|
[ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]
|
|
|
|
Un "cas oublié" Colomb-Béchar
19/05/2007 17:59
En décembre 1965, des militaires assurent une liaison régulière entre Colomb-Béchar (Algérie) et Cazaux (France), à bord d'un avion Nord Atlas. Alors qu'ils survolent l'immense région désertique du désert algérien, encore pour quelques années un site d'essais pour les fusées et les expériences nucléaires, un bien étrange "visiteur" les accueille. Voici le compte rendu de l'un des membres de l'équipage :
Objet : Compte rendu du sous-lieutenant Marcel R. sur l'observation faite en vol d'un engin aérien non identifié. J'ai l'honneur de vous rendre compte des faits suivants : le 22 décembre 1965, à 6h45 TU, en effectuant le vol Colomb-Béchar-Cazaux à bord du Nord 125 F.R.A.N.R., un engin aérien, non identifié, est apparu à l'est de notre position : 33.10N 01.30W. Les éléments de vol étaient les suivants : niveau quatre-vingt-dix. Vitesse indiquée : cent cinquante [sans aucune précision]. Température extérieure : + 2° . Cap 030° . Condition de vol à vue. Visibilité vers l'est, illimitée. Luminosité exellente. Nébulosité 6 à 7/8 de stratus bas. L'objet est arrivé par notre travers droit, s'est maintenu à notre hauteur environ trente ou quarante secondes, sa dimension apparente était de deux centimètres environ, de forme lenticulaire, plat en dessous, légèrement bombé sur le dessus. Couleur foncée (graphite). L'engina a disparu vers l'est, en conservant la même altitude, à une vitesse excessivement élevée (en cinq secondes environ, il était invisible). Le phénomène s'est répété deux fois en deux ou trois minutes. La première fois, seul l'adjudant-chef Chartier en a été le témoin. Alertés par ce dernier, les cinq membres de l'équipage ont été les observateurs de la seconde apparition...
Pourquoi ce cas revêt-il une importance particulière ?
Il implique pilotes et navigants qui ont observé, ensemble, différentes séquences d'un événement venu perturber le cours normal de leur vol. Ensuite, parce que plusieurs de ces témoins - de qualité - décriront tous la même chose et de façon cohérente. La hiérarchie militaire accréditera l'observation par une enquête. Elle exclura une confusion naturelle, en particulier avec une planète ou le soleil. La présence d'un autre aéronef dans le secteur sera rejetée. Il faut noter que cette observation a pris place au- dessus d'une zone extrêmement réglementée et surveillée pour des raisons stratégiques. Peut-on alors, comme aux Etats-Unis, associer la présence de ce phénomène aux bases stratégiques françaises atomiques et spatiales du secteur ?
Tiré du livre "Troubles dans le ciel" de Jean-Jacques Velasco ( Ancien responsable, au sein du CNES, du Gepan, devenu Service d'expertise des phénoménes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004. On lui doit notamment; Ovnis, la science avance ( Robert Laffont, 1993) et de Nicolas Montigiani Journaliste d'investigation est l'auteur d'ouvrages en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué, dont Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot, 2003) et Project Colorado ; L'existence des Ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)
| |
|
|
|
|
|
|
|
Sergent Bertrand, le Vampire de Paris
22/05/2007 10:58
Le Sergent Bertrand
Le Vampire de Paris (1824-1849 - Paris, France)
Confession issue d'un manuscrit autographe
" J'ai commencé à me masturber dès l'âge le plus tendre, sans savoir ce que je faisais ; je ne me cachais de personne. Ce n'est qu'à l'âge de huit ou neuf ans que j'ai commencé à penser aux femmes ; mais cette passion ne devint vraiment forte qu'à l'âge de treize ou quatorze ans. Alors, je ne connus plus de bornes, je me masturbais jusqu'à sept ou huit fois par jour, la vue seule d'un vêtement de femme m'excitait. En me masturbant, je me transportais en imagination dans une chambre où des femmes se trouvaient à ma disposition ; là, après avoir assouvi ma passion sur elles et m'être amusé à les tourmenter de toutes les manières, je me les figurais mortes et j'exerçais sur leur cadavre toutes sortes de profanations. D'autres fois, le désir me venait aussi de mutiler des cadavres d'hommes, mais très rarement : l'éprouvais de la répugnance.
Me voyant dans l'impossibilité d'avoir des corps humains, je recherchais des corps morts d'animaux, que je mutilais, comme plus tard ceux de femmes ou d'hommes. Je leur fendais le ventre et, après en avoir arraché les entrailles, je me masturbais en les contemplant, après quoi je me retirais honteux de mon action et me promettant bien de ne plus recommencer ; mais la passion était plus forte que ma volonté. J'éprouvais dans ces circonstances un plaisir extrême, une jouissance que je ne puis définir, et pour la faire durer le plus longtemps, je me masturbais lentement afin de retarder autant que possible la sortie du sperme.
Il m'est arrivé depuis de mutiler le cheval jusqu'aux plus petits animaux tels que les chats, les petits chiens, etc.
Etant arrivé au camp de la Villette en 1844, je ne tardais pas à aller retirer du canal Saint-Denis des animaux noyés, des chiens, des moutons, etc., pour les traiter de la même manière que ceux dont j'ai parlé plus haut.
En 1846, je ne me contentai plus d'animaux morts, il m'en fallu de vivants. Au camp de la Villette, comme dans toutes les casernes, il y avait beaucoup de chiens, qui, n'appartenant à personne, suivaient tout les militaires indistinctement. Je résolus d'emmener de ces chiens à la campagne et de les tuer, ce qui arriva, en effet, trois fois ; je leur arrachais les entrailles comme aux animaux morts, et j'éprouvais autant de jouissance qu'avec ces derniers.
Sur la fin de 1846 seulement la pensée me vint de déterrer des cadavres ; la facilité avec laquelle cela pouvait se faire dans la fosse commune du cimetière de l'Est, fit naître en moi cette idée ; mais elle ne fut pas mise à exécution, la crainte me retenait encore.
Au commencement de 1847, mon régiment étant allé à Tours, ma compagnie fut envoyée dans la petite ville de Bléré. C'est là que je commis la première violation de sépulture dans les circonstances que voici :
Il était midi ; étant allé me promener dans la campagne avec un de mes amis, la curiosité me fit entrer dans le cimetière qui se trouvait près de la route (ceci eut lieu sur la fin du mois de février) ; une personne avait été enterrée la veille, les fossoyeurs, d'après ce qui m'a été dit le lendemain, ayant été surpris par la pluie, n'avaient pu achever de remplir la fosse, et avaient de plus laissé leurs outils à côté. A cette vue, les plus noires idées me vinrent, j'eus un violent mal de tête, mon cœur battit avec force, je ne me possédais plus. Je prétextai un motif pour rentrer de suite en ville, m'étant débarrassé de mon camarade, je retournais au cimetière, et sans faire attention au ouvriers qui travaillaient dans les vignes qui touchaient au cimetière, je saisis une pelle et me mis à creuser la fosse avec une activité dont j'aurais été incapable dans tout autre moment. Déjà j'avais retiré le corps mort ; ne me trouvant muni d'aucun instrument tranchant pour le mutiler, je commençais à le frapper avec la pelle que je tenais à la main, avec une rage que je ne puis encore expliquer, quand un ouvrier qui travaillait tout près, attiré par le bruit que je faisais, se présenta à la porte du cimetière. L'ayant aperçu, je me couchai dans la fosse à côté du mort et j'y restai quelques instants. L'ouvrier étant allé prévenir les autorités de la ville, je profitai de cet instant pour recouvrir le corps de terre et sortir du cimetière en escaladant le mur.
J'étais tout tremblant, une sueur froide ma couvrait le corps. Je ma retirai dans un petit bois voisin où, malgré une pluie froide qui tombais depuis quelques heures, je me couchai au milieu des arbrisseaux, je restai dans cette position pendant trois heures, dans un état d'insensibilité complète. Quand je sortis de cet assoupissement, j'avais les membres brisés et la tête très faible. La même chose m'arriva dans la suite après chaque accès de folie.
Deux jours après, je suis retourné au cimetière de Bléré, non plus à midi, mais au milieu de la nuit, par un temps pluvieux. Cette fois, n'ayant pas trouvé d'outils, je creusai la fosse avec les mains ; elles étaient en sang, mais rien ne pouvait m'arrêter, je ne sentais pas la douleur ; n'ayant pu découvrir que la partie inférieure du corps, je la mis en pièce ; je remplis ensuite la fosse de la même manière qu'elle avait été creusée.
Etant rentré à Tours dans les commencement du mois de mars, je ne fus pas longtemps sans éprouver le besoin de déterrer des morts. J'allais, à cet effet, au cimetière de cette ville, un soir ; mais ayant reconnu l'impossibilité d'exécuter ma résolution, je me retirai et je n'y retournai plus.
Cet état des choses dura pendant les mois de mars, avril et mai. Etant rentré à Paris à la fin de ce dernier mois, le mal se fit sentir de nouveau. M'étant laissé entraîner un jour au cimetière du Père-Lachaise, cette solitude me plut, la facilité d'y pénétrer me fit prendre la résolution d'y revenir dans la nuit. J'y entrai en effet à neuf ou dix heures du soir en escaladant le mur, je me promenai quelques instants agité des plus noires idées ; m'étant ensuite approché de la fosse commune, je me mis à déterrer un cadavre. Ce corps était celui d'une femme d'environ quarante ans, assez bien conservé ; je lui ouvris le ventre, j'en arrachais les entrailles, je la coupai en mille morceaux avec rage ; mais je ne commis sur cette femme aucun acte impudique (juin 1847).
Pendant une quinzaine de jours, j'allai à ce cimetière tous les soirs. Dans cet espace de temps, je déterrai trois ou quatre femmes que je traitai comme la première, sans attenter à la pudeur.
Après avoir arraché les entrailles aux divers cadavres dont je viens de parler, et les avoir mutilés, je me retirais après m'être masturbé deux ou trois fois à genoux près du cadavre. Je me masturbais d'une main, tandis que je serrais convulsivement de l'autre une partie quelconque du cadavre, mais plus particulièrement les entrailles.
Ayant été surpris par deux gardiens du cimetière, qui furent sur le point de faire feu sur moi, je fus assez heureux pour me tirer d'affaire en leur disant qu'étant ivre je m'étais endormi dans le cimetière jusqu'à cette heure. Comme j'avais toujours eu le soin de recouvrir les cadavres mutilés, ils ne se doutèrent de rien et me laissèrent sortir.
Je danger que je venais de courir produisit sur moi une telle impression que je ne pensai plus à retourner dans un cimetière, jusqu'au 12 novembre même année, jour où je quittai Paris pour aller à Soissons, ville où se trouvait le dépôt de mon régiment. La difficulté de pénétrer dans le cimetière de ce lieu m'empêcha encore de me livrer à ma funeste folie.
Arrivé à Douai, après les affaires de février, j'éprouvais le besoin de mutiler des corps morts. Un soir, vers le dix mars, j'allai au cimetière ; il était neuf heures, et, après la retraite qui se battait à huit heures, les militaires ne sortaient plus de la ville ; pour exécuter mon dessein, je me trouvais donc dans la nécessité d'escalader le mur d'enceinte et de sauter un fossé de quatre mètres environ de largeur sur deux de profondeur. Ces difficultés ne furent pas capables de m'arrêter ; après avoir escaladé le mur dans un endroit où il tombait en ruine, je reconnus l'impossibilité de sauter le fossé, je le traversai à la nage après avoir jeté mes habits de l'autre côté. Le froid était très vif, il y avait même de la glace. A peine entré dans le cimetière, je me mis à déterrer une jeune fille qui pouvait avoir de quinze à dix-sept ans. Ce corps est le premier sur lequel je me livrai à des excès impudiques. Je ne puis définir ce que j'éprouvai dans ce moment, tout ce qu'on éprouve avec une femme vivante n'est rien en comparaison. J'embrassai cette femme morte sur toutes les parties de son corps, je ma serrai contre moi à la couper en deux ; en un mot, je lui prodiguai toutes les caresses qu'un amant passionné peut faire à l'objet de son amour. Après avoir joué ave ce corps inanimé pendant un quart d'heure, je me mis à le mutiler, à lui arracher les entrailles, comme à toutes les autres victimes de ma fureur. Je remis ensuite le corps dans la fosse, et après l'avoir recouvert de terre, je rentrai à la caserne par les moyens employé pour aller au cimetière.
Mon régiment ayant été envoyé à Lille, le 15 mars, j'exhumai quatre corps de femmes dans cette dernière ville, dans l'espace d'un mois, et je me livrai sur ces quatre cadavres aux mêmes excès qu'à Douai.
Quelque temps après, ma compagnie alla tenir garnison à Doullens (Somme), d'où elle ne sortit que le 16 juillet pour rentrer à Paris. Etant allé dans le cimetière de cette ville, et n'ayant pu venir à bout de creuser une fosse, tellement la terre dure m'avait abîmé les mains, je n'y retournai plus.
Nous étions rentrés à Paris (17 juillet 1848), le régiment occupait le camp d'Ivry. Après quelques jours de repos, le mal me revint plus violent que jamais. Pendant la nuit, les sentinelles étaient très rapprochées et avaient une consigne sévère ; mais rien ne pouvait m'arrêter, je sortais du camp presque toutes les nuits pour aller au cimetière du Montparnasse, où je me livrai à de si grands excès.
La première victime de ma fureur dans ce cimetière fut une jeune fille de douze à treize ans ; son corps était tout décomposé, ce qui ne m'empêcha pas de le profaner par des actes impudiques. Ensuite, après lui avoir ouvert le ventre, en avoir arraché les entrailles et coupé les parties génitales, je me masturbai encore et je me retirai. Cette violation de sépulture eut lieu vers le 25 juillet 1848.
La même profanation eut lieu au cimetière d'Ivry, du 20 au 25 août et sur la fin du mois de septembre, sur les corps d'une petite fille de sept ans et d'une femme de trente-huit à quarante ans. Je me livrai sur ces deux cadavres aux mêmes excès qu'au cimetière Montparnasse ; excepté , quoique je n'arrachai ni ne dispersai les entrailles, je me contentai d'ouvrir le ventre. Après avoir mutilé la petite fille, je la remis dans la fosse et je la recouvris de terre. La femme était enterrée depuis treize jours.
Du 25 juillet au mois de décembre 1848, je ne retournai que deux fois au cimetière du Montparnasse, où il était très difficile de pénétrer. La première fois, à minuit, par beau clair de lune, je fus assez heureux pour échapper à un gardien qui se promenait armé d'un pistolet ; je sortis sans rien faire.
Le deuxième fois, je déterrai une femme d'environ soixante ans, et un enfant de deux ou trois ans au plus. Après avoir transporté ces deux cadavres sur une tombe assez éloignée de la fosse commune, je profanai et mutilai celui de la femme sans toucher à celui de l'enfant. Toutes les autres profanations eurent lieu dans le cimetière des suicidés et des hôpitaux.
Les premières mutations dans cet endroit eurent lieu sur des cadavres d'hommes. Je ne pouvais me résoudre à mutiler un homme ; si cela m'est arrivé quelquefois, c'était la rage de ne pouvoir trouver des femmes qui me le faisait faire ; alors, je me contentais de leur donner un coup de sabre sur une partie quelconque du corps. Il va sans dire que je n'éprouvais pas le besoin de me masturber, c'était tout le contraire, j'éprouvais une grande répulsion. Il m'est arrivé de déterrer douze ou quinze corps pour trouver une femme.
Du 30 juillet au 6 novembre je déterrai deux femmes et un grand nombre d'hommes : mais je ne mutilai que deux de ces derniers. Quant au femmes, qui étaient âgées de soixante à soixante-dix ans, je me livrai sur elles à un nouveau genre de mutilation.
Après avoir assouvi ma passion brutale sur leur cadavre, leur avoir ouvert le ventre et en avoir retiré les entrailles, je leur fendis la bouche, je leur coupai les membres, je leur lacérai le corps dans tout les sens, ce qui ne m'étais pas encore arrivé. Ma fureur ne fut pas satisfaite après ces actes horribles ; je saisis les membres coupés, je me mis à les tordre, à jouer comme un chat avec sa proie ; j'aurais voulu pouvoir les anéantir ; jamais je ne m'étais vu dans un tel état ; je terminai, comme à l'habitude, par la masturbation.
Le 6 novembre, à dix heures du soir, j'étais sur le point de sauter dans le cimetière, quand un coup de feu me fut tiré à bout portant ; je ne fus pas atteint. Ce fait ne me découragea pas ; je me retirai et je me couchai à quelques pas du cimetière sur la terre humide, par un froid rigoureux ; je restai dans cette position environ deux heures, après quoi je rentrai au cimetière, où je déterrai une jeune femme noyée, âgée de vingt-cinq à vingt-six ans, très bien conservée. Je traitais cette femme comme les autres victimes de ma folie ; je me retirai après lui avoir arraché les entrailles, coupé les parties génitales et fendu la cuisse gauche jusqu'au milieu. La jouissance que j'éprouvai avec cette femme fut plus grande encore que toutes les autres fois. Cependant, je commençais à me fatiguer de toutes ces violations de sépulture, ma maladie n'était que plus violente, et je suis porté à croire qu'elle touchait à son terme.
A dater de cette dernière violation, jusqu'au 15 mars 1849, je ne suis retourné que deux fois au cimetière, une fois du 15 au 20 décembre et l'autre au commencement de janvier.
Ces deux fois encore, j'ai essuyé deux coups de feu ; le premier tiré à trois ou quatre pas de distance, a fait balle, et a traversé le derrière de ma capote, à hauteur de la ceinture. Ce soir, il faisait très mauvais temps, mes habits étaient traversés par la pluie ; mais il fallait que ma fureur passât, rien n'était capable de m'arrêter. Aussi, malgré le coup de feu que je venais de recevoir et la pluie qui tombait à verse, ma fallut-il aller au cimetière d'Ivry à travers champs. Etant arrivé dans ce cimetière, accablé de fatigue, je cherchai inutilement à déterrer un mort ; je fus obligé de retourner à la caserne où j'arrivais à trois heures du matin, dans un état déplorable. Le deuxième coup de feu que j'essuyai au Montparnasse ne m'atteignit pas. Il m'eût été très facile de briser ou d'emporter les machines dressées contre moi, puisqu'il m'est arrivé plusieurs fois d'en désarmer ; mais jamais cette pensée ne m'est venue, ces machines ne me causaient aucune terreur. Il m'est arrivé plusieurs fois aussi de rencontrer des chiens, ils n'ont jamais cherché à me faire du mal.
Le 15 mars 1849, étant sorti du Luxembourg, à dix heures du soir, pour aller à un rendez-vous qui m'avait été donné, mon malheur voulut que je passasse près du cimetière Montparnasse ; je fus poussé à y entrer comme d'habitude, et c'est en escaladant la clôture que je fus blessé ; je crois que si cette fois la machine m'eût manqué, je ne serais retourné de ma vie dans un cimetière ; cependant je n'en suis pas certain. Dans toutes mes violations de sépulture, jamais il n'y a eu préméditation de ma part ; quand le mal s'emparait de moi, à midi comme à minuit, il fallait que je marche, il m'était impossible d'ajourner.
Dans ma jeunesse, je me plaisais à contrarier tout le monde ; il fallait peu de chose pour m'irriter ; mais ma colère était vite passée ; je ne me suis battu, je crois, que deux ou trois fois ; j'avais toujours peur de faire du mal à mon adversaire.
Etant arrivé au régiment, mon habitude de me moquer des autres et de les contrarier en tout m'attira deux affaires sur les bras. J'allai sur le terrain, bien résolu de me battre, et quand j'ai pris une résolution, il est bien difficile de m'empêcher de la mettre à exécution : cependant, les témoins firent si bien que le duel n'eut pas lieu. Il en fut de même à la deuxième fois. Arrivé sur le terrain, je n'avais plus ni colère ni haine, je me serais battu froidement, mais pour le point d'honneur seulement, et sans chercher à faire trop de mal à mon ennemis. Maintenant encore, comme dans ma jeunesse, je m'emporte et je m'enflamme outre mesure en discutant, je veux toujours avoir gagné. Depuis que je suis à l'hôpital, j'ai eu plusieurs disputes ; quand on me poussait à bout, oubliant mon mal, je sautais vivement à bas de mon lit, et je crois que si la force ne m'eût manqué, j'aurais frappé.
J'ai toujours aimé les femmes à la folie, je n'ai jamais permis à qui que ce fût de les insulter en ma présence. Dans tous les endroits où j'ai été, j'ai toujours eu pour maîtresses des femmes jeunes et aimables que je savais contenter, et qui m'étaient très attachées, puisque plusieurs d'entre elles, quoique de famille assez bien, voulurent quitter leurs familles pour me suivre. Jamais je n'ai pu m'adresser à une femme mariée.
Les propos pouvant alarmer la pudeur me déplurent toujours, et toutes les fois que, dans une société dont je faisais partie, une conversation de ce genre s'engageait, je faisais tout mon possible pour la changer. Ayant été élevé très religieusement, j'ai toujours défendu et aimé la religion, mais sans fanatisme.
Dans touts les villes où j'ai été en garnisons, les bourgeois que je fréquentais habituellement m'ont toujours vu partir avec peine. Au régiment, j'étais aimé de mes inférieurs à cause de ma douceur, et estimé de mes supérieurs et de mes égaux pour ma franchise et ma manière d'agir.
J'ai toujours aimé l'agitation et le changement ; je ne pouvais rester tranquille ; les revues ; les prises d'armes, les promenades militaires et les manœuvres, qui déplaisaient tant aux autres militaires, faisaient mon bonheur parce que j'y trouvais le moyen d'exercer mon activité.
Avant ma maladie, j'avais une force musculaire assez considérable, surtout beaucoup d'agilité ; cette manière se développait encore dans mes moments de monomanie. Jamais je n'ai su ce que c'était de reculer devant le danger. Aussi, j'ai échappé bien des fois, comme par miracle, à une mort certaine.
J'ai toujours aimé la distraction ; étant jeune, mes parents ne voulaient rien m'acheter parce que je brisais tout. Dans un âge plus avancé, je n'ai pu conserver un objet tel qu'un couteau ou un canif plus de 15 jours sans le briser ; maintenant encore j'éprouve ce besoin de briser ; ainsi, il m'arrive parfois d'acheter une pipe le matin et de la casser le soir ou le lendemain. Etant au régiment, il m'est arrivé, quand j'étais un peu pris de boisson, de détruire en rentrant dans ma chambre tous les objets qui me tombaient sous la main.
Je n'ai jamais aimé l'argent, et je ne conçois pas même qu'un individu puisse l'aimer, aussi je n'ai jamais pu ramasser un centime ; au contraire, j'ai toujours eu des dettes ; c'est ce qui est la cause de la colère de mes parents contre moi. Quand j'avais de l'argent, ce qui m'arrivait fréquemment, il était autant à mes amis qu'à moi.
Dès mon enfance, on remarqua en moi une grande tristesse ; mais elle ne s'emparait de mon âme qu'à certains moments du jour, quelquefois à plusieurs jours de distance ; à part cela, j'étais très gai. Je n'ai jamais été malade. Je détruisais les cadavres après les avoir profanés, non pour cacher la profanation, comme on a voulu le dire, mais bien parce que j'éprouvais le besoin de mutiler, je ne pouvais me retenir. "
Cette extraordinaire déclaration d'un monomane, chez qui la passion de la destruction l'emporta toujours sur la passion érotique, devrait, semble-t-il, se passer de tout commentaire… Ce ne fut point l'avis de Guy de Wargny qui, dans La Bête noire (Paris, Le Dinosaure, 1965), transforma Bertrand en un croque-mort modèle, dévoré par l'ambition d'implanter des salons funéraires en tous les endroits du globe. Isabelle, l'épouse adultère d'un entrepreneur de pompes funèbres, le regarde comme l'envoyé du ciel. " Viens, mon beau vampire ! " s'écrie-t-elle, toute nue dans un cercueil. Et Bertrand sur elle se précipite en criant : " Bêêê " (textuel, p.124). Cela aussi se passe de tout commentaire !
Confession issue de Roland Villeneuve et
Jean-Louis Degaudenzi, Le Musée des vampires,
Henri Veyrier éditeur, Paris, 1976.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Hannibal lecter, les origines du mal
22/05/2007 21:45
Réalisé par Peter Webber Avec Gaspard Ulliel, Gong Li, Rhys Ifans Film britannique, français, tchèque, italien. Genre : Thriller Durée : 1h 55min. Année de production : 2006 Interdit aux moins de 12 ans Titre original : Hannibal Rising
Resumé :
Comment un petit garçon comme les autres est-il devenu l'un des criminels les plus fascinant qui soit ? Au travers du parcours atypique d'un adolescent meurtri par les atrocités vécues pendant la Seconde Guerre Mondiale, suivez la naissance de l'incarnation absolue du mal... Hannibal Lecter.
Critiques spectateurs :
Philogo - le 19/04/2007 J'ai lu quelques critiques ici-même avant de rédiger la mienne. Je peux comprendre qu'il y ait des gens déçus par ce film car nous n'avons pas tous la même sensibilité... Heureusement d'ailleurs! Si la nature du spectateur n'est pas de se projeter naturellement dans le film (il y en a...), alors celui-ci aura l'impression de perdre son temps car il sera incapable de "ressentir" le film. Après bien sûr c'est une question de goût. Personnellement, j'ai été cloué dans mon fauteuil de la 1ère image à la dernière, sans aucun moment de répit. L'atmosphère rendue est insoutenable du début à la fin, et ce pas forcément pendant les scènes hyper violentes, à ne pas montrer à n'importe qui! Tout nous arrive dans la tronche à l'état brut, sans détour et qui plus est dérangeante. Bref, de l'angoisse à l'état pur comme j'aime, rappelant un peu l'ambiance des "Saw", en plus cinglant!. Gaspard Ulliel est étonnant de froideur! Je l'ai pourtant vu moyen dans Jacquou le Croquant. Je suis hyper difficile sur les films d'horreur, gore, épouvante etc... car bien souvent l'intensité n'y est pas, ou juste ponctuellement, ou bien pire encore on en rit! Pour ce film elle est constante! J'en suis sorti "épuisé". C'est le meilleur dans le genre selon moi à ce jour.
G.LABRUDE - le 31/03/2007 Incroyable mais vrai. Ce quatrième opus est meilleur encore que Le silence des agneaux. Et oui. Gaspard Ulliel fait oublier Anthony Hopkins. Cependant, j'ai regretté d'avoir dîner avant de le voir car mon parti pris de me mettre à la place de ses victimes (j'ai lu le livre) m'a donné quelques sueurs froides, notemment la noyade dans le formole qui m'a lég-rement fait quelques remontées intestinales...Particulièrement hard (yeux qui éclatent, dégustation de visage encore vivant) le film aurait pu être interdit aux moins de 16ans. bref,une garnde leçon de cinéma dont on sort avec, étrangement et malsainement, une grosse envie de viande rouge...n'est ce pas Clarice?
Ghosted-Angel - le 10/03/2007 Suivez la naissance du mal, découvrez comment un jeune garçon peut devenir le plus troublant de tous les criminels... Pour ce cinquième long métrage adapté de l'oeuvre de Thomas Harris, très attendu par le public, Peter Webber n'avait pas le droit à l'erreur. Qu'en est-il vraiment ? Confier le rôle titre à Gaspard Ulliel (Jacquou le Croquant) paraissait bien risqué. Allait-il pouvoir égaler le génial Anthony Hopkins ? La réponse s'impose d'elle-même dès les premières secondes : Ulliel a une présence envoûtante et un côté obsur que n'avait pas Hopkins. Hannibal est ici plus sombre que jamais, accompagné par la sublime Gong Li, véritable joyau à l'image. La relation des deux personnages est puissante, terriblement vraie. Sur un plan purement psychologique, Les origines du mal est sans doute le meilleur film de la saga. Peter Webber a su créer une ambiance dérangeante, terriblement efficace. Outre des décors magnifiques, notamment au château de Dame Murasaki, le film peut compter sur une atmosphère musicale travaillée : l'impression d'ensemble n'en est que meilleure. Un opus brillant ! A voir, indéniablement.
beilya - le 23/04/2007 Fantastique!!! Mon amoureux qui a toujours l'habitude de s'endormir sur les films a été rivé à son siège du début à la fin. Nous nous sommes délectéset ce, sans jeu de mot. Ce film est un chef-d'oeuvre tant pour le sénario que pour la bande-sonore que pour les images tellement froides et réalistes.
oralsf - le 04/03/2007 Je suis allé sur la ponte des pieds voir ce film, car en général, dans une série, seul le n°1 (SILENCE DES AGNEAUX) vaut le coup.Et là : quelle surprise! Histoire passionnante et très bien ficelée, suspense de très haut niveau, et alors un GASPAR ULLIEL extraordinaire, déjà au sommet de son art alors qu'il est si jeune : je l'ai vu dans JACQUOU (où il était déjà génial) et là : dans ce rôle de monstre il est incroyable et très inquiétant. Il est vraiment ANTHONY HOPKINS en plus jeune. Quel talent! A voir absolument!
| |
|
|
|
|
|
|
|
Bonjour
26/05/2007 16:22
Pourquoi cette photo ? A vrai dire Je sais pas......
Salut la forme ?
En forme de quoi vous me direz......
Moi ça gaz, j'ai rajouté encore des articles a partir de document recopier dans mon bouquin d'ovnis.....mais ça me gave un peu......sinon pas plus commence a me dire que je vais faire un autre blog (non j'déconne)......pas tout de suite en tout cas et en plus je sais pas sur quoi hahahaha.......(vous l'ai dit suis fou)
Vous avez vu Julien ces temps si ? J'ai écouter un peu des titres qu'il a chanter avec ses 2 groupes «The Jean d’Ormesson Disco Suicide» & «Dig Up Elvis» bé ça m'a bien plu.....les titres que j'ai écouter étaient tous en Anglais.....Bonne chance pour la suite Mec !!!! Voter pour lui !!!!! Moi je vote jamais hahahaha......
@+
Lestat 1975
| |
|
|
|
|
|
|
|
Dino crisis
26/05/2007 23:58
Source : jeuxvidéo.com
Dino Crisis 
Sortie : Le 29 octobre 1999
Je m'arrêtais immédiatement de respirer. Le vélociraptor était capable de déceler les moustaches d'une souris à 200 mètres et le moindre mouvement pouvait être fatal. Par la petite fenêtre, je vis le reptile s'approcher. Ses naseaux créèrent une légère buée sur le carreau et il repartit sans même m'apercevoir. Je repris mon souffle en entendant son grognement strident s'éloigner.

Annoncé en grande pompe par Virgin et avec un plan marketing conséquent, la nouveau jeu de Survival Horror de Capcom arrive en France. Découlant de la série des Resident Evil pour le genre, il s'agit pourtant d'une histoire totalement différente et Capcom compte bien en faire un aussi gros succès que ses illustres Resident Evil.

Au départ, une île en pleine République de Bolzinia du nom de Ibis, un petit paradis tropical sur lequel se trouve un centre de recherches de haute technologie. Un agent secret infiltré envoie des informations sur la base secrète et notifie qu'un certain Dr Kirk, savant présumé décédé depuis trois ans, y mène des expérimentations très louches. Un groupe d'agents est alors détaché sur la base pour enlever le Dr Kirk afin d'obtenir plus d'informations sur ses travaux. Malheureusement, l'arrivée de nos quatre agents gouvernementaux ne se passe pas comme ils le souhaitaient et c'est dans un centre de recherches remplis de cadavres qu'ils atterrissent. Rapidement, ils se rendent compte que cette île est infestée de dinosaures tous plus hargneux les uns que les autres et qu'ils n'ont plus aucun moyen de communication, prêts à servir de casse-croûte au méchant T-Rex.

Vous jouez le rôle d'un des agents en mission, une jeune et très jolie femme du nom de Regina. Celle-ci se place dans la mouvance des nouvelles héroïnes de jeux vidéo : belles, intelligentes et sachant manier le 9mm Parabellum comme personne. Construit clairement comme un film, Dino Crisis repompe en effet tout en bloc la trame générale de Jurassic Parc. Le scénario atteint en tout cas ici des sommets, dépassant même les Resident Evil pour ce qui est de la mise en scène. Chaque morceau du jeu est un pur moment d'intensité dramatique, jouant sur les sons ou sur les angles de caméra sur fond de musique angoissante.

Le moteur du jeu reprend dans ses grandes lignes celui de Resident Evil et la ressemblance sera frappante pour toute personne ayant déjà joué aux deux épisodes. Le personnage en 3D se déplace exactement de la même manière. Grosse différence pourtant, finis les décors prérendus et statiques, cette fois-ci l'environnement est lui aussi en 3D. Même s'il est impossible de faire changer d'axe la caméra, l'avantage est absolument énorme : ce qu'on perd en qualité graphique pure, on le gagne au centuple en qualité de jeu et en effets. Ainsi, les éclairages deviennent dynamiques et de très nombreux mouvements de caméra précalculés permettent de suivre l'action ou de renforcer l'atmosphère déjà terrifiante. On garde encore en tout cas le système des "pièces", avec un chargement un tantinet long entre les salles, malgré l'animation vite lassante de la porte qui s'ouvre. De minuscules bugs d'affichage sont visibles sur le personnage principal lorsque celle-ci s'arrête mais à part ça, la qualité de la 3D est au summum des capacités de la Play.

Les mouvements de Regina ont été aussi revus et corrigés et même s'ils ressemblent beaucoup à ceux d'une Jill ou d'un Leon, on reconnaîtra de nombreux ajouts de gameplay. Celle-ci peut donc courir, marcher mais elle est maintenant aussi capable de se retourner et de dégainer et avancer en même temps, améliorant nettement les scènes de combat. Seul défaut encore rémanent, cette incapacité à prendre des virages serrés, obligeant à s'arrêter même une demie-seconde pour tourner et repartir... On s'y fait, fort heureusement. Autres points de gameplay, les sauvegardes se font maintenant un petit peu plus souplement puisqu'il vous suffira juste de passer par certaines pièces pour sauvegarder et non plus vous encombrer de ces #!!@&! de rouleaux :)

Là où les zombies de Resident Evil étaient stupides et prévisibles du fait de leur cervelle tombante (la bonne excuse pour faire une IA légère :), les dinosaures de Dino Crisis en sont très loin. Attaquant toujours là où on s'y attend le moins, ils sont dotés d'une foule d'attaques différente, ils sont vicieux et on panique quasiment tout le temps à cause de leur imprévisibilité. Seul problème, il n'y a que 4 monstres différents. Ils réagissent en tout cas vraiment différemment lors des combats et peuvent débarquer n'importe quand au cours du jeu, flippant ! :)
Le scénario a aussi été travaillé de manière plus complète offrant la dimension d'un très bon film. De plus, Regina devra faire des choix plusieurs fois dans l'aventure, ce qui changera alors de beaucoup l'orientation de l'histoire. Les énigmes sont toujours aussi présentes, demandant la plupart du temps qu'un peu de pratique mais présentant quelquefois un véritable challenge. Dino Crisis reprend les atouts dont sont si friands les passionnés des Resident Evil, les modes spéciaux et les bonus cachés qui augmentent alors considérablement la durée de vie.
Kornifex , le 08 novembre 1999
Graphismes 17/20
|
Un gros gros boulot puisque maintenant tout en 3D, les décors comme les personnages sont très bien modélisés malgré quelques petits bugs. L'ambiance très angoissante est bien rendue par les différents angles de caméra et les combats sont rapides et fluides. Une mise en scène de qualité. Vous voulez quoi de plus ?? :)
|
Jouabilité 16/20
|
Des contrôles qui gagnent en richesse par rapport aux classiques Resident Evil mais qui n'atteignent pas encore la souplesse requise. Les habitués s'y retrouveront pourtant tout à leur aise. |
Durée de vie 18/20
|
Encore une foule d'énigmes et de pièges qui mettront tous vos sens en alerte. La durée de vie des Resident Evil reste une des meilleures sur PSX et Dino Crisis ne vous décevra pas. Si en plus, vous voulez en voir tous les aspects, il vous faudra pas mal de temps. |
Bande son 17/20
|
Les musiques collent toujours à l'action pour ne jamais vous faire décoller de l'écran. Les bruitages sont quant à eux réalistes alors que les voix en anglais reprennent à leur compte la qualité des dialogues de Capcom pour leur jeux d'action/aventure. |
Scénario 18/20
|
Un scénario complexe doublé d'une aventure non linéaire, l'ambiance cinéma se retrouve aussi dans l'histoire qui reprend largement le script de Jurassic Parc. L'histoire monte doucement crescendo jusqu'à la fin. |
Note Générale 17/20
|
Finalement, Dino Crisis est un renouvellement du genre très agréable. Reprenant les qualités indéniables des Resident Evil au niveau du scénario et de l'ambiance "film", il se dote de nouveaux atouts qui convaincront les plus blasés. |
L'avis de Lestat1975 :
De Capcom svp....après avoir tater du Resident evil et ses morts qui vivent (haha) voici Dino crisis et ses Dinosaures qui aime la viande......On retrouve immédiatement la ressemblance avec l'univers de Resident Evil (sauf que la ce sont des Dinos et que les décors sont cette fois en 3D). Je me rapelle seulement un petit peu du titre car cela fait très longtemps que j'y est jouer. Mais il m'a bien plu. Quoi dire de plus ? Difficile de faire une critique correcte après tant d'années. On va dire comme + haut c'est un Resident Evil avec des Dinos à la place des Morts vivants et que c'est un très bon titre.
Ma note ? 16/20
| |
|
|
|
|
|
|
|
Silent Hill
28/05/2007 01:13
Source : jeuxvidéo.com
Silent Hill 
Sortie : juillet 1999
La petite bourgade de Silent Hill n'était plus qu'un village fantôme isolé de tout. La mort rodait dans les parages et prenait de multiples formes horribles. Si seulement cet épais brouillard pouvait disparaître, je retrouverais plus vite Cheryl et ... Ma radio se mit à grésiller d'une façon que je commençais à ne connaître que trop bien. Mon pistolet émit un cliquetis et j'attendis patiemment dans la brume, l'oreille tendue.

Silent Hill est le nouveau jeu de Konami. Nos amis japonais se lancent dans l'aventure fantastique. Ne cachons pas qu'ils marchent allègrement sur les pieds de Capcom et de sa fameuse série Resident Evil. Konami a mis le paquet dans sa campagne publicitaire et dans son soft pour nous faire oublier son plagiat. Passons à la dissection...

Une carte vous guidera tout en se remplissant automatiquement d'informations utiles
Tout commence quand Harry Mason arrive dans la petite ville de Silent Hill à bord de son 4x4 et en compagnie de sa fille unique et adorée : Cheryl. En pleine nuit, un accident met fin au voyage familial. Harry se réveille dans sa voiture, Cheryl a disparu et une étrange chape de brouillard recouvre le village ; un village complètement infesté de créatures décharnées et avides de chair fraîche.
Vous aurez à votre disposition des armes et de l'équipement afin d'avoir une petite chance dans le cauchemar qu'est devenu Silent Hill. On retrouve l'esprit Resident Evil avec un pistolet, un fusil de chasse etc. Chaque arme possède des munitions appropriées que vous trouverez ça et là. Une lampe de poche , des soins et des objets divers sont aussi présents. L'inventaire ressemble étrangement à celui de Resident et les habitués y seront tout de suite à l'aise. Harry possède aussi les mêmes mouvements que Léon ou Claire : marcher, courir, mettre en joue etc.

Les effets de neige sont très bien rendus: Brrrrr !
Là où Resident Evil 2 fait jouer des personnages en 3D dans des décors précalculés et donc fixes, SH se démarque tout de suite en faisant évoluer des personnages en 3D dans des décors en 3D. On se rapproche plus en fait d'un Tomb Raider. En effet, les caméras sont dynamiques et vous suivent selon l'action. Quelques plans sont fixes alors que d'autres bougent comme dans un film pour en effet garanti ! Là encore, tout la panoplie 3D est sortie : effets de pluie, neige, lumières dynamiques. Bref, la totale et c'est vraiment bien fait.
Les décors où que vous arpentez possèdent deux caractéristiques essentielles dues à des contraintes scénaristiques et techniques. Soit vous êtes en plein jour et la ville est recouverte d'un épais brouillard ou alors c'est la nuit la plus noire. Dans tous les cas vous ne distinguerez qu'à quelques mètres devant vous. Ceci évite au moteur d'avoir à gérer des décors lointains (il n'y en a aucun !) et en même temps, ça donne une impression oppressante reflétant bien l'atmosphère du jeu. Le seul défaut du moteur est un gestuelle pas très naturelle du héros mais on ne le voit plus rapidement.

Les monstres sont malsains plus que terrifiants
Le jeu possède un scénario digne d'un film avec des rebondissements et beaucoup d'énigmes du type de Resident Evil. Même si au début, assez réaliste, rapidement le jeu nous fait plonger dans un univers monstrueux à souhait avec des cadavres malsains dans tous les coins. Resident Evil nous faisait sursauter en faisant apparaître des zombies au détour de chaque couloir. Silent Hill ne peux pas pour une raison simple. Dû au peu de vision que vous avez, vous possédez tout au long du jeu une radio qui grésille et sonne dès que vous êtes en présence d'un monstre. C'est très pratique car l'élément de surprise n'est plus le même. En effet, il a du vous arriver de vous faire tuer à Resident Evil à cause d'un monstre qui était en fait caché par les décors en 2D. C'est marrant au début et après ça agace. Silent Hill, lui, fait peur grâce à son ambiance et à son scénario. De plus, vous savez quelque fois qu'il y a un monstre mais vous ne le voyez pas... Dans le noir, c'est assez effrayant.

La lampe n'éclaire que faiblement, renforçant l'atmosphère...
Silent Hill est bourré de petits détails graphiques ou ludiques qui vous amènent à encore plus de réalisme. Par exemple, si vous possédez une manette dual shock, vous sentirez votre coeur battre dans la manette de manière de plus en plus lente en fonction de vos blessures. Pratique et sympa. Lorsque vous mourez, une aide de jeu en rapport avec votre mort vous conseillera. Ou encore, quand vous courez, Harry ressentira la fatigue et halètera quand vous vous arrêterez.
Des scènes cinématique de grande qualité ponctuent les grands chapitres et de petites scènes dans le jeu accompagnent le scénario pour augmenter l'effet fantastique et angoissant. L'environnement sonore contribue aussi à l'ambiance. Peu de musiques sauf à des moments clés du jeu, ce qui laisse beaucoup de place aux bruits des créatures et de votre personnage.
Finalement, Silent Hill est un clone de Resident Evil de par son scénario fantastique et ses caractéristiques de jeu. Ceci est loin d'être une critique car il respecte toutes les règles et ne faillit jamais. Là où Silent Hill fait plus fort, c'est qu'il corrige tous les problèmes dus au mélange 2D/3D de Resident en proposant un moteur 3D de bonne facture tout en rajoutant de nouvelles options intéressantes. Un scénario palpitant, des sensations fortes et un fun plus important que Resident Evil. Un grand jeu !
Kornifex , le 20 juillet 1999
Graphismes 18/20
|
Le moteur tourne très proprement avec des effets 3D bien gérés. Les mouvements peu crédibles passent inaperçus tant le jeu est horriblement joli. Les pièces sont glauques et angoissantes, les monstres répugnants. Bref, un aspect graphique qui réussit son objectif, vous enfermer dans un monde d'horreur. |
Jouabilité 19/20
|
Les touches ressemblent à Resident Evil et celui qui connaît sera en terrain conquis. Les mêmes mouvements ou positions sont disponibles. De pouvoir regarder autour de soi augmente carrément la jouabilité lorsqu'il s'agit de shooter du monstre. Les angles de caméra sont étudiés selon les pièces pour vous donner un maximum de visibilité sans jamais gêner. Soigné. |
Durée de vie 14/20
|
C'est peut-être le seul défaut du jeu. En effet, les monstres sont très faciles à tuer et vous prenez le pli rapidement. Les énigmes, bien qu'assez complexes, sont orientées pour ne pas prendre trop de temps à résoudre. Les sauvegardes à des points fixes ne réussissent pas à rendre le jeu plus difficile. Heureusement, le jeu propose plusieurs fins et de toute façon, quel spectacle ! |
Bande son 16/20
|
Des musiques qui respectent l'action sans la noyer. Les bruits sont bien rendus : portes, monstres, armes. Les musiques ne sont là qu'à certains moments du jeu. C'est faiblard mais ça sert au jeu et à son atmosphère donc... |
Scénario 18/20
|
Un scénario complet. Les énigmes se succèdent au cours d'une intrigue principale complexe. Le mystère reste entier pendant longtemps et des fins multiples sont disponibles. On regrettera juste des voix anglaises un peu molles lors des dialogues. |
Note Générale 19/20
|
Silent Hill paraît jouer dans la même cour que Resident Evil mais en y regardant de plus près, il se différencie beaucoup par sa 3D intégrale. Un aspect qui comble les lacunes de RE tout en apportant de nouvelles options. Bref, c'est vraiment un très bon jeu car il prend le meilleur de Resident Evil tout en rectifiant ses défauts. Un sans faute. |
L'avis de Lestat1975 :
Le premier volet du jeu de Konami est assez surprenant parce que différent de son ancêtre Resident evil. En effet l'ambiance prend la toute sa signification, rien a voir avec les titres de Capcom qui eux ne font pas peur (c'est ce que je pense vraiment) et qui sont par contre très réussi au niveau de la trame scénaristique et de la mise en scéne très cinéma, mais qui n'ont pas justement cette ambiance oppressante. Je doit dire que ce n'est pas le meilleur de la serie et que je l'ai moins aimer que les Resident evil 1,2 & 3 que j'avais finis avant. Mais je doit dire avec beaucoup de recul (environ 8 ans hahaha) que je tire mon chapeau a Konami pour ce jeu qui a quand même tenter de révolutionner le genre du Survival horror et qui a réussi, preuve en est les titres suivant (le 5é volet est en préparation) et aussi le film (du réalisateur du "pacte des loups"), qui m'a beaucoup déçu, je me permet de le dire en passant.......quelle deception sniff, mais bon c'est pas la que je voulais en venir, non c'est sur le succés de la serie "Silent hill" et il ne se dément pas. Je doit dire qu'il y a plusieurs moments dans le jeu ou la tension monte d'un (gros) cran, je veux parler des passages du monde réel au monde obscur. En effet on est dans la même ville mais il arrive a certain moment qu'elle se transforme (de toute façon Silent hill est vivante, qu'on ce le dise) et la tout les repères pris au cours des heures qui précédées sont a ce moment là inexistants, on se retrouve dans le noir avec le bitûme transformer en grilles sous lequelles se trouve un vide sans fond (haha). Mais je vous rassure la ville est toujours là autour de vous, en effet en courant (oui en courant car vous avez a ce moment là a vos trousses une orde de chiens enragés et de monstres assoiffés de sang.....le votre en outre et pas question de s'arreter) vous reconnaissez la ville autour de vous mais tellement transformer que vous ne savez pas ou vous allez (la c'est dur)....vous vous demander alors vraiment pourquoi vous avez acheter ce jeu et pourquoi vous n'avez pas plutôt acheter un jeu avec Mario sur nintendo 64.....non j'déconne j'aime pas Mario en plus n'y Nintendo (a part quelques titres). Je poursuit, donc vous courrez et vous arrivez quand même a vous en sortir malgré tout. De ce coté la le titre a pas mal de qualité, et sa principale est de vous mettre mal a l'aise (haha) ce que je lui reproché a l'époque c'est de n'être justement pas ce a quoi j'étais abitué.........un Resident evil et son coté "mise en scéne cinématographique super éfficasse", l'absence de.....comment dire......de rebondissement scénaristique ....voila le mot exacte. Mais comme je l'ai dit plus haut ce n'est pas le premier épisode de la serie que j'ai aimer le plus et qui m'a fait aimer la serie. Voila j'ai tout dit (façon de parler car il est très difficile de tout dire sur un jeu).
Ma note ? 16/20
| |
|
|
|
|
|
|
|
Silent hill 2
29/05/2007 22:19
Source : jeuxvidéo.com
Silent Hill 2 : Inner Fear 
Sortie : Le 04 octobre 2002
Un an (tout de même) après sa sortie initiale sur PS2, le brouillard de Silent Hill 2 vient envahir les circuits de la Xbox. Et oui, c'est maintenant au tour des xboxfans de jouer à se faire peur en allant se perdre dans les méandres de cette ville maudite.

Voilà encore un manque qui se comble. Un nouveau genre qui enrichit la ludothèque de la Xbox, le Survival Horror. Il est vrai que les fans de cette catégorie ludique n'avait pas grand-chose à mettre au bout du pad de leur Xbox. Qu'ils soient heureux, cet état de fait va changer avec l'arrivée de James Sunderland dans leur vie. James a un problème. Ce pauvre bougre a bien du mal à se remettre de la mort de sa femme. Mais voilà que, chose peu commune, il reçoit une lettre de cette dernière, qui lui demande de la rejoindre à Silent Hill. Notre ami, perplexe, décide alors de résoudre cette énigme. C'est ainsi que Silent Hill s'apprête à accueillir un nouveau résident. Êtes-vous près à faire les rencontres les plus étranges de votre vie ? A sombrer dans un scénario complètement barré ? A passer d'un monde à l'autre et à vous aventurer dans des lieux de plus en plus glauques ? Alors allons-y.

L'accessoire indispensable pour réussir votre Horror-Party : la lampe torche.
Sachez d'abord une chose, si vous avez bouclé et rebouclé la version PS2, c'est un titre identique que vous retrouverez ici. Pour les nouveaux, voilà comment se passent les choses dans Silent Hill. Vous arpentez une ville au sein de laquelle tout a été mis en oeuvre pour vous faire flipper comme des malades. Votre radio grésille à l'approche de monstres au design absolument incroyable et totalement indescriptible, des sons étranges résonnent de part et d'autre et surtout, dehors, un épais brouillard pèse sur la ville, limitant toute visibilité. Bien sûr, à l'intérieur aucune lumière ne marche et c'est à l'aide d'une lampe torche que vous devrez progresser dans des bâtiments d'un glauque absolu et à l'intérieur desquels, règne une odeur de mort putride. L'ambiance, aussi bien visuelle, sonore ou scénaristique, est réellement le coeur du jeu.

Les décors intérieurs ont l'air d'avoir abrité des événements terrifiants.
Car, et ce n'est pas méchant, le gameplay de Silent Hill 2 n'a en soit rien d'exceptionnel et se montre aussi efficace que classique pour un titre du genre Survival. Attendez-vous donc à de nombreuses allées et venues et à des énigmes parfois corsées qui vous feront cogiter un moment. On n'oublie pas bien sûr le passage d'un monde à l'autre si cher aux fans et qui vous fera basculer du simplement « flippant » au carrément « super dégueu». A noter tout de même une originalité dans les commandes puisqu'il est possible ici de faire des pas de côté, pratique en cas d'assaut massif. L'autre innovation de la série, mais qui n'est pas en soi une nouveauté (un emprunt à Alone In The Dark), est la lampe torche, outil indispensable à toute montée en flèche de votre trouillomètre personnel.

De bien étranges rencontres vous attendent.
Mais ce qui fait vraiment l'intérêt de SH 2 c'est, comme je vous le disais, son ambiance, sa mise en scène et sa réalisation fabuleuse. Il y a les graphismes tout d'abord, et surtout le fameux grain d'image qui donne un aspect particulièrement « crade » au jeu. Sans compter les décors généreusement glauques, sales, ensanglantés etc. Et bien sûr le brouillard qui vous donne froid dans le dos en extérieur. Mais le must reste incontestablement la bande-son, toujours l'une des meilleures qui soit. Que de sons étranges et oppressants sont ici donnés a entendre ! Immersion garantie au bout de quelques secondes d'écoute. Les moindres recoins de Silent Hill transpirent ou murmurent la mort.

Le brouillard de Silent Hill n'a rien du fog londonien.
Mais ce portage Xbox est-il pour Konami l'occasion de rajeunir un peu leur titre ? Et bien oui et non. Oui parce que le jeu s'enrichit d'un second scénario qui mettra en scène l'énigmatique Maria. Un bonus appréciable et qui réserve son lot de surprises. Ceci dit n'attendez pas de lui qu'il rallonge conséquemment la durée de vie du soft, certes il révèle un nouveau pan de l'histoire mais il n'est pas excessivement long. Pour le reste, c'est une version absolument identique, à la fiole de boisson revigorante près, de la première mouture PS2. Techniquement, le résultat est satisfaisant mais il faut bien avouer qu'on comprend mal certains ralentissements, certes rares mais tout de même bien surprenants sur une telle machine.
Inutile de tergiverser, Silent Hill 2 est une petite merveille du Survival Horror, un titre à l'ambiance terriblement scotchante qui va vous visser à votre pad. J'entends par contre les joueurs ayant déjà connu le jeu sur PS2 se demander s'ils devraient réinvestir dans cette version Xbox. Et bien, certes le titre dispose d'un nouveau scénario, mas vu sa longueur toute relative, il n'est pas certain que l'investissement soit particulièrement rentable. Que les nouveaux venus foncent tête baissée en tout cas.
Dinowan, le 30 septembre 2002
Graphismes 17/20
|
Un bémol : l'animation des personnages pas forcément toujours très réussie. Mis à part ça, on retrouve le design si particulier de SH, son grain d'image, son côté épouvantablement glauque, ses monstres étranges et cauchemardesques et son brouillard volumétrique adoré. Ajoutez à cela des effets de lumières sympathiques (bien que pas encore au top du potentiel Xbox) et vous obtenez un résultat esthétique détonnant et qui a son petit caractère.
|
Jouabilité 17/20
|
Des commandes qui répondent au poil et un gameplay qui bien que classique est toujours diablement efficace. Si vous aimez vous balader de long en large au sein d'environnements qui vous glacent le sang, vous allez être servi.
|
Durée de vie 15/20
|
Une durée de vie plus que raisonnable et un paramétrage de la difficulté qui permettra aux plus acharnés de trouver un challenge à leur mesure. Le nouveau scénario, même s'il n'est pas extrêmement long, apporte tout de même sa pierre à l'édifice.
|
Bande son 18/20
|
Je l'ai déjà dit, c'est l'une des meilleures bande-son qui soit. Les effets sont très mais alors vraiment très flippants, les musiques collent parfaitement à l'action. Rarement une bande son aura aussi bien servi la mise en scène d'un jeu.
|
Scénario 16/20
|
Une histoire complètement barrée que vous découvrirez lentement mais sûrement. L'ambiance malsaine vous prend aux tripes et ne vous lâche pas facilement.
|
Note Générale 18/20
|
Foncez ! Foncez acheter Silent Hill 2 : Inner Fears. On a rarement vu un jeu offrir une ambiance aussi déstabilisante et palpable. Alors certes, les esprits chagrins regretteront que le lifting graphique de ce portage Xbox soit un peu limité, mais le résultat est tout de même probant. De plus, l'arrivée d'un nouveau scénario compense cette lacune. Vous aussi, venez vous perdre dans le brouillard de Silent Hill.
|
L'avis de Lestat1975 :
Il n'y a pas si longtemps je vous parler du premier Silent Hill sur PS1, et maintenant place au second épisode qui n'a rien a voir avec les personnages du premier opus, en effet le seul lien entre les deux titres est la ville de Silent Hill. Mais la différence ne s'arrete pas la, l'évolution graphique de ces derniéres années ce ressent fortement ici. C'est une autre dimension et le titre grace justement a ce changement est d'une très grande qualité, car la beauté du jeu apporte beaucoup a l'ambiance de ce chef d'oeuvre du Survival Horror et du jeu vidéo en général. J'ai jouer a Silent Hill 2 sur PS2 et aussi sur XBOX. La version BOBOX avait l'avantage (même si elle est sortie a peu près 1 ans plus tard) d'avoir un petit scénario en plus très sympa même si très court (30 mn environ). J'y est jouer la première fois sur PS2 d'une traite de 11h du matin a 1h00 du matin le lendemain. En fait je n'ai jamais eu la console de sony parce que je n'aime pas particulièrement celle ci, mon frére m'a juste proposé de jouer a Silent Hill 2.....alors j'en est profiter (hihi) je me suis régaler....volets fermer pour être un peu plus dans l'ambiance, me suis arreter seulement pour pisser (et boire du café). L'ambiance du titre est incroyable !! Non pas qu'il fasse peur (parce que ce n'est pas spécialement le cas) mais le scénario est bien prenant. Le héros reçois une lettre de sa femme qui lui demande de venir la rejoindre a l'hotel de la ville de silent hill, un endroit ou ils ont l'abitude d'aller....enfin avaient l'abitude.....car sa femme est décédé il y a plusieures années d'une grave maladie......voila comment commence le jeu......il est pas fait pour mettre les joueurs dans l'ambiance ce début ?? Franchement si.....on retrouve bien évidemment ce qui a fait le succés du premier Silent Hill, une ville vraiment bizarre avec des personnages secondaire très bizarre et timbrés même (je veut parler par exemple du personnage de harold). On s'attache vraiment au personnage principal, on a envie qu'il retrouve l'amour de sa vie, on a envie que tout finisse bien, on a envie que (on ne sais par quel miracle) sa femme soit vivante....mais........ Tout le long du jeu on ne décroche pas, on veut connaitre la vérité, qui a envoyer cette lettre ?? Ce mot est il réellement de sa femme chérie? Ou bien d'une chose vivant a Silent Hill ? Vous le saurais dans le prochain épisode.......Non sérieux j'ai pas envie de vous raconter l'histoire plus que ça ....j'ai pas envie de vous gacher le plaisir......un conseil.....acheter le ...surtout qu'on doit pouvoir le trouver pour pas cher....
Ma note ? 18,5/20
| |
|
|
|
|
|
|
|
Des nouvelles
30/05/2007 00:16
Bé wi il a raison James Sunderland (Silent hill 2)............il a vraiment une sale gueule.......oupss dsl je voulais dire qu'il a raison le "Blog du fantastique" va se transfomer un peu ....j'ai décidé de payer 1,80 £ par mois comme beaucoup d'autre Blogueurs.....les options supplémentaires ne sont pas négligables après tout.....Voila pas + sinon
J'ai rajouter quelques articles dans les catégories "Esprits & Fantômes" ainsi que "jeux vidéos" .......
Bonne nuit les petits ......
Lestat 1975
| |
|
|
|
|
|
|
|
Silent Hill 4
30/05/2007 16:23
Source : jeuxvidéo.com
Silent Hill 4 : The Room 
Sortie : Le 24 septembre 2004
Tel un cri d’enfant pouvant faire rire en plein jour et terrifier en pleine nuit, Silent Hill 4 réchauffera votre coeur et vous glacera le sang. Portant le lourd fardeau d’amener la série vers un autre horizon, The Room, par le simple fait de véhiculer une interrogation de par son seul titre, gagne son premier combat en invitant le joueur à faire un pas puis un autre pour entrer dans la pénombre la plus totale. D’une claustrophobie suffocante à une peur primaire du noir en passant par une curiosité qui nous fait avancer, Konami incite le joueur à aller de l’avant, encore et encore.

Avec Silent Hill, Konami n'aura jamais aussi bien réussi le pari de singer tout en se démarquant habilement de ses modèles pour créer au final un nouveau genre qu'on pourrait qualifier de Critical Horror, l'horreur atteignant ici un point de non retour, un seuil critique. Les trois premiers volets de la série ont donc, chacun à leur manière, apporté une pierre à l'édifice du grotesque horrifique où divinités séculaires usèrent nos croyances (SH puis SH 3) tandis que la fragile cohésion du réel et de l'esprit fut rendue malléable pour mieux nous briser dans un psychologique Silent Hill 2. The Room marque donc, comme il se devait de le faire, le début d'un nouveau pèlerinage pour le joueur vers des horizons torturés, nauséeux, ou quand une tragédie grecque rencontre le cinéma de John Carpenter, Hideo Nakata ou encore de Jaume Balaguero. Ne cherchez pas la réponse dans l'image, ne cherchez pas une voie, qui sera inévitablement sans issue, Silent Hill 4 nous arrive tout droit de la bouche de l'enfer, son coursier se nomme Konami, et il ne vous reste plus qu'à prier, un dieu impie, cela va de soi.

L'ambiance brumeuse persistante. Signe que la ville de plaisance n'est pas loin.
Si Silent Hill 4 n'a pas pour ambition de révolutionner le genre, il apporte malgré tout un point de vue différent dans sa narration du moins par rapport aux opus précédents. Ainsi, le joueur naviguera constamment entre un univers tangible, représenté par son appartement, et un monde parallèle constitué de lieux que le réel et la folie auront procréés. Ceci dit, le 4eme opus de SH est bien plus linéaire que ses prédécesseurs, ceci étant dû aux énigmes moins nombreuses et plus simples et à l'action qui prendra dès lors le pas sans autre forme de procès. Mais ce qui ressort de cette énième aventure horrifique est avant toute chose un pur moment de délectation malsaine, la terreur ne cessant d'humecter nos lèvres afin que nous salivions devant chaque nouvelle cut-scene ou invention des développeurs. Je me permets ainsi d'avouer ma passion pour ce titre qui m'aura fait voyager dans un espace-temps numérique qui résonne encore de cris infâmes et de visions déformées ou quand l'espoir de comprendre un cauchemar finit par nous dévorer tout entier.

Ces mouches géantes sont agaçantes mais restent simples à éliminer.
Le pitch de départ du jeu voit un certain Harry Townshend emprisonné dans son appartement (hermétiquement coupé du monde) et qui n'aura d'autre échappatoire que de passer par un mystérieux trou apparu dans sa salle de bains pour démêler le vrai du faux, le présent du passé, le Moi du Surmoi. Si je ne vous révélerai quasiment rien du scénario, je vous dirai juste que cet opus revient sur un des personnages des plus esquissés de Silent Hill 2, du nom de Walter Sullivan, qui n'était en tout et pour tout représenté que par quelques notes et dialogues.
Le synopsis du titre est une fois encore alléchant en termes de possibilités, de délires graphiques, de passages effroyables, d'allusions macabres et de révélations. A ce titre on retrouve des hommages plus ou moins appuyés à plusieurs long-métrages. J'ai pour ma part adoré le petit garçon qu'on retrouve à intervalle régulier qui me fait penser au Gage du film Simetierre dans la teneur maléfique de son regard et l'innocence dont il se sert pour terrifier son entourage. Je pourrai également citer le fameux couloir de l'hôpital gardé par de multiples fauteuils roulants (indissociables de la série) qui m'a ramené des années en arrière lors du visionnage de Freddy 3. Les abondances au genre pullulent, les clins d'oeils sont bien là (Dans La Peau De John Malkovich en tête de liste) et ici aussi le cinéphile se régalera dans ce dédale Kafkaïen.

Quand l'innocence devient vecteur de haine...
On se laisse d'autant plus prendre au jeu qu'à l'image de Silent Hill 2, on ne peut s'empêcher de se questionner sur l'issue de l'aventure. Ceci est amené par les mystérieuses lettres qu'on reçoit, les messages laissés par l'ancien propriétaire de l'appartement (qui a lui aussi disparu), les inscriptions sur les murs ou les personnages qui viendront croiser notre route. Par contre, il est assez drôle de constater que le degré d'immersion du joueur est inversement proportionnel à l'implication de Harry dans ce qui lui arrive, tant le héros semble détaché de ce qui se passe. Mais, ici, je me répéterai une fois de plus en affirmant que Silent Hill doit être vu comme un livre (plus encore qu'un film) où nous construisons l'histoire, où notre avatar n'est finalement qu'une coquille vide que l'on remplit de notre envie de savoir. En cela, on se rapproche beaucoup de Silent Hill 2, même si James avait, lui, pour unique but de retrouver sa femme (implication très forte du héros) sans pour autant analyser profondément ce qu'il voyait, ce qui ramène à une distanciation qui laissait alors le soin au joueur d'avoir sa propre vision des choses.

Ces entités sont sans conteste les monstres les plus énervants du soft.
Si nous repassons bien par tous les environnements du titre en charmante compagnie, le tout se montre suffisamment intelligent pour s'offrir les services de nouvelles créatures, d'énigmes et surtout de nombreuses cinématiques faisant avancer le scénario. De ce fait, je ne vois pas trop le problème dans la construction, même si je suis conscient qu'elle aurait pu être un peu mieux élaborée. En l'état, on obtient alors une durée de vie un peu plus élevée (comptez sur 9 à 10 heures pour finir le jeu) mais je suis formel en affirmant que le plaisir de la découverte ne baisse pas.
Outre le fait d'évoluer en vue subjective dans votre appartement, le jeu se dote d'un nouveau système de combat avec esquive et charge pour porter un coup plus puissant. Ensuite l'inventaire est accessible via un menu d'action rapide et les sauvegardes sont uniquement réalisables à un endroit bien précis, à savoir chez vous. Vous devrez aussi faire attention aux objets que vous transporterez sachant que leur nombre sera limité. Le coffre de votre appart sera donc là pour accueillir armes et items encombrants et il vous faudra faire des allers-retours afin de constituer votre besace comme bon vous semble. Si on peste un peu au départ devant ce système, on s'y fait bon gré mal gré, les trous pour passer de votre dimension à celle déformée étant nombreux et bien placés. L'autre chose qui pourra aussi vous énerver est la place de l'action qui prend ici ses aises. Rien de dramatique si ce n'est certains monstres qui ne pourront être tués, qui reviendront très souvent et qui pourront vous blesser de par leur simple présence. Cependant vous trouverez un peu plus tard dans le jeu des bougies et épées qui pourront temporairement régler ces douloureux problèmes. En ce qui concerne la vue subjective, rien de bien précis à en dire si ce n'est que l'idée est bonne et bien exploitée par la possibilité d'épier votre voisine par un trou dans le mur ou bien de jeter un oeil à votre palier en regardant par le judas de votre porte. Le reste du titre se joue à la troisième personne et si on a parfois quelques soucis de caméras, il est légitime de féliciter les programmeurs qui ont bien compris le problème et qui se sont pliés en quatre pour nous offrir des angles de caméra majestueux.

Tu ne crois pas si bien dire ma pauvre Eileen.
Artistiquement, hormis la démarche de Harry qui m'évoque encore plus celle d'un robot que le déhanchement d'Heather dans Silent Hill 3, le tout est simplement parfait. Du grain particulier savamment utilisé lorsqu'on arrive dans le monde parallèle aux atmosphères poisseuses où le brouillard englobe tout, Silent Hill 4 est irréprochable. Le jeu utilise à merveille les différents cosmétiques du démon pour habiller son bestiaire et les couleurs gluantes pour peindre ses environnements. Si je mettais en avant le fait qu'on retrouvait plus ou moins les mêmes décors que dans les autres segments (à savoir le métro, un immeuble, un hôpital, une forêt, une prison...), comment ne pas succomber une fois de plus au talent des graphistes qui ont donné naissance à la représentation de nos cauchemars les plus sordides. Ceci se ressent tout autant dans les lieux visités que dans les monstres qu'on croise. Mais ici, on préféra plutôt les attitudes des freaks aux freaks eux-mêmes qui ne sont "que" chiens mutants, gorilles décharnés, mouches géantes, poulets sur pattes au visage de bébé, etc. Mention spéciale au dernier monstre évoqué qui vous pointera du doigt dès qu'il vous verra et vous chargera dans la seconde qui suit.

Une conversation aussi dérangeante qu'importante.
Dire que la bande-son apporte beaucoup serait un euphémisme. Les bruitages sont admirables et contribuent grandement à la réussite du jeu. Les divers sons utilisés pour la démarche ou les cris des monstres sont délectables, le doublage anglais se veut plaisant et un peu détaché ce qui sied à merveille au titre. Les cris lointains déchirent souvent le rythme pesant et moite du la progression et une fois de plus le procédé sonore employé par Konami est si efficace qu'on a l'impression d'avoir un Home Cinema à la place d'un simple téléviseur stéréo. Et les musiques dans tout ça ? Et bien, à l'image du thème principal : belles, langoureuses, ténébreuses, Yamaoka Akira ayant non pas composé un hymne à la joie mais bel et bien un véritable hymne à la Mort.

La vérité n'est pas nécessairement au bout du chemin.
On pourra vous dire tout et n'importe-quoi sur Silent Hill 4 : The Room, sur ses partis pris, sur sa construction, sur sa durée de vie et j'en passe. Mais ayez bien à l'esprit que si vous avez aimé les trois autres épisodes (surtout le deuxième), vous allez une fois de plus tomber sous le charme. Si The Room cherche bel et bien à faire évoluer le matériau de base, le scénario n'en est pas pour autant oublié, le titre nous donnant constamment le choix d'avancer rapidement où de poser nos valises pour réfléchir à ce que nous venons de voir. Cette optique est si précieuse qu'il serait malvenu de ne voir en ce survival qu'un produit formaté destiné à faire plaisir aux fans. Certes, je suis le premier ravi à chaque annonce d'un nouveau Silent Hill mais il faut aussi voir que la série se dote à chaque fois (à des degrés différents) d'un scénario minutieux, de découvertes graphiques maladives et d'une impression de ne plus exister une fois qu'on a le pad en main.
Logan, le 22 septembre 2004
Graphismes 16/20
|
Les décors de Silent Hill 4 renvoient à ceux des précédents opus, mais une fois encore, le titre se dote d'une qualité graphique surprenante, les effets spéciaux (comme une simple brume) contribuant à instaurer une ambiance délectable. Les visages des personnages sont toujours aussi étonnants de réalisme et seules leurs démarches manquent de finesse. |
Jouabilité 15/20
|
Le système de combat et d'inventaire a complètement été revu et s'il amène une plus grande souplesse, quelques petits problèmes sont à surmonter, comme le fait de devoir faire de constants allers-retours pour ranger les objets en trop dans une malle se trouvant dans le monde réel. Enfin, on notera que vous disposez désormais automatiquement d'une carte du niveau où vous vous trouvez. Ceci est d'ailleurs représentatif de l'orientation du jeu : plus simple d'accès au niveau des énigmes, plus orienté action mais proposant en contre partie un suivi beaucoup plus intense de l'histoire. Un mélange qui peut s'avérer dommageable de prime abord mais qui se révèle finalement bien pensé à de multiples égards. |
Durée de vie 13/20
|
Le jeu est bien plus simple que les autres épisodes de part des énigmes qui se veulent un peu trop proches de celles d'un Resident Evil. Vraiment dommage, mais paradoxalement il vous faudra un peu plus de temps pour boucler l'aventure, le jeu étant construit en deux parties, si je puis dire, avec un retour forcé dans les environnements déjà visités. Mais attention, car cette "deuxième" partie n'est absolument pas un défaut qu'on pourra mettre en avant pour descendre le jeu ! Citez-moi un survival à la bonne durée de vie qui ne joue pas sur de multiples allers-retours ?! |
Bande son 17/20
|
Les bruitages d'ambiance (bruits des monstres, cris, sons de portes, etc.) font partie des meilleurs qu'il m'ait été donné d'entendre. Le doublage anglais est très réussi et soutient brillamment la psychologie des protagonistes et les musiques sont mystérieuses, angoissantes, belles et délicates. Que demandez de plus ? |
Scénario 15/20
|
Rattaché à celui de Silent Hill 2 par le truchement du retour de Walter Sullivan, Silent Hill 4 : The Room se veut très intéressant. La mise en scène est précise et distille une pléthore d'indices pour vous retourner les méninges mais il est dommage que le scénario se tasse arrivé au dernier quart du jeu. Malgré celà, la lecture du jeu se rapproche de celle d'un livre de Douglas Clegg ou de Ramsey Campbell. |
Note Générale 16/20
|
Le scénario instaure malaise et surprises macabres même si la fin du jeu est assez décevante. Certains joueurs aimeront le surplus d'action, d'autres non, et si je fais partie de la seconde catégorie, je confirme que cet aspect ne nuit pas vraiment à l'éclosion d'une histoire intéressante qui, bien que moins développée que celle de Silent Hill 2, demeure envoutante. La construction du jeu est perfectible mais apporte une durée de vie un peu plus conséquente et la maniabilité a été revue et ne souffre pas de gros défauts. The Room clôt donc la série d'une bien belle façon et si vous entendez quelques esprits malins hurler contre la perle noire de Konami, ne reculez pas, prenez votre courage à deux mains, préparez-vous à façonner la réalité à votre convenance et rentrez de plain-pied dans une obscurité si... reposante. |
L'avis de Lestat 1975 :
Tiens j'ai sauter le 3é épisode.....c'est pas que j'avais pas envie d'y jouer, c'est que Silent Hill 3 n'est sortie que sur PS2 et que je ne possède pas cette console. Mais revenons a nos moutons, voici donc Silent hill 4 the room.....je doit dire que j'ai eu beaucoup de mal a rentrer dans l'histoire et qu'on est loin de l'univers des précèdent Silent hill. Si graphiquement le jeu est très réussi on ne peut pas en dire autant de l'ambiance. Au bout de seulement quelques minutes on ce retrouve en face d'un jeu plus tourner vers l'action que vers le survival horror pur et dur qui vous fait faire dans la culotte. En effet c'est la que le bas blésse, le titre est assez difficile au début et les ennemis vous arrivent dessus assez souvent et vous passez votre temps a leurs donnés des coups, des fois pendant un temps allucinant avant qu'ils crèvent. La vous vous dites que vous vous êtes fait avoir et que Konami n'a sortie ce titre que pour exploité le succés des 3 premiers titres. Non vraiment j'ai pas compris pourquoi le jeu était autant tourner vers l'action......Alors il ne me rester plus qu'une chose a faire .....j'ai arreter d'y jouer tellement la déception était grande.....je n'est repris le jeu que plus d'un an après...et la j'ai compris au fil des heures qu'en fait l'action du début ne duré que quelques temps et qu'ensuite le jeu se tourner plus vers ce qui a fait le succés des précèdents titres .....l'ambiance. En effet je crois que je n'ai pas insister assez et que si j'avais jouer rien qu'une demi heure de plus la première fois, bé je saurais aller jusqu'au bout. C'est vrai que nous sommes loin du deuxième épisode et le fait qu'une bonne partie du jeu ce déroule dans la chambre d'hotel du héros (il n'arrive pas a sortir de cette chambre exepter par un trou qui s'est former dans la salle de bain....et la il se retrouve dans l'autre monde) est assez déroutante surtout que de ce coté vous aurez droit a la vue genre FPS.....et que vous aurez beaucoup de mal a ne pas vous coincez dans le décor, genre chaises, tables ect.....pourtant cette chambre d'hotel est pour vous le seul moyen de souffler un peu et de sauvegarder, de s'éloigné de ce monde obscur. Elle est la bien venu .......jusqu'a ce qu'elle devienne elle aussi le pied à terre de créatures qui vous verez arrivé par les mûrs (wouah la trouille), vous n'étes plus du tout en sécurité.....nulle part. Il y a quand même de l'originalité dans ce 4é opus mais on a vraiment du mal a s'attacher au personnage principal (qui n'a rien a voir avec James Sunderland du 2é Silent Hill). Malgré tout en y jouant on reconnais quand même que le jeu porte bien son nom .....il sent le Silent Hill , il a le gout du Silent Hill, il resemble au Silent Hill ........bé c'est du Silent Hill, malgré qu'il soit bien en dessous des autres on reconnais quand même la marque de fabrique de Konami. Cela dit j'ai quand même fini le titre et il m'a bien plu, surtout parce j'aime ce genre de jeu et que je trouve qu'il n'y en a pas assez..... Voila en attendant de jouer (prochainement j'éspere) au 3é Silent hill, je poste mon avis.
Ma note ? 16/20
| |
|
|
|
|
|
|
|
Buffy Contre Les Vampires
31/05/2007 16:40
Source : jeuxvidéo.com
Buffy Contre Les Vampires 
Sortie : Le 12 septembre 2002
La Tueuse la plus célèbre du petit écran a eu l'excellente idée de venir massacrer du vampire sur Xbox. Que ceux qui craignent l'adaptation facile d'un nom connu se rassurent, Buffy The Vampire Slayer est une véritable petite bombe de fun qui ne trahit pas la série. D'ailleurs le jeu est comme cette dernière : c'est fun et ça prend pas la tête. Une valeur sûre pour une console qui en manque ces temps-ci.
Alors, là, je dois dire que j'en reste bouche bée, d'ailleurs ... ... ... . Je ne m'attendais franchement pas à une adaptation aussi réussie, pour dire vrai, je redoutais un peu le jeu facile qui se vend plus grâce à son nom qu'à son gameplay. C'était sans compter sur EA et surtout sur le studio The Collective qui nous livrent finalement un beat'em All particulièrement jouissif. Buffy, à moins que vous ne viviez au fin fond d'un terrier Sibérien, vous devez au moins déjà avoir entendu parler d'elle. Peut-être même êtes-vous des fans. En tout cas, que vous soyiez dans un cas ou dans l'autre, vous serez content. Les incultes « buffyens » auront le loisirs de se mettre au goût du jour en découvrant l'histoire de la donzelle en début de jeu pendant que les acharnés jubileront en retrouvant leurs héros favoris : Giles, Xander, Willow, Cordellia, Spike, Angel et.... le Maître. Signalons d'ailleurs que tous les acteurs ont prété leur voix au jeu... sauf Sarah Michelle Gellar, sans doute trop occupée avec le tournage de Scooby Doo. Chacun ses priorités, moi ce que j'en dis.

Attention, ça va piquer un peu.
Mais laissez-moi vous parler du jeu. Ah ! Laissez-moi parler je vous dis ! Nous voilà donc en présence d'un Beat'em All des familles agrémenté d'un côté plate-forme/exploration (light) à la Tomb Raider. Alors bien sûr, le plus marrant, c'est la castagne. Si vous connaissez la série et bien, c'est simple, on retrouve toute la panoplie de coup et d'armes de la Buffy en chair. Vous disposez d'une tripotée impressionnante de combos et de coups spéciaux particulièrement nerveux et, au demeurant, aisés à sortir. Pour effectuer les coups les plus efficaces, les « Slayer Moves », il vous faudra accumuler un peu de « Slayer Power » en dessoudant deux trois démons. A tout cela s'ajoute evidemment LE truc qu'on adore tous : le pieu. Enfin, le pieu ou le manche à balai, la queue de billard, l'arbalète, l'eau bénite, le barreau de chaise qu'on a soi-même cassé, etc. En pratique, voilà comment les choses se passent : vous bastonnez un vampire à grands coups de lattes de tueuse, et dès qu'il est sonné, PAF, un coup de pieu et on n'en parle plus. Mais en voilà un derrière vous ! Hop un transperçage de coeur en aveugle ! Yes ! Et summum, vous pouvez aussi envoyer la bête sur une poutre, sur un train en pleine course... rhââ !

Giles vous file un ou deux tuyaux.
La progression dans le jeu se fera comme je vous le disais à la manière d'un Tomb Raider. On passe donc son temps à chercher des clefs, à réparer des générateurs ou à résoudre des énigmes à la portée du premier bigorneau venu (pour peu qu'il ait des doigts pour tenir le pad). C'est pas spécialemnt original, mais comme l'action est constante, on se lasse pas et finalement, on va chercher tout ce qu'on nous demande avec une grande joie, puisque ça veut dire qu'on va pouvoir castagner du revenant.
Un bon gameplay c'est déjà bien, mais si en plus on nous gratifie d'une réalisation soignée alors moi je ne me contrôle plus. Non seulement vous retrouverez les lieux les plus huppés de Sunnydale (cimetierre, lycée, bibliothèque, le Bronze etc.) mais en plus c'est esthétiquement très réussi. Attention toutefois à l'éclairage, le jeu est sombre donc évitez de jouer avec un halogène à côté de la télé. Mais le top reste l'animation des persos, essentiellement au niveau des combats. Les enchaînements ont vraiment la pêche et les combos font preuve d'une certaine classe, quand au plantage de pieu il respecte à merveille le mouvement original de Buffy. Un régal. La bande-son suit elle aussi cette ligne de conduite qui mène vers la qualité. On retrouvera des dialogues en provenance directe d'une épisode de Buffy, et l'héroîne ne se privera pas de balancer quelques vannes en cours de jeu. Quant aux musiques elles collent parfaitement à l'action. Bon allez, je vous signale quand même la présence de deux ou trois bugs de rien du tout et quelques ralentissements assez peu gènants.

Cette vampirette est assez coriace.
Pour conclure, je dirais tout simplement que Buffy the Vampire Slayer n'est certainement pas le jeu le plus surprenant de l'année, mais qu'il reste un Beat'em All étonnement scotchant et pourvu d'une réalisation des plus soignées. On s'éclate vraiment comme un malde à trucider tous ces vampires à grand coup de lattes et de pieu dans le coeur, à enchaîner les mouvements avec classe. Que l'on soit fan ou pas de la série, peu importe, il semble évident que le jeu fera bien marer tout le monde. Ah, un petit regret tout de même, le système de sauvegarde en fin de mission qui oblige à se retaper tout le niveau si on meurt, faut arrêter avec ça, c'est gonflant.
Dinowan, le 11 septembre 2002
Graphismes 16/20
|
Bravo pour les animations lors des combats. Les enchaînements sont fluides, rapides et en plus ils ont de la gueule. Chapeau. Les décors, bien que parfois un peu sombres ne sont pas en reste et se montrent plutôt vastes. La modélisation des persos plaîra aux fans qui reconnaîtront facilement leurs héros. |
Jouabilité 17/20
|
Le gameplay paraît simple, mais les combos sont nombreux, les armes variées. La maniabilité est véritablement excellente et tout ça sort sans embrouille. En clair, c'est du pur concentré de plaisir, ni trop simple ou simpliste, ni trop prise de tête. J'en redemande. |
Durée de vie 15/20
|
Le jeu n'est pas toujours évident, certains passages demandent plusieurs essais, mais la diificulté n'est pas insurmontable. Le jeu est en tout cas assez long et le gameplay suffisamment exaltant pour qu'on ne lâche pas le jeu facilement. |
Bande son 16/20
|
Des répliques dignes de la série et les voix des acteurs originaux (sauf Buffy, snif), c'est déjà un bon point. Les musiques suivent parfaitement l'action et font preuve d'une qualité certaine. C'est très bon. Certains speechs ont toutefois tendances à se montrer un peu top récurrents. |
Scénario 13/20
|
Peut-être un des points faibles du jeu. Le scénario est dans la veine de ce qu'écrit mister Whedon mais semble, d'après de grands experts buffyphiles, être un poil en deça de ce à quoi l'on a droit dans la série. Il faut bien avouer que c'est pas du grand art. |
Note Générale 16/20
|
En voilà un jeu qu'il est drôlement bien. Un bon Beat'em All avec un gameplay qui ne lasse pas et qui sait se montrer efficace et varié, vous pouvez me croire, c'est particulièrement jouissif. Le jeu vaut le coup juste pour le plaisir de planter un pieu dans le coeur d'un vampire qui vous suit de trop près. A n'en pas douter, un titre qui se doit figurer dans la ludothèque des xboxfans qui commencent à manquer de carburants pour leur machine. |
L'avis de Lestat 1975 :
Bonne surprise. Je ne suis pas du tout a la base un fan de la serie de M6, a vrai dire je trouve ça un peu débile (encore une fois c'est mon avis personnel). Alors je me demande encore comment j'ai pu être amener à acheter ce titre ......Peut-être par rapport au test du XBOXmagazine. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu du tout. J'aime bien être surpris comme ça (un peu comme avec Munch Odyssé). Donc vous incarner Buffy la tueuse de Vampire plutôt bien réussi graphiquement, comme l'ensemble du titre d'ailleur. Buffy ce bat super bien et avec plein de trucs sympa qui traine des fois n'importe ou autour de vous ( tout est bon pour achever les créatures....dans le coeur de préférence) L'ambiance est super et on se régale a taper sur les Vampires (les pauvres). Franchement on se régale, on retrouve bien sur tout les protagonistes de la serie (Angel compris)....Cool pour les fans (personnellement moi j'm'en tape). Puis voila quoi aller y sans retenue ce jeu est une très bonne surprise.
Ma note ? 17/20
| |
|
|
|
|