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Halo 2
05/05/2007 11:48
Source : jeux vidéo.com
Halo 2 
Sortie : Le 10 novembre 2004
Considéré comme l'un des tous meilleurs FPS consoles aux côtés du mythique Goldeneye de Rare, Halo avait fait les beaux jours de la Xbox en prenant la tête de son line up de lancement. Aujourd'hui, tout le monde attend fiévreusement sa suite en frétillant d'une impatience qui touche au fanatisme. A l'heure de vérité, tout ce brouhaha commercial autour du FPS de Bungie, était-il mérité ? Vous flippez là, hein ?
Au cas où vous ne seriez pas au courant, à l'heure où vous lirez ces lignes, Halo 2 sera déjà soigneusement logé dans les rayons des vendeurs consciencieux et déchaînera les passions de joueurs ayant claqué leur budget mensuel tôt le matin. Et on ne les blâmera pas de s'être précipité pour faire leur achat car on peut déjà le dire, Halo 2 vaut son pesant de cacahuètes et même si parler de révolution est abusif, ce second opus prend en tout cas la première marche du podium des FPS sur consoles.
Après l'humain qui vole les armes covenant, le covenant qui pique les armes humaines.
Nous voilà donc de retour dans le rôle du Master Chief après avoir préalablement suivi dans l'introduction le destin de l'officier Covenant qui était en charge de la défense du Halo du premier épisode. Pour lui, la sentence se veut exemplaire et pourtant on le retrouvera dans le rôle de l'Arbiter, soldat besogneux mais redoutable, fait pour être sacrifié au cours de missions capitales mais suicides. Parallèlement, les Covenants peaufinent leur vengeance à l'égard de la Terre qui ne tardera pas à essuyer une attaque de grande envergure.
Si vous attendiez de Halo 2 une colossale masse de nouveautés et de choses inédites, grand bien vous fera toutefois de relativiser et de constater que, finalement, elles ne sont pas si nombreuses. En premier lieu, on découvrira vite l'une d'elle qui consiste à pouvoir utiliser 2 armes à la fois (oui, on le faisait déjà dans Goldeneye) tout en sachant que ces armes peuvent être différentes. Un needler à gauche et un SMG à droite par exemple, utilisés de manière indépendante. La contrepartie d'une telle puissance de feu étant que vous ne pourrez plus utiliser l'attaque de mêlée et surtout que vous devrez faire une grosse croix sur des grenades plus que jamais utiles. L'autre ajout nettement plus amusant à mon goût concerne la possibilité d'aborder les véhicules, plus nombreux au passage que dans Halo. En se positionnant correctement sur la trajectoire d'un banshee, on pourra grimper dessus et éjecter son pilote d'un bon coup de latte dans ce qui sert de gencives à un Covenant. Jouissif. Mais paradoxalement, ce qu'on apprécie le plus là-dedans, c'est de constater que ce que vous faites, vos ennemis n'hésiteront pas à le faire aussi. On est bigrement surpris la première fois qu'un Elite nous gicle de notre siège.

Tu vas descendre ! Tu vas descendre !
Toujours au chapitre du tout beau tout neuf, citons le fait que le scénario nous emmènera vivre le destin du fameux Arbiter de l'intérieur. Certaines missions nous verront effectivement incarner ce personnage Covenant. L'occasion de découvrir les joies de l'une des nouvelles armes du jeu, la lame d'énergie, une arme de combat rapproché dévastatrice et particulièrement plaisante à employer.
Et pour finir, les joueurs attentifs au tutorial apprendront que la nouvelle armure du Master Chief dispose d'un bouclier se rechargeant plus vite. Il faut savoir qu'on n'a pas de jauge de vie dans Halo 2, seulement un écran de protection qui une fois vide nous laisse parfaitement vulnérable, ce qui contraint le joueur à se couvrir et à éviter de trop foncer dans le tas.
Moi, le Master Chief, pour faire briller ma visière j'utilise du lait de Covenant.
Pour le reste, Halo 2 c'est "simplement" Halo en mieux. A commencer par l'IA. Les alliés qui vous suivront fréquemment réagissent vraiment à ce qui se passe et la plupart du temps, ils le font bien mais c'est surtout du côté des Covenants qu'on trouve de quoi se réjouir. Bungie signe probablement la meilleure intelligence artificielle d'un FPS console. Comme dans le premier, on retrouve les diverses classes d'ennemis qui réagissent chacun à leur manière. Les petits teigneux s'enfuient dès qu'on s'approche trop, les gros boeufs vous foncent dessus sans peur et les Elites ou les Escortes, très vicieux, vous tombent dessus par derrière sans crier gare. On pourra constater ces multiples attitudes en usant de cette bonne vieille astuce de la grenade à plasma que l'on colle sur un ennemi. Les plus idiots courent vers leurs alliés et font exploser tout le monde alors que les plus malins iront parfois jusqu'à jouer les kamikazes pour vous emmener avec eux. Mais ils ne sont pas à l'abri de comportements regrettables pour autant. En dehors de certaines zones dont on ne peut sortir qu'après avoir fait le vide total, lors de la traversée des niveaux, on peut tout à fait fuir comme un lâche à toutes jambes. Si les Covenants sont rusés comme des renards de l'espace, on s'étonne qu'ils refusent obstinément de se battre une fois en dehors d'un périmètre donné. Pour le coup, la crédibilité en prend un coup, le challenge du jeu aussi. Amis tricheurs, bonjour, vous avez une super astuce de jeu.

L'energy blade est vraiment un délice. Surtout quand on est invisible.
Il faudra donc se montrer prudents dans Halo 2 et savoir user des environnements pour se mettre à couvert et ne pas trop s'exposer à des dangers qui viendront, de plus, de toutes les directions. L'arrivée d'adversaires nantis de jet packs vous contraindra ainsi à veiller à la menace qui vient du ciel. Et mieux vaudra viser juste, cars si on peut toujours se servir de n'importe quelle arme trouvée au sol, les munitions sont souvent limitées et se trouver à court est donc fréquent. Il faudra alors savoir faire feu de tout bois et souvent user et abuser des attaques de mêlée, un bon coup de crosse dans les mandibules des aliens, c'est aussi fun qu'efficace.
Ces drones utilisent un laser qui tranche en deux en un rien de temps.
Fort d'enrichissements à droite à gauche, le gameplay de Halo repose toujours sur les bases qu'on connaît déjà : une IA de qualité et une action intense. S'il est linéaire, Halo 2 s'évite toutefois de céder au "tout scripté et ça se voit" d'un Medal Of Honor. Les environnements sont variés et surtout le level design se montre moins simpliste qu'on avait pu le voir dans les derniers niveaux du premier Halo. Mais la mise en scène de l'action reste une composante essentielle de l'immersion. Si le jeu revient toujours à nous faire tirer sur tout ce qui a une tête de bigorneau avec ou sans coquille, on le fera dans des situations diverses, sous la pression d'événements extérieurs et faisant face à certaines situations imprévues de bon aloi. Les réactions ennemies, variées elles aussi, permettent également et subtilement d'empêcher les choses de tourner en boucle, il suffit d'une petite phrase qu'on n'avait jamais entendu pour retrouver le sentiment de faire face à un personnage qu'on n'a pas déjà descendu 28 fois. Dans le même registre, on remerciera l'animation des personnages qui se compose de nombreux mouvements.

Petite virée en Warthog.
C'est de cette manière qu'Halo 2 fait oublier qu'il reste dans le fond un shooter très basique qui consiste dans 90 pour cent des cas à dégommer tout ce qui bouge à l'écran. Car si on a bien souvent un objectif quelconque (désactiver un bouclier, décrocher une station etc.) on passe tout de même son temps à aller de pièces en pièces pour faire le vide. Il serait facile de taxer le jeu de redondance et il faut dire qu'elle saute parfois aux yeux : une traversée de niveau, une zone "arène" avec une déferlante d'ennemis et rebelote comme on dit dans le jargon. Il est indéniable que Bungie aurait pu se fouler pour ajouter plus de séquences détonantes qu'on en trouve déjà dans le jeu. Pourtant, pad en main, les choses sont suffisamment bien montées pour qu'on ne souffre pas de cet aspect et le jeu réserve de nombreux combats épiques et plein d'adrénaline. Des ennemis tout autour de vous, une déflagration à droite, une à gauche pendant que vous abordez un véhicule pour tenter de vous sortir d'une situation délicate... Vous revenez au sol, plus de munitions, va falloir jouer des coudes pour les ennemis trop collants et lourder les grenades pour les observateurs distants. Les progrès de level design n'y sont pas non plus étrangers avec des niveaux plus riches et vivants, bien que certains passages se montrent moins inspirés que d'autres. On pensera par exemple au second chapitre Covenant qui frise l'ennui.

Toi, t'as pas une gueule de porte-bonheur.
Fait rarissime dans un FPS, le scénario joue lui aussi une grande part dans l'immersion. Pas forcément révolutionnaire mais de bonne facture dans le genre Sci-Fi, on apprécie surtout qu'il soit clairement mis en avant et servi par des cinématiques de haute volée, longues et réalisées avec un grand soin. On se laisse facilement prendre par les histoires parallèles de l'Arbiter Covenant et du Master Chief humain.
Bien entendu, Halo 2, ce n'est pas que du solo, c'est aussi une grosse composante multijoueur malheureusement, difficile de se faire une idée avec des serveurs Xbox Live tout vides. Mais avec les moyens du bord, on peut déjà assurer que le mode coop fera des heureux (on lui reprochera tout de même de ne pas être online) et jusqu'à présent aucune partie multi de Halo n'a laissé indifférent.
Ben les covenants c'est pas le genre à rigoler quand on leur casse leur jouet
Graphismes 18/20
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Bungie nous offre un moteur puissant qui assure des animations de grande qualité, des effets à toutes les sauces, une physique qui tourne rond et des environnements vivants. Bref, c'est beau.
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Jouabilité 18/20
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Aucun reproche au niveau de la maniabilité, si ce n'est peut-être pour les véhicules dont la prise en main est parfois déroutante pour certains. En ce qui concerne le gameplay, même s'il peut paraître hautement répétitif, la mise en scène et l'IA aident à effacer cet écueil. Un excellent FPS en somme. |
Durée de vie 14/20
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"Petit" point noir du titre de Bungie puisqu'on termine le jeu en 10/15 heures à peine en mode normal. Il est donc vivement conseillé de hausser dès le début le niveau de difficulté. |
Bande son 18/20
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Les thème musicaux sont au pire, très bons, au mieux excellents. Il en va de même pour les doublages, aussi bien sur les cinématiques que pour les speeches in-game. Du grand art qui mérite une bonne installation 5.1. |
Scénario 16/20
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Les FPS ne nous ont pas habitué à tant mettre en avant leur scénario. Ce dernier est de qualité bien qu'un peu inégal parfois, mais il est surtout présenté par des cinématiques superbes.
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Note Générale 18/20
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Non, Halo 2 n'est pas une révolution ludique ! Il se contente d'être une suite enrichie de quelques ajouts subtils et de booster tout ce qui avait fait le succès du premier. On pourra lui adresser quelques reproches éparpillés au long du test (aspect un peu répétitif, peu de nouveautés, ennemis qui campent sur leurs positions si on fuit...) mais il offre une action qui atteint de tels sommets de frénésie et de malice qu'il se place sans aucun problème en tête des FPS toutes consoles confondues.
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L'avis de Lestat1975 :
Il aura fallu du temps pour qu'il sorte ce deuxiéme opus des aventures de Master Chief mais ça vallait le coup......Bungie à encore réalisé un grand jeu. Il surpasse sur beaucoup de point le premier épisode. C'est vrai que la différence n'est pas flagrande entre les deux jeux quand on commence à jouer a halo 2. On à l'impression qu'il n'y a pas 2 ans et demi entre les deux versions, on reprend ses marques tout de suite (c'est dingue).....mais ne vous y tromper pas il y a énormément de changement (essayer de rejouer ne serais ce que 5 mns au premier halo et vous comprendrais) De prime abord ce qui saute surtout aux yeux c'est l'action .....c'est le jour et la nuit avec son ancêtre....de l'action en veut tu en voilà ....c'est simple il n'y a presque jamais de temps mort. Les missions sont beaucoup plus variées que le premier halo, la nouvelle possibilité de tenir deux armes simultanément dans chaque main est incroyable et cerise sur le gateau on peut enfin jouer des missions dans la peau d'un covenant (extraterrestre) sur plusieurs niveaux ....c'est le pied .....il y a aussi la possibilité de ce servir de l'épée covenant maintenant et c'est terrible !!!!!!! C'est fatal même pour les ennemis qui sont dans les parages (lol) Graphiquement le jeu à beaucoup évoluer et la maniabilité aussi .....mais comme je vous l'ai dit plus haut tout ça ne saute pas au yeux de suite. J'ai pu gouter au jeu en reseau (local seulement) pendant plusieurs mois avec mes potes de l'AFPA pendant ma formation ....Le pied !! On devient accro......complétement accro..... Sinon le mode solo d'Halo 2 est plus facile que le premier épisode je vous conseille de commencer en mode Héroique sans danger....le mode légendaire s'obtient sans trop de difficulté (sans en chier quoi) Voilà il y aurais tellement de chose à dire sur ce jeu ....mais j'ai toujours pas envie de taper au clavier aujourd'hui (lol) Bref Halo 2 est encore meilleur qu'Halo .....Jetez vous à l'eau (Ha Ha !!!)
Ma note ? 18,5/20
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Vendredi 13
05/05/2007 21:40
Réalisé par Sean S. Cunningham Avec Betsy Palmer, Adrienne King, Harry Crosby Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 36min. Année de production : 1980 Interdit aux moins de 16 ans Titre original : Friday the 13th
Resumé:
Un camp de vacances du New Jersey, maudit depuis vingt ans apres des crimes non elucides, est le theatre de nouveaux meurtres a la chaine.
Critiques spectateurs :
Mastrono - le 16/04/2007 Ah la la, les années 80... la grande epoque des films d'horreurs, des slashers movies. Le premier episode d'une serie culte qui ressemblait quand même à autre chose a l'epoque que les derniers navets de la série. Un scénario stereotypé, caricatural, avec des ados en ebulittion isolé dans une baraque sombre et qui se font tous trucidé les uns à la suite des autres par ...la mere de notre cher Jason Vorhees !!Du grand classique, du tout bon, preuve qu'on savait faire des films d'horreur à l'epoque.
H-13 - le 07/03/2007 Le film d'horreur dans toute sa splendeur:adolescent insoucient qui se font tous descendre,scénario sans originalité,mais le premier d'une longue série(trop longue)et sans doute le meilleur slasher.
The.Only.One - le 27/01/2007 Super film!(je n'irais pas jusqu'a dire "culte" mais il est quand meme très bon). Mis a part la musique (que j'ai du mal a supporter) tout est exellent dans ce film (La fin est assez surprenante sachant qe la saga est censée porter sur Jason).A comparer a d'autres slash-movies (Halloween,Freddy. . .) celui la s'en tire très bien.Meurtres en serie et ambiance angoissante : tout pour faire un bon film d'horreur. (c'est d'ailleurs surmement pour cela qu'il y a eu autant de suite)Donc même si les effets speciaux ont un peu vieillis,film a voir sans hesiter
movjc04 - le 08/12/2006 Tout simplement CULTE, Vendredi 13 a défié la chronique et restera à tout jamais gravé dans ma mémoire. Malgré un scénario pour le moins simpliste, il ne faut pas s'attendre à un miracle, l'histoire tient la route et va crescendo jusqu'à la fin qui se voit être très sombre et angoissante. Les meurtres sont tous plus sordides et violents les uns que les autres et l'humour est à son comble, ajouttez quelques scènes de sexe entre ados et vous obtenez une parfaite série B avec quelques prestigieux comédiens comme par exemple Kevin Bacon. Un film à voir entres amis, le soir si possible dans l'obscurité totale et même si certains trouveront dans Vendredi 13 un côté démodé, il n'a rien perdu de sa fraîcheur malgré les vingt années qui nous séparent de sa date de sortie.
vinxxdark - le 30/08/2006 Voici LE slasher ultime!Et oui après un halloween tres éfficasse et très éffrayant (pour l'époque).Mr sean s cunningham tente un paris quasi-impossible : faire un slasher encore plus violent et plus malsain.LE BOUGRE!il à réussi,avec 2 fois rien en plus!Le film est magistral,la réalisation plus que malsaine et filmé admirablement ( certains plans sont cultes tant ils sont éfficasse)De plus le film possède un charme et un ambiance que plus aucun slasher (y compris ceux aujourd hui) n'arrivera à retranscrire.Le film est réllement angoissant,on ne sait jamais quand le tueur va frapper ni comment...(voir la scene avec kevin bacon,vraiment impressionnante lors du premier visionnage).Les meurtres sont d'une sauvagerie certaines.Bref un des meilleurs films d'horreur que je possède.Je le conseil à ceux qui croivent que le film d'horreur c'est "13 fantômes" pour leur montrer qu'est ce que LE film d'horreur
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Alone in the dark, The new nightmare
05/05/2007 22:42
Source : Jeux Vidéo.com
Alone In The Dark : The New Nightmare 
Sortie : Le 22 juin 2001
En attendant la version PS2 de ce quatrième épisode d'Alone in the Dark qui, au dire des programmeurs, profitera sur ce support de nombreuses améliorations par rapport aux versions PC et Playstation, voyons ce que nous ont mijoté les développeurs de Darkworks pour cette mouture Dreamcast.
Rassurons d'emblée les plus sceptiques d'entre vous, Alone in the Dark : The New Nightmare version Dreamcast est une réussite. Quiconque porte son regard sur le soft après s'être extasié sur la version Playstation se prend une claque mémorable et reste bouche bée. Pour un jeu qui mise tout sur l'ambiance et la gestion des effets lumineux, Alone 4 profite à merveille de son portage sur Dreamcast et parvient à tirer la quintessence de la console pour afficher des écrans d'une beauté à couper le souffle.
Un jeu qui mise tout sur l'ombre et la lumière.
Que dire de la tension que l'on ressent tout au long du jeu devant la qualité de la mise en scène ? L'effet provoqué par le faisceau lumineux de la lampe torche est indescriptible et procure à lui seul une atmosphère tendue et lugubre. Tout est là pour créer autour du joueur une bulle oppressante qui ne le quittera pas jusqu'à la fin du jeu. Dans la même lignée qu'un Resident Evil, Alone in the Dark est un jeu qui donne les frissons, une expérience que l'on ne peut oublier après l'avoir vécue.
Inutile de revenir sur la trame scénaristique du jeu qui met en scène deux héros, Edward Carnby et Aline Cedrac, entre lesquels vous devrez choisir dès les premières minutes de jeu. Séparés prématurément à la suite du crash de leur avion, les deux héros seront amenés à se rencontrer à nouveau régulièrement, directement ou via des contacts radio, mais leurs objectifs n'étant pas les mêmes, ils ne pourront jamais faire face à l'adversité côte à côte. Le bon côté de la chose c'est que les deux scénario suivent un déroulement complètement différent, permettant au joueur de prolonger l'aventure sur deux quêtes complètement distinctes.
Edward Carnby aura fort à faire contre les zombis du cimetière.
Chaque scénario profite d'ailleurs d'une progression bien particulière. Ainsi, si le jeu débute sans armes pour la pauvre Aline qui devra se débrouiller comme elle peut pour faire fuir les monstres avec sa lampe-torche, Carnby disposera lui d'un arsenal beaucoup plus conséquent, qui ira du simple pistolet au lance-grenades et au canon à plasma.
D'entrée de jeu, le ton est donné. On hallucine toujours autant sur le faisceau lumineux de la torche que l'on peut balader dans toutes les directions et l'on sursaute de bonheur à la vue du premier éclair qui déchire les sous-bois sous la pluie. Ce que l'on découvre dans l'ombre est toujours à hurler de peur, et même si l'on s'y attend, l'effet de surprise va toujours au-delà de ce que l'on imaginait. On se rue sur les interrupteurs pour tenter désespérément d'anticiper l'entrée en scène des nombreux monstres qui ne manqueront pas de vous assaillir tout au long du jeu. Mais l'effet de surprise est toujours là. Impossible d'oublier cette séquence culte dans les égouts, lorsque Carnby est attaqué par une chose monstrueuse qui jaillit de l'eau. Impossible de ne pas frémir à chaque fois qu'un éclair révèle des âmes damnées juste à côté de soi, alors qu'il n'y a pourtant rien.
Aline Cedrac a décidé de se mettre à l'aise.
Sur Dreamcast, l'interface bénéficie de raccourcis bien pratiques pour jongler facilement entre l'inventaire, la radio et la carte. Cette dernière s'avère d'ailleurs réellement bien pensée et rend moins confuse la progression dans le dédale de sous-bois et le labyrinthe des portes du château. La maniabilité est, certes, toujours un peu rigide, mais les habitués des Resident Evil trouveront leurs marques immédiatement. Alone 4 ne souffre en tout cas pas de l'agaçant problème de coffres et d'inventaire restreint, inhérent aux Resident Evil. Dommage qu'il faille toujours passer par le menu d'inventaire pour recharger son arme. De même, la difficulté du jeu contribue, certes, à mettre un peu plus la pression, mais la progression est tout de même assez ardue. On regrettera que les munitions et les amulettes de sauvegarde soient aussi rares.
Le danger peut surgir de n'importe où, à n'importe quel moment.
Désormais culte, Alone 4 vient étoffer la saga initiée il y a dix ans sur PC d'un épisode incontournable, que s'arracheront tous ceux qui aiment se faire peur. Mieux qu'un bon film d'horreur, Alone 4 est une expérience à tenter absolument, ne serait-ce que pour découvrir ce qu'il est désormais possible de faire en matière d'ambiance dans un jeu vidéo.
Romendil, le 04 juillet 2001
Graphismes 17/20
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La réalisation graphique atteint cette fois des sommets et l'on affaire ici à un jeu visuellement superbe. Des cinématiques qui font penser à une véritable production cinématographique et des personnages charismatiques à souhait. Des angles de vue toujours très flippants et propices aux attaques surprises. |
Jouabilité 15/20
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Un gameplay à la Resident Evil, pas toujours très ergonomique mais l'on s'y fait rapidement. Les objets clés scintillent sous le faisceau de votre lampe de telle sorte qu'il est quasiment impossible pour un joueur un tant soit peu observateur de manquer un indice. Dommage que le nombre un peu trop limité de munitions et d'amulettes de sauvegarde rende la progression difficile. |
Durée de vie 15/20
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Une durée de vie raisonnable comparé aux autres productions du genre. Les deux scénarios offrent quasiment deux jeux en un et proposent des challenges complètement différents. |
Bande son 17/20
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Un jeu qui mise tout sur l'ambiance, et la bande-son n'est pas en reste. Planchers qui craquent, coups de feu dans le noir, battements de coeur qui s'accélèrent, tonnerre qui gronde et surtout, surtout, les cris des monstres et les hurlement déformés des victimes... |
Scénario 16/20
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Un scénario lugubre à souhait qui dérive rapidement vers le surnaturel. Il est fortement conseillé de prendre le temps de lire les nombreux documents disséminés ça et là pour profiter au maximum de la trame de l'histoire qui réserve de nombreuses surprises. |
Note Générale 17/20
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Inconditionnels de Lovecraft, fans de Resident Evil, passionnés de film d'horreur, ne cherchez plus. Alone in the Dark : the New Nightmare est la solution pour prolonger le cauchemar sur votre écran de télé. Une expérience à tenter absolument, seul dans le noir... |
L'avis de Lestat1975 :
Voici un jeu qui ma bluffer, j'avais entendu parler de lui par le magazine "Dreamzone" en 2000. Le jeu étais en 2D avec les personnages en 3D (Genre les 3 premiers Resident Evil) Avec des gestions des ombres et lumiéres super bien réussi. Voila ce que je savais du jeu avant de l'acheter. J'étais un fan de Survival-Horror et je ne pouvais pas passé à coté, surtout que c'étais l'ancêtre de Resident Evil. Bé j'ai pas étais déçu, des la premiére minute de jeu j'ai pris une claque (graphique). Je penser que j'étais devant une sécance en images de synthése.....puis quand j'ai vu que le personnage ne bouger toujours pas au bout de 10 secondes j'ai réaliser que c'étais à moi de commencer .....que c'étais beau !!!! Ca contribue vachement à l'anbiance d'Alone in the dark, graphiquement il est bien au dessus des 3 premiers Resident evil ....Bravo !! Et ce qui encore plus surprenant c'est que ce jeu à réussi à me foutre la trouille à certain moment .....non sans blague .....c'est le seul jeu d'ailleur qui est arrivé a ce résultat. Mais faut dire que la qualité graphique ainsi (surtout) que les effet d'ombres et de lumiéres y sont pour beaucoup. En effet dans la premiére partie du jeu qui ce déroule dans Le manoir, celui ci est plonger dans l'obscurité total et votre lampe est votre seul moyen d'y voir clair. Faut voir comme c'est impressionnant a voir des décors en 2D éclairés par en 3D, c'est magnifique. Par contre la deuxiéme partie du jeu est moins bien réussi ....peut étre parce qu'elle ne se déroule plus dans le manoir (j'aime les manoirs)....enfin bref ça fait moins peur. Autre chose à rajouter aussi c'est que l'on peut jouer soit avec le perso féminin ou le perso masculin a votre guise.....les 2 parcours sont différents ce qui est vraiment sympa (un peu comme les resident evil en somme) voila je ne vois pas quoi rajouter d'autre si ce n'est que c'est un tres bon jeu et tres réussi graphiquement.
Ma note ? 17/20
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Le tueur du vendredi
05/05/2007 23:02
Réalisé par: Steve Miner Avec: Amy Steel, John Furey, Adrienne King, Kirsten Baker, Stuart Charno, Warrington Gillette, Walt Gorney, Marta Kober, Tom McBride, Bill Randolph, ... Film américain. Genre : Horreur, épouvante Durée: 1h27 Année de production : 1981 Titre original: Friday the 13th, Part 2
Resumé : Un bel été de rêve au Camp de Crystal Lake tourne au cauchemar et plonge à nouveau dans une indicible terreur un groupe de conseillers naïfs. Ignorant le passé sanglant du camp, ils sont victimes les uns après les autres de Jason qui, dans sa démence, les poursuit sans relâche...
Critiques spectateurs :
Myers31 Supérieur à son prédécesseur, Vendredi 13 part2 est un des meilleurs de la série. Le film possède le même attrait épeurant que l'original. Points faibles : la disparition d'Alice, la survivante du premier film, est vraiment bizarre, à nouveau des scènes d'exposition trop longues et, bien sûr, trop de meurtres raccourcis au montage ou carrément hors champ.Beaucoup de point fort: une bonne continuité avec VENDREDI 13, une sympathique héroïne(Amy Steel) et l'apparition du vrai tueur du vendredi Jason Voorhees. En bref, une suite carrément parfaite.
Dje J'adore ce film tout particulièrement les scènes avec la tête de sa pauvre mère. Par contre je n'aime pas le look "humain" de jason car après tout il est déja mort le bougre. Jason étant mon héros de films d'horreur préféré je suis en droit de protester...lol. N'empèche que les meurtres de se seond opus sont vraiment sympa comme tout donc un bon film en perspective.
Larsouil Continuant bien l'histoire du premier opus, on entre dans l'aire Jason et sa ressemblance avec Michael Myers (Halloween). Le seul regret vient du fait qu'il n'y a aucune explication sur la résurrection du fils Voorhees. L'ensemble reste dans la lignée du premier épisode.
Vinxxdark 2 ème opus très bon tout simplement!Jason fait ici son apparation en Mr Patate ;)
Jojo Première suite d'une interminable saga, ce "Vendredi 13, chapitre II" ne force pas trop en reprenant tous les ingrédients qui ont fait le succès du volet précédent ( ados peu futés fumeurs de joints et parfois lubriques, bois obscurs et tueur sadique ) le tout dans un script lui même très ressemblant avec le premier film dans sa structure ( présentation des protagonistes avec tous les stéréotypes d'usage, ambiance amorcée par évocation de légendes urbaines et quelques meurtres isolés, déroulement du carnage principal en une nuit puis confrontation finale qui se concluera par une scène choc onirique ). Si le film est sans surprise dans son fond, il se révèle pourtant réussi dans sa forme car le travail de mise en scène de Steve Miner est plutôt soigné: l'ambiance générale reste assez angoissante et lourde avec ces décors de sous-bois mystérieux, les séquences de meurtres sont bien exécutés et émanent un bon suspense malgré un coté gore moins développé que dans le précédent opus, les acteurs livrent une prestation honnête ( bien qu'il n'y ai rien de mirobolant non plus ) et même le traitement du tueur se révèle réussi: malgré son sac à patates sur la tête Jason ne tombe jamais dans le ridicule. Par ailleurs on dénote aussi quelques clins d'oeils amusants comme cette scène de bain de minuit qui, avec cette musique pesante et répétitive, renvoie à l'introduction des "Dents de la mer". En définitive un bon petit slasher, assez classique dans son propos mais toujours aussi agréable à voir. Les fans apprécieront....
Myers vs loomis Un concept simple et deja vu,mais qui marche.Et oui ce 2eme volet de la saga des Vendredi 13 reprend le meme chéma que son prédéceseur,mais cette fois si on y met le fils a la place de la mere et comme tjs une bande de blaireau qui s'aventure ou il ne faud pas.Mais ceci ne gache en rien le film,car les scenes de meurtres sont vraiment tres bien faite et l'histoire nous replonge dans l'ambiance du 1er et sa sans nous lasser.Sa beau tourner en rond on en redemande encore et encore.C'est ce qu'on appel des saga cult,avec ses bon et ses mauvais épisode.Moi j'aime bien.
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Sixieme sens
05/05/2007 23:10
Réalisé par M. Night Shyamalan Avec Bruce Willis, Haley Joel Osment, Toni Collette Film américain. Genre : Drame, Thriller Durée : 1h 47min. Année de production : 1999 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : The Sixth Sense
Resumé :
Cole Sear, garconnet de huit ans est hanté par un terrible secret. Son imaginaire est visité par des esprits menacants. Trop jeune pour comprendre le pourquoi de ces apparitions et traumatisé par ces pouvoirs paranormaux, Cole s'enferme dans une peur maladive et ne veut reveler à personne la cause de son enfermement, à l'exception d'un psychologue pour enfants. La recherche d'une explication rationnelle guidera l'enfant et le thérapeute vers une vérité foudroyante et inexplicable.
Critiques spectateurs :
Popodepp - le 12/04/2007 Ce film est génial... Les deux premières étoiles sont pour Bruce Willis et Haley Joel Osment, absolument prodigieux tous les deux et formant un excellent duo. La troisième étoile est pour le scénario: j'ai rarement vu un aussi bon scénario que celui-ci! Et enfin la quatrième étoile est pour la fin, vraiment inattendue et superbe! Lorsqu'on revisonne le film une seconde fois, on est assez bluffé par le nombre de détails qui rendent cette fin crédible et qui l'annoncent sans le spectateur s'en rende compte: la scène du restaurant (qui est une de mes préférées), le gros plan sur Malcolm (Bruce Willis) pendant que Cole (Haley Joel Osment) lui raconte son secret:" Ils ne savent même pas qu'ils sont morts...", et la constante présence de la couleur rouge... le film a vraiment été étudié et peaufiné dans ses moindres détails, et c'est ça qui le rend si incroyable.
quatermain - le 17/03/2007 Un chef-d'oeuvre depuis souvent copié, mais jamais égalé. Comment oublier l'incroyable Haley Joel Osment (meilleur à 10 ans que les 3/4 des acteurs à 50 ans), la prestation bouleversante de Bruce Willis (qui avec ce rôle est entré dans la catégorie "Grand acteur"), et celle, pas moins émouvante de Toni Collette en mère dépassée par les évènements? Mais pour lier ces magnifiques prestations entre elles, il y a la mise en scène virtuose de M.Night Shyamalan, qui réserve un twist de génie, qui même au 50e visionnage renverse le spectateur comme raremant un film y arrive.
Croque-mitaine - le 09/02/2007 Le premier Shymalan qui est paru sur les écrans, et aussi le premier que j'ai vu. Je les ai tous vu, mais celui-ci reste pour moi son plus réussi. On pense voir un film sans grande originalité, mais on regarde une tromperie grandiose. Tout amène à une fin inatendu et sublime. Ce film m'a aussi révélé, en plus d'un réalisateur génialissime, un très jeune acteur très doué. Bruce Willis est lui aussi parfait dans ce rôle. Pour moi, jamais aucune histoire de fantômes n'égalera Sixième Sens. Impossible. T.A.L. - le 20/01/2007 OH MON DIEU!!!! c'est le genre de film qui m'a transformée à tout jamais. L'intrigue est haletante, incroyablement bien ficelée, et le petit garçon est tellement attendrissant qu'on suit ce film jusqu'au bout sans en perdre une miette!! jamais on ne peut prévoir le dénouement final, qui nous laisse davantage scotchée. Je l'ai vu quand il est sorti au cinéma, j'avais quinze ans, et je n'ai pas arrêté d'y penser pendnat une bonne semaine! tout simplement faramineux. Comme Hitchcok, le réalisateur parvient à lier tendresse et effroi.
Ikarus92 - le 01/04/2007 Un film tout simplement énorme, qui arrive à nous tenir en haleine tout au long de son déroulement. Il y règne une athmosphère flippante qui rend le spectateur terriblement vulnérable au pièges tendus par Shyamalan. De plus les acteurs sont très bons, le jeune garçon en tête, ce qui rend le scénario crédible et la fin encore plus impressionante. A voir absolument.
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Hellraiser
05/05/2007 23:25
Réalisé par Clive Barker Avec Andrew Robinson, Claire Higgins, Ashley Laurence Film américain. Genre : Epouvante-horreur Durée : 1h 34min. Année de production : 1988 Titre original : Hellraiser
Resumé :
Durant un voyage, un homme entre en possession d'une boîte maléfique, qui lui ouvrira les portes d'un monde de plaisir et de terreur.
Critiques spectateurs :
francuskiwpolsce - le 13/02/2007 Hellraiser de Clive Barker a été pour moi un déclic autant en cinéma qu'en littérature. Autant le dire tout de suite le reste de la franchise est tout bonnement nul et les autres essais cinématographiques de Barker sont presque tous de beaux navets (allez à part peut-être le Maître des Illusions avec Bakula). L'horreur ici est empreinte de touches éroto-sado-masochistes en la présence des désormais célèbres cénobites et de leur encore plus célèbre leader Pinhead. Même si le style années 80 et un manque évident de budget rebuteraient un premier visionnage, on peut encore apprécier l'inventivité de Barker et les glauques rouages de son esprit. Le scénario est bien ficelé et l'ensemble avait valu au film un prix au regretté festival d'Avoriaz. A l'heure des remakes en tous genres et autres prequels, une réadaptation de Hellraiser par un réalisateur sérieux et un budget adéquat pourraient à mon sens causer de très bonnes surprises si on sait recapturer l'esprit et moins s'arrêter sur le visuel. A quant également l'adaptation des autres romans de Barker: The Great and Secret Show ou encore Imajica ?
blink-drawer - le 30/03/2006 N'ayont pas peur de mettre 4 étoiles pour ce film d'épouvante dont la jaquette était celle qui me faisait le plus peur lorsque je passais devant le rayon horreur du vidéo club de ma jeunesse. Bien que cet affreux personnage aux piques enfoncés dans la tête ne soit pas le personnage principal, on a quand même le droit à sa dose d'horreur avec des personnages esthétiquement très effrayants. Bien que ce film ait un peu vieillit au niveau des effets speciaux, il n'en demeure pas moins un savant mélange de tous les ingrédients nécessaires pour faire un bon film d'épouvante. Les acteurs sont également très performants et le scénario est à la hauteur de la réputation de ce film , qui rentre pour ma part dans le rayon des classiques de l'horreur.
tolrik1012 - le 04/08/2005 Avec hellraiser :le pacte on est plongé dans une drôle d'histoire d'amour jusqu'a la folie entre Franck et Julia. Mais aussi on découvre les cénobites pour la première fois ah! pinhead et son sérieux quand il recherche les morceaux de visage de Franck pour les réassembler mais c'est génial car n'oublions pas que ceux qui ouvrent la boîte doivent rester et souffrir c'est un filme cultissime dans son genre: violent et baroque
Redzing - le 29/11/2006 Un film d'horreur au caractère plus que fantastique, et qui n'a pas trop mal vieilli : les effets spéciaux gores (cadavres, chair en recomposition...) sont très réussis, et très présents, et le sujet est assez original, à savoir un mélange d'ésotérisme, de sado-masochisme, et de surnaturel au look particulier. Cependant, certains effets, du genre éclairs lumineux, sont obsolètes, et on n'évite pas les clichés (la fille trouillarde, le mari en guignol se service...). Mais ceci est rattrapé par une bande-son de qualité et par certains plans superbes et effrayants.
Ash_evil_dead - le 26/08/2006 Ce film est génial. L'histoire est originale et tient la route durant tout le film. Les maquillages sont très biens faits surtout celui de Frank et de Pinhead. Les cénobites sont cruels et sont surement les véritables stars. Pour la meilleur c'est scène c'est lorsque Frank se fait transpercer par les chaînes et explose en petits morceaux. Une histoire génial + du gore + de la terreur et du suspens = un super bon film.
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Project Zero
07/05/2007 10:08
Source jeux vidéo.com
Project Zero 
Sortie : Le 02 mai 2003
Après nous avoir fait frissonné sur PS2, Project Zero revient pour hanter nos nuits sur Xbox. Même s'il ne s'agit que d'une simple conversion d'une console sur l'autre (avec quelques bonus supplémentaire à débloquer sur Xbox); lLe titre n'a rien perdu de son aura si flippante ni de sa réalisation si soignée.
Si Project Zero reprend pas mal des ingrédients classiques en matière de Survival Horror il n'hésite pourtant pas à renouveler le genre et à s'affranchir par la même occasion de certains éléments devenus vitaux ou presque pour les joueurs, à savoir les inévitables fusils à pompe et autres lance-grenades. Nous voici aux côtés de Miku, une jeune fille partie à la recherche de son frère récemment disparu dans un vieux manoir alors que lui aussi était à la recherche d'un vieil ami dont les dernières traces conduisaient jusqu'à la demeure Himuro. Un manoir vétuste d'extérieur, plutôt bien conservé à l'intérieur et qui comme on s'en doute renferme de terribles secrets, mêlant rituels étranges et apparitions de revenants. Mais si le scénario de Project Zero n'a pas grand chose à envier à bon nombre de films d'épouvante, l'une de ses originalités réside dans son système de combats. Miku ne dispose en effet que d'un unique appareil photo pour se défendre des fantômes. Un appareil doté de pouvoirs puisque qu'outre le fait de révéler ce que l'oeil seul ne peut voir, il permet également de capturer les esprits en les photographiant.

Le manoir est constamment plongé dans l'obscurité.
Une fois le décor planté signalons que Project Zero est avant tout une affaire d'ambiance. L'héroïne est seule, isolée dans cette demeure peu accueillante et devra faire face à une tension croissante même si les ennemis ne sont pas toujours en grand nombre. Le coeur s'accélère les bruitages se font étranges et angoissants tout en jouant sur l'effet de surprise à la manière des films d'horreur. La peur s'insinue en douceur, reposant sur une ambiance sonore et visuelle mêlant pénombre, effets de lumières, ombres portées, craquements ou gémissements en tous genres. Ceux qui s'attendent à entrer dans le manoir Himuro et à tout exploser devront donc calmer leurs ardeurs. Ici on s'imprègne de l'ambiance, on avance tout doucement et le principe des combats renforce le sentiment d'impuissance, alternative intéressante aux grands purificateurs des temps modernes qui règlent les problèmes de zombies et autres créatures à grands coups de balles dans la tête sans trop se poser de questions.

Les spectres arrivent souvent par derrière.
L'appareil photo joue en effet un rôle très important dans Project Zero. D'une part il est la seule méthode de défense contre les revenants, mais il permet également des phases d'exploration à la première personne. L'appareil réagit aux éléments cachés du décor mais également aux présences ectoplasmiques. Lors de l'exploration une photo bien sentie permettra de révéler portes ou objets cachés et lors des combats il sera possible d'infliger plus ou moins de dégâts à ses ennemis en cadrant bien l'adversaire. Au fur et à mesure, l'appareil devient de en plus efficace gagnant de nouveaux pouvoirs en absorbant les âmes ou encore grâce à différents types de pellicules. Reste à signaler un certain manque de variété à la longue même si le principe reste particulièrement intéressant. Autre défaut à signaler tant qu'on y est, la lenteur parfois pénible du personnage. Les déplacements en deviennent fastidieux d'autant que compte tenu du type de jeu on est souvent amené à multiplier les allers et retours. Signalons encore des angles de vue gênants même s'ils se veulent particulièrement esthétiques.

L'extérieur n'est pas plus accueillant que l'intérieur.
Au niveau de sa réalisation Project Zero bénéficie d'un véritable travail d'orfèvre. L'ambiance déjà angoissante du jeu est renforcée par les prises de vue façon cinématographique ou encore les nombreux effets de lumières ou d'ombres portées autorisés par la lampe torche qui demeure l'une des uniques sources de lumière dans le jeu. Les décors sont d'une finesse particulièrement appréciable et la réaction de la lumière en temps réel sur les différentes textures est un régal. Cerise sur la gâteau, si les graphismes sont réussis grâce également à des cinématiques somptueuses, les effets sonores ne sont pas en reste. Hurlements, craquements, grincements, palpitations cardiaques et musiques viennent augmenter le sentiment d'angoisse qui ne manque pas de s'emparer du joueur dès les premières minutes de jeu.
Une réalisation impeccable.
En clair, si Project Zero comporte quelques défauts en terme de gameplay (notamment une certaine redondance des situations) on pardonnera volontiers ces quelques erreurs tant son ambiance, son principe et sa réalisation sont envoûtants. La durée de vie est quelque peu limitée comme c'est généralement le cas dans la catégorie mais il offre une expérience de jeu novatrice dans le genre du Survival Horror.
Pilou , le 08 mai 2003
Graphismes 17/20
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Esthétique, techniquement réussi, Project Zero bénéficie d'une réalisation remarquable. Les effets de lumière sont superbes et les cinématiques profitent d'une chouette mise en scène sans omettre de renforcer la tension qui règne au sein de cette aventure.
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Jouabilité 17/20
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Un principe novateur et intéressant pour un titre qui se prévaut également d'une ambiance palpitante. Quelques lourdeurs se font connaître comme la lenteur du personnage mais on pardonne sans peine ces quelques défauts tant Project Zero s'avère passionnant.
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Durée de vie 11/20
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Une longévité malheureusement réduite compte tenu du genre. L'aventure se boucle en quelques heures d'un jeu qui reste néanmoins intense et palpitant.
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Bande son 17/20
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Une ambiance sonore qui renforce pleinement l'atmosphère de Project Zero. Musiques et effets sont particulièrement soignés et parfaitement dans le ton. Les bruitages regorgent de détails qui ne manqueront d'augmenter le sentiment d'angoisse.
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Scénario 17/20
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Une trame qui se dévoile progressivement au fil de l'aventure et qui laisse planer un lourd suspens. Dès les premières minutes de jeu, l'ambiance de Project Zero donne envie de le dévorer d'une seule traite.
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Note Générale 17/20
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Un titre remarquable et qui vient nourrir de façon étonnante le genre survival horror en mal de jeux sur Xbox. Project Zero est un titre à ne pas manquer par les passionnés du genre qui découvriront une aventure originale, un gameplay novateur et une ambiance bien flippante.
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L'avis de Lestat1975 :
Projet zero .....j'ai jouer a ce jeu bien avant d'avoir vu des films comme "The ring" ou "The grudge" et c'est vrai qu'il y a plein de petites ressemblances bien sympa entre ce jeu vidéo et les films d'horreur japonais. Malgré que le titre de Techmo soit tres réussi graphiquement il ne m'a pas vraiment effayer malheureusement....il regorge d'idées bien pensée faut le dire ....la seule arme de l'héroine est un appareil photo. Il lui sert à capturer les amês des nombreux fantômes et esprits du jeu. Je vous le dit tout de suite le jeu n'est pas tres facile, j'ai du reprendre celui ci depuis le début alors que j'étais pratiquement a la fin, me demander pas pourquoi je sais pas comment je me suis démerdé. Je n'avais plus de péllicules photo assez puissantes et il me fallait traversé une grotte qui regorgé de spectres (assoiffés de sang ) . Je n'est repris le jeu que quelques mois plus tard (années même) pour le terminé facilement ce coup ci. La prise en main est tres rapide et on prend ces marques assez rapidement. Les spectres sont tres réussi et pas beau du tout vous pouvez me croire (jugez en par les photos que vous aurais prises) , c'est tellement bien fait qu'au début du jeu on ce dit qu'on va passé plein de bon moment a sursauté et a tremblé (et a chi** dans son froc) Mais voila ....au lieu de continuer a nous surprendre le titre japonais ce change en jeu d'action avec des fantômes dans toutes les piéces et toutes les 30 secondes ......quel dommage ....a partir de la il n'y a plus de surprise et c'est vraiment dommage car il y avais matiére a faire un grand hit du survival horror. Reste que l'on a tres envie de connaitre le dénouement final et que le jeu et malgré tout assez prenant.
Ma note ? 16/20
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Half life 2
07/05/2007 10:20
Source jeux vidéo.com
Half-Life 2 
Sortie : Le 17 novembre 2005
Plus d'un an après son épique livraison sur PC, Half-Life 2 trouve enfin le chemin vers la Xbox. Un portage sans surprise pour ce qui est du gameplay relativement basique et de l'ambiance toujours aussi trippante. Dommage qu'il n'en soit pas de même pour la technique qui encaisse quelques ratés désobligeants et des temps de chargements encore plus nombreux que sur PC. Les deux jeux étant très similaires, nous vous livrons une mise à jour du test PC avec les corrections nécessaires à cette version Xbox, avec une conclusion toute neuve parce qu'on vous aime.
En premier lieu, permettez-moi de sabrer le premier paragraphe du test original qui n'avait pour but que d'introduire un premier élément : le fait que jeu ne contienne aucune coupure, ni cinématique, ni enchaînement de missions via un écran de loading, rien. On avance en permanence de scènes d'actions en exploration et rencontres d'alliés pratiquement en temps réel et dans le peau de Gordon Freeman. Très vite, il est évident que ce qui fait du jeu un incontournable, c'est sa force d'immersion. Débarquant dans la ville mystérieuse de City 17, dans laquelle les humains vivent dans de sombres ghettos, terrorisés par une étrange Milice, le joueur se trouve, avant même d'avoir compris que la cible c'est lui, poursuivit par cette dernière. Et ainsi tout commence. Durant les premiers temps du jeu, on se verra traqué comme une proie, en ville, sur les toits, dans une gare, avec un véritable sentiment d'urgence. Cherchant du regard la prochaine échappatoire au nouveau piège à rat dans lequel on s'est fourré, avant d'aller tenter sa chance en hydroglisseur pour une nouvelle course-poursuite de haute volée (mais fichtrement trop longue). La suite vous rendra votre place de chasseur cependant et il faut avouer qu'après un démarrage en trombe, on retrouve rapidement les bases du genre que le jeu n'a pas l'intention de révolutionner, simplement, il sait les assembler avec brio. Si on gratte un peu, on réalise qu'HL2, finalement, c'est un shooter presqu'à l'ancienne, on court, on tire et on ramasse des munitions ou des medikits éparpillés au sol ou rangés dans le demi-milliard de caisses en bois qui jonchent les niveaux. Après ça, on résout des puzzles afin de lever des obstacles. Vous voyez, c'est plus que classique et en plus, c'est ultra linéaire et scénarisé. On se croirait revenu en 99. Pourtant, quelle efficacité. Les puzzles par exemple feront souvent appel au moteur physique du jeu, en nous demandant d'alourdir une plate-forme afin de déclencher une réaction en chaîne. Si le concept est banal, la forme est au moins originale. C'est ce que l'on se dit lorsqu'on doit retirer les cales d'un blindé en charge sur un poteau électrique afin de le faire rouler et ainsi d'abattre ledit poteau.

Bienvenu à City 17.
Mais comme je le disais, si Half-Life 2 est si scotchant, c'est par son immersion. Les scènes d'anthologie s'enchaînent, qu'il s'agisse de la séquence en hydroglisseur ou à bord du buggy entrecoupées de haltes afin de débloquer le passage en faisant flotter un tremplin ou en replaçant une batterie sur un contacteur. Viennent aussi les combats contre des hélicos de la Milice et d'autres. Valve sait continuellement renouveler les plaisirs et nous happer dans son univers. Ici on se la jouera James Bond dans les marais ou les canaux en hydroglisseur, là on prendra d'assaut une base ennemie en compagnie de créatures mutantes maintenues sous notre contrôle à l'aide de phéromones, juste après qu'elles aient elles-même failli nous écharper, là on ira lutter en ville contre une horde d'araignées géantes (Striders), peu après avoir attaqué une prison etc. Cependant, le jeu ne s'évite pas quelques longueurs à l'occasion. L'action n'est pas continuelle contrairement à la progression et il arrive qu'on trouve le temps long parfois ou que le schéma "je roule - je suis bloqué - je vais ouvrir la porte et je reviens dans 10 minutes" fatigue à la longue. Un peu, mais pas trop. Et pas suffisamment pour que les autres aspects séduisants du titre en soient obscurcis ou que l'on se sente éjecté hors du monde dans lequel Gordon Freeman a repris connaissance. En dépit de l'absence de cinématiques, difficile de ne pas se dire qu'HL2 fait penser à un film de SF dont on serait le héros, mais d'une manière nettement moins dirigiste et scriptée qu'un Medal Of Honor, du coup, on y croit beaucoup plus.

Les joueurs PC se souviendront de cet effet. Il a pris un coup.
Un film fort et très stylé dans lequel on prend un vrai pied à évoluer et dont les hostiles résidents sont un petit régal à affronter. Question de mise en scène mais aussi de design, à commencer par le design sonore, les voix mais surtout les effets sont une véritable réussite et la bande-son maîtrisée parvient à elle seule à donner corps et âme à cette Terre occupée et à cette invasion. Du bruit des hélicos en passant par la voix des Miliciens du Cartel aux sons émis par les diverses créatures du jeu, rien n'est à jeter. Et lorsque les excellentes musiques viennent souligner une phase d'action, on bénit les compositeurs de Valve. Tout est là pour assurer une véritable crédibilité à l'univers et poser une ambiance d'oppression qui colle à l'idée de départ. Entre La Guerre des Mondes et le Jour le Plus Long, voilà où on se situe.
L'IA montre vite ses limites.
Le level design n'est pas à la traîne pour sa part en dépit de sa linéarité et même si d'un point de vue technique nous constateront quelques ratés. Le design général n'a rien à envier aux meilleurs films de SF et en surpasse même certains, il suffit de voir City 17, une ville au style un peu victorien au sein de laquelle évoluent les Miliciens qui évoquent des membres de la Gestapo qui n'auraient pas réussi à retirer leur masque à gaz, les sondes qui recherchent les "anti-citoyens" et plus. Et au milieu de tout ça, les constructions ennemies à l'architecture improbable. Autant d'éléments constitutifs d'une ambiance prenante qui fait avant toute autre chose la qualité du jeu.
Dans le futur, avoir des mains ce sera has been.
En sus de cette plongée irrésistible dans son univers et ses scènes d'actions variées, le jeu sait aussi se nantir d'autres atouts, dont son moteur physique (l'inénarrable Havok). Pourquoi tirer sur 4 ennemis quand il suffit de faire chuter l'échafaudage de bois qui les supporte ? J'ai déjà parlé des puzzles qui demanderont que la solution soit trouvée en pensant aux possibilités de réactions en chaîne mais on ne devra pas oublier l'arme Anti-gravité, seule arme vraiment originale du jeu. Grâce à elle on peut soulever des objets raisonnablement lourds ou bien en projeter d'autres plus gros, une voiture même. Inutile de vous dire que jeter une voiture sur une troupe de miliciens fascisants, c'est fun. Mais pas autant que soulever une lame de scie circulaire et de la lancer vers 4 ou 5 "zombis" qui vont apprécier l'humour tranchant de la chose.
HL2 arbore un look "FPS vintage" en n'omettant pas de se parer d'environ 369 caisses par kilomètre carré.
Décrire en quoi un jeu se montre génial quand il le doit plus à l'immersion du joueur qu'à une grande richesse de gameplay, voilà un exercice délicat, alors ne retenez qu'une chose, HL2, quand on le lance, on n'arrive plus à en sortir ou alors on demande à un copain musclé de vous arracher du clavier. Alors Half-Life 2 jeu ultime ? Jeu du siècle ? Ben... En fait non. Non pour diverses raisons. Qu'il ne soit pas la grande révolution du FPS, on ne va pas l'en blâmer, il fait une si bonne soupe dans son vieux pot. On peut d'ores et déjà chanter la complainte de l'IA chancelante. D'un côté on trouvera une galerie de monstres stupides et plus ou moins agressifs qui vous foncent dessus à des vitesses variées. De l'autre, la police du cartel, plutôt du genre suicidaire et qui a beaucoup de mal à intégrer le fait que celui qui gagne à la fin, c'est vous et que ses agents feraient bien d'aller se planquer un peu au lieu de rester au milieu du chemin. On ne dira pas que l'I.A est mauvaise, mais elle est loin d'être à la hauteur des attentes placées en elle. Mais l'un des principaux défauts de ce portage Xbox tient aux loadings. Déjà calamiteux sur PC par leur omniprésence et leur tendance à intervenir en pleine action, il semble que leur nombre ait encore augmenté sur console, frisant parfois le ridicule avec des écrans de chargements pouvant interrompre le jeu toutes les deux minutes. Et parfois à des moments parfaitement incongrus. On en viendrait presque à penser que Valve le fait exprès. Quant à l'aspect graphique du jeu, il n'est pas toujours à la hauteur de son design épuré mais efficace. Autant les personnages sont assez fins et détaillés, autant les textures du jeu se montrent baveuses et grossières dès qu'on s'en approche trop. Half-Life 2 n'est pas non plus exempt de gros problèmes de frame-rate avec une animation souvent hachée, et parfois à la ramasse lors de grosses scènes d'action. Enfin, il n'est pas rare d'observer un peu de clipping, ce qui n'est jamais très agréable.

Les jeux physiques de ce style sont nombreux. Preuve qu'HL2 peut aussi faire office de jeu d'éveil.
Mais ce sont également certaines lacunes qui étonnent considérablement et qui font cruellement défaut. Exemple bateau, l'ami Gordon ne sait se servir de ses mimines que pour tenir une arme. Attrapez un objet et vous le verrez flotter sous votre nez comme par magie. Grimpez sur une échelle et vous constaterez avec un petite moue triste que Gordon garde son arme à la main et ne saisit pas l'échelle. Ca fait tache, surtout pour un jeu qui fait tout pour être crédible. On enchaîne en regrettant l'impossibilité de se pencher pour tirer en coin, alors qu'on peut le faire dans la plupart des jeux actuels. Et enfin dernier reproche, Gordon ne parle pas. D'un point de vue des procédés narratifs et immersifs, ça se défend, dans la pratique, lors des scènes de causette, on a un rien l'impression de jouer les aventures de Rain Man, on ne répond pas aux questions, on n'en pose pas, on se tait et on joue les débiles. D'ailleurs, les questions, elles restent en suspens puisque paradoxalement, le scénario de HL2 n'est pas vraiment développé et encore moins clairement explicité. Un fait aussi surprenant que décevant.
Dinowan, le 22 novembre 2005
Graphismes 15/20
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Pour le très bon, nous avons le design, maîtrisé et séduisant, apte à doter le jeu d'une vrai personnalité malgré son esthétique épurée. Pour le moyennement bon, nous avons la technique pure d'un portage avec ses textures basses résolutions, qui choquent l'oeil dès qu'on s'approche trop près, un frame-rate chevrotant et du clipping pas joli. Heureusement les modèles 3D demeurent tout à fait corrects.
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Jouabilité 17/20
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Des bases simples mais solides qui servent une somme de situations variées et inventives qu'il est vain de vouloir décrire. Malgré quelques longueurs, le jeu parvient, grâce à des artifices savants, à plonger totalement le joueur dans son univers. Hautement addictif. Il est dommage de constater certaines lacunes, une IA un peu légère et des loadings encore trop pesants brisant sans cesse le rythme délicat de l'action.
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Durée de vie 14/20
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15 chapitres qui vous tiendront environ une heure chacun, faites le calcul. Globalement le jeu n'est pas vraiment dur alors autant forcer le niveau de difficulté d'entrée de jeu histoire de gonfler la durée de vie, surtout qu'Half-Life 2 ne contient pas de mode multijoueur.
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Bande son 18/20
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Maîtrisée de bout en bout, la bande-son flatte les cages à miel d'effets saisissants, de musiques d'ambiances électroniques et stylées et d'un doublage VF de grande qualité.
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Scénario 13/20
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On attendait beaucoup plus du scénario de HL2. Peu conséquent, obscur et pas vraiment mis en avant, ce dernier laisse sur sa faim.
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Note Générale 17/20
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Half-Life 2 n'offre que des bases de gameplay assez simples mais il parvient à plonger le joueur dans un monde complet et prenant. C'est avant tout cette ambiance qui fait son charme et aide à pardonner des séquences ayant tendance à traîner en longueur (l'hydroglisseur par exemple) ou une I.A. sommaire. S'il nous arrive dans une version identique sur le plan du gameplay, il n'en va malheureusement pas de même pour tous les aspects. Techniquement bien moins performant et souffrant de loadings encore plus nombreux que sur PC, Half-Life 2 reste un excellent FPS sur Xbox mais qui aurait pu profiter de l'occasion pour corriger certains défauts ou fournir aux joueurs possédant console et PC, une raison de lui préférer la version de salon.
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L'avis de Lestat1975 :
C'est un bon jeu.......si on est pas trop difficile ......en ce qui me concerne je l'ai trouver juste bon pas plus ....c'est vrai qu'apres avoir jouer a des jeux comme Halo et sa suite on attend forcément plus des jeux du genre FPS.....si graphiquement il tiens la route on ne peut pas dire qu'il soit du niveau d'un Halo (pourtant beaucoup + vieux). Ce qui ma choquer le plus c'est la maniabilité a la manette......c'est vraiment bof ....on ne peut pas viser correctement les ennemis lorsque l'on ce déplace.....personnelement je déteste ça, c'est plutot chiant de devoir arreter son personnage de prendre le temps de viser pour pouvoir toucher quelque chose......Cela dit j'ai quand même aprecier jouer a ce FPS .....peut être que si je n'avais pas étais dans ma grande période Halo 2 en reseau lorsque j'ai attaquer Half Life 2, je l'aurais un peu moins critiqué......cela dit j'ai vu pire comme FPS.....Rien d'autre à ajouter..........
Ma note ? 15/20
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Oddworld, Munch oddysee
08/05/2007 16:53
Source : jeux vidéos.com
Oddworld : Munch's Oddysee 
Sortie : Le 14 mars 2002
Attendu comme l'un des piliers du lancement Xbox en Europe, Oddworld : Munch's Odyssee symbolise une nouvelle étape dans la série imaginée par Lorne Lanning. Premier épisode à franchir le cap des consoles nouvelle génération, Munch's Odyssee constitue le véritable second chapitre de la série et permet de transposer pour la première fois l'univers déjanté d'Oddworld en 3D. Que les fans se rassurent, le jeu n'a rien perdu de sa superbe, et c'est avec délice que l'on se plonge dans cette aventure très particulière.
Que l'on soit familiarisé ou non avec l'univers d'Oddworld, dont le nom lui-même est déjà très évocateur, son atmosphère résolument déjantée et le caractère très particulier des créatures qui le peuplent confèrent au jeu une identité irrésistible. Les monstres, ce sont les Glukkons, les Vykkers et les Sligs, ceux qui maltraitent les créatures vulnérables pour les réduire en esclavage et s'en servir pour dominer le monde et accroître leur profit personnel en anéantissant au passage l'écosystème de la planète. Les bons, ce sont les Mudokons, les Fuzzles, et puis Munch, le dernier survivant de la race des Gabbits. L'histoire veut que son chemin croise un jour celui de Abe, le héros du peuple Mudokon, une créature tout aussi disgracieuse et répugnante, mais au coeur aussi généreux que celui de Munch et doté de nobles intentions. Ensembles ils vont tenter de sauver leurs congénères d'une extermination totale.
Des boules de poils pas si inoffensives que ça.
Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore l'univers d'Oddworld, on pourrait le présenter simplement en évoquant certaines de ses particularités qui en font un titre définitivement unique. Les héros : ce sont les créatures les plus improbables que l'esprit d'un character designer puisse imaginer. Le jeu : c'est un système de progression basé sur la réflexion, l'entraide et la communication entre les personnages, avec une bonne dose de plate-forme. L'ambiance : c'est une atmosphère à la fois sérieuse car elle soulève des problèmes réels, et en même temps complètement démente car remplie de plaisanteries grasses, de gags irrésistibles et de personnalités attachantes. Difficile de trouver un équivalent à ce titre hors-norme, injustement méconnu du plus grand nombre, et pourtant doté de qualités que lui envieront bien des titres à venir sur la console de Microsoft.
Munch peut "zapper" ses adversaires.
Cet épisode reprend donc le principe de base caractéristique des précédents opus, en proposant un héros vulnérable qui ne peut compter que sur ses pouvoirs et sur le soutien de ses congénères (qu'il lui faudra libérer) pour parvenir à son but. La nouveauté de ce nouvel opus, et ce qui fait aussi la richesse du gameplay, c'est l'introduction d'un nouveau personnage nommé Munch, qui possède des aptitudes complémentaires à celles de Abe, et avec lequel il faudra donc progresser en alternance de manière à résoudre les nombreux casse-têtes qui composent le jeu. Au terme de deux niveaux qui font office de didacticiel et permettent d'apprendre les maniements de base de nos deux héros, on se retrouve donc avec deux personnages à faire évoluer en parallèle pour avancer dans le jeu.
Attention aux mines.
Ainsi, chacun possède des caractéristiques différentes et complémentaires dont vous devrez vous servir pour libérer d'une part les Mudokons avec Abe, et d'autre part les Fuzzles avec Munch. Il faudra sauver et regrouper un maximum de ces créatures pour venir à bout des nombreux adversaires et surmonter les pièges tendus sournoisement par les Glukkons pour mettre en danger la vie de votre petite tribu. Pour s'en sortir, Abe possède la capacité de soulever des individus pour les lancer, de prononcer des incantations et surtout de dialoguer avec ses congénères pour leur dire d'attaquer, d'attendre ou de suivre gentiment. La VF se révèle d'ailleurs aussi convaincante que son homologue US et laisse entendre des voix et des répliques réellement drôles, du genre : « Oh Hé ! Les lopettes ! », « j'sais pas faire, Abe », avec les voix et le ton qui s'imposent. Le tout agrémenté de cinématiques plus tordantes les unes que les autres.
Ce pouvoir rend Abe ultra-rapide un court instant.
Bien sûr, Munch pourra aussi dialoguer avec les Fuzzles, des petites boules de poils pas aussi inoffensives qu'on pourrait le croire. Ses points forts : la natation, la course en fauteuil roulant, et le sonar intégré dans son cerveau. Chacun des deux héros peut également se servir des distributeurs de boissons pour ingurgiter des canettes spéciales qui permettent par exemple de « zapper » certains ennemis, d'aller plus vite ou de sauter plus haut. Le gameplay se révèle du coup très riche et pallie un peu l'aspect répétitif du jeu, d'autant que le challenge est à la hauteur. Pour son premier passage sur Xbox, Oddworld signe donc une très bonne performance et saura satisfaire n'importe quel amateur de jeu de plate-forme/réflexion. L'aventure n'est certes pas très longue mais elle comporte plusieurs fins et un système de progression qui donne envie de recommencer pour s'améliorer. Un très bon titre, qui plus est en exclusivité sur Xbox.
Romendil, le 12 mars 2002
Graphismes 16/20
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Une réalisation très soignée qui profite d'animations délirantes et d'un design général dément. Les effets sont également présents, mais le tout est parfois un peu vide et sombre.
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Jouabilité 16/20
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Un gameplay original qui repose en grande partie sur l'entraide, la communication et la complémentarité entre les personnages. La fonction Quick Save rend la progression beaucoup moins frustrante qu'elle aurait pu l'être.
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Durée de vie 15/20
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L'aventure s'échelonne sur une quinzaine d'heures, mais le jeu comporte plusieurs fins différentes en fonction de votre quarma (un critère qui varie selon le nombre de vies que vous parvenez à sauver).
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Bande son 17/20
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La VF est à la hauteur de la version originale, avec des dialogues vraiment drôles pendant le jeu et durant les cinématiques. L'entente entre les personnages est pour le moins pimentée, et le ton adopté entre eux est assez fun.
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Scénario 17/20
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Le jeu reprend les cinématiques des premiers opus, ce qui permettra aux nouveaux venus de tout savoir sur l'univers déjanté d'Oddworld. L'apparition du personnage de Munch ajoute beaucoup à l'atmosphère décalée de ce titre.
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Note Générale 16/20
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Si la série Oddworld n'a pas eu tout le succès qu'elle méritait sur PSX, gageons que l'intégration de la 3D et le fait que ce titre fasse partie des premiers jeux Xbox incitera davantage les joueurs à franchir le pas pour découvrir le concept d'Oddworld. Voici en tout cas un épisode de haute volée, à la fois très soigné, original et prenant.
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L'avis de Lestat1975 :
Quel jeu surprenant.....pour moi en tout cas ....je m'explique 1 mois apres l'achat de la XBOX en 2002, microsoft decida de baisser le prix de sa console d'à peu pres 100 £ il me semble ......et pour que les joueurs qui l'avaient acheter à sa sortie ne cris pas au scandale ils décidèrent de rembourser ces premiers acheteurs par un moyen tres simple .....choisir parmi une petite liste de jeux XBOX, une dizaine il me semble, 2 jeux maxi de leurs choix ainsi qu'une manette suplémentaire. Je tiens a souligné que c'est vraiment un geste sympatique de la part de microsoft. C'est bien cool tout ça mais les jeux de la micro liste ne me captivés pas du tout. Je ne me rapelle que de quelques titres en vrac, Azurik, un jeu de basket, munch odyssée puis je sais plus .....j'ai fini par choisir Azurik et Munch odyssée. Le premier étais une sombre daube bien senti. Quand à munch je doit dire que je me suis bien amusé alors que ce n'est pas du tout mon genre de jeu. Le jeu est vachement agréable a l'oeil, les personnages sont tres bien fait et il est marrant et tres prenant aussi. Tout au long du jeu on ce sert des deux personnages Abe & Munch . Le jeu est tres bien penser et on le prend tres vite en main. Merci microsoft sans qui je n'aurais jamais découvert ce titre !!!
Ma note ? 16,5/20
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Turok evolution
08/05/2007 17:14
Source : jeux vidéos.com
Turok Evolution 
Sortie : Le 06 septembre 2002
Dans la série « le soufflé qui se dégonfle » je voudrais Turok Evolution. On l'attendait tous avec une certaine impatience ou au moins avec curiosité. Et bien nous voilà servi : gameplay super lourd, difficulté surdosée, partiellement due à une mauvaise maniabilité, et réalisation en dent de scie. Turok Evolution ou la chronique d'une (grosse) déception.
Je vais évacuer ma sale vanne de suite : c'est pas Evolution qu'il fallait l'appeler ce jeu c'est Regression. Parce que franchement, à choisir, moi je reprends mon baril de Turok 1 ou 2 ou même 3 sur N64 et l'évolution elle se fera sans moi (elle ne s'en est d'ailleurs jamais privé). Non mais c'est vrai, ça ressemble à quoi de se la jouer FPS console super attendu pour un tel résultat ? Un test qui sent la rubrique nécrologique de nos espoirs déçus.
Un arsenal varié.
Comme toujours, le héros de Turok Evolution est notre bon vieil indien chasseur de dinos qui se retrouve aux prises avec une bande de réptiloïdes inamicaux aux intentions innommables, du genre faire régner la terreur sur la planète. Mais avant de vous lancer dans une expédition punitive, il vous faudra en passer par quelques épreuves initiatiques. Et effectivement, rien que ça, c'est déjà une épreuve. On commence donc par une recherche bien relou d'une clef paumée au beau milieu de nulle part et gardée par deux ou trois raptors et trois, quatre slegs (les méchants). Très lourdingue, on dézingue tout ça et on est content d'avoir pris le jeu en main. Au passage on se dit que c'était pas la peine d'en faire tant parce que bon, quand même, c'est pas très compliqué. Deuxième temps de l'apprentissage : le vol à dos de ptéro machin. Ce n'est qu'au bout d'une intense réflexion que j'ai fini par admettre l'hypothèse selon laquelle, l'épithète « évolution » ne pouvait désigner que cet élément nouveau de la série. Je confirme, l'évolution moi je m'en passe très bien. Dans le jeu on alternera les séquences de FPS standard avec ces moments de vol. C'est certainement ce qu'il y a de plus gonflant dans le titre. Premièrement, le biduledactyle est à la limite de l'incontrôlable, il vire soit trop soit trop peu, et surtout, si vous montez trop haut, il pique violemment vers le sol et splatch, il s'éclate sur les rochers. Énervant aussi, cette mollesse des commandes qui répondent incroyablement mal.

Un vrai club de vacances paradisiaque.
Le reste du gameplay ne vaut pas beaucoup mieux. Le jeu se veut super bourrin et on retrouvera une panoplie d'armes en conséquence. Problème, les munitions sont rarissimes et supra dures à récolter. Fait ô combien paradoxal qui ne fait qu'accroître la difficulté hyper mal dosée du jeu et qui risque d'en écoeurer plus d'un. D'un côté on vous suggère de jouer comme un boeuf, de l'autre d'économiser vos munitions. Évidemment le classique système de sauvegarde en fin de mission vous contraindra à réessayer ces dernières une vingtaine de fois avant d'en venir à bout. Vous n'imaginez pas le plaisir qu'on y prend, surtout avec le thermolactyle volant. D'où le troisième temps d'apprentissage, un ajout personnel : le lancer de pad sur la photo des développeurs.
Décidément, le snipe sera toujours aussi marrant... malgré tout.
Autre grosse « surprise », la réalisation. TE devait être un jeu super joli, il ne l'est en fait qu'à moitié. Tout d'abord, il faut reconnaître que cette version s'en sort un peu mieux que la version PS2, mais on est loin d'avoir droit à une véritable exploitation de la machine. En fait, si vous voulez savoir à quoi devait ressembler la version PS2, regardez le jeu tourner sur Xbox, c'est pareil mais avec un peu plus de couleurs et des graphismes plus fins, par contre c'est toujours aussi inégal. Dans un premier temps, vous traverserez des niveaux extérieurs un peu moins vides mais pas super remplis non plus.. Viendront ensuite des intérieurs plus plaisants et dont on pourrait même dire qu'ils sont dignes de la machine. Le bon point de la taille des cartes demeure bien sûr, si l'on évince l'architecture en « couloir ». Côté bande-son, idem, si les musiques se révèlent agréables les effets sont en revanche très limites. Les speechs sont assez moyens et d'une qualité sonore douteuse. Encore un truc. Entre l'IA lamentable du sleg qui vous cherche alors que vous êtes derrière lui, à découvert en train de le frapper et ceux scriptés, planqués derrière un rocher qui se mettent à tirer dans le vide dès qu'ils vous voient, faudrait voir à pas abuser tout de même.

A table !
En un mot, TE est clairement une des déceptions de cette rentrée 2002 avec son gameplay navrant (beaucoup trop bourrin et pauvre) sa difficulté décourageante, sa maniabilité mollassonne et sa réalisation aléatoire. Bande d'allumeurs !
Dinowan, le 12 septembre 2002
Graphismes 14/20
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On se situe très légèrementau-dessus de la version PS2, mais c'est la moindre des choses. Du pire au meilleur, la réalisation en dent de scie agace, d'autant plus que les passages bien foutus se méritent. C'est pas vilain mais on est loin du résultat annoncé. |
Jouabilité 9/20
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Le gameplay est d'une pauvreté affligeante mais les commandes répondent un tout petit poil mieux sur Xbox (sauf en mode vol, toujours aussi gonflant). Vraiment pas le panard. |
Durée de vie 15/20
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Avec ses 15 missions et sa très (trop) grande difficulté Turok Evolution usera votre pad plus vite que vous n'userez le jeu. Mais le syndrome « essaie encore » risque d'en dégoutter plus d'un. Si vous tenez vraiment à y jouer (drôle d'idée) va falloir vous montrer coriace. |
Bande son 13/20
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Les musiques sont de qualité dans l'ensemble mais je n'en dirai pas autant des effets pas particulièrement crédibles. Les voix en VF sont franchement moyennes et d'une qualité technique discutable. |
Scénario 8/20
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Je sais bien que les FPS ne sont pas réputés pour la qualité de leur scénar (encore que) mais là, sérieusement, c'est une plaisanterie ? On enchaîne les missions sans comprendre ce qu'on fait. Pas la moindre trace de cohérence scénaristique. A pleurer. |
Note Générale 9/20
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Je le répète Turok Evolution est une déception cruelle. On est vraiment à la limite de se demander si on ne serait pas en train de se payer notre tête. Pas qu'à la limite d'ailleurs. Le titre se révèle presque injouable tellement le gameplay est repoussant et primaire même si la maniabilité est curieusement un peu plus souple ici (hormis le vol). De plus, la réalisation se montre assez moyenne (pour une xbox) durant la moitié du jeu. TE parvient tout de même à se montrer moins bon que ses ancêtres sur N64, bravo, belle performance. |
L'avis de Lestat1975 :
Ne vous fier pas a son titre car il ne casse pas des briques (Tu-rok) C'est un jeu qui au départ parrer tres prometeur et qui en fait aux fils des minutes vous fait vite déchanté.... expliquation. D'abord y a des dinosaures de partout dans ce jeu, au commencement vous démarrer dans la jungle avec tout plein de végétation super bien faite autour de vous , des bruits bizarres de partout (surement des dinosaures en train de ce marrer en pensant à la "mauvaise" suite des évennements Ha Ha ) Une musique qui tue et qui monte crécendo a mesure que les secondes passe, y a des petits dinos qui s'agitent autour de vous. Enfin tout les ingredients semblais la pour dire que nous nous trouvions sans aucun doute devant un Hit du jeu vidéo en puissance mais pourtant...........Wi tout etais beau au début puis a mesure que les ennemis arrivent sur vous, vous commencer à réaliser que le jeu est d'une difficulté incroyable !!! Et que le début avec toutes cette superbe végétation n'etait qu'un trompe l'oeil car tout au long du reste du jeu les décors sont bien différents. En fait je viens de réalisé que la principale qualité de TUROK c'est sa difficulté, on a envie d'aller au bout (moi en tout cas), et j'avoue en avoir chier pour tuer le boss final, et aussi pour commander le dinosaure volant dans plusieurs sécances. Autre bon point du jeu ce sont ses armes ...vraiment bien réussies. Voila .....que dire de plus si ce n'est que le titre est bien quand même sinon je ne serais pas aller au bout.
Ma note ? 15/20
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