main.
Dans celles, entre autres, du Français Jacques Colet qui se suicida et du prince russe Ivan Kanitovitch qui mourut assassiné. En 1908, le sultan turc Abdul Hamid paya 400 000 dollars pour l’Espoir qu’il s’empressa d’offrir à sa concubine préférée, Subaya et fut lui-même renversé. Ce fut Simon Montharides qui en devint ensuite propriétaire. Sa voiture se renversa, le tuant sur le coup en même temps que sa femme et sa petite fille.
Le diamant traversa ensuite l’Atlantique et tomba entre les mains du magnat de la finance Ned Mc Lean qui l’acheta pour la somme dérisoire de 154 000 dollars. Son fils Vincent se tua peu de temps après dans un accident de voiture et sa fille mourut d’une overdose. La femme de Mc Lean s’adonna à l’héroïne et lui-même finit ses jours dans un asile. Il mourut en 1947, laissant le douteux héritage à ses petits-enfants, dont la petite Evalyn, âgée de cinq ans.
Deux ans plus tard, la famille Mc Lean vendit le diamant à Harry Winston, un marchand de pierres précieuses. Winston en fit don au Smithsonian Institute où il se trouve encore. Sa malédiction n’agit peut-être pas sur les institutions comme sur les individus ou est peut-être venue d’éteindre avec Evalyn Mc Lean, l’un des six petits-enfants de Mac Lean, que l’on trouva morte dans son appartement de Dallas le 13 décembre 1967. Elle avait 25 ans et l’on n’a jamais su la cause réelle de son décès.
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Les fantômes d'animaux
29/04/2007 22:35
Source: http://www.dark-stories.com/animal_fantome.htm
- LES FANTÔMES D'ANIMAUX -
L’adieu de Bonika
La sœur de Mlle Wera Krijanowski, Mlle Lubow Krijanowski, nous raconte le fait suivant, qui lui est arrivé, et qui se rapporte à la question si débattue de l’âme des animaux.
Il s’agit d’un petit chien, qui était notre favori à tous. C’est d’ailleurs un peu à cause de cette affection et des gâteries exagérées qui en était la conséquence. L’animal tomba malade. Il souffrait de suffocation et toussait; le médecin-vétérinaire qui le soignait estimait que la maladie n’était pas dangereuse. Néanmoins, Wera s’inquiétait beaucoup; elle se levait la nuit pour lui faire des frictions et lui donner sa médecine; mais personne ne pensait qu’il pût mourir.
Une nuit, l’état de Bonika ( c’était le nom du petit chien ) empira tout à coup; nous eûmes de l’appréhension et on résolut que, dès le matin, on irait chez le vétérinaire, car si l’on s’était contenté de le faire appeler, il ne serait pas venu nous voir.
Donc, au matin, Wera et notre mère partirent avec le petit malade, moi je restai et me mis à écrire. J’étais si absorbée que j’oubliai le départ des miens, quand, tout à coup, j’entendis le chien tousser dans la chambre voisine. C’était là que se trouvait sa corbeille ( le petit lit du chien ) et, depuis qu’il était malade, à peine commençait-il à tousser ou à gémir que quelqu’un de nous allait voir ce dont il avait besoin, lui donnait à boire et lui présentait sa médecine, ou lui ajustait le bandage qu’il portait au cou.
Poussée par l’habitude, je me levai et m’approchai de la corbeille; en le voyant vide, je me rappelai que maman et Wera étaient parties avec Bonika, et je restais perplexe, car la toux avait été si bruyante et si distincte qu’il fallait rejeter toute idée d’erreur.
J’étais encore pensive devant la corbeille vide, quand, près de moi, se fit entendre un de ces gémissements dont Bonika nous saluait quand nous rentrions; puis un second qui semblait venir de la chambre voisine; enfin, une troisième plainte qui semblait se perdre dans le lointain. J’avoue que je restai saisie et prise d’un frémissement pénible; puis l’idée me vint que le chien avait expiré. Je regardai la pendule, il était midi moins cinq.
Inquiète et agitée, je me mis à la fenêtre et j’attendis les miens avec impatience. En voyant Wera revenir seule, je courus vers elle et lui dit à brûle-pourpoint : « Bonika est mort. » « Comment le sais-tu ? » dit-elle, stupéfaite. Avant de répondre, je lui demandai si elle savait à quelle heure précise il avait expiré. « Cinq minute avant midi », me répondit-elle, et elle me raconta ce qui suit :
Quand elles étaient arrivées chez le vétérinaire, vers onze heures, celui-ci était déjà sorti; mais le domestique pria instamment ces dames de vouloir bien attendre, vu que vers midi son maître devait rentrer, car c’était l’heure qu’il avait coutume de recevoir. Elle restèrent donc, mais comme le chien se montrait toujours agité, Wera tantôt le posait sur le divan, tantôt le mettait à terre et consultait le pendule avec impatience. A sa grande joie, elle venait de constater qu’il n’y avait plus que quelques minutes avant midi, lorsque le chien fut repris d’une suffocation. Wera voulut remettre le chien sur le divan; mais comme elle le soulevait, elle vit tout à coup l’animal ainsi que ses mains s’inonder d’une lumière pourpre si intense et si éclatante que, ne comprenant rien à ce qui arrivait, elle cria « Au feu !» Maman ne vit rien; mais comme elle tournait le dos à la cheminée, elle pensait que le feu s’était pris dans sa robe, et elle se retourna, effrayée : elle reconnut alors qu’il n’y avait pas de feu dans la cheminée, mais aussitôt après, on constata que le chien venait d’expirer, ce qui fit que maman ne pensa plus à gronder Wera pour son cri intempestif et la peur qu’elle lui avait faite.
Article parut dans le volume VIII, p. 45, des Annales des sciences psychiques, reproduit d’un texte de la Revue Italienne Il Vessillo Spiritista.
Un cochon d'Inde fantôme
C'est par une belle journée du mois d'Août 1925 que le Major Wilmot Allistone décide de prendre quelques photographies de sa femme et de ses enfants.
La photo de droite fut une des images que le major Allistone prit ce jour-là. Il eut la surprise de découvrir, à la place de l'ours en peluche que son garçon tenait à la main, le défunt cochon d'Inde de ce dernier. L'animal s'était fait dévoré par un chien quelques jours auparavant et personne ne semble en mesure d'expliquer sa présence sur cette photographie.

Bien que cette photo soulève la contreverse et que les opinions diverges quant à la claireté de l'animal fantôme et des possibilités de trucage. D'après les experts ayant analysés la photo, la thèse d'un trucage est peu plausible.
Cette photographie d'un animal fantôme est l'une des plus populaire distribuées sur le net. Cependant, plusieurs autres images, plus ou moins éloquantes, ont également été présentées, mais pratiquement aucune d'entre elles n'excluaient les doutes de trucage.
Apparition visuelle d’un chien fantôme
Une seule fois, il m’est arrivé quelque chose de pareil à une preuve personnelle de la présence en esprit d’un animal que j’avais fort bien connu dans ma vie. Il s’agissait d’un petit terrier, grand favori de ma famille, qui, par la suite du départ de son maître, avait été donné à un de ses admirateurs, habitant à une centaine de milles de chez nous.
Un an après, comme j’entrais un matin dans la salle à manger, je vis, à mon grand étonnement, la petite Morna qui courait en sautillant autour de la chambre et paraissait être en proie à une frénésie de joie; elle tournait, tournait tantôt en se fourrant sous la table, tantôt en faufilant sous les chaises, ainsi qu’elle était habituée à faire dans ses moments d’excitation et de joie, après une absence plus ou moins longue de la maison. J’en conclus naturellement que le nouveau maître de Morna l’avait conduite chez nous, ou que, tout au moins, la petite chienne était parvenue à retrouvée toute seule le chemin de son ancienne demeure. J’allai aussitôt questionner à ce sujet les autres membres de la famille, mais personne n’en savait rien; d’ailleurs, on eut beau la chercher partout et l’appeler par son nom, Morna ne se fit plus voir. On me dit donc que je devais avoir rêvé, ou, pour le moins, je devais avoir été victime d’une hallucination; après quoi, l’incident fut vite oublié.
Plusieurs mois, un an peut-être se passa, avant qu’il nous arrivât de rencontrer le nouveau propriétaire de Morna. Nous lui en demandâmes aussitôt des nouvelles. Il nous dit que Morna était morte à la suite de blessures qu’elle avait reçues au cours d’une lutte avec un gros chien. Or, à ce que j’ai pu constater, le combat s’était passé à la même date, ou bien peu de temps avant le jour où je l’avais vu (en esprit) courir, sautiller, tourner autour de la salle de son ancienne demeure.
Auteure : Mme E. d’Espérance Article publié par Light, le 22 octobre 1904, p. 511
Le fantôme d’un Saint-Bernard qui peut ouvrir une porte
Me permettez-vous de vous relater un petit fait qui touche aux manifestations parapsychologique. Il ne s’agit pas d’une personne, mais d’une bête… Un peu solitaire, aimant l’étude et non le monde, je n’ai pas d’amis; mais j’en ai eu un : c’était un chien. Ce chien était intelligent plus que bien des hommes. C’était mon gardien, lorsque la nuit je restais seul à contempler le ciel, il était fidèlement couché à mes pieds, son épaisse fourrure (c’était un Saint-Bernard) me couvrait les jambes, il m’était difficile de bouger lorsqu’il fallait suivre la marche d’une étoile. Si j’étais dans ma chambre et lisais, il restait assis me regardant, et je dirai même me comprenant. Je sentais qu’il aimait autant la solitude que moi, c’est pour cela que nous ne nous quittions pas.
Je vous fais cet exposé pour que vous puissiez comprendre mon affection pour lui, et pourquoi je le considérais comme un ami. Voilà donc mon récit :
C’était en décembre 1910, le 14 exactement, que ma mère emmena mon Boby avec elle. Je dois noter avant tout qu’il avait la désagréable habitude, lorsque que quelqu’un approchait, de se porter vers lui un peu trop bruyamment; en second lieu, que, lorsque je discutait avec mon père, il se mettait de la partie et tenait sérieusement de mon coté.
Après avoir reçu une plainte, mes parents résolurent de le faire abattre, et ce, sans me prévenir.
C’était un soir, à 19h30. J’étais dans ma chambre et j’entendis la porte s’ouvrir (il l’ouvrait seul, étant aussi grand que moi, il mesurait 1m80). Donc, j’entendis la porte s’ouvrir et vis apparaître mon Boby. Il resta, l’air souffrant, sur le seuil. Je disais : « Vient Boby! » mais il n’obéit pas. Je répétais alors mon ordre, il arriva. Il me frôla les jambes et se coucha sur le parquet; je voulus le caresser, mais… rien, il n’était plus là !
Je me précipitai hors de ma chambre; la porte était restée ouverte; je téléphonai à Lausanne (2 km); je demandai le Clos d’Équarrissage, et voici textuellement quel a été notre dialogue :
- Bonjour, Clos d’Équarrissage. - Avez-vous vu une dame habillée en noir avec un chien Saint-Bernard? - On vient d’en abattre un, il y a deux minutes à peine; il est couché et la dame est là! À ces mots, je tombai à la renverse et je m’évanouis. Lorsque je revins à mon état naturel, je demandai mon chien : il n’était pas là, il était mort.
Telle est l’histoire de mon Boby; il est à remarquer qu’à la minute où il mourrait, je l’ai vu de mes propres yeux et, ce qui enlève tout le doute d’hallucination, c’est que la porte s’est ouverte d’elle-même.
Auteur : M.G. Graeser Article publié dans les Annales des sciences psychiques (1912, p. 279)
Une vision collective – Une dame blanche et son chien
En ces derniers cinq mois, nous avons assisté aux manifestations spontanées les plus extraordinaires. Nous avons tous, dernièrement, écouté une voix qui nous appelait par notre nom en plein jour, et avons assisté aux apparitions répétées d’une dame blanche, un fantôme féminin de haute taille, habillé de blanc, et que tous les membres de la famille purent voir, sauf moi, qui ai pu, par contre, en entendre la voix résonner, merveilleusement distincte, en présence de toute ma famille. L’apparition a été vue plusieurs fois collectivement par diverses personnes, presque toujours en bonne lumière, et quelques fois en plein jour. Deux fois, le fantôme a dialogué avec les témoins.
Il y a une quinzaine de jours, ces merveilleuses manifestations ont atteint leur apogée par l’apparition en plein jour du fantôme vêtu de blanc, accompagné d’un chien. Un après-midi, ils ont été vus ensemble à deux reprises par deux différentes personnes successivement. Le même jour, le chien a été vu trois fois tout seul; une fois, quatre personnes l’ont vu collectivement; parmi elles, il y avait une fillette de deux ans, qui a couru derrière le chien-fantôme jusqu’au-dessous du lit, où il avait disparu. Tout cela se passait en pleine clarté du jour et ce fantôme de chien a été revu plusieurs fois depuis.
Tout ceux qui l’ont vu sont d’accord pour décrire un chien terrier haut, blanc, avec une grosse tache noire irrégulière sur le dos, oreilles droites et courtes, queue droite. On remarqua, en outre, qu’il semblait secoué par un fort tremblement de tout le corps et que le poil de sa robe était plus court et plus luisant qu’il devrait l’être. Or, cette description correspond exactement à celle d’un chien qui m’appartenait et qui est mort il y a douze ans environ; j’en avais presque oublié l’existence. Aucune des personnes qui l’ont décrit ne l’avaient connu de son vivant et n’avaient même su qu’il eût existé. Ma tante ( puisque c’est son fantôme qui se manifeste ) est morte il y a six ans; elle avait beaucoup aimé le chien qui l’accompagne. Il est à remarquer que, mon chien était caractérisé par une exubérante vitalité, qui se manifestait par un violent tremblement qui secouait son corps chaque fois qu’on éveillait son attention. N’oublions pas que tous ces détails véridiques étaient absolument ignorés de ceux qui virent et décrirent le fantôme de l’animal.
Je rappellerai aussi qu’avant sa manifestation, on avait entendu des aboiements et grattements caractéristiques, qui se produisaient en même temps que la dame blanche apparaissait; mais comme aucun de nous n’avait vu encore des fantômes animaux, ces manifestations auditives furent pour nous inexplicables, jusqu’au jour où l’apparition du chien vint éclaircir ce mystère.
La signification théorique de ce mémorable évènement ressort d’une manière fort nette; c'est-à-dire qu’il tend à prouver ce que logiquement on devrait présumer, que l’esprit d’un chien, comme celui de sa maîtresse, peut survivre à la mort du corps.
Auteure : Révérand Charles L. Tweedale Article publié par Light London, 1911, p. 101

Surprenante photo d'un chien fantôme
La photo à été prise par une photographe amateure, Madame Filson. Présentes sur la photographie, Lady Hehir et sa chienne Tara. Cependant, nous pouvons très facilement distinguer la présence d'un autre chien, donc la tête se retrouve près du postérieur de Tara.
Madame Filson et Lady Hehir ont immédiatement reconnu la chienne terrier Kathal, qui était la compagne de jeux favorite de Tara. Kathal était morte quelques semaines avant la prise de la photographie, et son apparition est du moins, inexplicable. Nous ne pouvons distinguer qu'une tête de chien, très nette qui semble se tenir devant l'objectif.
Le négatif d’une photo à été soumise au British College of Psychic Science en 1927, comme la photo du cochon d'Inde fantôme de la famille Allistone, aucun trucage n'a pu être découvert.
Auteur: Ernest Bozzano Extrait: Les apparitions, les pouvoirs inconnus de l'homme, p. 30-37, Édition Tchou 1978
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La ligne verte
29/04/2007 23:13
Réalisé par Frank Darabont Avec Tom Hanks, David Morse, Gary Sinise Film américain. Genre : Fantastique, Policier Durée : 3h 9min. Année de production : 1999 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : The Green mile
Resumé:
Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s'efforcant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.
Critiques spectateurs:
klick.tlse - le 01/04/2007 Mais comment peut-on mettre moins de 4 étoiles à ce film?! chef d'oeuvre du cinéma américain, thom hanks y est extraordinaire, je suis assez scandalisé par les critiques de la presse( j'avoue ne plus trop tenir compte de l'avis de la presse dans mes choix depuis longtemps! ) âmes sensibles surtout ne vous abstenez pas, film bouleversant, la fin est sublime... A posséder absolument dans sa vidéothèque et à revoir.
p6492 - le 30/03/2007 Unique, génial ! Le seul film qui a réussi à me faire fondre en larmes !
Antoine40 - le 26/03/2007 Je ne vais pas m'attarder a fair une critique ! . Sa ne ferait que ternire la couverture de ce film . Les acteur sont sublimes et crédible , l'ambiance tellement terrible mais tellement magique . ! Non Non ... Vous n'aviez pas une poussiére dans l'oeil . C'étais bien une larme . Un C H E F D' O E U V R E Jamais au grand Jamais , J'oublirais jamais se film !
Ludchou - le 19/03/2007 Un peu négligé à sa sortie en France, la Ligne Verte est un très grand film... Tom Hanks et MC Duncan sont parfaits (même en version française !)... Et en plus, pour une adaptation, à un livre, c'est très fidèle. Moi qui avais adoré les bouquins de Stephen King, je crois que c'est ici la meilleure adaptation, et de loin !
julien3735 - le 09/03/2007 Un film exeptionnel, une histoire triste, émouvante et révoltante avec une touche de fantastique. Les acteurs sont excellent en particulier Tom Hanks et MC Ducan. Un film à voir de toute urgence.
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