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BLOG DU FANTASTIQUE

VIP-Blog de lestat1975

  • 651 articles publiés
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  • Créé le : 20/04/2007 11:26
    Modifié : 10/05/2008 15:56

    Garçon (32 ans)
    Origine : Quelque part entre ici et ailleurs.....
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    [ J'ai lu ] [ Cinéma d'Horreur ] [ Cinéma Fantastique ] [ Jeux Vidéos ] [ Series Fantastiques ] [ Vie Extraterrestre ] [ Insolite ] [ Esprits & Fantômes ]



    Trop tôt pour la retraite

    Dans la plupart des cas d'esprits frappeurs, l'activité de PK est capricieuse et parfois destructrice. Dans " Ghost Hunting ", Andrew Green décrit des événements survenus dans une boulangerie et apparemment causés par une PK plus "douce".

    Cette boulangerie avait été achetée à une famille de l'endroit, qui l'avait exploitée pendant des générations. Peu de temps après l'arrivée du nouveau patron, sa femme dit qu'elle sentait une présence dans la boulangerie. Puis les portes se mirent à s'ouvrir seules, le matériel à se déplacer et la femme eut l'impression à plusieurs reprises que quelqu'un passait à côté d'elle. Ensuite, son mari et son fils commencèrent eux aussi à ressentir cette présence. Très troublés, ils rendirent visite aux anciens propriétaires, pour tenter d'en savoir plus là-dessus ; mais ces derniers leur affirmèrent que la boulangerie n'était pas hantée, et ne l'avait jamais été du temps ou ils l'exploitaient, eux et leurs ancêtres.

    "Auc cours de notre visite, nous avons remarqué que "le vieux" (un membre âgé de la famille des anciens propriétaires) n'avait presque pas participé à la conversation et paraissait à moitié assoupi la plupart du temps."

    Green raconte que les manifestations continuèrent pendant deux ans environ. "Brusquement, un mardi, l'atmosphère changea radicalement." A partir de ce jour, plus rien ne se prouduisit. Ce mardi, le vieux était mort. Il paraît facile d'en déduire ceci : lorsqu'il eut pris sa retraite, le vieillard n'avait rien d'autre pour occuper son esprit que le souvenir de son travail ancien. Il somnolait à moitié, se remémorant ses anciennes activités quotidiennes : pétrir, couper et former la pâte, la mettre sur les plateaux et l'enfourner. Durant tout le reste de sa vie, son esprit hanta les lieux.

     






    Le grand noir balafré

    22/06/2007 23:13

    Le grand noir balafré


    En 1964, dans une frabrique d'automobiles de Detroit, un monteur de moteurs fut soudain poussé hors du champ d'une presse de carrosserie qui avait été mise en route accidentellement. Cet homme raconta à ses collègues qu'il avait été poussé par un grand noir au visage balafré, vêtu d'une salopette tachée de graisse. Il ne l'avait jamais vu, mais certains, parmi les plus anciens ouvriers, se rappelèrent qu'en 1944 un grand noir avec une balafre sur la joue avait été décapité alors qu'il travaillait dans cette même zone de l'atelier, ou il formait des tôles pour avion. L'enquête révéla que l'homme, tout en étant entraîné au travail des presses, avait tendance à s'endormir en raison d'un excés d'heures supplémentaires.

    Parlant de son sauvetage miraculeux, le monteur de moteurs eut ce commentaire : "Le gas de couleur était un sacré morceau. Il avait une force terrible, et il m'a poussé comme si j'était un poids plume. Je ne croyais pas aux revenants ; mais si c'en était un, je lui tire mon chapeau."

    Il est une explication possible : un des collègues âgés du monteur, le voyant en danger, mais peut-être trop éloigné pour le tirer hors de la zone dangereuse, ou même pour lui crier de prendre garde, eut brusquement une image subconsciente du mort qu'il transmit par télépathie à son camarade. Il est possible de transmettre l'image d'une autre personne, encore que de tels cas soient rares.

    Il faut aussi considérer la forte poussée ressentie. L'hallucination visuelle est parfois accompagnée d'une hallucination de contact ; un grand nombre de cas semblables sont rapportés dans "Phantasms of the living" et dans "Proceedings" publiés par la SPR. Par exemple, un sujet écrit à la personne qui lui est apparue : "...quelqu'un toucha mon épaule si fortement que je me retournai. Je vous vis aussi nettement que si vous aviez été là en chair et en os..." Mais, chose curieuse, on ne connaît pas de cas ou le sujet a pu toucher l'apparition (si l'on exclut les matérialisations supposées des séances de spiritisme). Ou bien celle-ci est hors de portée, ou bien la main du sujet rencontre le vide.

    D'après la théorie de Tyrrell selon laquelle l'apparition, sans être une réalité, reproduit la réalité, nous pouvons admettre comme possible qu'une main de spectre posée sur l'épaule du sujet sera ressentie par celui-ci. Cela provient de l'effort de son subconscient pour créer une apparition paraissant réelle.
     
    Mais, dans le cas de la poussée très forte subie par le monteur de moteurs, cette explication ne suffit pas. Quelqu'un - soit l'homme mort vingt ans auparavant, soit un spectateur vivant - a exercé une force psychokinétique (PK en abrégé).






    Un esprit frappeur tourmente une famille pendant 12 ans

    22/06/2007 23:40

    Un esprit frappeur tourmente une famille pendant 12 ans


    Mrs. Mary Sharman de Leeds ne se débarrassa pas aussi aisément du fantôme qui les tourmenta, elle et sa famille, pendant près de douze ans. Leur calvaire, narré en juin 1974 par le Yorkshire Evening Post, commença en 1962 après qu'ils se furent installés dans une nouvelle maison ou Mary Sharman, séparée de son mari, vécut avec ses six jeunes enfants.

    Une nuit, elle vit la porte des toilettes ouverte. Un instant après, racont-elle, "une tête apparut à cette porte. Puis une femme âgée sortit des toilettes et se planta devant moi. Elle n'avait qu'un oeil ouvert et elle me souriait d'une façon bizarre. Puis elle agita sa canne à mon nez - une canne blanche."

    Le lendemain, Mrs.Sharman parla de ce qu'elle avait vu à des voisins. "C'est la vieille Mrs.Napier", dirent-ils. Cette dame, qui était complétement aveugle, avait vécu dans cette maison avant l'arrivée des Sharman. On l'avait trouvée morte dans les toilettes. Cette première manifestation fut suivie de celles d'un esprit frappeur. La famille constata avec terreur que tout se déplaçait sur les dessus de cheminée, et que les portes s'ouvraient et se fermaient seules. Parfois des bruits de pas s'entendaient dans l'escalier ; parfois, le spectre de Mrs.Napier apparaissait.

    " Les matelas des enfants se soulevaient pendant la nuit, et les couvertures étaient jetée en tas sur le plancher", a raconté Mrs. Sharman à L'Evening Post. " Je pensai devenir folle...Les enfants et moi ne dormions plus dans nos chambres, mais tous dans la même pièce que nous barricadions la nuit avec un buffet et des chaises."

    Mrs.Sharman, qui était catholique, s'en fut trouver le curé de sa paroisse. Celui-ci fit une cérémonie de "bénédiction" - une sorte d'exorcisme en plus court. Il bénit et aspergea d'eau bénite chaque  pièce de la maison. Malgré cela, les troubles continuèrent. C'étaient en général les facéties classiques des esprits frappeurs ; des vêtements jetés dans le hall d'entrée, un rouleau de linoléum trouvé déroulé le matin. Mais un jour il se produisit quelque chose de plus effrayant.

    Les enfants dormaient maintenant tous dans une même chambre du premier étage ; ils avaient l'abitude de chanter ensemble avant de s'endormir. Brusquement, par un hasard étrange, la chanson s'arrêta, un soir que Mrs.Sharman avait la visite de ses frères. Ils se précipitèrent dans la chambre ou ils virent Michael, âgé de douze ans, flottant à environ deux mètres en l'air tandis que les autres enfants le regardaient terrifiés. Michael avait les yeux ouverts, mais il était en état de choc. Un frère de Mrs.Sharman le tira vers le bas et tenta mais en vain, de le réconforter.

    On appela la police et un ambulance qui amena Michael à l'hôpital. Les policiers restèrent quelque temps en surveillance ; mais l'un d'entre eux partit rapidement, disant ne pas pouvoir supporter l'atmosphère étrange qui régnait là. Michael, après avoir été soigné, revint à la maison le lendemain. Mais sa lévitation semble avoir laissé sur lui une marque indélébile. Depuis ce jour, il est affligé d'un bégaiement. Le médecin de la famille demanda l'intervention de trois personnes faisant des recherches en métapsychisme. Celle-ci passèrent trois nuits dans la maison. Leurs conclusions n'ont pas été publiées ; mais il appert que, à leur avis, le mieux qu'avait à faire la famille était de déménager.

    Si l'on considère que les esprits frappeurs sont plus associés aux personnes qu'aux lieux, rien d'étonnant à ce que les ennuis de la famille aient continué ailleurs, avec bruits de pas et matelas enlevés des lits. Quelques temps après apparut un nouveau fantôme, celui de la mère de Mary Sharman qui venait de mourir. Cette apparition ne leur causa pas d'ennuis ; mais les événements qui duraient depuis des années, agissaient sur leurs nerfs. Mrs.Sharman fit venir un autre prêtre qui ne resta que quelques minutes et partit en déclarant : "C'est le mal."

    Quel que soit ce "mal", il semble avoir abandonné sa mainmise sur la famille à la suite d'un nouveau déménagement en 1974. Mrs.Sharman, remariée, a déclaré à l'Evening Post qu'il n'y avait pas eu de manisfestations du genre "esprit frappeur" dans sa nouvelle maison. La diversité des phénomènes subis par la famille Sharman ainsi que les façons variées dont on a essayé de les maîtriser illustrent la complexité du problème des fantômes. Si ce cas avait fait l'objet d'une enquête appronfondie, il se peut que plusieurs explications différentes eussent été nécessaires pour rendre compte de ses divers aspects. La famille pensait que l'esprit frappeur était celui de Mrs.Napier, ce qui semble peu plausible à la plupart des spécialistes.

    La présence de plusieurs enfants à l'âge de la puberté paraît une cause plus vraisemblable ; à l'appui de cette thèse vient le fait que l'esprit frappeur a suivi la famille dans une autre maison, sans relation avec Mrs.Napier. L'apparition de celle-ci et celle de la grand-mère ont pu être engendrées par la famille elle-même. Pourtant il se peut que le fantôme de Mrs.Napier ait été une réalité objective, car celle-ci fut aussitôt identifiée par les voisins d'après la description de Mary Sharman. La terreur du second prêtre, devant quelque chose qu'il indentifiait comme "le mal", fait penser qu'un être surnaturel se serait attaché à la famille ; mais elle peut également suggérer l'idée que de conflits étouffés au sein de la famille ont engendré une force hostile à laquelle le prêtre a été hypersensible. Il est une autre possibilité, c'est que la réaction du prêtre, entièrement subjective, ait été déclenchée par sa peur.

    Lorsqu'il enquête, le chasseur de fantômes doit avoir à l'esprit toutes ces possibilités. S'il est sceptique, il trouvera quantité de faits venant appuyer sa conviction que "tout cela est imaginaire", ou même que les manisfestations des esprits frappeurs sont causées par des tremblements de terre ; mais parfois il tombera sur un cas dans lequel paraîtront jouer d'autres facteurs. De même, l'enquêteur qui a tendance à croire aux esprits trouvera les preuves que parfois certaines personnes créent leurs fantômes ou leurs esprits frappeurs.

    Tout phénomène de hantise est complexe. Dans leur ensemble, les diverses manifestations constatées sont un des mystères les plus troublants dont la science ait jamais essayé, sans grands résultats, de trouver la clef.






    Bad Taste

    23/06/2007 00:36

    Bad Taste


    Réalisé par Peter Jackson
    Avec Peter Jackson, Terry Potter, Pete O'Herne  
    Durée : 1h 30min. Année de production : 1987

    Resumé :

    Une petite ville côtière de Nouvelle-Zélande est le théâtre d'une invasion extraterrestre : les aliens ont effet décidé d'utiliser les habitants comme viande de première qualité pour leur fast-food spatial...

    Critiques spectateurs :

    Joris60 - le 07/10/2006
    Bad Taste, un chef d'oeuvre du Burlesquogore. Un style bien unique, puisque Jacksonnien. Preuve qu'avec peu de budget on peux arriver à un résultat plus que convaincant. A noter, que dans les Bonus du DVD, Peter Jackson nous livre quelques astuces et trucages, utilisés dans ce film, et c'est très intéressant de voir qu'avec très peu d'éléments, peu chers, il parvient à imiter parfaitement des armes à feu, ou autres. Georges Lucas est presque ridicule à côté de ce truqueur qu'est Jackson. Un grand film ! A voir.

     Raidenjeff - le 05/09/2006
    Inutile de rappeler que ce film est tout bonnement un classique, une oeuvre culte mais il faut rappeler que c'est un film AMATEUR. Ce n'est pas parce que PJ a fait le seigneur des anneaux, King Kong qu'il a toujours été pro. Bad Taste, c'est un film entre pote tourné dans un bled paumé avec 0 moyens. Peter jackson aura passé 4ans dans son atelier a tout fabriqué lui-même et sans aucune formation ! armes, accessoires, costumes, masques, maquette de la maison qui explose, trucages, maquillages... TOUT a été conçu par Jackson lui meme avec les moyens de bords (le numérique n'existait pas à l'époque) Je crois qu'on a jamais vu ça dans un film amateur, même encore aujourd'hui et ça force le respect. Je trouve donc inconvenu de voir des incultes dire que ce film est nul. C'est une leçon de film amateur, le témoignage d'un vrai passioné de Cinéma... Je conseille d'ailleur tout le monde de voir le making of "Good Taste Made Bad taste", sans doute le meilleur que j'ai vu. Bien plus qu'un film gore, Bad Taste est une référence cinématographique ou Jackson explose de son talent, avec une mise en scène bouré d'idées et d'inventivité. Qu'on aime ou pas le genre, peu importe, Bad Taste est le résultat d'un travail de pur génie qui vaudrait bien plus que 4étoiles.
     
    salutan - le 27/02/2007
    Premier film d'un jeune énergumène écervelé (c'est étymologiquement le cas de le dire !), "Bad Taste" est pour l'époque révolutionnaire ! Il est à lui seul le chef de file d'un nouveau genre bizarroïde : le comique-gore ! Tourné en 4 ans, avec des moyens rudimentaires, le génial Jackson paufine comme il peut un film à la fois trash, écoeurant, le tout saupoudré d'une ambiance à la "Tex Avery" ! Les acteurs sont tous charismatiques (Craig Smith en tête, selon ma soeurette), et les situations sont bien souvent poilantes (la scène de la falaise, la scène de la soupe extra-terrestre,...). Des trouvailles jouissives de scénario bouclent le gâteau, ainsi qu'un petit morceau de cervelle, en guise de cerise... ;)

    jacot33 - le 27/03/2007
    Mais alors, je l'ai trouvé parfait! Je voulais précisemment que le titre colle au film. J'ai vraiment pas été déçu! Je pense que côté mauvais goût, il peut rivaliser avec les Scary Movie et autre, même si l'idée est toute autre. Là c'est une histoire originale, avec des aliens mal faits, des acteurs et des situations carrément caricaturales, c'est génial. Ne pas s'attendre à un film époustouflant ni rien, c'est le type de film budget ultra serré (ou il en donne l'impression) avec du mauvais gout, de l'humour noir et du gore mal fait. J'ai franchement apprécié. Un modèle de mauvais goût, vraiment!
     
     
    writer83 - le 23/03/2007
    Alors attention, je préviens, ce film est à prendre certaines fois au 100ème degré tellement c'est décalé, mais j'adore ! Dans le genre on ne fait pas plus crade (sauf peut-être Saw III mais là c'est de la boucherie purement conne), et imaginez un peu ce que Jackson, mon maître, fait avec 5000 dollars, hein ? Alors lorsqu'on voit des gars pondre Ghost Rider, qui n'est franchement pas super, avec 150 000 000 $ de budget, on devient dingue ! Bad Taste, est certes très gore et très bête, n'empêche que c'est irresistible, et que ce film est un culte pour toujours !






    Braindead

    23/06/2007 00:48

    Braindead


    Réalisateur : Peter Jackson
    Acteurs : Thimothy Balme, Diana Peñalver, Elizabeth Moody, Ian Watkin, Brenda Kendall, Stuart Devenie...
    Genre : Gore
    Année : 1992
    Titre original : Braindead

    Résumé :

    Par une belle journée du printemps 57, le timide et complexé Lionel découvre l'amour avec la belle Paquita, qu'il emmène au zoo. Mais son envahissante mère l'a suivi, ce qui lui vaut d'être mordue par un rat-singe de Sumatra. La morsure la transforme en monstre cannibale hystérique, et l'épidémie ne tarde pas à se développer...

    Critiques spectateurs :

    Michael-myers   le 17/06/2007
    Malgré un scénario absurde , ce film est un chef-d'oeuvre !
    Du gore, du gore et de l'humour, un exelant mélange, les effets spéciaux gore sont impressionant, le début du film à l'eau de rose avec un coup de foudre entre Pakita et Lionel suivit d'un massacre à la tondeuse , les scenes d'humours sont exelante dont celle du bébé dans le parc ou encore celle du curé qui fait du karaté dans le cimetière .
    Bref, ce film est CULTE ! Un monument du cinéma gore et... de cinéma tout court !

     Cricri666   le 03/06/2007
    Franchement se film est exélent avec ses super scénes gore et délirante.J'ai plus rien n'a dire sur ce film mais il est largement mieux que Cannibal Holocaust et j'espers que Peter Jackson va continué a faire des films aussi bien que celui la.
    Tous se qui l'ont pas encore vu alors je leurs conseillerai de le regardé car c'est le meileur film culte que j'ai jamais vu dans ma vie.

     Peter2   le 26/04/2007
    Il y a a dire quoi sur ce film mis a part que c'est un chef d'oeuvre du cinema!!!!!!! Vraiment le meilleur film de Peter Jackson et en meme temps le meilleur film gore jamais realiser! Tout est present, le sang (ce que j'adore), l'humour (avec le gore c'est exellent) et biensur l'element essentile, le GORE!! Vraiment si sa ce n'est pas un chef d'oeuvre, alors je ne sais pas c'est quoi! A chaque fois que j'attend parler de Jackson j'attend quelque chose comme Seigneur des Anneaux mais en fait on ne devrait pas, Braindead est le film culte de Mr.Jackson!

    En gros... A VOIR ABSOLUMENT!

     Le Clown   le 24/02/2007
    Braindead, le film culte en matière de comico-gore, qui malgré l'effet très amateur qu'il dégage (C'est ce qui fait tout son charme.) a eu un grand succès dait sa sortit en salle (C'est mérité.) Peter Jackson est vite devenu un pilier du genre...... c'est du sang, du sang, et encor du sang, l'histoire n'est qu'un pretexte, car le seul but de ce film, c'est dans mettre plein la vu avec une succetion de scènes plus sanglantes les unes que les autres. L'ambiance malsaine donne vraiment envi de gerber, et l'ambiance est aussi très réussi de ce coté là, car les jeux de lumière, les jeux de caméra, et les fumigène, accentu énormément le coté mysterieux et glauque du film. Les effets numériques sont à oublier dans ce film, et c'est mieux comme sa, car les scènes crades on l'air encor plus réaliste, et plus c'est réaliste, et plus on accroche, on suit sans problème Lionel et Paquita du début à la fin. (Même si on a l'impression que les zombies sont au premier plan, et le jeune couple en deuxième plan.) Le massacre final avec la tondeuse à gazon est un pure délire, tout les zombies y passent, de l'infermière McTavish au curé pratiquant le kung-fu qui tout en se battant avec une bande de zombies dit une phrase qui est et qui resterat culte : "Au nom du seigneur je vous botte le cul." Mais le passage de la tondeuse à gazon n'est pas la seul scène culte du film, il y'a aussi celle du parc, ou Lionel se bat avec un bébé zombie plutot coriace ! (J'était plié en deux pendant tout la scène tellement je riais....) il y'a aussi la scène du repas avec la presidente de la ligue des femmes qui red visite à la mère de Lionel, seulement elle n'est pas en état de recevoir des invité, et sa ne passerat pas inaperçu (La par contre cette scène ma plus dégouté que amusé hihihi.) et bien evidamment la scène du zoo, ou l'on voit l'origine de tout ce massacre sanglant, et hilarant. Le film ce fait volontairement passé pour une serie B (On pourrait même dire une serie Z.) et vu le coté amateur, sa colle parfaitement, je pense même que si le film avaitété fait avec du numérique, un budget énoooorme, et des acteurs proffesionel (Peter Jackson voulait des acteurs jamais vu à l'écran ou à la toile.) le film aurait eu une saveur des plus désagréable, mais là c'est parfait, des films comme sa, il en faudrait d'autres, c'est exelent.

     Frank N'furter   le 16/01/2007
    Si vous avez apprécié "Bad Taste", le tout premier film de Peter Jackson, vous allez inévitablement adorer "Braindead" une seconde comédie gore, et troisième métrage du réalisateur, bien plus osé graphiquement que son prédécesseur car moyens supérieurs obligent. Même s'il est d'une violence extrême il n'en est pas moins irrésistiblement drôle, puisque la surenchère de gore est tellement poussée à son paroxysme qu'elle en devient paradoxalement absurde et donc risible.
    Peter Jackson est sans pitié, les façons de se faire mutiler sont ingénieuses, recherchées et particulièrement sanglantes. On pourra toutefois reprocher au film d'être un peu brouillon car les scènes gore s'enchaînent à une vitesse trépidante et une nouvelle vision complète de l'oeuvre s'impose alors. De plus, la musique de Peter Dasent colle parfaitement a l'univers délirant de Peter Jackson car étant majoritairement jouée au clavier, elle prend un ton ironique et décalé faisant intentionnellement penser aux films de série Z.
    Le scénario complètement délirant fait lui aussi preuve d'une grande imagination tel que le bébé zombie de l'infirmière McTavish et du prêtre pratiquant à ses heures perdues l'art ancestral du kung-fu ("Au nom du Seigneur je vous botte le cul !") ce qui est sujet à de nombreuses scènes désopilantes. Le métrage nous éclabousse perpétuellement de scènes sanguinolentes et lorsque le générique apparaît enfin, quiconque peut aisément se considéré comme repu.
    Au final, le film est un grand incontournable du cinéma gore qui n'a encore jamais été surpassé et restera gravé dans les annales comme le chef-d'oeuvre ultime de ce cinéma de nos jours en perte de vitesse car certainement jugé mineur et sans intérêt.

      






    Resident Evil, Survivor

    23/06/2007 15:02

    Resident Evil, Survivor


    Source : jeux vidéos.com

    Resident Evil : Survivor Playstation

    Sortie : Le 26 mai 2000

    Forcement, dès qu’il y a marqué Resident Evil dessus, on est tenté de dire amen. Et bien parfois on fait bien de se méfier. Capcom nous propose avec ce nouveau titre un jeu d’action pur et dur, qui ne laisse aucune place à la réflexion et aux bons sentiments. Si vous n’aimez pas les zombies, vous être très bien tombés.

    Resident Evil : Survivor

    C’est fou comme le marketing peut faire marcher le monde parfois … Alors que la série des Resident Evil peut être qualifiée de chef-d’œuvre, Capcom vient gâcher notre plaisir en essorant le sujet une fois de trop. Décidément, les gens ne savent pas s’arrêter et tous les points forts de la série sont massacrés un par un dans ce nouveau titre. Certes l’ambiance est assez bien rendue et les graphismes ne sont pas trop déplorables mais on reste loin des grands jeux auxquels on était habitué. Voyons ça dans le détail ...

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 1
    Comme ils sont gros ces pixels!

    Vous êtes dans la peau de ... et bien ... justement, vous n’en savez rien. Vous vous réveillez avec un sale mal de crâne dans une rue lugubre et infestée de zombies, tout ça sans rien vous rappeler de votre identité. On a connu des moments plus agréables mais après tout, vous avez signé pour ... Bref, vous avez quand même un pistolet avec vous et suffisamment de munitions pour faire passer de nombreux zombies de ...trépas à trépas :).

    Vous voilà plongé au cœur du survival horror, comme on dit, à vous de découvrir les mystères qui entourent votre passé et surtout de survivre (si !) jusqu’au bout de l’aventure sans finir entre les mâchoires tremblotantes d’un quelconque mort-vivant. Comme il se doit, les munitions ne seront pas légion (contrairement aux monstres) et il va falloir vous accrocher pour vous en sortir. Les commandes sont on ne peut plus simples à prendre en main (et c’est normal vu leur nombre) et on est vite maître du personnage bien que les contrôles de tirs soient assez peu précis : essayez de tirer sur un chien qui cours pour voir (remarquez, ça doit pas être facile non plus en vrai :).

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 2
    Même pas un zombie au comptoir pour mettre l'ambiance.

    Côté graphisme, le jeu est honnête, sans plus. Le manque de finesse se fait cruellement sentir et la pixellisation est omniprésente. Le jeu est par contre assez fluide mais cela ne rattrape pas le manque de cohérence dans certains décors (vous avez déjà vu une lourde porte métallique au beau milieu d’un casino vous ?). Par contre, les personnages sont ce qu’il y a de plus réussi et les créatures que vous rencontrerez sont relativement variées. Cela dit, l’ambiance aurait pu être bien meilleure si le son avait été à la hauteur. Malheureusement, c’est là aussi une déception, les musiques et les effets sonores n’étant pas toujours appropriées à l’action.

    Test Resident Evil : Survivor Playstation - Screenshot 3

    Vous voyez le "recharger" en bas à droite ? C'est mauvais signe.

    Si les problèmes n’avaient été que techniques, le jeu aurait pu garder un certain intérêt, mais une fois encore, la réalisation des séances de tir n’arrive pas à convaincre. Pas de déplacements latéraux, pas de localisation des coups, une cadence de tir pitoyable, voilà ce qui vous attend dans la seule phase intéressante du jeu (puisqu’il n’y a ici aucune énigme à résoudre). Comme en plus les clés et les portes sont presque toutes dans l’ordre, vous ne risquez pas de vous perdre dans cette aventure plus que dirigiste.

    Certes, il reste l’ambiance et le coté survie qui est assez bien rendu mais tout cela ne sauve pas ce jeu qui n’intéressera que les fans (les plus atteints :) de la série et les même fanatiques du survival horror risquent d’être déçus tant la réalisation laisse à désirer. A ne conseiller qu’aux fans du cassage de zombies à la chaîne.

    Twitten , le 02 juin 2000

    Graphismes 12/20

    La qualité est honnête, les animations ne souffrent pas de trop de ralentissement mais le manque de finesse nuit grandement à l’ambiance.

    Jouabilité 13/20

    La prise en main est facile mais le mode tir est très décevant. C’est néanmoins le meilleur point du jeu.

    Durée de vie 9/20

    On se lasse très vite du avancer-tirer qui est malheureusement la seule chose à faire dans ce jeu.

    Bande son 10/20

    Les musiques et effets sonores sont d’une qualité moyenne mais tombent souvent comme un cheveux sur la soupe.

    Scénario -/20

    Impossible de mettre une note à un scénario qui ne sert que de prétexte à l’action mais l’idée est assez bonne et plutôt convaincante.

    Note Générale 10/20

    Un jeu qui aurait pu être la digne suite de la prestigieuse série des Resident Evil tout en explorant un autre genre. Malheureusement, la réalisation déplorable ne le destine qu’aux seuls fanatiques du genre (et aux malheureux qui auront cru voir dans le titre un gage de qualité).

    L'avis de Lestat1975 :

    Wouahh......Là nous sommes en présence du pire jeu vidéo que je connaisse....
    Sous l'apellation Resident evil, Capcom c'est permis de nous pondre une bonne grosse daube bien sentie.....Je me demande encore comment j'ai pu tomber dans le panneau.....Je crois que j'étais parti pour acheter un jeu (me rapelle plus lequel) qui me faisait envie, mais malheureusement le vendeur ne l'avait pas encore reçu. Puis j'ai vu ce titre "Resident evil survivor" ce qui semblait être un jeu avec la vue genre FPS, et avec bien sur des zombies, monstres ect....Trop cool quoi....mais j'ai vite déchanter.....j'ai donc acheter ce jeu pourri et je suis rentrer chez moi pour le tester.....je souligne que c'est le seul jeu que j'ai acheter sans avoir lu un seul avis ni un seul test....en général je fait confiance aux testeurs, et je n'ai jamais été déçu par les jeux que j'ai acheter. Mais là je me suis fait berné par Capcom. Arrivé chez moi, je commence une partie.....et là ...bé comment dire ...bé c'était nul ....des graphismes nazes (tout en 3D, une première pour un Resident), des zombies tout bon à éclater de rire, aucun scénario valable. On avance en cherchant la plupart du temps une clef pour continuer à progresser entre les niveaux...sans mentir je crois que j'ai du passer 20 mns maximum à jouer avant d'enlever le disque de ma PS1, et de ramener le jeu vidéo chez le vendeur. Quelle deception.....pourtant l'idée de départ n'était pas mauvaise, un Resident evil avec une vue FPS. D'ailleurs cette partie du jeu a était reprise dans "Resident evil, code Véronica" et son mode missions, en beaucoup plus réussi bien sur. Voila ...surtout n'acheter pas cette "Grosse Daube".


    Ma note ? 05/20






    Resident Evil, Code Véronica

    23/06/2007 15:19

    Resident Evil, Code Véronica


    Source : Jeux vidéos.com

    Resident Evil : Code Veronica Dreamcast

    Sortie : En mai 2000

    Enfin ! Enfin les possesseurs de Dreamcast vont avoir peur ! Capcom s'est enfin décidé à décliner l'univers de Resident Evil sur la console de SEGA, avec un titre pour une fois spécialement conçu pour la Dreamcast !

    Resident Evil : Code Veronica

    Enfin disais-je. Enfin car ce n'est pas avec le dernier épisode, Resident Evil 2, adapté dernièrement sur DC que les joueurs avaient pu vraiment goûté aux plaisirs d'un jeu de ce genre. Disons qu'ils avaient pu goûter à son atmosphère terrifiante et à ce petit quelque chose qui en fait un titre passionnant mais l'adaptation n'était clairement pas en harmonie avec les capacités de la machine. Faute avouée est à demi pardonnée, Capcom se rachète en développant spécifiquement pour la Dream et en nous pondant carrément un épisode tout neuf.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 1
    Il vous sera difficile quelquefois de faire la différence entre les FMV et les scènes du jeu

    Pour rester évidemment toujours dans ce même univers glauque et morbide, nous allons retrouver les fameux héros récurrents de la série. Vous vous souvenez des Redfield, Chris et Claire, ces deux agents du STARR qui avaient fait des actions d'éclat dans le premier épisode. Les revoici donc avec en bonus et guest star un nouveau personnage répondant au doux nom de Steven Burnside, sorte de Léonardo Di Caprio au charme et à la gâchette ravageurs. Bref, poursuivant l'histoire, Chris Redfield manque toujours à l'appel et sa sœur, à sa recherche, arrive à Paris. Paris car des informations secrètes lui laissent penser qu'un second laboratoire d'Umbrella serait dans les environs de la ville lumière. Voici donc pour notre plus grand plaisir un tout nouveau complexe labyrinthique de couloirs, portes à accès fermés et autres placards putrides.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 2
    Les angles de vue ont toujours un petit quelque chose de cinématographique

    Dans son fonctionnement, n'importe quel joueur de PSX se trouverait à son aise. Sans intégrer les derniers raffinements que l'on pouvait trouver dans des jeux comme Dino Crisis, Code Veronica reprend le maniement complet du premier épisode. Vous déplacez vos personnages de la même manière avec la possibilité de courir ou de ramasser des objets, activer des interrupteurs etc. Seule nouveauté, l'intégration d'un pivot à 180° pour shooter une tête arrivant par derrière. Le mode de combat est lui aussi le même avec un système de visée manuel. L'inventaire n'a subi qu'un lifting de façade et les multiples combinaisons ou les sempiternels 6 slots d'inventaire sont toujours là. Pour vous aider à ne pas (trop) vous perdre, Resident Evil : Code Veronica aura bien entendu le mode carte intégré. Comme d'habitude, la pure et simple reprise d'un maniement déjà maintes fois éprouvé ajoute souvent plus de problèmes que d'avantages. L'unique avantage étant de ne pas déstabiliser le joueur habitué à un certain mode de fonctionnement mais les multiples inconvénients viennent directement de ce "vieux" système. En effet, le manque de maniement de ce jeu qui date tout de même de plusieurs années posent certains problèmes notamment le fait de ne pouvoir tourner facilement sur soi ou encore certains défauts de chargements, longuets entre les pièces avec ces portes qui s'ouvrent en grinçant sinistrement.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 3
    Le bon vieux dégommage de mort-vivant au fusil à pompe, pas propre mais quel soulagement !

    Les angles de caméra s'adaptant automatiquement à votre position, ils sont logiquement "adaptés" au mieux pour votre visibilité mais il arrive très souvent qu'ils ne le soient justement pas. Cela ajoute au suspense que de rentrer dans un couloir où vous n'avez aucune vision mais là où ça devient gênant, c'est lorsque vous vous retrouvez en situation de combat. Les monstres vous bloquant la vue, vous aurez tendance à tirer à côté et à gâcher ainsi de précieuses munitions... Tous ces problèmes ne sont évidemment pas nouveaux et se retrouvaient déjà dans les précédents épisodes mais même si les joueurs y sont habitués, il n'est jamais trop tard pour bien faire.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 4
    Finie la 3D précalculée et bienvenue aux vrais décors en temps réel

    Mais là où Capcom fait fort sur le support Dreamcast, c'est en transposant cette atmosphère oppressante que peut receler un Resident Evil tout en utilisant pleinement les possibilités techniques de la Dreamcast. Car techniquement RECV n'a rien à voir avec n'importe laquelle des versions PlayStation. L'apport de la haute résolution donne tout d'abord des personnages bien plus fins, bien plus soignés et en résumé, nettement plus beaux et mieux animés. Les décors en 3D précalculée ont maintenant disparu pour laisser la place à des décors 3D temps réel. Certains déplacements sont donc maintenant accompagnés de mouvements de caméras du plus bel effet et les personnages n'ont plus ce côté décalé dans les décors dû aux différences de rendus. Lumières dynamiques, fumées ou réverbérations la panoplie complète de la console 128 bit est employée et visuellement, le jeu y gagne nettement en éclat. Surtout quand les superbes cinématiques de Capcom émaillent toujours aussi subtilement le scénario.

    Test Resident Evil : Code Veronica Dreamcast - Screenshot 5
    L'arrivée de nouveaux monstres rendant certaines rencontres intéressantes

    Parlons du scénario justement. Encore une fois, s'il s'agit bien je vous rassure d'un tout nouvel opus, la trame ultra classique des Resident Evil se retrouve très facilement. Les 2 CD qui vous proposent de jouer l'un après l'autre Claire puis Chris, les petits puzzles, les salles remplies de monstres, les interrupteurs à actionner, la terreur de la sauvegarde avec ces satanés rubans encreurs etc. etc. Du bon mais du déjà vu avec la descente aux enfers retrouvée dans tous les autres jeux de la série. Vous aurez peur, c'est certain mais le scénario ne relève encore pas de Lynch ou de Coppola.

    Kornifex , le 31 mai 2000

    Graphismes 18/20

    La véritable amélioration de Resident Evil : Code Veronica. Un moteur de jeu parfait au service de la Dreamcast et qui rendra cet épisode encore plus beau et terrifiant.

    Jouabilité 16/20

    Un système auquel nous sommes tous habitués mais qui comporte toujours les mêmes défauts de contrôle et de précision.

    Durée de vie 16/20

    Les différents modes accessibles en fin de jeu ou la présence de deux aventures parallèles donne toujours autant de longévité.

    Bande son 17/20

    Tout est fait pour que vous ayez peur et ça marche. Musiques angoissantes, râles des zombies, gouttes d'eau (de sang ?) suintant du plafond.... Brrrr !

    Scénario 15/20

    Ultra classique, les héros sont toujours aussi naïfs que gentils tandis que les méchants sont toujours aussi...euh méchants :)

    Note Générale 17/20

    Une très sensible amélioration graphique permet de prévoir des prochains Resident Evil plus beaux et plus effrayants mais une jouabilité qui vieillit aussi, n'offrant que peu d'alternative. Code Veronica reste un pur moment d'aventure teinté d'action.

     

    L'avis de Lestat1975 :

    Après avoir tester le plus gros raté de l'histoire du jeu vidéo (peut-être pas quand même) je me suis payer le tant attendu "Resident evil, code Véronica" sur ma console Dreamcast (récemment acheter à l'époque) .
    On passe au niveau supérieur avec ce titre, fini les décors en 2D qui on fait le bonheur des 3 premiers Résident evil. Et bienvenue à la 3D, bien meilleure sur la console 128 bits de Sega que sur la pauvre PS1 a bout de souffle de Sony. Le titre n'est pas le meilleur de la serie à mon goût mais il n'en est pas loin, avec une mise en scène très pointue, des cinématiques tout en 3D qui font rêver et des personnages super bien fait. J'ai trouver le jeu un peu plus dur que les précédents, j'ai du recommencer ma première partie. Cause ? : Manque de munitions à l'approche d'un Boss....hi hi...la première fois que cela m'arriver sur un Resident Evil. Le titre est plus long que les précédents jeux de Capcom, il a une très bonne durée de vie, et Le jeu est beaucoup plus réaliste que ceux de la PS1, grace bien sur à la puissance de la Dreamcast. Vous passerait un bon moment....


    Ma note ? 17/20








    Demons (S2-06)

    Léo Johnson

    Harold Smith accuse Donna et Maddy d'être impures et de l'avoir contaminé.
    L'intervention de James permet à Donna et Maddy de s'échapper de chez Harold. James demande à Donna de lui pardonner.
    Cooper ramène Audrey au refuge des BookHouse Boys.
    Truman reconnait la photo de Jean Renault, Cooper s'en veux d'avoir laissé Audrey être mélée à cette enquête.
    Cooper rend l'argent de la rançon à Ben Horne.
    Bobby et Shelly ramènent Léo à la maison et reçoivent leur premier chèque de l'assurance : 700 dollars au lieu des 5000 attendus.
    Donna informe Truman de l'existence du Journal Secret de Laura détenu par Harold.

    Gordon Cole

    Gordon Cole arrive avec les résultats obtenus par Albert : des fibres provenant d'un manteau de vigogne ont été retrouvées devant la chambre de Cooper, la drogue utilisée par le manchot est très étrange et les papiers retrouvés près du wagon où Laura a été tuée proviennent d'un journal intime.
    Jonathan viole Josie et lui donne un billet d'avion pour Hong Kong.
    Maddy annonce à James qu'elle va repartir pour Missoula : elle en a assez d'être prise pour Laura, même si elle avoue aimer ça.

    James hurley

    Josie récupère l'argent que lui doit Ben.
    Shelly et Bobby organisent une fête pour le retour de Léo, toujours inconscient.
    Gordon Cole annonce à Cooper que Windom Earle lui a laissé un message, sous forme de coup d'échec et lui conseille d'être prudent.
    Josie annonce à Truman qu'elle doit retourner à Hong-Kong, en compagnie de Jonathan, qu'elle présente comme son assistant, Mr Lee.
    Truman ne comprend pas cette décision soudaine...
    Hawk a retrouvé Philip Gerard. Très agité, il commence à réclamer sa drogue.
    Mike prend alors la parole, se substituant à Philip Gerard : c'est un esprit qui s'impose à un autre, plus faible.

    Le Manchot (Mike,Philip Gerard)

    Mike fait des révélations au sujet de Bob : il le connait bien, ils ont tués ensemble dans le passé. Dorénavant repenti, il veut arrêter son ancien partenaire.
    Il révèle aussi que Bob est à Twin Peaks depuis 40 ans et qu'il se trouve actuellement dans une grande maison pleine de chambres semblables.
    L'enquête s'oriente alors vers l'hôtel du Grand Nord...








    Lonely Souls (S2-07)

    Dale Cooper

    Cooper fait défiler tous les résidents de l'hôtel du Grand Nord devant Mike, espérant identifier ainsi l'assassin.
    Mike réagit violemment en présence de Ben Horne.
    Hawk se rend chez Harold Smith et le découvre pendu.
    Maddy apprend à Sarah et Leland qu'elle rentre chez elle, à Missoula mais leur promet de revenir souvent en visite à Twin Peaks.
    Chez Harold Smith, Cooper et Truman découvrent un mot laissé par Harold : "j'ai une âme solitaire" (en français dans la VO) et Hawk retrouve le journal secret de Laura mais il manque des pages.
    Shelly règle les factures et fait ses comptes : il ne reste que 42 dollars par mois. Léo s'anime un peu et répète sans cesse : "chaussures neuves".

    Shelly & Bobby

    Audrey interroge son père au sujet du Jack n'a qu'un Oeil : il le possède depuis 5 ans, il sait que Laura y a travaillé peu de temps, c'est Battis qui l'avait engagé sans l'en informer. Il avoue aussi avoir couché avec Laura.
    Shelly informe Norma qu'elle doit abandonner son emploi de serveuse pour s'occuper de Léo.
    Bobby trouve une microcassette dans les bottes de Léo.
    Cooper examine le journal secret de Laura. Il y a de multiples références à Bob.
    Audrey apprend à Cooper ce qu'elle a appris sur son père.
    Ben est interrogé.
    Tojamura révèle son identité à Pete.

    Pete Martell

    La Femme à la Buche dit à Cooper qu'il se prépare quelque chose au Relais. Ils s'y rendent.
    Chez les Palmer, Sarah est droguée, allongée sur le sol. Elle a la vision d'un cheval blanc et s'évanouit.
    Leland ne semble pas y faire attention.
    Au Relais, Donna et James se retrouvent, ils parlent d'Harold Smith.
    Cooper, Truman et la Femme à la Bûche arrivent au Relais.
    Cooper a une vision du Géant qui lui dit "ça se reproduit".

    Le Géant

    Chez les Palmer, Maddy, alertée par une odeur de brûlé, descend et est attaquée violemment par Bob. Il la tue et glisse la lettre O sous son ongle.
    Au Relais, le vieux serveur dit à Cooper qu'il est désolé et tout le monde semble ressentir qu'il vient de se passer quelque chose de terrible...
    Hawk, Andy, Truman et Cooper rendent visite à Ben Horne. Il est emprisonné








    Drive with a Dead Girl (S2-08)

    Leland Palmer

    Chez les Palmers, Leland joue au golf : il y a des dizaines de balles dans le salon.
    Donna et James lui rendent visite et s'étonnent de ne pas voir Maddy. Leland leur affirme qu'elle a quitté la ville pour rentrer chez elle. Il l'a déposé à l'arrêt de bus il y a 20 minutes.
    Après leur départ, Leland met le club dans le sac de golf où il a caché le corps de Maddy et part.
    Il fait toujours preuve d'une bonne humeur étonnante.
    Ben reçoit la visite de son frère Jerry et lui dit qu'il était en compagnie de Catherine Martell la nuit du meurtre de Laura. Les deux frères se souviennent de Louise Dombrowski dansant pour eux.
    Lucy revient, en compagnie de sa soeur, Gwen.

    Lucy

    Au Grand Nord, Truman et Cooper rencontrent Leland en train de danser avec son club de golf. Truman lui apprend que Ben a été arrêté et Cooper lui demande de le prévenir s'il se souvient de quelque chose à propos de Ben et de la nuit du meurtre de Laura.
    Le docteur Hayward prend un échantillon du sang de Ben Horne.
    Bobby fait une copie de la cassette trouvée dans les bottes de Léo et envoie un message à Ben Horne.
    Vivian, la mère de Norma, lui rend visite au double R et lui présente son nouveau mari, Ernie Niles.
    Le Manchot assomme le garde et s'échappe.
    Après 48 heures d'absence, Hank revient au double R et arrive à calmer Norma.
    Pete Martell et Truman parlent du départ précipité de Josie.
    Andy voit Lucy tenant dans ses bras le bébé de Gwen, il s'évanouit.
    Pete délivre un message à Ben : Catherine lui fournira un alibi pour le soir du meurtre à condition que Ben lui cède la scierie et Ghostwood.
    Ben accepte...

    Norma

    Tout en chantant, Leland conduit de façon plutot désordonnée et entre pratiquement en collision avec la voiture de Truman et Cooper. Leland s'excuse et leur dit que Ben Horne a passé un coup de téléphone vers 22 heures, le soir de la mort de Laura et a mentionné un "derry" ou un "diary" (journal intime). Leland insiste pour montrer à Cooper ses nouveaux clubs de golf et semble sur le point de le frapper lorsque Truman rappelle Cooper : le Manchot a été retrouvé prés des chutes d'eau.
    Hawk ramène le Manchot au bureau du shériff.
    Le manchot ne semble pas reconnaître la présence de Bob en Ben.

    Ben Horne

    Truman inculpe Ben du meurtre de Laura Palmer.
    Malgrès les éléments dont il dispose, Cooper n'est pas convaincu de la culpabilité de Ben Horne.
    Norma, Hank, Ernie et Vivian dinent ensemble au Grand Nord. Lorsque les deux femmes s'absentent, Ernie et Hank parlent du passé : ils étaient compagnons de cellule, ce que Vivian ignore.
    Audrey rend visite à Cooper et parle de l'arrestation de son père. Cooper reçoit un coup de téléphone.
    Près des chutes d'eaux, Truman et Cooper identifient le corps de Maddy...

    Mady






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