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BLOG DU FANTASTIQUE
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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 651 articles publiés
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
    Origine : Quelque part entre ici et ailleurs.....
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    The Man Behind Glass (S2-03)

    Harold Smith

    Ronette est très agitée : elle a été attaquée pendant la nuit mais est saine et sauve. Elle a été droguée et Cooper retrouve la lettre B sous son ongle.
    Cooper parle à Truman et Albert de la visite du Géant.
    Donna rencontre Harold Smith, un jeune homme étrange qui est incapable de sortir de chez lui. Il lui donne une orchidée à déposer sur la tombe de Laura.
    Albert apprend à Cooper que la lettre B retrouvée sur Ronette provient d'un numéro de Fleshworld, que la drogue trouvée dans la moto de James est la même que celle découverte chez Léo et que l'individu qui a tiré sur Cooper a utilisé un Walter PPK. James est relâché.
    Lucy déjeune avec un certain Richard Tremayne, qui travaille au grand magasin Horne.
    Leland parle au shériff de l'homme qui habitait près de ses grands-parents, qui récitait un poême parlant de jouer avec le feu. Il s'agit d'un certain Robertson.

    Leland Palmer

    Donna remarque que James et Maddy sont de plus en plus proches.
    Philipp Gerard vient vendre des chaussures au poste de police. Quand il voit le portrait de Bob, il est pris de panique et se rend aux toilettes où il prend de la drogue en évoquant le nom de Bob.
    Shelly refuse de témoigner contre Léo, Cooper, sentant une arnaque à l'assurance, la laisse partir.
    Cooper rencontre Ben Horne au Grand Nord et le questionne au sujet de la disparition d'Audrey, Ben Horne laisse sous-entendre que l'intérêt de Cooper pour Audrey dépasse le niveau professionnel.
    Blackie et Battis filment une vidéo d'Audrey. Celle-ci a été droguée par Blackie.
    Jean Renault et Nancy, la soeur de Blackie, arrivent au Jack n'a qu'un oeil, pour s'occuper d'Audrey. Blackie veut se venger de Ben Horne en utilisant Audrey et Jean Renault veut se venger de Cooper, responsable, selon lui, de la mort de ses frères.

    Le manchot

    Truman parle du manchot à Cooper. Cooper se rappelle que dans son rève, le manchot connaissait Bob. Il se rend aux toilettes et y découvre la seringue laissée par le manchot, c'est la réponse à la troisième énigme du Géant, "Without chemicals, he points".
    Nadine Hurley sort du coma en brisant ses sangles : elle pense avoir 18 ans et est dotée d'une force phénoménale.

    Nadine Hurley

    Sous hypnose, le docteur Jacoby revit le meurtre de Jacques Renault, se rappelle d'une odeur d'huile brulée et identifie l'assassin.
    Donna dépose l'orchidée sur la tombe de Laura puis surprend James et Maddy ensemble chez les Palmer.
    L'assassin de Jacques Renault est arrêté par Truman et Cooper.
    Donna se réfugie chez Harold Smith. Elle découvre chez lui le journal secret de Laura Palmer.

    Donna Hayward






    Une adoption réalisée grâce à la planche Ouija

    20/06/2007 00:24

    Une adoption réalisée grâce à la planche Ouija


    Au début du siècle, à Saint Louis, la planche ouija de Mme John H. Curran, qui était médium, se mit à former une à une les lettres d'un message en anglais archaïque. L'esprit de Patience Worth, jeune puritaine morte 300 ans plus tôt, se présenta. Elle dit qu'elle avait toujours souhaité écrire des livres et être mère, mais qu'elle n'avait pu le faire.

    A l'aide de la planche à ouija, Mme Curran écrivit quatre romans de Patience Worth. Patience Worth était résolue à faire adopter par Mme Curran une petite fille rousse aux yeux bleus. Finalement les Curran trouvèrent une jeune veuve sur le point de mettre un enfant au monde qui accepta que son bébé soit adopté par eux si elle mourait en couches. La petite fille - rousse aux yeux bleus - naquit et la jeune veuve mourut. Patience Worth eu son enfant qui reçut le nom de Patience Worth Wee Curran.

    Mme Curran mourut en 1938 et Patience Worth ne s'exprima plus jamais. Mais, cinq ans plus tard, mystérieusement, la petite Patience Worth Wee mourut d'un malaise cardiaque apparemment sans gravité.

    Patience Worth avait-elle réclamé celle qui lui appartenait ?








    Coïncidence troublante par Lestat1975

    20/06/2007 00:47

    Coïncidence troublante par Lestat1975


    Je vous parler il y à quelques temps de coïncidence et de l'anniversaire de mon petit frère et de son cadeau, le livre "Amityville, la maison du diable" .

    Cela m'à rapeller après coup d'une concïdence qui celle la n'à rien a voir avec ce livre mais qui est beaucoup plus étonnante.
    Cela ce passer pendant l'été 1986, j'allais avoir 11 ans, je devais partir en Belgique, à Bruxelles pour être plus précis, avec mon oncle et ma tante qui vivaient là-bas depuis longtemps. Ils devaient descendrent dans le sud de la France (Gard) pour voir de la famille, notamment ma mère (la soeur de mon oncle), ainsi qu'une partie de la famille de ma tante et en profiter pour me ramener avec eux a leur retour en Belgique. J'était heureux de partir là-bas retrouver mes cousins, que je n'avais malheureusement pas souvent l'occasion de voir. Mais avant d'aller à Bruxelles nous devions nous arreter quelques jours chez des amis à eux aux alentours de Paris. Ces personnes étaient très gentilles et ils avaient en plus des enfants, donc je pouvais m'amuser, c'était cool (D'ailleurs je m'en souvient très bien malgré les vingt années qui se sont écoulées). Un jour, alors que j'étais en train de jouer avec les deux enfants (un garçon et une fille), la fillette ouvrit le tiroir de la table qui était dans sa chambre pour me montrer je ne sais plus trop quoi, et là je tombe sur une photo d'une personne que je connaissais très bien...j'en rester bouche bée comme on dit...troublé et exité je lui dit "je le connais !! c'est CHABERT !!" (Chabert était son nom de famille, les enfants s'appellent souvent par leurs noms de famille, avez-vous remarquez ?) Chabert était un de mes camarades de classe de l'école ou j'ai effectué une partie de ma scolarité dans les années 80, dans un petit village des Cévennes. La fillette était aussi surprise que moi...elle avais l'air de me croire ce qui est assez rassurant. Elle descendit les escaliers en courant pour le dire à sa mère. Celle-ci aussi parut très surprise, elle n'avais plus de contacts avec les parents de Chabert et leurs enfants depuis très longtemps. A notre départ la mère me confis une lettre à remettre au fils Chabert pour ses parents à mon retour de Belgique.

    Cette histoire est assez incroyable je trouve...comment est-ce possible, d'aller dans un endroit inconnu, à des milliers de Kilomètres de chez moi et de trouver dans un tiroir une photo d'une personne que je vois presque tout les jours ??!! Coïncidence ? Ce qui est encore plus bizarre c'est que les parisiens ne connaissaient pas du tout la région ou j'abiter, ni que la famille Chabert vivait là-bas. Et comment connaissaient-ils les Chabert ? Peut-être que les Chabert vivaient près de Paris avant de venir ici, surement car il n'avais pas du tout l'accent cévenol. Enfin bon, cela ne change absolument rien au côté bizaroïde de cette histoire. Et puis je n'est pas penser à leur demander plus de détails sur leur rencontre. (surement que mon côté Agent Mulder n'étais pas encore très développé... LOL) J'ai bien essayer de chercher une explication mais je n'en est jamais trouver.
     






    La femme en gris

    20/06/2007 23:18

    La femme en gris


    Une Anglaise, Miss J.B., relate le cas d'un fantôme aperçu des années avant l'arrivé de la personne.

    " J'étais petite fille et, tout de suite après la guerre de 1914, je vivais dans le Yorkshire avec mes parents, dans une grande et vieille ferme...La cuisine était ma pièce préférée, et j'y passais le plus clair de mon temps à dessiner ou à peindre pendant que notre domestique s'affairait à préparer les repas. Je devais avoir six ans lorsque je vis mon "fantôme". Elle était maigre et pâle, avec de longs cheveux noirs noués en chignon, et se tenait debout près du fourneau, parlant dans une langue inconnue.

    "Sa robe était grise et usée, et ses souliers en mauvais état, mais elle avait une allure distinguée. Quand je parlai à ma mère ey à la servante de la "dame en gris" , elles parurent étonnées, et je pense qu'elles ont cru que je rêvais tout éveillée."

    Miss J.B., revit l'apparition, qui pleurait toujours, une année plus tard, et par la suite neuf ou dix fois au cours des années suivantes. "Je ne sais pourquoi, je ne lui ai jamais parlé ; j'avais l'impression qu'elle avait besoin de sympathie, mais que j'étais incapable de l'aider. J'étais alors certaine que c'était un fantôme, mais je n'en avais pas peur. Je pris l'habitude de quitter la cuisine et de la laisser à sa misère."

    Miss J.B. à l'âge de 15 ans alla ensuite vivre chez un oncle en Irlande, chez qui elle demeura pendant tout la guerre de 1939-1945. Elle revint dans le Yorkshire en 1945.

    "De Leeds, ma mère m'amena en voiture dans la vieille maison ; elle m'expliqua que, celle-ci étant trop grande pour elle depuis le décès de mon père, elle hébergeait une famille de réfugiés polonais - la mère et ses deux petites filles. Le père, dit-elle, avait disparu au cours de l'occupation allemande, et la mère était encore accablée de cette perte. Lorsque j'entrai dans la cuisine, je reconnus - à mon grand étonnement - la "dame en gris" de ma jeunesse, debout près du fourneau et qui pleurait.

    "Deux petites filles étaient debout près d'elle, pendues à ses jupes ; à part cela, elle était exactement comme je me la rappelais. Elle essuya ses yeux lorsque nous entrâmes et se força à sourire." Quand elle connut mieux cette femme, Miss J.B tenta de lui parler de sa vision ; mais l'invitée connaissait à peine l'anglais et elle ne put se faire comprendre. "Cependant, comme il me semblait la connaître depuis longtemps, je pense que je fus plus à même de la réconforter et de la rassurer à son arrivée dans son nouveau pays."

    Miss J.B pense que la vision qu'elle eut étant enfant n'avais pas été transmise par la Polonaise, dont les malheurs n'arrivèrent que des années après son apparition, "mais par une intelligence bienveillante - Dieu ou le Ciel, comme vous voudrez - , laquelle, sachant ce qui devait arriver, voulait me mettre en sympathie par avance".

    Si tel n'était pas le cas, et si la vision n'était pas le fruit de l'immagination de l'enfant, vision qui ressemblait trait pour trait à la Polomnaise, nous serions conduits à penser qu'il y a un autre temps, coexistant avec le temps que nous connaissons, et qu'un moment de l'avenir s'est superposé d'une façon visible à un moment du présent, comme l'a expérimenté la jeune fille. La théorie des systhémes de temps différents est un sujet très complexe et difficile, qui n'entre pas dans le cadre de cet ouvrage. Mais parfois, il se produit une affaire de fantôme - comme celle de la Polonaise - donnant fortement à penser que l'on peut voir l'avenir






    La grand-mère...

    20/06/2007 23:43

    La grand-mère...


    Le fantôme vu par Mrs. Ashimi lui est apparu dans un rêve, ce qui frappe moins qu'un hallucination éveillée.

    Née dans une petite ville du Nigéria, dans une famille riche, Mrs.Ashimi fut envoyée toute jeune en Europe, et élevée par des religieuses catholiques. Elle poursuivit ses études à Londres, devint juriste, et revint en 1968 au Nigéria pour voir sa mére, devenue veuve, et ses frères.

    Un matin, Mrs.Ashimi dit à sa famille qu'elle avait eu un rêve très net. Elle avait vu une vieille femme souriante qui, elle en était certaine, était sa grand-mère maternelle - bien qu'elle ne l'ait pas connue. Celle-ci tenait dans sa main un crucifix d'or avec une perle au centre, attaché à une mince chaîne d'or. "Ma grand-mère me fit signe de la suivre, et sortit dans le jardin ou elle me montra un certain arbre. Elle frappa de son pied le sol, près du tronc de l'arbre, et me dit : "C'est ici, pour vous." Puis elle disparut."

    A la description de la vieille femme, la mère de Mrs Ashimi fut très émue. C'était certainement sa mèe, dit-elle. Bien plus, la chaîne et le crucifix ressemblaient exactement à ceux que la morte avait portés, et qui avaient disparu peu avant son décés. Toute la famille alla dans le jardin, près de l'arbre qu'avait montré la femme dans le rêve, tandis que Mrs. Ashimi se mettait à creuser le sol. A quelques centimètres de profondeur, elle trouva la croix et la chaine.

    Mrs. Ashimi revint à Londres avec son mari, juriste également, et ils ouvrirent un cabinet juridique. En 1972, alors qu'elle attendait la naissance d'un bébé dans un hôpital londonien, elle raconta à une amie l'histoire de la croix qu'elle portait au cou. Elle dit aussi à cette amie qu'elle était inquiète au sujet de l'enfant, car sa grand-mère lui était de nouveau apparue en rêve, mais cette fois la vieille dame ne souriait pas ; elle avait un visage triste.

    Mrs. Ashimi avait 27 ans et sa santé était excellente. Elle donna le jour à un beau petit garçon ; mais celui-ci mourut subitement quelque temps après sa naissance.






    Le carrosse fantôme

    21/06/2007 00:04

    Le carrosse fantôme


    Une nuit d'août 1878, le major W. prenait l'air sur le perron de sa maison, dans un coin isolé d'Ecosse. Il vit un carrosse à deux chevaux avec deux hommes sur le siége du cocher. La voiture passa sur la pelouse et se dirigea vers un torrent. Puis elle tourna brusquement et revint.

    Pendant ce temps, le fils du major avait rejoint son père avec une lanterne, grâce à laquelle il put entrevoir l'occupant de la voiture. C'était probablement une femme, à l'air dur, drapée de blanc de la tête aux pieds. Ni cette personne ni le cocher ou son compagnon ne semblèrent les voir. Le major ne reconnut pas ses visiteurs, ni leur carrosse, ce qui l'étonna parce qu'il connaissait tout le voisinage. La voiture s'éloigna comme elle était venue.

    Le lendemain, le major interrogea des gens, mais personne n'avait vu ou entendu le carrosse mystérieux - personne sauf lui, son fils ainsi que sa femme et sa fille qui avaient regardé par la fenêtre en entendant ses appels. Ils examinèrent le sol à l'endroit ou le carrosse était passé; bien que mou et humide, le terrain ne conservait aucune trace de roues ou de fers de chevaux






    Ou est passé la maison ?

    21/06/2007 00:29

    Ou est passé la maison ?


    Il est également très difficile d'expliquer ce qu'a vu Miss Wynne, se promenant par un après-midi de l'automne 1926. A cette époque, elle venait d'emménager dans un village de Suffolk, en Angleterre, et elle se promenait souvent l'après-midi pour connaître les environs. Accompagnée de Miss Allington, elle avait pris à travers champs pour aller visiter l'église de Bradfield St Georges, le village voisin. Voici son récit, pau dans "Apparitions and Haunted Houses" :

    "Pour arriver à l'église, que nous voyions très bien devant nous, nous traversâmes une cour de ferme d'ou nous débouchâmes sur une route. Nous faisions ce trajet pour la première fois, et ne savions rien de la topographie du hameau de Bradfield St Georges. Juste en face de nous, de l'autre côté de la route et la longeant, nous vîmes un haut mur de briques jaune-verdâtre. La route s'étendait devant nous sur quelques mètres, puis tournait à gauche et disparaissait. Nous la prîmes et suivîmes le mur de brique le long du virage, et arrivâmes à la hauteur d'un grand portail de fer qui ouvrait dans ce mur. Je crois que les battants en étaient fermés, à moins que l'un d'eux ne fût ouvert. Puis le mur continuait après le portail, et disparaissait dans le virage. Derrière le mur, et le surmontant, se trouvait un bouquet de grands arbres. Du portail, un chemin conduisait, en passant à travers ce bouquet d'arbres, à une maison paraissant fort grande dont nous ne voyions qu'un coin du toit au-dessus d'une façade décorée de stuc, et je remarquai des fenêtres de style George III. Le reste de la maison était caché."

    Ce n'est que quatre ou cinq mois plus tard que les deux dames refirent cette promenade. "Nous traversâmes la cour de ferme, comme la fois précédente ; en arrivant sur la route, nous nous arrêtâmes toutes les deux d'un même mouvement, le souffle coupé. "Ou est le mur ?" dîmes-nous  en même temps. Il n'était plus là. La route n'était bordée que par un fossé, au-delà duquel on voyait une étendue de terre inculte, parsemée de monticules, ou poussaient des herbes folles et les arbres que nous avions vus lors de notre première promenade. Nous avançâmes sur la route ; mais, dans le tournant, il n'y avait ni portail, ni chemin, ni coin de maison à entrevoir. Nous étions très intriguées. Notre première pensée fut que le mur et la maison avaient été démolis depuis notre passage ; mais, en regardant de plus près, nous vîmes un étang et de petites mares là ou se dressait auparavant la maison. Il était évident qu'ils étaient là depuis longtemps."

    A leurs questions, il fut répondu que personne de la région n'avait connaissance de cette maison. Il semble que seules les deux femmes l'aient vue. Si cela avait été une hallucination, elle était de taille. Quelle force psychique l'avait fit naître ? Existait-il dans l'esprit de Miss Wynne ou de Miss Allington le souvenir enseveli d'une telle maison dans un tel endroit - un souvenir que l'une d'elles désirait inconsciemment rendre tangible, et qu'elle fut capable non seulement de visualiser, mais de projeter, de sorte que sa compagne le vît aussi ? Ou bien, si l'on envisage une possibilié encore plus étonnante, ont-elles été en quelque sorte transportées dans le temps, antérieur ou postérieur, et leur vie a-t-elle coïncidé avec une époque ou la maison existait réellement ?

    Il est clair qu'une apparition comme celle-là, vue par deux personnes en plein jour, soulève des questions concernant la nature de l'être humain et la nature du monde visible.






    Les hommes qui virent l'abominable homme des neiges

    21/06/2007 00:45

    Les hommes qui virent l'abominable homme des neiges


    Au cours de la décennie qui suivit la Seconde Guerre mondiale, Slavomir Rawicz, un réfugié polonais vivant en Angleterre, raconta ses aventures dans "La longue marche". Dans son livre, il prétend qu'avec six camarades il s'est échappé d'un camp de prisonniers en Sibérie et a parcouru à pied 3000 Kilomètres pour retrouver la liberté. Pendant cette marche épuisante vers l'Inde ils traversèrent l'Himalaya. C'est là qu'un jour de mai 1942, ils virent, dit-il, deux Yétis massifs.

    "Ils mesuraient presque 2,40 mètres et se tenaient debout, écrivait Rawicz. Leur tête était carrée, les épaules tombant franchement sur une large poitrine et de longs bras dont les poignets arrivaient aux genoux." L'un était légèrement plus grand que l'autre ; Rawicz et ses camarades en déduisirent qu'il y avait un mâle et une femelle. Les créatures inconnues regardèrent les hommes mais parurent complètement indifférentes. Malheureusement pour les rescapés, ils étaient au milieu du chemin le plus naturel pour continuer la descente et les hommes répugnaient à s'approcher beaucoup plus près en dépit du manque apparent d'intérêt des yétis. Finalement les rescapés partirent dans une autre direction.

    Derrière eux, les yétis observèrent leur retraite avec un désintérêt évident puis se détournèrent pour regarder le magnifique paysage.






    L'Ovni et les Vampires F-5B

    21/06/2007 00:51

    L'Ovni et les Vampires F-5B


    Le premier cas insolite français qui implique des pilotes militaires français et un MOC (mytérieux objet céleste, terme par lequel sont désignés officiellement les ovnis à l'époque) date de 1951.

    Le 15 juin de cette année, à 23h23, trois chasseurs Vampire F-5B décollent de la base aérienne 155 d'Orange-Caritat (Vaucluse). Sont aux commandes le sergent-chef Irénée Prio, le sergent-chef Barbou et le lieutenant Raymond Galibert. Peu après le décollage, Barbou annonce qu'il a un problème avec son train d'atterrisage qui refuse de rentrer. Il réduit la vitesse, laisse ses deux coéquipiers le dépasser et retourne se poser à la base.

    Soudain, le sergent-chef Prio signale qu'un objet brillant vient d'apparaître un peu plus haut sur sa gauche. Il le  perd de vue quelques secondes, le temps de négocier un virage, puis l'aperçoit de nouveau. Il prévient son chef de patrouille. Le lieutenant Galibert, qui aperçoit aussi l'objet, pense qu'il est stationnaire. Rond, de couleur argentée, très brillant, il ne ressemble pas à un avion. Les deux pilotes décident d'aller à sa rencontre. A ce moment, l'objet se met en mouvement, bascule légèrement et prend une forme oblongue. A pleine puissance, les jets tentent pendant quelques instants de le ratrapper.

    En vain. L'objet s'éloigne en augmentant graduellement sa vitesse.






    L'ovni et le Mirage

    21/06/2007 00:57

    L'ovni et le Mirage


    ...Le 7 mars 1977 (vers 21 heures - N.D.A.), l'équipage d'un Mirage IV (bombardier de frappe nucléaire - N.D.A.) de la base aérienne 116 de Luxeuil (Haute-Saône), a constaté la présence d'une source lumineuse très intense alors qu'il était en vol à haute altitude sur un axe Dijon-Chaumont.

    Le Mirage IV appartient à l'escadron de bombardement (EB) 3/94 de la base de Luxeuil. Il est piloté par le commandant Giraud, René. Le navigateur est le capitaine Abraham, Jean-Paul, tous deux de la base de Luxeuil.
    Au sol, cet appareil est pris en compte par le sergent-chef Palissot, Michel, du CDC 05/902 à Contrexéville (Vosges). Le sergent-chef Palissot suit l'appareil au scope radar.

    Ce jour, 7 mars 1977 à 20h27 heure locale, alors qu'il vole à une altitude de 32 000 pieds, l'équipage aperçoit, à plusieurs reprises, une lueur de la puissance d'un flash dans ses "trois heures" . Cette lueur se trouve à la même altitude que le Mirage IV et se dirige sur ce dernier. L'appareil vole sur un axe en direction du nord nord-est. La lueur arrive sur la droite, venant du sud-est.

    Croyant qu'il s'agit d'un autre avion qui fait une "passe de tir" sur lui, le pilote prend contact radio avec le contrôleur au sol pour identification. Le contrôleur répond au pilote qu'il est seul dans le secteur et que, sur le scope radar, il n'y a rien qui corresponde à ses dires.
    Voyant cette lueur, d'un diamètre apparent à cinq fois vénus, arriver sur l'appareil, le pilote a obliqué vers la droite puis la trajectoire de la lueur a disparu sur sa gauche en direction de l'ouest.

    Quelques minutes plus tard, le même phénomène s'est reproduit (c'est moi qui souligne), toujours sur le côté droit de l'avion qui avait repris son cap nord-est. Après accord avec le contrôle au sol, le commandant de bord a viré à 360° par la droite (prenant 6 G ! N.D.A.) et a constaté qu'il était suivi par la lueur pendant quelques instants. Cette lueur a disparu vers l'ouest après quelques instants.

    Autant dire que les deux hommes à bord du Mirage IV se rappelleront toute leur vie cette "rencontre". Sur le moment, le commandant Giraud aura la présence d'ésprit de vérifier son branchement d'oxygène, au cas ou...Pour lui (et pour son navigateur), ce à quoi ils furent confrontés cette nuit-là n'était ni un avion ni un missile (ils devinent derrière la lumière une masse bien plus imposante que leur Mirage). Que l'"objet" soit repassé par deux fois devant l'avion exclut définitivement l'hypothèse d'un météore.

    René Giraud m'a confirmé par la suite, lorsque je l'auditionnais pour le "Rapport Cometa", qu'il se sentait observé et menacé par l'engin. On peut faire confiance à un pilote de sa trempe...






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